Ange ou Cochonne ?

BÊTA PUBLIQUE

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Elle aussi l'aimait très fort mais cette nouvelle vie était très prenante et elle avait très peur de décevoir Marc. En peu de temps il en avait fait sa chienne ce qui avait surpris beaucoup de monde autour. Rarement encore une fille n'avait été dressée aussi vite ce qui rendait l'homme encore plus redoutable.

Durant tout le voyage, elle changea plusieurs fois de banquettes, se faisant tripoter presque en continu. Elle était l'attraction du bus et les laissait s'amuser avec elle. À chaque fois qu'elle se posait sur un siège elle écartait les cuisses. Ils adoraient enfoncer leurs gros doigts dans son intimité, la faisant à chaque fois gémir.

Lorsqu'ils firent une pause dans une station-service, ce fut Siouf qui se chargea de l'emmener aux toilettes. Ne lui donnant aucun vêtement, c'est nue qu'elle alla se soulager, faisant sensation parmi les gens présents.

Vers minuit que le minibus arriva à destination, se garant dans la grande cour privée. Des lumières extérieures éclairaient l'immense villa qui paraissait assez moderne. En fait de villa, elle n'en avait que le nom car il s'agissait plutôt d'un hôtel de luxe.

Le grand noir sortit les bagages du bus à l'exception de celui de Linda et un personnel de la villa distribua les chambres. Pour cette nuit Marc garderait la fille, ayant envie de baiser avant de s'endormir. Siouf, en tant que garde du corps, prit celle juste à côté de son patron pour assurer sa sécurité.

Docile, elle le suivit jusque dans son lit s'allongeant sur le dos en attendant d'être prise. Lorsqu'il voulut la sodomiser, elle tressaillit mais se plaça immédiatement sur le ventre.

Elle avait toujours refusé de se faire prendre de cette façon par son mari, mais depuis qu'elle était dans le club elle avait dû souvent y passer.

L'homme ne prit aucune précaution pour forcer le petit anus et comme à chaque fois, elle ne put s'empêcher de crier.

- Tu aimes te faire enculer?

- Oui Marc

Il se mit à rire tout en y allant de plus en plus fort. Il savait qu'elle détestait ça et il prenait un malin plaisir à la sodomiser souvent.

Lorsqu'il éjacula en elle, pour Linda ce fut la délivrance. Elle savait que durant le week-end, son petit trou serait souvent forcé mais même si elle en avait l'habitude, ça n'était jamais une partie de plaisir.

Linda pensait pouvoir dormir pour le reste de la nuit à côté de son patron mais ce dernier changea d'avis au dernier moment.

- j'aime dormir seul, j'ai plus de place. Vas dans la chambre de Siouf pour te faire démonter.

- Oui Marc

Linda aurait bien aimé dormir mais elle ne pouvait pas désobéir. Sans même se laver, elle se leva et quitta la chambre. Heureusement pour elle, il était juste à côté et elle n'aurait pas à traverser tout l'hôtel en pleine nuit.

Lorsqu'elle frappa à la porte et que la grosse voix du noir lui demanda d'entrée, elle sut qu'elle ne dormirait pas de la nuit.

Il allait pouvoir l'embrasser sur la bouche après l'avoir longuement possédée comme il lui avait promis devant le club.

************

Au petit déjeuner, la plupart des participants étaient attablés, parlant de la journée qui les attendait. En fait ils n'avaient aucun programme et étaient là pour prendre du bon temps.

La plage, la ballade, la bouffe, l'alcool et Linda étaient les cinq distractions prévues pour le week-end et si la jeune femme n'était pas attablée avec eux, c'est qu'elle était justement sous la table en train de sucer un des participants.

En fait ils attendaient tous qu'elle soit passée leur faire du bien. Cela faisait partie du forfait déjeuner et c'était la seule nourriture qu'elle avait le droit de prendre au lever.

