Ange ou Cochonne ?

BÊTA PUBLIQUE

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- Je prends une douche et je vais me coucher,

J'avais plein de questions à lui poser mais je comprenais très bien qu'elle était fatiguée et voulait se reposer.

À midi je mangeais seul, ma femme dormant toujours et je commençais à regretter lorsqu'elle était serveuse au restaurant même si parfois elle finissait à minuit.

Lorsqu'elle se réveillât vers quatorze heures je m'occupais de lui faire à manger et de la servir, prenant soin d'elle.

Voulant lui faire plaisir je lui dis

- Ce soir, on mange en amoureux, je vais tout préparer.

C'est alors que je vis dans son regard de la gêne, ne sachant pas comment me le dire.

- Je sais que tu travailles ce soir, mais on aura le temps de passer une petite soirée sympa avant.

- C'est que... Comme c'est l'anniversaire de Marc, il organise pour ses amis et pour ses bons clients une soirée spéciale. Comme il sait que je travaillais avant dans un restaurant, il m'a demandé d'être au club à 18h00.

- Quoi! Il abuse... et pourquoi tu irais si tôt.

- Il faut tout préparer avant l'arrivée des convives. Il va mettre une grande table dans la zone VIP et je ferais le service.

- Nue?

- Je ne sais pas, mais quelle importance, je suis son employée et je dois obéir.

Je faillis m'étouffer en entendant ça.

- Bien sûr que non tu ne dois pas obéir à tout ce qu'il demande.

- Je me suis mal exprimée, ce n'est pas ce que je voulais dire.

Linda venait de se rendre compte qu'elle avait dit les mots pouvant porter à confusion et elle s'en excusa.

- De toute façon, si ça ne me plaît pas, je le lui dirais, ne t'inquiètes pas.

Je commençais vraiment à en avoir marre de ce Marc et de ce Club. Je ne voyais plus ma petite femme et je me posais beaucoup de questions. Elle avait changé et je ne savais pas pourquoi.

Les quatre heures qui passèrent, je ne la vis presque pas. Elle passa presque tout son temps à m'éviter de peur que je lui pose encore d'autres questions. Vers 17h00 elle alla se préparer dans la salle de bain et y resta une demi-heure.

J'avais l'impression qu'elle avait peur de la confrontation alors que je l'aimais comme un fou.

À 17h30, lorsqu'elle s'en alla, je n'eus le droit qu'à un petit baiser sur la bouche. J'eus presque l'impression qu'elle m'embrassait par obligation, pressée d'aller au club.

Comme maintenant depuis une semaine, mon imagination se mit à travailler et je l'imaginais comme étant le cadeau pour ce Marc. Je devenais de plus en plus jaloux et j'essayais de chasser de ma tête ces pensées.

Pourtant j'en étais presque sûr, c'est nue qu'elle allait faire le service et cela me mit en colère tout en m'excitant de nouveau.

La soirée fut très longue et je me forçais à regarder un film pour me changer les idées. Que pouvait-elle bien faire là-bas, un samedi soir, pour un anniversaire. Combien allaient-ils être à admirer son corps complètement dénudé et offert à leurs vues.

Je n'arrivais même plus à penser à autre chose, ne pensant qu'à ma femme dans ce club. Je la voyais telle une esclave romaine à les servir entièrement nue.

La nuit que je passais fut complètement hachée par des cauchemars ou je voyais Linda prise par des tas d'hommes. Elle hurlait de plaisir alors qu'elle se faisait baiser à même la table où ils avaient mangé.

Stop... j'essayais de nouveau de penser à autre chose et je finis tout de même par m'endormir, le sexe en érection.

Il était neuf heures lorsque j'ouvrais les yeux et une joie m'envahit lorsque je la découvris me regardant avec un grand sourire.

- Tu es rentrée, ça s'est bien passé?

- Oui très bien, c'était juste un repas d'anniversaire avec sa famille et ses amis.

- Et tu étais nue?

Ma chérie mit quelques secondes avant de me répondre.

- Bien sur que non, pas devant sa famille...

Vu le laps de temps qu'elle mit pour me répondre, je sus qu'elle m'avait menti mais j'étais trop heureux de la voir pour lui en vouloir.

