C'est Le Plombier

BÊTA PUBLIQUE

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-Attendez, dit Dragui en descendant de l'escabeau, grimpez sur l'escabeau, et regardez si je me trompe.

- Euh, mais j'y connais rien.

- C'est justement pour ça qu'il faut regarder. À mon avis vous allez piger plus vite que votre mari

- Un instant, j'enlève mes chaussures, je veux pas me casser la figure!

En grimpant en haut de l'escabeau, la robe avait remontée sur ses cuisses blanches, laissant apparaitre un instant le début d'un porte jarretelles noir.

- Vous voyez Mme Miremont?

Elle se haussa sur la pointe des pieds, tandis qu'il éclairait la trappe.

Ah oui, je vois maintenant dit Gabrielle sans se rendre compte que sa robe montait de plus en plus et dévoilait une culotte noire finement ajourée

- Lorsqu'elle se rendit compte du spectacle qu'elle offrait aux yeux exorbités de Dragui, Gabrielle eut un mouvement rapide pour baisser sa robe. Ce faisant elle manqua tomber de l'escabeau et Dragui pour la maintenir l'empoigna par les hanches.

- Et ben c'était juste, dit-il avec un gros rire tout en appréciant la fermeté de la dame.

Gabrielle, génée et rouge comme une pivoine le remercia. Elle remit ses Louboutin prestement et reprenant ses esprits lui dit d'un ton un peu sec :

- En fait il y a une autre fuite au niveau de la buanderie et de la chaudière, je vous montre et elle passa l'étroit couloir en forme de L qui menait de la chambre à la chaudiere. Le couloir long de quelques mètres conduisait à une machine à laver surmontée d'un sèche linge. Juste après l'angle droit, la pièce était un peu plus large, et il y avait un grand étendoir sur lequel séchait des sous vetements.

Merde se dit Gabrielle en voyant ses culottes et soutifs sexy, mes La Perla, Marie-Pierre aurait pu les enlever.

Un peu génée elle se plaça devant l'étendoir et fit signe à Dragui de passer.

- C'est juste derriere, m'a dit Laurent.

La lumière de la buanderie était faible et on ne voyait pas bien.

- Attendez, un instant, je prends ma lampe parce que côté lumière chez vous c'est feutré! ah je vois ce que ça peut être. Venez voir Mme Miremont

Pour s'approcher, Gabrielle fut obligé de frôler le bide de Dragui qui montrait du doigt l'origine de la fuite :

- Mme Miremont vous voyez du côté de la sécurité du bloc? C'est là où est la fuite, d'ailleurs c'est vert de gris.

- Gabrielle se tortilla pour voir mais sans succès.

- Je vois rien dit-elle dubitative

- Attendez, permettez, je vous montre, bougez pas, je passe la lampe sous votre bras.

Ce faisant Dragui se colla aux fesses de Gabrielle et passa la lampe par dessous son aisselle en laissant son avant bras toucher le nichon gauche.

- Vous voyez là Mme Miremont?

- Gabrielle ne voyait pas vraiment, mais sentait un truc dur et énorme insister à travers le tissu de la robe sur la raie de ses fesses. Elle se sentait bizarremment excitée. En cinq ans de mariage, elle n'avait jamais trompé Laurent mais depuis quelque temps elle parvenait à l'orgasme en imaginant des inconnus la pelotant. Une partie d'elle se révoltait au contact de ce porc, mais une autre, incontrôlable, lui fit tendre le cul légèrement.

Derrière elle, Dragui était de plus en plus excité, il lui répétait

- vous voyez cette fois Mme Miremont? Vous voyez bien?

Tout en poussant sa bite qui était tendue comme un piquet de tente. Il lui attrapa les hanches et entreprit de retrousser doucement la robe. Putain, la salope, pensa-t-il, elle a un porte-jarretelle et un string.

- Mais que faites-vous Mr Dragui, que faites-vous, dit Gabrielle d'une voix faible

Le plombier passer un doigt sous le voile délicat du string, parvenant à l'entrée de sa chatte et au clitoris, qu'il entreprit de rouler délicatement.

