Bourgeoises Rééduquées : Partie 08

BÊTA PUBLIQUE

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— Comment allez-vous, Madame?

— Bien Monsieur... Oh! je suis désolé, je ne me souviens pas de votre nom.

— Didier, appelez-moi simplement Didier!

— Bonjour Didier alors! Excusez-moi, mais je dois aller chercher les enfants de ma fille à l'école.

C'est alors que je vois Rachel revenir de l'université. Je me dis que l'occasion fait le larron. Je demande alors avec une voix suave :

— Voudriez-vous venir prendre un café chez moi, Madame? Je vois Rachel, la baby-sitter de votre fille qui arrive. Elle ira chercher les enfants, les fera goûter et les aidera pour leurs devoirs.

Je fixe la jeune fille qui dit, bientôt :

— Oui ne vous inquiétez pas Madame, ils m'aiment bien. Je vais aller les chercher.

Sur ces mots Rachel fait demi-tour et repart dans la rue.

— Bon alors j'accepte votre invitation.

Je l'invite à entrer dans l'ascenseur pour monter à mon appartement. Arrivé chez moi, je lui propose de prendre sa veste et de s'asseoir sur le canapé. C'est bien le parfait sosie de sa fille. Elle a la même chevelure, je me dis qu'elle doit se teindre. Ses seins ont l'air plus gros et plus lourds. Ils remplissent totalement le soutien-gorge qui pousse le fin tissu du chemisier. Je me dis que si elle éternue, les boutons vont craquer tellement ils sont tendus. Elle porte une jupe qui descend juste au-dessous des genoux. Vu la saison, elle n'a ni bas et ni collants. Ces mollets sont bien ciselés, sûrement dû au port de hauts talons. Alors qu'elle regarde la décoration de mon appartement, je m'éclipse à la cuisine pour préparer le café. Je crie alors :

— Je vais faire du café, ne vous impatientez pas!

— Merci Didier! Dites-moi, vous connaissez ma fille et mon gendre depuis longtemps?

— Je les rencontre parfois. Moins votre gendre, il est souvent absent. Votre fille a l'air très occupée aussi.

Je reviens dans mon salon avec un plateau, deux tasses, une cafetière, une sucrière et deux cuillères. Je pose le tout sur la table basse et verse du café dans une tasse. Je l'entends dire :

— Oui effectivement, Charlotte travaille trop et en plus elle s'occupe de l'intendance. Son mari étant trop absent, il n'a pas le temps de s'occuper d'elle et des enfants.

— Excusez-moi, mais je vous sens amer. Le couple n'irait plus très bien?

— Oh je croyais jusque-là qu'ils s'aimaient. Mais ma fille m'a paru bizarre dernièrement, gênée, mais plus épanouie, plus femme. Je me demande si elle n'a pas rencontré quelqu'un. Mais excusez-moi, je vous ennuie avec mes affaires.

Je sens que si je la pousse un peu, elle va me faire plus de confidences. Je prends ma voix persuasive et en lui tendant la tasse je dis :

— Ça ne me dérange pas! Je suis célibataire et je ne connais pas les problèmes que peut avoir un couple.

— Oh, un bel homme comme vous n'a pas trouvé chaussure à son pied? C'est dommage. Pour en revenir à ma fille, je la connais bien, c'est une parfaite réplique de moi-même. Je suis persuadée qu'elle trompe son mari. Et je suis heureuse pour elle.

— Vous approuvez l'adultère?

— Oh vous savez, une femme se flétrit si elle n'a pas un homme pour lui donner du plaisir.

Elle continue à parler, plongée dans ses pensées, sans se rendre compte qu'elle se livre à un étranger. Elle pose sa tasse et je m'assois à côté d'elle sur le canapé en la laissant continuer :

— Une femme ne vit pas d'amour et d'eau fraîche, elle a besoin d'assouvir des besoins sexuels. Et elle ne peut le faire seule, elle a besoin d'une bonne grosse bite en elle pour se sentir vivante.

C'est alors que je prends sa main et la pose sur mon entrejambe où pointe une bosse.

— Comme celle-là, vous voulez dire?

Elle semble se réveiller d'un rêve. Elle veut retirer sa main, mais je la tiens solidement. Elle est effarée par ce qu'elle vient de dire.

— Oh excusez-moi Didier, je ne pensais pas ce...

Je l'interromps :

— Voyons Madame, nous savons très bien que vous pensiez tout ce que vous avez dit.

