Bourgeoises Rééduquées : Partie 08

Informations sur Récit
Où Monsieur Didier ne se contente pas que de Charlotte.
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Partie 8 de la série de 12 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 06/13/2020
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Cette histoire est le fruit d'une collaboration épistolaire avec Trouchard. Chaque personnage raconte son point de vue, de ce fait certaines situations peuvent être répétées selon le ressenti de chaque personnage.

_______________________________________________________________

Confidences

Charlotte

Ce lundi matin, en me préparant, je profite de ce que ma mère soit toujours là pour prendre mon temps sous la douche. Je me savonne partout et je prends le temps de m'épiler. Monsieur Didier m'a dit qu'il pourrait passer n'importe quand, je ne veux pas risquer qu'il me surprenne alors que je ne suis pas aussi bien parée qu'il le souhaite.

Je réalise que je suis en train de tomber amoureuse de cet homme qui m'impose des choses que je refuserai à mon mari. Que m'arrive-t-il? Je ne me reconnais pas. Où est passée la Charlotte sûre d'elle et totalement indépendante des hommes?

Dans la chambre, je sors le plug de mes culottes et je me l'enfile. J'ai remarqué qu'une fois en place, il ne risque pas de quitter sa place, aussi je ne mets pas de culotte sous ma jupe droite. Je décide de prendre ma voiture. Prendre les transports en commun avec le plug dans mes fesses me semble impossible.

Avant de partir, j'embrasse ma mère et les enfants et je prends le chemin de l'agence. J'aurais dû m'y attendre, mais Monsieur Didier ne passe pas. Une part de mon espérait sa visite.

Quand je me couche le soir, c'est un peu dépitée que je m'endors. Après avoir passé deux jours intenses avec lui, je ressens son absence, bien plus que celle de mon mari.

C'est pour cela que lorsqu'il entre en claquant la porte de mon bureau ce mardi que je réponds sèchement à Adeline. J'irai peut-être m'excuser auprès d'elle ensuite.

Je me déshabille immédiatement et prends la pose. Il joue un peu avec le plug qui me perturbe de moins en moins.

Avec fierté, je lui annonce que je n'ai pas joui depuis ce week-end, aussi quand il me demande si je veux son sexe en moi, j'accepte avec plaisir.

En lui disant : où vous voulez, Monsieur! J'espère qu'il va me baiser. Hélas! Il me demande de le sucer. Bien entendu, je m'applique et je lui offre ma meilleure fellation. Je l'avale sans rechigner et je lui montre ma bouche vide.

Avant de partir, il me lance :

— Si un jour tu ne veux plus avoir à mettre le plug, viens me supplier de t'enculer!

Je réalise avec horreur qu'Adeline se trouve derrière la porte. A-t-elle entendu ce qu'il m'a dit. En tout cas, elle n'en laisse rien paraître. Même si elle me dit que ce client est des plus étranges.

Je profite de ce que ma mère est présente pour travailler plus longtemps à l'agence. Nous passons la soirée à discuter de la situation d'Élisabeth et d'un coup, elle me dit qu'elle me félicite d'avoir choisi Rachel comme baby-sitter.

— Tu n'es pas allée chercher les enfants à l'école?

— Oh non! Au moment où je sortais, j'ai croisé ton voisin qui rentrait, il m'a proposé de venir prendre un café chez lui. Et Rachel, qui rentrait de ses cours à ce moment, m'a dit d'y aller, elle irait chercher les petits. Après le café, elle avait fait leurs devoirs avec eux... C'est une perle cette petite!

Monsieur Didier a invité maman à venir boire le café, ce n'est pas possible! Je suis en panique, mais je le cache. Je suis presque soulagée quand ma mère me dit qu'elle rentrera en Normandie le lendemain. D'une part parce qu'elle sera loin de Monsieur Didier, d'autre part car François rentre et que je n'aime pas faire l'amour quand mes parents sont dans la même maison que nous. Et, lorsqu'il revient, François me fait toujours l'amour. Cette fois-ci cela sera-t-il différent, pour lui comme pour moi?

Seule dans mon lit, je cherche un indice de ce qui a pu se passer chez Monsieur Didier. Il me semble avoir vu ses yeux briller quand elle en parlait, mais je n'ai rien pu savoir de plus. Qu'a-t-elle pu découvrir de lui?