- Je suis trop fatiguée pour aller me laver, je vais dormir tout de suite. Cet après-midi, lorsque je me serais réveillée, si tu veux on ira se promener

- Tu ne travailles pas ce soir?

- Si mais pas avant 21h00

J'étais content de pouvoir passer un peu de temps avec ma femme et je compris très bien la raison de son mensonge. Elle avait sûrement menti pour me préserver et je lui en étais reconnaissant.

Elle se réveilla vers 15h00 et comme elle me l'avait promis, on passa le reste de l'après-midi en amoureux. Je l'avais retrouvée et j'en été heureux même si un doute persistait toujours sur les soirées dans le club.

N'ayant pas le temps pour un resto, on se fit un petit souper très sympa et c'est un peu triste que je la regardais partir pour une nouvelle nuit dans le club.

Les deux jours qui suivirent furent le reflet de la semaine précédente et je ne fis que la croiser.

C'est le mercredi, après que je sois rentré du travail que j'eus un nouveau coup au cœur. Elle était enfermée dans la salle de bain, la porte de nouveau verrouillée. N'entendant pas l'eau couler, je me mis à frapper pour qu'elle m'ouvre.

Je dus tambouriner au moins cinq bonnes minutes avant qu'elle ne daigne ouvrir.

En la voyant, j'eus le souffle coupé et ne pus prononcer la moindre parole.

Elle était nue, et se tenait droit devant moi. Elle était magnifique mais mes yeux fixaient ses mamelons. Ses tétons avaient été percés et des anneaux d'un centimètre de diamètre les ornaient.

- Tu aimes? me demanda-t-elle

- C'est quoi ce bordel?

- C'est Marc, avec Sylvie on a été obligé de le faire.

- Mais! Il ne peut pas t'obliger à faire un truc comme ça et pourquoi il a fait ça?

Elle hésita quelques secondes puis dit.

- Comme nous marchons pieds nus, nous ne faisons pas de bruit en approchant des tables et les clients ont peur que l'on entende des discussions qui ne nous regardent pas.

- Je ne vois pas le rapport avec ça

- C'est pour nous mettre des petites clochettes aux seins.

Je ne savais même plus quoi répondre. J'étais perdu même si je trouvais ces anneaux accrochés aux mamelons très érotiques.

- Mais, quand est-ce que tu l'as fait. Il fallait dire non...

- C'est un bijoutier que Marc connaît qui l'a fait cet après-midi. Je suis désolée mais je n'ai pas osé dire non de peur de perdre mon travail.

En la voyant désespérée, je lui souris et la pris dans mes bras. Maintenant que c'était fait, on ne pouvait pas revenir en arrière et je l'embrassais pour lui montrer que je ne lui en voulais pas.

- Tu vas être comme une vache dans un pâturage avec tes clochettes qui tintent quand tu te déplaces.

Elle me sourit, voyant que je plaisantais.

- J'espère tout de même ne pas avoir le physique de la vache

- Non, tu es la plus belle femme au monde...

Reprenant un air plus grave, elle me dit avec une petite voix de peur de se faire gronder.

- Il y a aussi autre chose

- Quoi?

J'eus une montée d'adrénaline lorsqu'elle se retourna pour me montrer son dos. J'ouvris de grands yeux en découvrant le cœur sur la fesse droite dans lequel était inscrit « Panacota ».

Elle s'était fait tatouer le nom du club et je n'en revenais pas.

- Pourquoi tu as cette merde sur le cul?

- C'est Marc, les filles dans la grande salle ont le nom du club sur leurs tenues mais nous, comme nous sonnes nues, il l'a fait inscrire sur notre peau.

- Mais...! Quand tu vas quitter ce club, tu ne pourras pas effacer ce tatouage, tu vas le garder à vie.

- Mais pourquoi je quitterais le club!

Je fus plus surpris par sa réponse que par le tatouage. Ce qu'elle venait de me dire me déstabilisa et je devins tout rouge. En voyant qu'elle avait encore dit quelque chose qui risquait de me mettre en colère, elle se rattrapa vite.

- Je parlais de partir prochainement mais si je trouve mieux je le ferais. Le tatouage sera un souvenir du club et de toute façon comme il est sur ma fesse, personne ne le verra.