Elle rougit. Je prends ma voix autoritaire :

-- Dites-moi depuis combien de temps n'avez-vous pas vu de bites?

Elle rougit encore plus, elle baisse les yeux et bégaie :

-- Euhhh non... Euhhh... cinq ans!

— Et pensez-vous être décrépite au point de rester abstinente? Vous allez passer le reste de votre vie à vous rappeler ce qu'est une bonne bite dans votre chatte? Vous morfondre dans votre lit sans plus jamais éprouver de plaisir?

Je la laisse réfléchir tout en tenant sa main sur la bosse de mon pantalon. Je la sens appuyer un peu, fermer légèrement la main pour mieux sentir. Je sais que c'est gagné.

— Allez, ouvrez ma braguette et sortez ma queue, je sais que vous en avez envie!

Hésitante, sa main monte au premier bouton de ma braguette. Elle y joint bientôt sa deuxième main. Après avoir tout déboutonné, elle va pêcher délicatement mon sexe qui ne demande qu'à être libéré. Quand il est sorti, bien droit, elle le tient dans sa main et le regarde comme une apparition. Elle ne sait trop que faire alors je l'aide :

— Il ne va pas vous mordre : allez, sucez!

Elle hésite une nouvelle fois, mais se penche et ouvre la bouche. Elle avale ma bite et commence à la sucer. Puis elle s'arrête et lèche le gland tout en branlant la hampe, et elle recommence à me sucer. Elle n'est pas seulement experte, mais elle semble aussi affamée.

Comme elle est presque allongée sur moi, je pose une main sur sa jupe que je relève lentement. Mon autre main se faufile sous elle et déboutonne son chemisier. Elle continue docilement sa fellation. Sa jupe relevée, je vois qu'elle a une petite culotte toute fine et non pas la gaine que l'on pourrait attendre chez une personne de cet âge. Je lui caresse les fesses et je l'entends gémir sur mon membre. Je parie qu'elle mouille. Ma main s'engage sous sa culotte et glisse le long de sa raie. Je suis étonné, aucun poil! Après cinq ans sans avoir été baisée, elle fait quand même attention à elle et se tient prête.

Elle s'active sur ma bite. Je dois la ralentir sinon je vais jouir trop vite.

— Attendez Madame de Cuise!

Je lui retire mon membre de sa bouche et je sors du canapé. Je l'aide à se lever. Son regard est fixé sur ma virilité bien droite. Je lui laisse la prendre dans une main pour me branler, pendant que je la déshabille. Je lui ôte son chemisier, puis son soutien-gorge. Sa poitrine est magnifique même si elle tombe un peu. Je caresse ses seins et pince ses mamelons. Elle gémit, le bonheur s'affichant sur son visage. Il n'y a pas à dire, telle mère, telle fille, deux belles rousses avec de gros atouts.

Je lui fais lâcher ma bite, je la tourne et je la fais se pencher sur le canapé et écarter les jambes. Puis sans avertissement, je plonge ma queue dans sa chatte. Elle est tellement humide que ça rentre tout seul. La mère de Charlotte pousse un long gémissement avant de dire :

— Oh ouiiiii!

Je change alors de manières pour voir comment elle va réagir :

— Alors vieille salope, tu aimes ça? Une bite dans ta vieille chatte, c'est trop bon n'est-ce pas?

Je retire lentement mon sexe jusqu'à ce qu'il soit entièrement sorti. Puis je le replonge brutalement dans l'antre chaud.

— OOOOhhhhhhhh! Oh oui j'aime ça! Encore s'il vous plaît!

— Eh bien, qui aurait pensé qu'une vieille snob comme toi serait aussi chaudasse? Tu veux être baisée? Supplie-moi!

Et je retire ma queue de sa chatte.

— Oui s'il vous plaît monsieur Didier, baisez-moi! S'il vous plaît, remettez votre queue en moi, je la veux, s'il vous plaît.

Elle a vraiment l'air désespérée. Je replonge mon membre dans son ventre et elle a son premier orgasme. Je vois son corps trembler. Elle pousse un long gémissement de plaisir. Sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, je commence à la pilonner avec force. Je sens qu'il s'agit d'une femme avec qui on se doit d'être brutal. Je lui claque les fesses tout en la baisant.

— Vieille salope, tu aimes ça! Ton gros cul aime être fessé non? Et tu sais que tu as vraiment de grosses mamelles de vache! Tu voulais de la queue, en voilà!

