Ange ou Cochonne ?

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Ma femme doit travailler nue dans un club.
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Chapitre 1 - Linda

Je voyais bien que cela la minait de ne plus travailler et pourtant elle essayait de ne pas le montrer. Mais je connaissais bien ma petite femme et lorsqu'elle était contrariée, son regard la trahissait.

Depuis quinze jours qu'elle avait été renvoyée du restaurant ou elle œuvrait depuis trois ans, elle avait perdu son entrain habituel même si elle restait toujours souriante.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, on était marié depuis cinq ans, on se connaissait depuis 10 ans alors que l'on n'avait que vingt cinq ans tous les deux. Je l'avais rencontré au lycée et ce fut le coup de foudre tout de suite. À vingt ans, on s'était marié et on vivait depuis le parfait amour.

Tout le monde m'enviait, me disant que j'avais de la chance en épousant cette femme sublime. Lorsque l'on se promenait, c'était assez courant que les hommes se retournaient pour la regarder mais je n'étais pas jaloux car j'avais une confiance totale en ma petite moitié.

Quand j'utilisais le mot sublime, j'étais bien en dessous de la vérité. 49 kg pour un mètre soixante deux, elle avait un corps parfait, digne des catalogues de mode.

Mince, des petits seins adorables en forme de poire, un ventre plat et des cuisses galbées à souhait, elle était la femme la plus belle qui puisse être sur terre.

Lorsque ses patrons qui étaient aussi nos amis avaient dû fermer à cause de la crise, elle avait pleuré durant toute une journée, maudissant le sort et la dureté de la vie.

Heureusement, elle avait le droit de toucher le chômage mais l'inactivité n'était pas sa tasse de thé.

Quant à moi, je n'avais pas à me plaindre. Même si je n'avais pas le physique d'un apollon, j'étais leader en logistique, plutôt sportif et j'avais surtout Linda, ma petite chérie.

Elle était vraiment la perfection à part pour une toute petite chose qui me tracassait un peu, même si je m'y étais habitué. Pour rien au monde elle ne voulait tailler sa toison pubienne, se contentant parfois d'un petit coup de ciseau.

Elle considérait que c'était la nature qui l'en avait doté, et elle laissait son sexe recouvert par des poils bruns de la couleurs de ses cheveux.

Bien sur, cela n'enlevait en rien à sa féminité et tout le monde autour de nous appréciait beaucoup sa beauté naturelle.

Ce soir, j'avais décidé de l'emmener manger dans un petit resto que l'on m'avait conseillé. Je voulais lui changer les idées pour lui remonter le moral.

On ne m'avait pas menti et ce fut délicieux. L'ambiance romantique et l'amabilité des patrons nous firent passer une bonne soirée. Ma Linda fut à deux doigts de leur demander s'ils n'embauchaient pas mais se retint pour ne pas gâcher notre tête à tête.

Il n'était pas loin de 23h30 lorsqu'on sortit de l'établissement et en voyant le visage radieux de ma femme, j'eus envie de prolonger ce moment. On laissa la voiture près du restaurant pour marcher un peu, histoire de finir sur une note romantique. Main dans la main, j'appréciais cette balade nocturne, à côté de celle que j'avais épousé.

En rentrant par erreur dans une petite impasse terminée par un parking mal éclairé, on tomba sur cette porte en bois massif. Au-dessus de l'entrée un panneau était accroché où des mots étaient à moitié effacés.

« Club Panacota -- ouverture tous les jours -- 22h00 06h00 »

Même si le nombre de voitures garées était plutôt conséquent, l'établissement ne paraissait pas ouvert.

- C'est étonnant un club à cet endroit. Il doit être fermé. Remarquais-je

- J'ai l'impression d'entendre de la musique.

- Tu veux qu'on sonne?

Linda me sourit, puis regardant la porte, elle me dit.

- Il est encore tôt, si on essayait.

Un peu d'accord avec elle, j'appuyais sur le bouton annonçant notre présence. Il ne fallut pas longtemps pour que la porte s'ouvrit sur un grand noir qui nous accueillit tout sourire.