Ce soir, elle savait qu'elle serait au programme pour un gangbang avec tous les clients et elle appréhendait un peu. Marc par sadisme ne lui avait rien caché de ce qui l'attendait mais il savait qu'elle le ferait car elle était dressée pour ça.

Durant toute la journée les gens se séparèrent pour profiter du soleil et de la région, laissant Linda se reposer un peu.

C'était sans compter le personnel de la villa qui profita des charmes de la jeune femme lorsque le travail qui leur était dévolu fut fini. Marc, grand seigneur, leur avait dit de se servir pour les remercier de leurs implications.

La jeune femme eut le droit à une double pénétration par les deux cuisiniers qui ne se privèrent pas du cadeau.

C'est vers la fin d'après-midi que Marc reçut un appel qui le mit dans une colère folle. Appelant Siouf, il lui confia.

- Sylvie est chez les flics et j'ignore ce qu'elle leur raconte

- On fait quoi?

- Je ne sais pas, j'espère que cette conne ne va pas cracher le morceau. Pour l'instant on ne peut pas faire grand-chose.

Lorsque le soir arriva, un repas délicieux fut servi à tous les convives et même Linda eut le droit d'être assise à cotes des autres. La boisson coula à flots et ils étaient tous très chaud lorsque le moment que tout le monde attendait arriva.

Linda qui avait été briffée par Marc se leva pour prendre la direction du baisodrome comme l'avait appelé le patron du club. En fait il avait fait installer plusieurs matelas près de la piscine extérieure pour profiter de la fraîcheur de l'été.

La jeune femme n'était pas du tout rassurée à l'idée de satisfaire les douze clients sans compter son maître et son garde du corps. Mais elle n'avait pas vraiment le choix et en pensant à son petit mari qui l'attendait sagement chez eux, elle eut un serrement au cœur.

Elle s'allongea sur un des matelas, se mettant sur le dos alors que tous les hommes l'avaient suivie. Bientôt tous les employés de l'établissement viendront eux aussi la rejoindre car Marc, pour les remercier, les avait invités à la petite sauterie.

Elle écarta les cuisses alors que le premier venait s'allonger sur elle, applaudi par les autres. Ça y est, le gangbang allait commencer et la nuit allait être très longue.

Après tout, elle était à elle seule le clou des attractions et elle allait leur montrer que sa présence ici était largement méritée.

******

Il était neuf heures lorsque Marc fut réveillé par son téléphone. Les flics venaient de faire une perquisition au club et ils étaient partis avec la plupart des dossiers et des noms de clients.

Ça ne sentait vraiment pas bon pour lui et maintenant il était sûr que c'était Sylvie qui l'avait dénoncé. Contrairement à Linda, elle n'avait pas supporté la dernière punition en claquant la porte du club.

Il appela Siouf pour l'avertir de la merde dans laquelle ils étaient.

- On ne peut pas retourner au club, ils nous y attendent. On va en Espagne, j'ai des amis là-bas et pas mal de placements

- On y va en minibus?

- Oui, on part tout de suite

- Et les clients

- J'en ai rien à foutre, ils n'ont qu'à prendre le train

- Il a le sac de la fille dans le coffre

- Elle n'a qu'à rentrer à poil

Chapitre 4. Le retour à la maison

Je n'étais vraiment pas bien depuis le départ de ma femme pour ce fameux séminaire. J'avais certes confiance en elle mais ce Marc ne me disait rien de bon.

J'aurais dû les suivre lorsqu'ils étaient partis mais maintenant c'était trop tard.

Si au moins elle avait emmené son portable j'aurais pu avoir des nouvelles mais ce con de Marc interdisait tous les téléphones.

Il n'était pas loin de 15h00, lorsque l'on sonna à ma porte. Qui pouvait bien passer un dimanche après-midi.

Lorsque j'ouvris, mon cœur s'arrêta de battre tant la surprise fut incroyable. Devant la porte se tenait ma Linda, dans un t-shirt d'homme bien trop grand et un short maintenu par une ficelle.