Les enfants sont ravis de retrouver leur père, il passe du temps avec eux, mais je le vois préoccupé. L'accident à l'usine a dû être bien plus grave que ce qui a été annoncé dans les journaux. Je ne l'ai jamais vu aussi abattu.

Quand les enfants sont couchés, je me dis que je dois prendre les choses en main. Lorsque j'arrive dans la chambre, j'ai enfilé une petite nuisette transparente noire qu'il m'avait offerte quelques mois après notre mariage. Je marche vers lui sensuellement. Il lève les yeux et me sourit. Il me tend la main. Aurais-je réveillé de l'envie chez François?

Il m'attire contre lui. Je passe ma main sur son torse. Je sens la sienne glisser sur mes fesses. Il me caresse. J'embrasse sa peau doucement et descends ma bouche vers son sexe que je sors de son caleçon. Je ne peux m'empêcher de faire la comparaison avec celui de Monsieur Didier. Je le masturbe un peu, si je ne peux pas affirmer que celui de Monsieur Didier est plus gros ou plus grand, en revanche, il est plus dur. On dirait un vrai pieu contrairement à celui de mon mari qui reste un peu souple.

Je le branle un peu avant de le prendre entre mes lèvres. Il durcit à peine plus et il me retourne alors sur le dos pour me pénétrer. Après quelques va-et-vient et un grognement, il jouit en moi. Je fais semblant de jouir et je vais me rincer rapidement. Décidément, me fera-t-il jouir de nouveau? J'en suis de moins en moins persuadée.

Ce jeudi matin à l'agence, j'ajuste ma robe avec mon plug entre les fesses. Je reçois la visite d'un futur partenaire brésilien. Cette année s'annonce bien, d'ici quelques mois, je vais peut-être avoir deux nouvelles agences, une à Dubaï et une à Sao Paulo. La discussion est cordiale et ouverte. L'enthousiasme de Gabriela, la représentante du voyagiste brésilien, est contagieux. Aussi quand Monsieur Didier apparaît dans l'agence, nous sommes encore en train de rire ensemble.

— Gabriela, une future partenaire! Monsieur Didier, un client important!

— Enchantée! lui dit-elle. J'espère que nous pourrons faire affaire ensemble?

Je vois au regard de Monsieur Didier que les formes de Gabriela ne le laissent pas de marbre.

— Si vous voulez bien me suivre, Monsieur! Je suis toute à votre disposition.

Je laisse Adeline voir avec Gabriela les derniers détails de notre accord de collaboration pour m'enfermer avec Monsieur Didier.

Dès la porte fermée, je me mets nue en position.

Il passe derrière moi et il joue à faire entrer et sortir le plug de mon cul. Je grimace et gémis, puis il vient devant moi toujours silencieux. Il pénètre ma chatte avec trois doigts. Je gémis quand il les remue et que son pouce appuie sur mon clitoris. Je n'ai toujours pas l'autorisation de jouir. Je respire profondément. Il continue longtemps, comme dimanche après-midi. Je tremble. Je flageole sur mes jambes, je tremble puis il s'arrête. Je souffle.

Ma décision est prise.

— Monsieur Didier, enculez-moi, s'il vous plaît!

Il me regarde, il sourit et il va s'installer dans mon fauteuil.

J'en ai les larmes aux yeux. Je viens à genoux entre ses cuisses et je le suce. Il gicle dans ma bouche. Je l'avale.

Il se relève et il me dit :

— Je t'ai demandé de me supplier...

Il sort et referme la porte. Nue, à genoux sur le sol de mon bureau, je pleure. Je ne sais plus que penser. Heureusement que ce soir, je vais au sport avec Natacha, peut-être que je pourrais lui parler de ce que je vis, de mon trouble.

Avant d'arriver à la salle de sport, c'est Natacha qui me surprend.

—Charlotte! me dit-elle sur le chemin. J'ai un amant...

Cette nouvelle me surprend tellement que je m'arrête. Je la regarde incrédule.

— Toi! Un amant... Mais Pierre-Henri? Tu ne l'aimes plus?

— Oh si! Mais c'est bien plus compliqué que cela...

Au lieu de nous rendre à la salle de sport, nous décidons de nous arrêter dans une brasserie pour discuter.

Je lui demande comment elle en est arrivée à avoir un amant.

Elle me raconte alors qu'un jour, elle a croisé un homme qui l'a conduite à réfléchir sur sa vie, sur son avenir. Son mari est souvent absent, elle est seule avec ses enfants, vit-elle pour elle ou pour ses enfants? Elle devrait profiter de la vie.