Elle a alors son deuxième orgasme. Je sens qu'elle commence à être épuisée. Il ne faudrait pas qu'elle ait une crise cardiaque. Tout en la tenant par les hanches, j'accélère le rythme et bientôt je gicle au plus profond de sa chatte. Quand je retire ma bite et que je la lâche, elle s'écroule sur le canapé. Un sourire de pur plaisir s'étale sur son visage.

— Viens nettoyer ma bite! Ordonné-je.

Elle se relève lentement et s'agenouille devant moi. Puis elle me lèche consciencieusement le sexe et les couilles. Il n'y a pas à dire, elle a de l'expérience.

Je range mon attirail, puis la laisse lentement se rhabiller. Ses gestes sont lents, elle n'a plus de force la mamie. Les deux orgasmes l'ont laissé sans énergie. Mais finalement, complètement habillée, elle se dirige vers la porte pour sortir. Mais avant elle se tourne et dit :

— Vous ne direz rien à Charlotte n'est-ce pas?

Je prends mon sourire le plus énigmatique et je réponds :

— Je verrais!

Elle rougit et sort de chez moi en se demandant ce qui vient de lui arriver.

Le lendemain matin, en ce beau mercredi d'automne, je décide de passer voir Natacha après son cours de catéchisme. Il faut que je m'occupe sérieusement d'elle. Alain m'a raconté ce qu'il s'est passé le week-end. Il m'assure que c'est une vraie salope qui ne demande qu'à être baisée. Je m'en doutais un peu. Ce n'est pas son mari toujours absent qui peut la satisfaire. Je vais bien la dresser, je veux qu'elle soit à ma botte.

Je passe voir le père Sylvain auparavant pour lui dire que je vais l'aider à ranger. Malgré son étonnement, je pense que je serais tranquille. Je rejoins la salle où Natacha donne ses cours, entre et dit :

— Bonjour Salope!

Natacha se retourne, étonnée. Je ferme la porte et lui dit :

— On ne sera pas dérangé. Je viens de dire au père Sylvain que je venais te donner un coup de main.

Elle est étonnée. Je prends un air sévère et me place devant elle. Je tends ma main et dit :

— Ta culotte...

Elle n'hésite pas, elle baisse les yeux, rougit et en tremblant elle trousse sa robe. Bientôt elle me tend son string. C'est bien une salope, elle porte des sous-vêtements sexy et sa chatte est bien entretenue. Elle a besoin qu'un ou plusieurs hommes s'occupent d'elle. Je luis dis alors :

— Alain avait bien raison, tu es une vraie salope sous tes airs de Sainte-Nitouche... Qui t'a autorisé à redescendre ta robe... Et écarte les cuisses.

Elle m'obéit. Sans douceur, je pose ma main sur sa chatte et entre un doigt dans son sexe. Je le fais entrer et sortir. Elle mouille déjà. Je sors mon doigt et lui passe sous le nez en disant :

— Sens ton odeur de femelle en chaleur...

Je caresse ses lèvres avec mon doigt, puis j'essaie de le faire pénétrer dans sa bouche fermée. Elle résiste une demi-seconde avant de l'aspirer et bien le lécher.

— Suceuse aussi, comme Alain me l'a dit.

Je veux l'humilier, la rendre plus malléable, lui faire comprendre que nous n'avons pas de secrets entre amis. Je la vois refouler un sanglot, mais elle ne fait pas mine de s'enfuir comme le ferait une femme normale. Je descends alors ma braguette et je sors ma bite.

— Montre-moi alors!

Tout de suite elle s'agenouille. Elle avale ma bite et fait rouler sa langue autour. Mais c'est moi qui mène la danse. J'agrippe ses cheveux blonds et tire sa tête sur mon sexe. Elle a un haut-le-cœur. Je la regarde et recommence. Ma bite durcit dans la chaleur humide de sa bouche. Elle est bientôt bien raide. Je retire alors mon sexe. Elle me regarde sans comprendre.

— Allonge-toi sur la table, et attrape tes genoux avec tes mains...

Elle se retrouve allongée, ses mains écartant ses genoux, sa robe sur la tête. Je veux qu'elle sache ce qu'elle est vraiment. Je fouille dans une boîte contenant des crayons et en sors un marqueur indélébile. C'est très bien ça! Je dessine alors un grand S sur sa chatte glabre et je commente.

— Comme cela! Tout le monde saura ce qu'il en est de toi.

Je prends son téléphone portable qui est sur la table. J'ai de la chance il n'est pas verrouillé. Je prends une photo de sa chatte que j'envoie à Alain avec ce commentaire : « S : salope, suceuse, soumise » et je me l'envoie sur un téléphone dont je me sers peu souvent.