- Bonjour messieurs dames, avez-vous votre carte de membre?

- Heu non, on ne savait pas qu'il en fallait.

- Sinon, c'est 50 euros l'entrée.

L'homme regarda Linda de façon appuyée avant de rajouter.

- Pour madame ce sera gratuit.

- Merci

Finalement on lui tendit l'argent et il nous laissa passer. Devant l'entrée se trouvait une banque derrière laquelle se tenait une vieille femme qui nous sourit en nous voyant rentrer.

Sur des penderies disposées derrière elle étaient accrochés quelques vêtements. N'ayant aucune veste à déposer, je me dirigeais vers la grande salle et fus surpris de constater que ma femme ne m'avait pas suivi. Elle s'était arrêtée devant la vieille et lisait une affiche collée sur le dessus de la banque.

Je l'attendis le temps qu'elle lise entièrement le panneau et je vis son visage devenir songeur alors qu'elle me rejoignait.

La grande salle était stupéfiante et l'ambiance plutôt déroutante. Un grand bar, équipé de tabourets, était disposé d'un côté alors que de l'autre un petit orchestre jouait une musique langoureuse.

Une piste ronde accueillait quelques couples qui dansaient enlacés, pas forcément en rythme. Pour parfaire la grande salle, une vingtaine de tables basses, encadrées par des poufs, étaient disposées de façon anarchique.

Au fond, une ouverture masquée par une tenture était surveillée par un homme devant faire du bodybuilding. Mais le plus déroutant n'était pas tout cela, car ce qui nous stupéfia le plus, c'était la tenue des serveuses qui déambulaient entre les tables pour prendre ou servir des commandes.

Elles étaient toutes très belles, habillées d'une minijupe cachant à peine les fesses et d'un haut transparent divulguant leur poitrine.

Aucune ne portait de soutien-gorge pour le plus grand plaisir des clients.

- Tu veux boire quelque chose?

Ma femme ne me répondit pas et je vis en la regardant qu'elle ne m'écoutait plus. Son visage trahissait un drôle de sentiment partagé entre le doute et une certaine envie. Elle fixait les serveuses de manière très étrange.

Alors qu'une de ces femmes se dirigeait vers nous, je lui redemandais ce qu'elle voulait boire.

Elle sursauta, revenant à la réalité.

- Heuu, excuses moi, un truc sans alcool.

- Il y a quelque chose qui ne va pas.

- Hein.... Si, ça va...

La serveuse, très belle prit notre commande et revint rapidement avec nos verres. J'essayais de ne pas regarder ces femmes presque nues devant mon épouse mais comment résister pour ne pas admirer d'aussi jolies créatures.

Voyant que ma chérie avait vraiment la tête ailleurs, je ne pus m'empêcher de lui demander ce qui n'allait pas.

- C'est... Comment tu trouves les serveuses?

Je fus un peu étonné par la question, pensant qu'elle allait me faire une scène. C'est vrai que je les regardais souvent, mais c'était sans la moindre arrière-pensée.

- Heu, je ne sais pas, c'est un peu osé

- Tu les trouves belles

- Bien moins belles que toi.

Là je ne mentais pas car ma femme était bien plus jolie que toutes ces femmes.

- Pourquoi tu me demandes ça?

- Il y avait une affiche sur la banque à l'entrée.... Ils recherchent une serveuse.

Connaissant ma femme et la pudeur qui la caractérisait, je ne pensais pas une seconde que cela puisse l'intéresser mais en voyant son regard, je me mis à douter.

- Tu ne comptes tout de même pas faire serveuse ici.

- Je ne sais pas, c'est peut-être mieux que de rester à la maison.

- Mais tu trouveras mieux ailleurs

- Ça fait quinze jours que je cherche.

Je savais qu'avec un peu de réflexion, elle verrait que cet endroit n'était pas fait pour elle. Pour ne pas la peiner, je me montrais très conciliant en décidant de ne rien brusquer.