Depuis cette rencontre, elle a beaucoup réfléchi et récemment, elle a croisé un homme qui l'a troublée. Elle a cédé à ses avances et depuis elle se sent enfin une femme, plus une mère ou une épouse, mais une femme.

Elle me demande ce que j'en pense.

Je me garde bien de la juger.

— Si tu es heureuse comme cela, c'est parfait. C'est même l'idéal...

J'hésite un peu avant d'ajouter :

— Tu sais! Moi aussi depuis quelque temps, je vis quelque chose d'étrange et merveilleux avec un homme...

— Toi aussi?

— Oui, je ne sais comment qualifier notre relation, mais si ce n'est pas de l'amour, c'est quelque chose qui en est très proche. J'accepte de faire avec lui des choses que je ne ferai jamais avec mon mari...

— Oui moi c'est pareil... me dit Natacha.

Je la vois rougir, je sens qu'elle veut me dire quelque chose, mais elle n'ose pas.

— Que veux-tu me dire? Tu peux tout me dire, tu sais que ton secret est en sécurité avec moi...

Elle regarde partout et approche sa bouche de mon oreille et elle me chuchote :

— Il m'a enculée... et j'ai adoré...

Je ne dis rien. J'imagine Natacha à quatre pattes, ses petites fesses fermes occupées par un sexe masculin. L'idée me fait rougir.

— Ne rougit pas... C'était divin! Tu as déjà essayé?

— Non! Mais je ne sais pas comment amener mon amant à me le faire, car j'en ai envie aussi.

Nous rigolons ensemble et c'est encore plus complice qu'avant que nous rentrions chacune chez nous. Retrouver nos maris qui ne se doutent de rien.

******

Natacha

La maison est vide, il n'y a plus de bruit. Baptiste dort et je viens de finir le ménage. Je me pose sur le canapé. Monsieur Didier avait bien raison samedi. Pourquoi fais-je tout cela? Pour qui suis-je en train de vivre?

Oui! Samedi soir, j'ai trompé mon mari avec Alain. Oui! Hier matin, j'ai léché Virginie. Et, dans les deux cas, j'ai aimé ce que je faisais. Il n'en saura jamais rien et cela ne risque pas d'arriver. Monsieur Didier a raison, je dois aussi penser à moi.

Il m'a dit qu'il viendrait faire mon éducation, si c'est de cela qu'il parle, je suis partante. Je veux bien qu'il m'éduque pour que j'apprenne à vivre pour moi et mon plaisir.

Grâce à ces pensées, mes journées me sembleront bien moins monotones, mais il faut bien que je me l'avoue avec cinq enfants, cela ne va pas être simple.

Je pense toujours à cela le mardi après-midi au presbytère quand je suis seule pour préparer la salle du lendemain. Va-t-il surgir à l'improviste comme la semaine dernière en me surprenant en train d'allaiter mon bébé. Je fais même exprès de prendre mon temps pour cela, mais personne ne passe.

Aussi le mercredi, alors que je range après ma séance de catéchisme, je sursaute quand une voix m'interpelle :

— Bonjour Salope!

Je me retourne, surprise par les mots utilisés. "Salope." Qui peut bien oser m'appeler ainsi? C'est alors que je le vois à la porte. Monsieur Didier est là.

Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, il entre et referme la porte.

— On ne sera pas dérangé. Je viens de dire au père Sylvain que je venais te donner un coup de main.

Je le regarde, étonnée. Pourquoi veut-il m'aider?

Il est maintenant devant moi. Il me toise. Je devrais appeler à l'aide, mais il me subjugue. Autant d'assurances m'impressionnent. Il tend alors sa main.

— Ta culotte...

Je baisse les yeux et en tremblant, je retrousse ma robe et je fais glisser mon string. Rouge de honte, je lui tends mon string de coton noir. Il le regarde en souriant vicieusement.

— Alain avait bien raison, tu es une vraie salope sous tes airs de Sainte-Nitouche... Qui t'a autorisé à redescendre ta robe... Et écarte les cuisses

Je m'arrête et remonte à nouveau ma robe sur mes hanches en écartant les cuisses. Il avance sa main et je sens un doigt entrer en moi. Je me cambre un peu. Il fait entrer et sortir son doigt en moi avant de me le passer sous le nez.