Puis je soulève son cul avec mes mains et sans avertissement je l'encule. Je force sur son petit trou qui cède rapidement. Elle crie de douleur, mais je m'en fous. Alain avait raison, son cul est vraiment confortable. Sans me soucier de ses gémissements, je martèle son cul avec force. Puis, après un dernier coup de reins bien appuyé, j'éjacule dans ses intestins.

Je me retire, lui ordonne de se mettre à genoux et je lui présente mon sexe. Elle tourne la tête de dégoût, alors je la gifle violemment. Il est hors de question qu'elle ne m'obéisse pas.

— Tu dois me nettoyer... Je sais que tu ne l'as pas fait avec Alain, mais avec moi, tu le fais...

Alors que je lève la main pour lui donner une autre claque, elle dit brisée :

— Oui Monsieur!

Elle engouffre ma bite qui sort de son cul et la nettoie. Elle fronce le nez de dégoût et s'applique laborieusement. Elle pleure. Il va falloir t'y faire ma fille, pensé-je. Quand enfin elle a fini, je range mon sexe, je la fais se relever et je lui mets une grosse claque sur son cul en disant :

— À bientôt, il y a du boulot...

La bouche ouverte, elle me regarde sortir.

Je rentre à mon appartement, prend une feuille est une enveloppe. j'écris un mot puis je descends l'enveloppe à Albert en lui demandant de le porter le lendemain tôt chez Natacha.

Le lendemain matin, je décide de passer à l'improviste à l'agence de Charlotte. Quand j'entre dans la boutique, je trouve à l'accueil Charlotte en train de parler à une très belle femme et Adeline qui tout de suite me regarde avec des yeux de tueurs. Je ne m'occupe pas de la jeune fille alors que Charlotte nous présente :

— Gabriela, une future partenaire! Monsieur Didier, un client important!

— Enchantée! me dit-elle. J'espère que nous pourrons faire affaire ensemble?

Je la regarde de haut en bas, cette belle Brésilienne est à manger. Elle a tout ce qu'il faut et où il faut. Sa peau est dorée, ses seins bien ronds et sa croupe parfaite pour une fessée. C'est alors que Charlotte me sort de ma rêverie.

— Si vous voulez bien me suivre, Monsieur! Je suis toute à votre disposition.

Elle laisse sa future partenaire avec son employée qui n'arrête pas de me fusiller du regard. Je crois vraiment qu'elle ne m'aime pas. Je suis ma belle soumise rousse dans son bureau que je ferme après être entré. Charlotte se met déjà en position, nue.

Je tourne autour d'elle et je joue avec le plug. Je le sors et je le remets. Charlotte grimace et gémit. Toujours sans un mot, je me place en face d'elle et brutalement j'enfonce sa chatte avec trois doigts. Bien sûr elle est déjà bien humide. Je sais qu'elle mouille dès qu'elle me voit ma petite chienne rousse. Avec mon pouce je titille son clitoris. Je m'amuse de la voir reprendre sa respiration et de faire son possible pour se retenir de jouir. En bon salaud, je continue mon manège un bon moment. Je la vois trembler et plier ses genoux. Si je continue, elle ne pourra se retenir et elle aura un orgasme. Mais je garde ça pour un autre jour. Je retire ma main. Je l'entends alors dire :

— Monsieur Didier, enculez-moi, s'il vous plaît!

Je souris alors en la regardant. C'est trop simple. Je vais m'asseoir toujours sans un mot dans son fauteuil. Les larmes aux yeux, elle me rejoint à quatre pattes pour me sucer. Elle va bientôt devenir aussi experte que sa mère. J'éjacule dans sa bouche et elle avale avant de bien nettoyer ma bite.

Je me lève et me dirige vers la porte. Avant de partir, je lui dis :

— Je t'ai demandé de me supplier...

Je ferme la porte derrière, et sors de l'agence, sans avoir oublié de faire un grand sourire hypocrite à Adeline.

Je dois rentrer à mon appartement pour préparer quelques affaires. Je vais passer quatre jours au haras de Philippe. Il a une nouvelle secrétaire, Agnès, qu'il a amenée le week-end dernier au barbecue. Il voudrait que je l'aide à la faire tomber dans ses filets. Je reviendrai mardi et je verrai dans quel état d'esprit seront mes deux petites chiennes, Charlotte et Natacha. Je crois qu'une longue absence de ma part va les obliger à se poser des questions.

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