Soumise, Excitée et Honteuse

SOUMISE, EXCITEE ET HONTEUSE

Allongé sur le lit conjugal, Pierre regarde avec délectation sa femme s'apprêter pour se rendre à l'église. C'est le jour de sa confession hebdomadaire, qu'elle ne manquerait pour rien au monde. C'est là un des triomphes de Pierre : avoir réussi à faire d'elle une salope accomplie qui se plie à tous les désirs des mâles mais honteuse à son corps défendant des jouissances que lui procurent ces saillies imposées, et qui ne peut s'empêcher de se retourner vers la religion de son enfance une fois assouvi le vice qu'il a patiemment solidement inculqué en elle. Elle qui passe la semaine la chatte à l'air sous des jupes qui ne laissent rien ignorer des courbes de son cul plantureux, elle qui est astreinte à obéir à toutes les exigences de ceux à qui son mari la livre, c'est le seul jour où il l'autorise à troquer son porte-jarretelles aguicheur pour de simples bas auto-fixants de femme honnête et à mettre une culotte sous une robe à l'ancienne qui noie ses formes et qui transforme en une apparente épouse des plus convenable la femelle qui, tout au long de la semaine, a mouillé et joui malgré elle et contre toute son éducation sous une bonne dizaine de queues de tout âge. C'est cette épouse respectable qui va s'agenouiller tout à l'heure devant le bon abbé Denisot. Si elle savait que l'abbé est le seul mâle que son mari lui impose d'accueillir les yeux bandés dans le lit conjugal... le seul qui la monte régulièrement deux fois par semaine sans qu'elle ait jamais pu découvrir qui se cachait derrière son anonymat. En la voyant s'apprêter, Pierre ne peut s'empêcher de bander à la pensée qu'entre le moment où elle quittera l'église et celui où elle rentrera à la maison, son complice lui aura téléphoné le compte-rendu fidèle et détaillé de sa confession et de la pénitence qu'il lui aura infligé...

En quête d'absolution

La pècheresse est à présent agenouillée dans le confessionnal.

« Mon Père pardonnez-moi parce que j'ai péché...

-Confessez-vous ma fille... Avez-vous réussi à vous libérer de vos fautes depuis la semaine dernière?

-Je... je n'y arrive pas mon Père... c'est... c'est plus fort que moi... J'ai honte, oh comme j'ai honte! Quand mon mari ramène un homme à la maison, je sais que je devrai leur obéir à tous les deux mais je me jure à chaque fois que je vais tout faire pour ne rien ressentir. Et puis...

-Et puis, ma fille?

-Et puis quand l'homme me touche, qu'il soit doux ou brusque, au bout d'un moment je... j'ai envie malgré moi...

-Quelles que soient se exigences? Même si elles sont contrenature?

-Ou... oui mon Père. Ils peuvent me... me pénétrer comme ils veulent, même... vous savez bien... Je me sens humiliée mais... j'aime ça...

-Vous y repensez parfois, quand vous êtes seule?

-Ou... oui mon Père, et ce qui me fait le plus honte, c'est que... je n'arrête pas d'y penser... Je me sens si vicieuse, si perverse...

-En ce moment par exemple, que ressentez-vous?

-Oh mon Père, pardon, pardon, mais... d'en parler comme ça...

-Le désir revient?

-Ou... oui mon Père, oh oui!

Je ne peux vous absoudre en état de péché, ma fille. Il faut vous débarrasser d'abord de vos pensées impures, et la seule manière d'en venir à bout est de les satisfaire... Relevez votre robe, ma fille, et ôtez votre culotte...

-Ou... oui mon Père... »

Retroussée, elle obéit et, retenant sa robe d'une main, commence à se masturber de l'autre, le doigt tourbillonnant autour de son clitoris. Elle n'a pas le moindre soupçon que l'abbé, soutane lui aussi relevée et slip baissé, l'accompagne dans son branle, ni que demain il la prendra à sa guise dans le lit conjugal après que Pierre lui aura bandé les yeux...

L'abbé s'excite

La queue bien en main, attentif au souffle saccadé qui s'intensifie de l'autre côté du croisillon de bois, l'abbé a entrepris sa masturbation en prenant bien garde de ne pas se trahir. Il est passé maître dans l'art de se contrôler, et s'il sait qu'avec certaines de ses paroissiennes (la femme du notaire par exemple ou celle du contrôleur des finances, deux respectables épouses pour tout un chacun dans la petite ville mais en réalité deux salopes patentées incapables de se passer de bite et qui, une fois par semaine, se rendent à Paris par précaution pour faire la pute), si donc avec il peut avec elles au contraire se laisser aller aux questions et aux commentaires les plus pervers et exiger d'elles les aveux les plus crus, les détails les plus obscènes avant de les finir con et cul dans la sacristie, il a dès le début de leur petit jeu qui le lie à son ami Pierre compris que celui-ci ne plaisantait pas quand il lui disait que s'il avait fait de sa femme une femelle constamment en chaleur, l'éducation religieuse qu'elle avait reçue des sœurs de la Trinité éveillait régulièrement en elle après chaque saillie des remords avec lesquels il ne fallait pas plaisanter. Des remords qu'il s'agissait au contraire d'entretenir...

Pour l'instant, la pénitente est proche de la jouissance. A entendre le clapotement assourdi de sa mouille, il devine que ses doigts s'accélèrent entre ses cuisses écartées. Un gémissement étouffé lui parvient. Dans un dernier effort sur lui-même, il gicle en parvenant à garder le silence, avant de reprendre son souffle et de demander :

« Êtes-vous à maintenant libérée de vos démons, ma fille?

-Ou... oui mon Père...

-C'est bien ma fille, je peux à présent vous absoudre... »

Et il lui lance pour finir cette flèche pour la renvoyer à sa honte :

« Remettez votre culotte, votre tenue est indécente! »