— Sens ton odeur de femelle en chaleur...

Il caresse mes lèvres avec ce doigt qu'il cherche à faire pénétrer dans ma bouche, il finit par entrer. Je commence à le lécher, à l'aspirer, le téter.

— Suceuse aussi, comme Alain me l'a dit.

Je me sens humiliée, ainsi Alain a raconté ce que nous avions fait à cet homme. Je retiens mes larmes, mais j'aime ce que je suis en train de vivre. Je le vois alors ouvrir son pantalon et sortir son sexe.

— Montre-moi! Alors!

Je comprends ce que je dois faire, et je m'agenouille devant lui. Je le prends entre mes lèvres pour lui prodiguer une caresse buccale comme j'ai pu le faire avec Alain. Il m'attrape par les cheveux et il guide mes mouvements. Il veut forcer ma bouche, mais je hoquette et recule. Il ne dit rien et recommence. Je le sens durcir dans ma bouche. Il est maintenant bien raide. Je me prépare à le recevoir dans ma bouche quand il se retire.

Je relève les yeux, intriguée.

— Allonge-toi sur la table, et attrape tes genoux avec tes mains...

Je prends la pose, de ce fait, ma robe me retombe sur le visage et je ne vois plus ce qu'il fait. Je l'entends fouiller dans la boîte où se trouvent les crayons. Puis je sens qu'il écrit quelque chose sur mon pubis lisse, une lettre.

— Comme cela! Tout le monde saura ce qu'il en est de toi.

Puis, je le sens soulever mes reins avec ses mains et d'un coup, je sens son sexe forcer mon petit anneau.

Je crie de douleur. Cela ne semble pas l'émouvoir et il entre plus profondément dans mon cul. Je gémis, il commence à me pilonner en puissance. Je gémis. J'ai mal. Cette pénétration est moins agréable que celle que j'ai vécue avec Alain.

Enfin, il s'enfonce une dernière fois en moi et je le sens se répandre dans mon cul. Il se retire et me demande de me remettre à genoux. Il approche à nouveau son sexe de mon visage. Je tourne la tête. Il me gifle.

— Tu dois me nettoyer... Je sais que tu ne l'as pas fait avec Alain, mais avec moi, tu le fais...

Je vois alors sa main se lever une nouvelle fois.

— Oui Monsieur!

J'ouvre la bouche et nettoie cette queue qui sort de mon cul. Cela me donne envie de vomir, plus en raison de ce que j'imagine que de ce que je lèche. Je finis laborieusement et il se rhabille. Il me fait me relever. Je suis en larmes. Il me donne une claque sur les fesses en me disant :

— À bientôt, il y a du boulot...

Hébétée, je regarde la porte fermée. Il a emporté mon string, je vais devoir rentrer fesses nues sous ma robe. Heureusement qu'elle est longue.

Je m'aperçois que mon téléphone est posé sur la table où Monsieur Didier m'a enculée, une photo affichée. Je soulève ma robe. Je découvre qu'il m'a écrit un "S" sur mon pubis avec un marqueur noir. Comment vais-je cacher cela à Pierre-Henri? Je sais pour m'en mettre parfois sur les mains que cette encre est dure à enlever et reste parfois quelques jours malgré le savon.

En prenant mon téléphone, je m'aperçois qu'il a envoyé cette photo à un numéro que je ne connais pas et à Alain avec pour légende, "S : salope, suceuse, soumise". Je m'empresse d'effacer la photo et le message

Je me maudis de ne pas avoir écouté mes amies qui me disait de mettre un code de verrouillage sur mon écran. Mais jamais, j'ai jugé utile de le faire. C'est trop tard maintenant.

De retour à la maison, je prends une longue douche pour essayer de faire disparaître cette marque, ce soir, je dormirai en culotte et je prétexterai un mal de tête.

Le lendemain, au milieu de la matinée, Albert frappe à la porte.

— Bonjour Madame Rivière!

— Bonjour, Albert, qu'est-ce qui t'amène?

— Monsieur Didier m'a donné cette enveloppe pour vous. Il m'a dit que c'est en lien avec le catéchisme.

— Merci Albert!

Je prends l'enveloppe et je l'ouvre après le départ d'Albert. Je blêmis.

"Je veux que pour onze heures, tu aies envoyé une photo de toi intégralement nue face au miroir avec le S bien visible aux mêmes numéros qu'hier."

