Cauchemar a Acapulco 04

Informations sur Récit
le reste de la famille soumise.
2.3k mots
4.47
15k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 06/08/2021
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Les passagers du vol Air France commençaient à arriver dans le hall de l'aéroport de Mexico. Diego, le fonctionnaire des Douanes, jeta un œil sur son portable. Son frère Ricardo lui a demandé de le prevenir par SMS quand le mari et la belle-mère de Myriam seraient arrivés. Il lui a envoyé une photo de la belle-mère pour qu'il puisse la repérer dans le flux des passagers débarquant de l'avion.....

Diego la repera très vite. En apercevant Annie Sainclair, il se mit à bander comme un fou. La belle-mère de Myriam etait vétu d'un haut moulant qui dévoillait la naissance de ses seins. Sa jupe s'arretait aux tiers de ses cuisses dévoillant des jambes superbes encore affinées par la hauteur des talons de ses escarpins blancs. Quand elle arriva devant Diego elle retira ses lunettes de soleil. Diego recut le choc d'un regard bleu perçant. Il vérifia l 'âge d'Annie Sainclair sur son passeport. 67 ans. Elle avait encore de beaux restes.

Elle et son fils passèrent la douanes et Diego envoya, comme convenue, un sms à Ricardo....

Depuis que Myriam et Anais Sainclair avaient débarqués à Acapulco, croyant passer des vacances de rêves, leurs vies étaient devenus un cauchemar. La mère et la fille étaient devenues les esclaves sexuelles de Miguel, Guadalupe et Carmen. Les deux putes, surtout, étaient les plus méchantes, les « dressants » sans aucunes pitiés. Les exhibants sans retenues dans tout l'hôtel en leur imposant des tenues de plus en plus sexys. Regulièrement, elles devaient déambuler dans l'hôtel à la réception ou au restaurant dans des tenues indécentes pour des bourgeoises bien nées comme Myriam et sa fille.

Les minijupes étaient de plus en plus courtes et les hauts de plus en plus décolletés.

Les deux putes qui avaient élus domicile dans leur chambre, « jouaient » avec leurs proies, les baisants des le matin au reveil et jusqu'au soir. Les baisants et les faisants baiser par les employés de l'hôtel qui dorénavant savaient tous que moyennant finances ils pouvaient profiter des charmes des deux gringas françaises.

C'est le serveur du Room-Service qui en avait profité le premier. Il avait apporté le petit-déjeuner et avait failli en lacher le plateau de saisissement quand Myriam lui avait ouvert la porte simplement vetue d'un string de bikini, les seins à l'air et perchée sur des talons aiguilles. Guadalupe, derriere elle, lui malaxait les fesses et les seins . Le serveur était rentré déposant le plateau sur la table. La même table ou Anais, courbée en avant, les seins écrasés, gémissait sous les coups de godes de Carmen qui la baisait sauvagement en la tenant aux hanches.

Sous les ordres de Guadalupe, Myriam dut s'accroupir devant le serveur et lui faire une pipe pour le remercier.

Résignée, mais aussi ,peut être, un peu excitée, madame Sainclair sortit un membre déjà gonflé et l'avala, salivant dessus, lui léchant le gland, lui malaxants les couilles. Elle entend les gémissements de sa fille Anais qui maintenant est empalée sur le gode de Carmen pendant que celle ci lui pose le vibromasseur sur son clitoris arrachants des plaintes et des gémissements à la jeune fille.

Devant ce spectacle d'une incroyable perversité, le serveur ne tarda pas à jouir inondant de sperme le palais de Myriam qui dut tout avaler en déglutissant avec peine et avec une grimace de dégout.

Allongées sur leurs transats, au bord de la piscine, Myriam et sa fille, gémissaient sans discontinuer et ondulaient du bassin. Heureusement que, à part les employés de l'hôtel, qui préparaient les serviettes et les transats, il n' y avait pas de clients. Guadalupe et Carmen sous pretexte d'enduire leurs corps de crème solaire, doigtaient sans ménagement la mère et la fille qui gigotaient sur leur transats, les yeux dissimulés derrière leur lunettes de soleil. Sous le regard intérréssés des employés.