- Moi je le verrais

- Mais toi tu m'aimes.

Lorsqu'elle partit à son travail, une image me vint en pensant aux clochettes et au tatouage. Elle était comme le bétail marqué du nom de son propriétaire et elle ne s'en rendait même pas compte

Lorsque le lendemain après une mauvaise nuit, je partis travailler, ma femme n'était toujours pas rentrée. Je ne la verrais que ce soir et j'essayerais d'avoir une conversation plus sérieuse.

Retenu par le travail, je ne pus me libérer que vers les 19h00 et en rentrant, Linda était déjà partie, ne laissant qu'un petit mot sur la table à côté de mon assiette dressée.

« J'ai dû partir plus tôt, Marc avait besoin de moi. Le repas est dans le frigo, tu n'as qu'à le passer au four micro-ondes. »

Je le lus plusieurs fois ne comprenant plus rien. Je sentis mon estomac se serrer par le stress, essayant de comprendre ma femme. Ce n'était pas le fait qu'il n'y avait aucune explication concernant son départ avancé mais plus l'absence du moindre mot doux qui me fit le plus mal.

Un petit « je t'aime » ou juste un « bisou » m'aurait fait plaisir alors que là c'était impersonnel.

Maintenant je ne la verrais que vendredi matin ou au pire vendredi soir et j'étais de plus en plus inquiet sur la façon dont elle changeait.

Après une nuit de nouveau agitée, lorsque vendredi matin pointa, j'ouvris les yeux en pensant être seul. Quelle ne fut pas ma surprise en la découvrant endormie juste à côté de moi.

J'avais allumé ma lampe de chevet en pensant qu'elle n'était pas là et cela ne l'avait même pas réveillée. Elle était magnifique et lentement, je fis glisser le drap pour l'admirer dans son intégralité.

Finalement les petits anneaux et sa chatte toute rasée magnifiaient encore plus son corps. Elle était sur le dos, les jambes écartées dans une pause très obscène et dormait sans savoir que je me délectais en admirant son corps.

C'est en fixant sa chatte si bien dessinée que mon regard fut attiré par une traînée blanchâtre au niveau de ses grandes lèvres. Non, je devais me tromper et je n'osais pas toucher du doigt l'endroit pour en être certain.

Pourtant, la jalousie s'empara de moi en imaginant la pire des choses.

Doucement je lui touchais l'épaule pour la réveiller, voulant en avoir le cœur net...

- Mmmmm, pourquoi tu me réveilles

- C'est...

Je ne savais pas comment aborder le sujet

- Moi aussi je t'aime me répondit-elle

- Non, Je voulais savoir si tu me trompais?

Je l'avais lâché sans filtre, voulant éclaircir ça. Du coup ma question la fit immédiatement émerger et, très étonnée, elle me demanda pourquoi je l'accusais d'une telle chose.

- C'est quoi cette traînée sur ta chatte?

Avec difficulté, elle se redressa et glissa ses doigts sur son sexe avant de le sentir puis de le goûter sur le bout de sa langue.

En la voyant faire je fus d'un seul coup écœuré alors qu'elle me regardait en souriant.

- Ne t'inquiète pas, ce n'est pas du tout ce que tu penses. C'est juste de la crème réparatrice car j'étais un peu irritée et j'en ai mis avant de dormir. Le tube est dans mon sac à main si tu veux vérifier. Maintenant laisse-moi dormir.

Je n'étais pas complètement rassuré et je sortis de la chambre sans un bruit après avoir éteint ma lampe. Son sac était posé sur la console d'entrée et je l'ouvris pour vérifier ses dires.

Elle n'avait pas menti car je trouvais le tube de crème réparatrice et je fus rassuré. J'allais devoir me faire pardonner et je le ferai avec plaisir.

C'est soulagé que je pris le chemin du travail en me demandant quel cadeau offrir à ma chérie pour qu'elle ne m'en veuille plus de l'avoir soupçonné. J'étais trop con de penser qu'elle pouvait me tromper alors que je savais qu'elle m'aimait.

Pour la première fois depuis deux semaines je me sentis mieux et je me promis de ne plus jamais douter d'elle.

Lorsque, un bouquet à la main, je rentrais chez moi le soir, je fus surpris de découvrir ma Linda dans sa chambre en train de faire une petite valise.