À travers le tissu on pouvait percevoir les deux petits anneaux accrochés aux tétons la rendant magnifique malgré sa tenue décalée.

Le pire est qu'elle était pieds nus, noircis par le voyage et elle me regardait avec des yeux hagards.

- Mais, qu'est-ce qui t'arrive, tu ne devais pas rentrer avant demain et c'est quoi ces fringues?

Linda ne répondit pas tout de suite et rentra sans un mot.

- Je vais prendre une douche, je te dirais après.

Elle s'enferma dans la salle de bain et alors que l'eau coulait, je l'entendais pleurer. Je commençais vraiment à m'inquiéter pensant au pire. J'espérais qu'ils n'avaient pas abusé de la situation lorsqu'elle était là-bas.

Au bout de vingt minutes, elle ressortit entièrement nue, telle une déesse de l'amour.

- Qu'est-ce qui t'est arrivé?

Linda prit une grande respiration puis me dit

- Je me suis fait voler toutes mes affaires dans ma chambre et des séminaristes généreux m'ont donnés quelques-uns de leurs vêtements et un peu d'argent pour le train

- Pourquoi le train! Tu n'étais pas partie en bus?

Ma femme mit quelques secondes avant de me répondre. Elle paraissait avoir peur de ce qu'elle allait dire et je m'impatientais.

- Marc a posé la main sur mes fesses et je l'ai giflé. Ne voulant plus travailler pour un goujat, j'ai démissionné

Une bouffée de joie m'envahit et à ce moment-là je fus vraiment très fier de ma femme. Je savais que je pouvais avoir une confiance totale en elle et elle venait encore de me le démontrer.

- Il a dû être furax, lui dis-je en rigolant.

- Très, c'est pour ça que je suis revenue en train.

Ma femme était unique et je me maudissais d'avoir pu douter d'elle. J'avais épousé la perle rare qui était aussi belle que droite et dont la ligne de conduite irréprochable pouvait être citée en exemple.

Je la pris dans mes bras et posais mes lèvres sur les siennes. Qu'est-ce qu'elle embrassait bien, un peu comme si elle avait fait ça toute sa vie tant c'était agréable. Notre baiser dura de longues minutes et c'est par manque d'oxygène que l'on dut s'arrêter.

J'étais excité comme jamais et je lui susurrais alors à l'oreille.

- Et si on allait dans la chambre, tu te rends compte que cela fait quinze jours que l'on n'a pas fait l'amour.

Je sais que ma Linda n'était pas trop portée sur le sexe et je vis dans son regard qu'elle se força à me dire oui juste pour me faire plaisir.

Ce fut merveilleux lorsque son corps de rêve s'allongea sur le dos ouvrant ses cuisses pour m'offrir sa petite chatte.

Depuis que j'avais vu qu'elle s'était épilée sa jolie petite moule, je ne rêvais que d'une chose, c'était de la goûter.

Me mettant entre ses cuisses pour déguster ce met de choix, j'écartais ses grandes lèvres pour lécher ce délice. Je constatais que l'air de la mer avait dû sécher ses muqueuses vaginales car elle avait remis de la crème réparatrice pour l'apaiser un peu.

Son clito, bien gonflé, demanda lui aussi un peu de mon attention que je m'empressais de faire avec ma langue. Ma petite puce était de plus en plus excitée et gémissait très fort.

C'est alors qu'elle me cria.

- Viens, baises moi, fais-moi hurler, défonces moi.

C'était la première fois qu'elle criait des mots crus et cela m'excita. L'abstinence de ma femme révélait un côté que j'aimais et je m'empressais de m'allonger sur son corps frémissant.

Ce fut que du bonheur lorsque mon membre s'enfonça dans sa vulve complètement détrempée. Tout en la pénétrant, je sentais ses anneaux plaqués contre mon torse, me procurant une sensation étrange.

Je commençais à sentir le plaisir m'envahir alors qu'elle haletait lorsque d'un coup elle hurla sans prévenir

- Encule-moi, défonce moi le cul.