- Vous êtes trempée Mme Miremont, lui chuchota-t-il dans l'oreille, faut vraiment colmater cette fuite.

- Vous êtes fou dit-elle en tendant son cul de plus belle contre le morceau de chair palpitante qu'elle sentait d'autant plus que Dragui appuyait de plus en plus sa bite sur ses jolies fesses.

Le souffle court, elle se laissait faire, tétanisée et incapable de bouger. Dragui commença à lui sussurer des obscénités à l'oreille.

- Vous êtes une sacrée petite salope, je le sentais, juste besoin d'une bonne grosse bite bien épaisse pour ramoner votre abricot.

- Arrêtez tout de suite, dit-elle faiblement, je suis mariée.

Dragui avait quitté sa chatte pour passer ses mains à l'intérieur du soutif et palpait les gros seins tout en maintenant son gros corps collé contre elle comme une monstrueuse ventouse. Avec ses gros doigts, il lui triturait les bouts ce qui arracha un gémissement à Gabrielle.

- Moi aussi je suis marié, chuchota Dragui à l'oreille de Mme Miremont, c'est juste une parenthèse, personne n'en saura rien,

- Non, non, répétait Gabrielle le souffle court, comme un mantra.

- L'esprit dit non, mais vos jolies fesses elles disent oui, oui oui

Dragui avait entrepris de remonter complétement la robe de la jeune femme qui se sentait au bord de défaillir.

- Oh, tenez-vous, dit faiblement Gabrielle, en repoussant Dragui avant de sortir de la buanderie en essayant tant bien que mal de remettre un peu d'ordre dans sa tenue. Ses louboutins à la main, elle remonta vers le salon, ses grands cheveux détachés sur sa nuque lui donnait une allure incroyablement bandante.

- Je vais oublier ce qui s'est passé, et vous aussi, lui dit-elle d'une voix mal assurée.

En parvenant dans le salon, elle s'assit le souffle court sur le canapé, et entreprit de remettre ses chaussures sans se soucier de la vue imprenable qu'elle offrait sur le renflement de son string. Dragui, qui l'avait suivie, se campa debout devant elle

- Soyez raisonnable Mme Miremont, ajouta Dragui qui l'avait suivie de près, regardez dans quel état vous me mettez, dit-il en baissant son pantalon et son slip d'où émergea un épais tuyau de chair doté d'un énorme gland rose.

- Gabrielle ouvrit des yeux grands comme des soucoupes et sa bouche fit un grand O silencieux.

- Allez, reprit Dragui, qui lui attira fermement la tête vers son gros pénis au bout duquel perlait une petite goutte de sperme.

Il passa au tutoiement :

- Suce donc mon beau sucre d'orge, t'en meurs d'envie et après il coulissera mieux dans ta petite chatte.

Gabrielle, comme dans un rêve, entreprit d'ouvrir la bouche et se mit à l'ouvrage. Le sexe qui avait un goût légèrement salé lui remplissait la bouche.

- Soupèse mes couilles et prends ma grosse queue jusqu'au fond, ordonna Dragui, tout en exerçant une pression de la main sur sa nuque.

Gabrielle poussa un gémissement étranglé et suça de plus belle en caressant les testicules du plombier

- C'est bien, t'es une championne, une bonne grosse cochonne qui a besoin d'un ramonage régulier.

Au bout d'une minute, Dragui la repoussa doucement mais fermement sur le canapé avant d'entreprendre de lui retirer son string. Gabrielle se laissait faire comme dans un rêve.

- Voilà, c'est bien, tu peux garder tes talons, maintenant cale toi bien et écarte les cuisses au maximum, c'est bien, répéta-t-il, tandis que Gabrielle lui offrait une vue imprenable sur sa chatte qui palpitait comme une belle huitre juteuse. Maintenant sors tes grosses loches du soutif et leche-les en gardant les cuisses bien écartées vers le haut, voilà en ciseau.

Yeux mi clos, Gabrielle s'exécuta. Dragui avait récupéré son portable et en profita pour prendre quelques photos. Purée, tu es la plus belle pétasse que j'ai vue depuis longtemps.