Ouvrant de grands yeux et ayant d'un seul coup très peur, je lui demandais ce qu'elle faisait, alors que je tenais fermement les fleurs devant moi.

- C'est pour moi, oh! comme c'est gentil. Pour la valise ne t'inquiète pas, c'est juste pour le travail.

- Comment ça, le travail?

- Marc m'a téléphoné dans l'après-midi pour me dire qu'il avait besoin de moi pour un séminaire à la mer. Je devrai rentrer lundi matin normalement.

D'un seul coup je ne me sentis vraiment pas bien

- Mais notre week-end

- On rattrapera ça à mon retour, Marc m'a promis des jours de congé.

- Mais pourquoi toi?

- Sylvie a démissionné, je ne sais pas pourquoi et il leur fallait une serveuse VIP

- Mais tu ne peux pas me laisser.

Elle s'approcha de moi et m'embrassa.

- Ce sont tous des vieux, tu n'as rien à craindre

- Et ils ont besoin de toi, ils ne peuvent pas avoir une autre serveuse qui se mettrait à poil pour les servir.

- Je suis la seule avec Sylvie à avoir le logo du Club sur mon corps. S'il te plaît ne me fait pas une crise. Je ne serais absente que trois nuits.

- Mais c'est le soir, vous n'allez pas rouler de nuit

- Si, le bus nous attend devant le club et je n'ai plus beaucoup de temps. Il part dans une heure et il y a aussi quelques préparatifs à faire au club.

Lorsqu'elle ferma la porte derrière elle, me laissant seul pour tout le week-end, je me sentis très déprimé

J'avais confiance en elle et je savais qu'elle savait se défendre. Pourtant c'était très dur de la savoir partie.

Chapitre 3 : Le séminaire

Linda gara sa voiture tout au fond du parking, là où elle avait pris l'habitude de la mettre. Le minibus 20 places était garé devant la porte et dans son coffre, des valises étaient déjà chargées.

Prenant son bagage, elle se dirigea vers le véhicule et déposa ses affaires dans la soute grande ouverte.

Siouf, le vigile noir qui allait les accompagner, s'écria en voyant la jeune fille.

- Comment va ma poupée préférée, tu es prête pour le voyage de ta vie.

Et tout en disant ça il s'approcha de la jeune femme et l'embrassa sur la bouche.

Cette dernière rigola en le poussant un peu.

- Tu sais que tu peux me tripoter autant que tu veux mais seuls les clients peuvent m'embrasser sur la bouche.

- Ce n'est pas du jeu, tu verras lorsque l'on sera arrivé et que je te mettrais ma grosse queue dans ton petit cul. Tu jouiras tellement que tu auras trop envie de poser tes lèvres sur les miennes pour me remercier

- Dans tes rêves.

Le noir rigola et continua à ranger les valises des clients devant les accompagner. Il adorait cette petite pute, se disant qu'il avait été le premier à la repérer lorsqu'elle était venue avec son con de mari.

Les clients, tous âgés entre quarante et soixante, arrivaient les uns après les autres, s'installant dans le minibus en laissant libre la banquette du fond. Elle était réservée au patron et à sa poule que tout le monde connaissait bibliquement.

Linda avait menti à son marri en vieillissant les passagers pour qu'il ne s'inquiète pas mais là, elle était dans son élément et comptait bien s'amuser comme elle le faisait chaque soir.

Le dernier à arriver fut Marc et elle alla immédiatement le rejoindre pour lui porter son sac.

L'homme était blond, âgé d'une quarantaine d'année et au physique sportif.

Ce qui pouvait impressionner chez lui, c'était son regard dur, presque méchant.

Linda se rappelait encore de la punition qu'elle avait eue juste pour avoir renversé un verre, ayant mis un certain temps pour ne plus avoir mal au niveau de sa poitrine.

Elle s'était promenée toute la soirée avec des poids, de presque un kilo, attachés aux anneaux de ses mamelons.

Maintenant elle faisait tout pour ne plus déplaire à son maître.

Lorsque Marc prit place au fond du bus, Linda juste a côté, il fit signe au chauffeur d'y aller.

- Suce-moi, je trouverais le voyage moins long comme ça.