N'en pouvant d'assister au spectacle sans pouvoir participer, cinq types arrivèrent pour demander si ils pouvaient baiser ces deux chiennes.

Guadalupe encaissa l'argent et ils se dirigérent vers un endoit plus discret.

Les bulles du Jacuzzi chatouillaient le sexe de Myriam , entièrement nue. Dans l'eau avec elle, trois mexicains a qui elle pompent le chibre comme une possédée. Haletante, essouflée, elle suce les trois bites avec entrain.

Anais ,elle, est allongée sur une table pour un massage d'un genre particulier. La masseuse et le masseur de l'hôtel profite de la jeune fille. La masseuse chatouillant la vulve d'Anais avec sa langue pendant que mademoiselle Sainclair suce la bite du masseur.

Les cris résonnent dans la pièce. Myriam est pilonnée par un mexicain qui la défonce comme un fou éclaboussant le sol. Un autre enfonce tellement loin sa bite au fond de la gorge de madame Sainclair qu'elle suffoque.

Anais est empalée sur la queue du masseur pendant qu'elle doit lêcher la chatte de la masseuse....

Hubert Sainclair se dirigea vers la réception de l'hôtel « Costa del Sol »suivi de sa mère.

Ricardo failli éclater de rire quand le mari cocu demanda si sa femme etait dans sa chambre. Il manqua lui répondre qu'elle y était sans doute en train de se faire baiser comme une chienne avec sa fille par les employés de l'hôtel mais il se contenta de répondre avec un sourire qu'elle l'y attendait. Il suivi du regard le mari et sa mère se diriger vers les ascenseurs tout en matant le cul de madame Sainclair moulé par la jupe.

Hubert Sainclair frappa à la porte et fut suffoqué quand une femme vulgaire lui ouvrit le priant d'entrer. Il fut encore plus suffoqué en découvrant l'ignoble spectacle dans la chambre de son épouse.

Myriam, a quatre pattes sur la moquette, la bouche ouverte, décoiffée, en sueur, se faisait baiser par un mexicain qui la tenait aux hanches. Son ventre venait claquer contre ses fesses. Sa fille Anais debout sur des talons aiguilles, grognait sous les coups de pines de Miguel.

Fou de rage, Hubert s'avança voulant intervenir mais deux autres mexicains, Javier et Raul, se jetèrent sur lui l'immobilisant en l'attachant sur une chaise. Il le baillonnérent avec une serviette roulée en boule enfoncée dans sa bouche.

Pendant ce temps, Guadalupe et Carmen s'ocuppe de la belle-mère de Myriam. Annie se débat comme une furie dans les bras des deux putes. Guadalupe parvint a déchirer le haut blanc qu'elle portait devoillant un soutient-gorges bien rempli. Elle baissa les balconnets exhibant deux gros seins laiteux dont elle commença à mordiller les pointes sous les injures de madame Sainclair.

Carmen retroussa la jupe qui se retrouva tirebouchonnée autour de la taille. Elle descendit le string, le roula en boule et le fourra dans la bouche d'Annie étouffant ses jérémiades. Elle s'accroupit devant elle lui donnant de grand coups de langue sur sa vulve, lui titillant le clitoris tout en plongeant ses doigts dans sa fente pendant que Guadalupe continuait de mordiller ses tétons.

Hubert Sainclair a du mal à comprendre ce qui se passe dans cette chambre d'un hôtel quatre etoiles d'Acapulco. Sa femme est maintenant empalée sur la bite de Javier pendant que Miguel l'encule. Les hurlements de jouissance de sa distinguée épouse lui vrille les oreilles. Mais ce qui le choque encore plus c'est de voir sa petite fille chérie se faire enculer à quatre pattes par Raul et l'entendre le supplier d'aller plus vite.

Sa mère, rougissante, haletante, ses gros seins ballotant dans tous les sens sous les coups de godes de Carmen gémit pendant qu'elle donne des coups de langue sur le clitoris de Guadalupe qui la tient par les cheveux.