- Bouge surtout pas, dit-il en installant son portable en mode vidéo sur un guéridon proche du canapé. Puis il revint vers le canapé et d'un coup brusque enfila sa grosse bite dans la chatte offerte.

Gabrielle poussa un grand cri.

- C'est bon d'être rempli comme ça non? Pas sur que ton petit mari soit armé comme moi, ajouta-t-il en commencant de la pilonner tout en lui tenant les cuisses écartées comme une équerre.

Tu mouilles comme une chiennasse, dis-donc, t'es trempée comme c'est pas permis continua-t-il tout en entreprenant de lui tirer sur les bouts comme sur les pis d'une bonne vache.

Gabrielle, les yeux fous se mit à haleter. Etait-ce la vulgarité du bonhomme, sa grosse queue qui l'éventrait, elle se mit à jouir comme une malade en poussant de grands gémissements aigus.

- Humm t'es vraiment une catin, tu jouis déjà et sans m'attendre, c'est bien va, je vais te retourner et te prendre en levrette. Allez, dépeche toi salope.

Gabrielle s'executa et enfouissant sa tête dans les coussins du canapé tendit sa croupe avec obéissance. Dragui s'assura que son smartphone était bien positionné puis s'emparant des fesses de Gabrielle entreprit de bien les écarter avant de fourrer sa grosse langue dans l'anus marron qui palpitait de vant lui.

Gabrielle poussa un nouveau cri et lançant sa main vers son clitoris commença de se caresser furieusement. Au bout de quelques minutes de ce traitement Dragui cessa delui lecher le trou du cul et passa lentement sa grosse verge contre son anus.

- Hum, dit-il, je vais pas t'enculer aujourd'hui, faut un bon lubrifiant sinon je vais t'éclater, mais prend déjà ça dans ta chatte. Et il s'enfonça à nouveau dans le con juteux de Gabrielle tout en lui assénant des petites claques sèches sur sa croupe. Quelques instants plus tard, Gabrielle se remit à jouir en beuglant des mots incohérents. Dragui lui claqua encore plus violemment le cul et la retourna à nouveau.

- Je vais tout lâcher sur tes beaux nénés, salope dit-il en se branlant avant d'ahaner en lachant d'énormes giclées de foutre sur la poitrine puis sur la bouche ouverte de Mme Miremont.

Putain t'es le meilleur coup que j'ai eu depuis longtemps rigola Dragui.

Gabrielle, sortant de la brume de son rut, regarda sa montre avec horreur, reprenant ses esprits et ses distances, elle toisa Dragui avec hauteur :

- Mon dieu, mon rendez-vous, vite vite, excusez moi Mr Dragui, je vous laisse finir la plomberie, je vais être très en retard.

- Vous inquiétez pas Mme Miremont, je dois filer aussi, mais je reviens demain toute la matinée avec mon chalumeau! Il y aura quelqu'un j'espère!

- Oui, oui, dit Gabrielle qui n'avait plus qu'une hâte se changer et oublier ce qui venait de se passer. Mr Dragui, j'espère que vous êtes un gentleman, personne ne doit savoir, ni votre femme, ni mon mari

- Mais bien, sur, je suis une tombe. J'ai déjà oublié, conclut-il en se remettant à bander en regardant les tétons maculés de sperme de Gabrielle qui se tournait pour filer en courant vers sa salle de bain.

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Anonymous
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6 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 mois

Bravo et merci! Impatiente de lire la suite

AnonymousAnonymeil y a environ 1 mois

Une histoire bien bandante qui mériterait une suite ou il lui éclate le cul

AurailiensAurailiensil y a environ 1 mois

Bien pervers, bien excitant... Le chalumeau va chauffer !

AnonymousAnonymeil y a environ 2 mois

Très bonne histoire , bien écrite et tres excitante , j’aime bien cette façon de planter le décor

Une suite serait vraiment la bienvenue 🙏

Merci cher Auteur !

AnonymousAnonymeil y a environ 2 mois

très bien , comme d'habitude.....j'ai l'impression que Charles a ressuscité et réincarné en Archi.....tant mieux , que ça continue , " la Foi " du vice est impénétrable......hihihi...

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