C'est impossible, je n'ai plus le numéro. J'ai tout effacé. Comment faire? Je panique.

Malgré tout, je me mets nue dans la salle de bain et je me regarde dans la glace. Avec la douche, j'ai réussi à presque faire disparaître le "S". Honteuse et humiliée, je prends alors du rouge à lèvres pour le retracer, et je prends la photo. Quelques minutes avant onze heures, je reçois un message du numéro inconnu : "J'attends!"

Soulagée, j'ai enfin le numéro. Je m'empresse d'envoyer ma photo et à onze heures moins une, je reçois les deux accusés de réception.

Cela ne me soulage pas, car que va-t-il me demander ensuite? Comment vais-je pouvoir garder cela pour moi?

Heureusement, ce soir, je vois Charlotte. Je pourrais peut-être lui en parler. Je passe l'après-midi à y réfléchir. Et quand nous sommes sur le chemin de la salle de sport, je prends mon courage à deux mains et je me lance :

—Charlotte! J'ai un amant...

Je comprends sa surprise, mais elle m'avoue qu'elle aussi vit une relation particulière avec un autre homme que son mari. La séance de sport se transforme en confidences autour d'un mojito géant.

Une complicité nouvelle vient de naître entre nous.

*******

Didier

Nous sommes mardi. Je pense que le mari de Charlotte va bientôt revenir. Et il faut que je voie si elle respecte mes instructions. Je décide alors que je passerai à l'agence quand nous aurons fini.

Plus tard, me voilà devant l'agence de voyages de Charlotte. J'entre et je vois son employée me regarder et attendre que je lui dise ce que je veux. Je ne sais pas, mais sur l'instant elle ne me plaît pas. Sans un mot, j'avance et prends le couloir pour atteindre le bureau de Charlotte. La fille se lève et me poursuit. Je me dépêche d'entrer dans le bureau et je claque la porte au nez de l'employée. Charlotte lève le nez de ses dossiers, surprise par mon entrée en trombe.

— Toc toc, Madame de Villaret, ça va? dit Adeline en toquant à la porte que je viens de verrouiller.

— Oui Adeline ça va! Laissez-nous! crie Charlotte.

La jeune fille semble s'en aller. Je dis simplement :

—Inspection!

-- Oui Monsieur! dit Charlotte avant de se lever de son bureau, le contourner et se mettre au milieu de la pièce.

Pendant que je vais m'asseoir à sa place, elle se déshabille et se met dans sa position habituelle.

— Tourne-toi et baisse-toi!

Elle m'obéit et je vois que le plug est bien en place. Je suppose qu'elle doit s'y habituer.

— As-tu joui depuis dimanche?

— Oh non, Monsieur!

— Viens sur mes genoux!

Elle se dépêche et bientôt j'ai ses seins dans mes mains. Je les pétris sans douceur, puis je tire sur ses mamelons avant de les tordre. Charlotte grimace et pousse des petits cris de douleur. Je descends une main à son entrejambe et glisse un doigt dans sa petite fente. Bien sûr elle mouille.

— Encore excitée salope?

— Oui Monsieur!

— Tu veux ma bite?

— Oui Monsieur s'il vous plaît!

— Où?

— Où vous le désirez, Monsieur!

— Bien! Suce-moi!

Elle se lève de mes genoux et se penche pour défaire ma braguette. Après avoir sorti ma bite elle l'engouffre, avec bonheur j'ai l'impression. Je crois qu'elle aime bien mon sexe. Elle suce de mieux en mieux. Elle me garde en bouche quand j'éjacule afin de ne rien perdre de mon sperme. Puis elle me montre sa bouche vide. Je range mon matériel, me lève du fauteuil et me dirige vers la porte que j'ouvre. Puis la main toujours sur la poignée je dis :

— Si un jour tu ne veux plus avoir à mettre le plug, viens me supplier de t'enculer!

Sur ces mots, je ferme la porte et avance dans l'agence. Adeline me regarde, un air méchant sur son visage. Je ne peux pas m'en empêcher, comme un gamin je lui tire la langue avant de sortir.

Quand je rentre de l'agence de Charlotte un sourire sur les lèvres en repensant comment je m'amuse avec cette belle rousse, alors que je prends l'escalier pour monter à mon appartement, je rencontre une autre rouquine, Madame de Cuise, mère de Charlotte. Je m'arrête pour lui dire bonjour.

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