La jeune femme se releva aussitôt de son siège pour s'agenouiller devant son patron. Baissant la braguette de son pantalon pour en sortir un membre qu'elle connaissait par cœur, elle se pencha pour le prendre dans sa bouche.

Elle savait qu'elle ne devait pas le sucer trop vite et surtout bien avaler le sperme pour qu'il ne se fâche pas. Appliquant les consignes à la lettre ; elle commença la fellation sous les regards des autres voyageurs qui s'étaient retournés pour la voir.

Ils savaient que le patron de la boîte avait emmené sa serveuse la plus chaude qui se mettra en quatre pour tous les satisfaire.

La plus chaude mais surtout la plus jolie dont le corps était une œuvre d'art.

La jeune femme, tout en suçant consciencieusement son maître, se rappela du spectacle qu'il avait organisé pour son anniversaire ou son corps avait fait l'objet de toutes les convoitises durant une bonne partie de la nuit.

Marc lui faisait un peu peur mais il avait un ascendant sur elle qui la forçait à obéir.

Pour le séminaire qui était en vérité un séjour pour remercier ses meilleurs clients, Marc avait loué une immense résidence juste au bord de la mer. Dans le minibus il emmenait douze clients et avec Siouf et la fille ils seraient quinze en tout

La résidence comportait 14 chambres et le personnel y travaillant très discret, c'est pour ça qu'il aimait y venir avec ses amis. Seule Linda n'aurait pas sa pièce mais elle n'en avait pas vraiment besoin. Sa valise resterait dans le bus car il était hors de question qu'elle porte le moindre vêtement durant tout le week-end.

C'est alors que l'homme gémit tout en se vidant dans la bouche de la jeune femme. Elle savait y faire maintenant alors qu'au tout début, il y a une quinzaine de jours, elle était nulle pour ça.

Linda prit soin de tout bien avaler, léchant longuement le gland pour en extirper jusqu'à la dernière goutte.

Certains clients, la tête toujours tournée n'avaient rien raté de la prestation de la femme. La plupart se demandaient comment une aussi belle fille avait pu devenir la chienne d'un homme aussi cruel.

- Il est temps que tu te foutes à poil, lui dit-il. Nos invités ont envie de voir ton joli corps

- Oui Marc

Ce n'était pas forcément évident de se dénuder dans un bus qui roulait mais Linda ne voulait pas mettre en colère son maître et elle s'y attela immédiatement.

Cette fois tous avaient tourné la tête sans exception en entendant le patron du club. Certains avaient même accepté l'invitation juste pour pouvoir la baiser. Linda s'était mise debout et le chauffeur avait ralenti pour lui permettre de se dessaper sans danger.

Lentement elle retira ses vêtements, dévoilant son corps petit à petit. Lorsque ses seins furent libérés, et que les petits anneaux en or firent leur apparition au bout de ses tétons, tous applaudirent même s'ils avaient déjà souvent vu la fille nue.

Elle ne mit pas longtemps pour être entièrement dévêtue sous les acclamations de ses fans.

Ramassant ses vêtements elle les jeta à Siouf qui en avait la garde.

- Maintenant va t'asseoir à côté de Mr Marbine qui est un de nos plus fidèles clients

- Oui Marc

N'hésitant pas une seule seconde, elle se leva pour aller le rejoindre ce qui fut jalousé par certains. Elle savait qu'elle allait se faire tripoter mais elle s'en moquait si cela pouvait plaire à Marc.

Lorsqu'elle s'assit à côté de l'homme qui devait être le plus âgé du Bus, elle ne fut même pas étonnée qu'il lui saisisse un de ses seins et qu'il approche la bouche pour l'embrasser. Docile, elle répondit à son baiser alors qu'il lui pétrissait sa poitrine, tirant parfois sur le petit anneau pour lui faire mal.

Elle savait très bien que Marc l'emmenait pour le plaisir de ses invités et elle était dressée depuis deux semaines pour ça.

Au fond de la salle VIP se trouvaient quelques chambres qu'elle avait déjà très souvent essayées. En fait marc aimait la donner comme cadeau pour remercier les donateurs généreux. Lorsqu'elle était entre leurs mains, elle en oubliait son mari qu'elle savait pourtant éperdument amoureux.