Monsieur Sainclair réalisa alors honteux qu'il bandait en regardant cette ignoble spectacle.

Raul se vida sur la visage d'Anais l'aspergeant de foutre qui alla s'écraser sur son front et son menton.

La tirant pr les cheveux, elle du aller a quatre pattes devant son père, le visage barbouillé de sperme.

- Tu vas suçer ton padre, appliques toi!

Tremblante, Anais libéra la bite de son père et elle lui lança un regard de reproches quand elle se rendit compte qu'il bandait.

Elle plongea dessus aspirant la bite de son géniteur.

Myriam reçut sur son visage des trainées de sperme lachées par Miguel et Javier. Ils la trainèrent vers sa belle-mère. Annie se tordait dans tous les sens dans le divan, les jambes relevées à la verticale se faisant bouffer la chatte par Guadalupe. Elle eut un orgasme qui la fit hurler et la laissa pantelante et honteuse.

Annie dut s'allonger sur la moquette et, à grands renforts de claques sur le cul, Myriam dut s'accroupir sur son visage. Javier pénétra la chatte d'Annie la faisant couiner pendant qu'elle léchait la fente de sa belle-fille tandis que celle ci pompait la bite de Miguel.

Hubert tentait de résister à la fellation experte de sa fille. Celle-ci lui lèchait les couilles, salivait sur la hampe replongeant dessus. Arrachant des soupirs et des grognements à son père. Carmen s'approcha et délivra Hubert Sainclait de ses liens. Elle lui ordonna de se déshabiller et il obeit rouge de honte. Il fut vite nue comme un ver bandant comme un âne. Il dut se mettre à genoux sur la moquette devant la chatte de sa fille à quatre pattes. Horrifié, il comprit que ces pervers voulait qu'il baise sa fille. Sa morale catholique bourgeoise lui hurlait que c'était immorale mais il agrippa les hanches fines de sa fille et il la pénétra lui arrachant un petit cri. La seconde d'après il la pilonnait comme un fou son ventre venant claquer contre ses fesses la faisant gémir.

Annie, debout sur ses talons aiguilles, penchée sur la table du salon , se faisait baiser par Miguel qui était trop content de se taper la belle-mère de Myriam.

Annie, malgrè ses soixante-sept ans était encore une belle plante.

Elle gémissait sous les coups de pines de Miguel. A coté d'elle , sa belle-fille subissait les assauts répétés de Javier pendant que Guadalupe s'amusait à poser le vibromasseur sur le clitoris de Myriam puis d'Annie leur faisant pousser des hurlements....

Carmen s'approcha du cul d'Hubert Sainclair occupé à baiser sa fille. Quand il sentit le bout du gland en latex s'engager dans son trou du cul, il poussa un hurlement et voulu se dégager mais c'etait trop tard, il était bien emmanché. Les mains de Carmen s'accrochèrent à ses hanches et elle commença à le baiser à grand coups de reins pendant qu'il continuait de défoncer sa fille...

Horrifiées, Annie et Myriam regardaient son fils et son mari en train de baiser sa propre fille pendant qu'il se faisait enculer et qu'il semblait y prendre du plaisir. Anais hurla comme une folle quand elle eut un orgasme qui la fit s'affaler sur la moquette. Carmen fit encore quelques aller-retour dans le cul de monsieur Sainclair puis elle se dégagea. Honteux, Hubert se recroquevilla mais la séance de baise était loin d'être terminée. Annie fut trainer jusqu'à son fils et on ordonna à celui ci qu'il encule sa mère. Celle ci prostesta mais elle fut positionnée malgré ses cris et ses supplications. A quatre pattes, les cheveux dans les yeux, ses fesses tremblantes en attendant l'infamante intromission. Son fils pointa son gland violacé sur l'ouverture des reins. Il poussa arrachant un cri à Annie. Puis il commença à la pilonner lui donnant de violents coups de reins.