Je fus le premier surpris tout en étant aux anges. Elle venait d'accepter par amour ce qu'elle m'avait toujours refusé. Elle allait m'offrir son œillet pour se faire pardonner d'avoir été absente.

Je venais de découvrir qu'en plus de toutes ses qualités, elle savait aussi se sacrifier et je fus l'homme le plus comblé au monde.

Pour me faire plaisir, ma chérie se positionna à quatre pattes, m'offrant son cul comme un cadeau. Mon sexe étant déjà lubrifié par son vagin mouillé, je positionnais mon gland contre sa petite rondelle.

- Je vais y aller doucement, je ne veux pas te faire mal.

- Vas-y, explose moi le cul

Ma femme avait vraiment décidé de me faire plaisir et je me mis à forcer en espérant ne pas trop lui faire mal. Étonné, mon gland rentra assez facilement et s'enfonça dans ses entrailles d'un coup.

Je compris alors pourquoi cela était aussi facile et mon amour pour elle augmenta d'un cran.

Elle avait dû se préparer en achetant un gode afin de me faire ce cadeau. C'était vraiment une femme exceptionnelle et, la prenant fortement par les hanches, je lui défonçais sa rondelle.

J'étais l'homme le plus heureux du monde et j'allais pouvoir me consacrer un peu plus à ma femme.

Epilogue

Avec ma femme c'était le grand amour surtout durant les jours qui ont suivi sa démission. Chaque jour on avait fait l'amour et ce n'était que du bonheur.

Comme l'inactivité lui pesait, elle avait retrouvé un nouveau travail qui me plaisait moyennement.

Heureusement que je connaissais ma femme par cœur et que je la savais droite car n'importe qui, à ma place, aurait pu être soupçonneux.

Elle travaillait la nuit en faisant des ménages dans un hôtel de passe. Je la plaignais beaucoup car le travail ne manquait pas et j'espérais que ce n'était que temporaire.

Changer les draps des gens qui venaient de baiser dedans, quelle horreur. Heureusement qu'elle avait un cœur bien accroché et qu'elle ne rechignait pas à la tâche.

Il fallait vite qu'elle trouve un autre travail car je ne la voyais presque plus et elle rentrait toujours très épuisée.

Heureusement pour elle, les patrons de l'établissement la payaient vraiment bien ce qui était valorisant pour elle.

Lorsque l'on a une employée aussi perfectionniste que ma petite chérie, on ne la laisse pas partir. En souvenir de son ancien travail, elle avait gardé en plus du tatouage, les anneaux sur ses seins.

Elle a même rajouté un nouveau tatouage avec le nom de l'hôtel qu'elle gardera en souvenir lorsqu'elle aura trouvé un meilleur poste.

J'ai vu qu'elle faisait également une réaction à la poussière qui devait assécher ses muqueuses car elle utilisait très souvent cette crème réparatrice.

Même si l'on fait que se croiser le matin, je suis l'homme le plus heureux du monde.

PS : Je sais ce que vous pensez, vous aimeriez bien être à ma place.

Je suis désolé pour vous mais des femmes, comme ma petite Linda, sont des perles introuvables.

Fin

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9 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 9 mois

J'adore l'humour de cette histoire et comment le cocu est mené en bateaux. 5/5

Vanessatv30Vanessatv30il y a 9 mois

A mourir de rire ! Un mari heureux d avoir un " Ange" pour épouse ...

AurailiensAurailiensil y a environ 1 an

Belle histoire bravo j'aime beaucoup

vanbrujevanbrujeil y a environ 1 an

Excellent texte comme les précédents...

Toutefois il paraît... incomplet... Alors la suite... vite...

Merci d'avance

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

J'adore vos histoires. Ça aurait été sympa de décrire ce qui se passe dans l'hôtel de passe avec Linda. Entre Ange ou Cochonne, je choisis Cochonne.

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