Annie, Myriam et Anais, à quatre pattes côte à côte, se faisaient enculer par Miguel, Javier et Raul. Leurs corps tressautaient sous les coups de pines de leurs tourmenteurs. Leurs cris emplissent la pièce. Guadalupe filme la scène avec son portable pour envoyer la vidéo à El Jefe. Elle filme également en gros plan Hubert en train de se masturber pendant qu'il observe le regard fou , sa femme , sa fille et sa mère se faire baiser comme des chiennes par les trois hommes.....

Journal de 20h00, un mois plus tard.....

La jolie présentatrice en robe courte et talons aiguilles lança le sujet.

- Cette étrange disparition d'une famille française parti en vacance au Mexique dont plus personne n'a de nouvelles. Notre reportage à Acapulco.....

Pablo Estevez, le chef du Cartel de Ciudad Juarez savourait la fellation d'Anais Sainclair. Installé dans son canapé blanc de son salon dans son hacienda, il grognait en sentant la langue de la petite gringa qui lui pompait le dard avec application. Le vieil homme bandait encore et il comptait bien baiser cette chienne. Des cris lui firent tourner la tête. Vargas, le commissaire général de Policia Federale, qui etait chargé de l'enquête sur la disparition de la famille Sainclair était en train de défoncer Myriam Sainclair. Debout sur ses talons aiguilles d'ou émergeaient ses jambes gainées de bas résilles. Tenue en laisse par le Federales pendant qu'il la pilonnait comme un fou.

La plus à plaindre était la belle-mère de Myriam. Grand Seigneur Pablo Estevez l'avait donné comme cadeau à ses Sicarios, ses gardes du corps/tueurs à gages. Ils en profitaient pleinement et n'arretaient pas de la baiser comme des fous. Un collier autour du cou, elle devait avancer, tenue en laisse par Guadalupe, qui l'offrait au Sicarios. Annie titubait sur ses sandales à talons aiguilles. La minijupe en latex arrivait à peine au niveau de sa fente. Elle ne portait aucun sous-vêtements pour être plus accessible.

Tirant sur la laisse, Guadalupe entraina Annie vers le Federales qui baisait sa belle-fille. Celle-ci gémissait sans discontinuer , son corps secouée par les coups de pines du flic mexicain. Les cris d'Anais enculée par El Jefe résonnait dans l'hacienda se mélant aux hurlements de sa grand-mère Annie empalée sur la bite d'un sicarios et enculer par un autre....Guadalupe sortit son portable et leurs montra une vidéo. Horrifiées, elles reconnurent Hubert Sainclair, debout sur des talons aiguilles, une perruque de femme sur le crâne, maquillé outrageusement, penché en avant il pompait des bites à la chaine pendant qu'un homme lui défonçait le cul....

Ce que les deux femmes ignoraient pour l'instant c'est que El Jefe avait donner l'ordre qu'elles soient envoyées dans un bordel à Tijuana. Anais, elle, resterait à Ciudad Juarez servant de vides-couilles à Pablo Estevez et ses Sicarios....

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11 Commentaires
cplbicplbiil y a 5 mois

Trés belle histoire, intense cruelle et excitante domination, impossible de s’empêcher d'imaginer ce qu'elles peuvent ressentir sous autant de mapulations d'autorité et de domination...

Vanessatv30Vanessatv30il y a 9 mois

Belle histoire qui fini moyennement bien pour les femelles françaises ! Mais au moins , leurs orifices profitent bien des belles queues mexicaines ...

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Bonjour et encore merci pour cette histoire. Pas de suite ? Car je vois que vous avez publié une nouvelle histoire.

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Quzle tout cela est plaisant et si excitant. Quetout cette grand-mere .......

elkoelkoil y a presque 3 ansAuteur

merci LucasDehi

mais et toi a quand la suite de domination noire ? nous sommes nombreux a attendre et tu reponds pas à mes mail !!! ( pas sympa ) je vais poster une nouvelle histoire bientot ou la aussi il y aura des blacks qui soumettent des blanches....en esperant lire bientot la suite de la domination de la prof et ses filles

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