- Tu as tout le week-end pour réfléchir et tu prendras ta décision lundi

Ma femme ayant la tête ailleurs, on décidait de partir après avoir bu notre verre.

Juste avant de sortir Linda demanda le numéro de téléphone du club à la vieille femme. Cette dernière lui tendit une carte de visite, en lui faisant son plus beau sourire édenté.

Le vigile noir, voyant que ma femme paraissait intéressée par l'annonce, lui dit devant moi

- Vous devriez vous présenter pour ce poste, avec un corps comme le vôtre le patron vous prendra tout de suite

J'avais envie de lui dire que le corps de ma femme ne concernait que moi mais je me retins vu son gabarit.

En revenant à la voiture elle ne disait plus un mot, ne sachant sûrement pas quoi faire. Même si je ne voulais pas qu'elle accepte ce poste, je préférais que ce soit elle qui prenne la décision et je n'essayais pas de l'en dissuader.

Une fois à la maison et malgré l'heure tardive, elle se lova contre moi pour me faire un câlin. Comme nous dormions toujours nus tous les deux, je me mis à avoir une érection. Je commençais à l'embrasser fougueusement avant de faire courir avec gourmandise ma bouche sur tout son corps.

Étrangement, elle paraissait plus réceptive que d'habitude et elle gémit immédiatement alors que je venais téter ses adorables mamelons et que mes doigts glissaient dans sa fente humide.

J'imaginais alors les clients du club en train de regarder ma femme qui ne cachait rien de sa poitrine. Je la voyais déambuler entre les tables, une minijupe à raz le cul et cela m'excita étrangement.

Abandonnant les préliminaires, je me couchais sur son adorable corps pour la pénétrer avec un bonheur sans nom. Elle poussa un long gémissement lorsque mon sexe glissa en elle puis oubliant toute douceur, je la pris avec force pour son plus grand plaisir.

J'avais toujours regretté qu'elle refuse catégoriquement la sodomie mais je ne désespérais pas de la convaincre un jour.

Je ne mis pas longtemps avant d'éjaculer, excité je ne sais pas pourquoi. Elle vint alors se plaquer contre moi et d'une petite voix me demanda.

- Tu m'en voudrais si j'acceptais d'être serveuse là-bas

- Non, bien sur que non, mais ... tu as vu leurs tenues.

- Ce n'est qu'une tenue

- Qui ne cache pas grand-chose.

Elle resta un moment silencieuse puis me dit

- je peux toujours passer l'entretien, cela ne veut pas dire que je serais acceptée.

En entendant ça j'eus une petite boule à l'estomac mais ne voulant pas lui faire de la peine je lui répondis.

- Oui, tu peux, si c'est ce que tu veux, fais-le.

Et tout en disant ça, je fis glisser ma main sur son pubis poilu la faisant frissonner.

- On devrait dormir maintenant me souffla-t'elle a l'oreille

Je l'embrassais tendrement, inquiet tout de même de ce qu'elle allait faire.

Le lendemain, à plusieurs reprises, elle essaya en vain d'appeler le numéro du club. Je me rendis compte alors qu'elle avait pris sa décision et j'en fus contrarié. C'est vers le soir qu'elle eut quelqu'un mais je ne pus entendre leur conversation.

Elle me raconta qu'elle avait rendez-vous à 10 heures le lendemain mais comme je serais au travail, je ne pourrais pas l'accompagner.

Le week-end se termina avec un goût amer alors qu'il avait bien commencé avec le restaurant. Lorsque je partis au travail le lundi matin, je n'espérais qu'une chose, c'est qu'elle ne soit pas prise.

Je ne voulais pas que d'autres hommes puissent se rincer l'œil avec son physique de rêve, un peu jaloux tout de même.

Comme tous les jours, il était 18h15 lorsque je revins chez moi et je fus surpris de voir ma petite femme maquillée avec goût. Étrangement sa tenue était plus négligée, s'étant juste habillée avec un survêtement. Elle paraissait toute joyeuse en me voyant et je sus immédiatement qu'elle avait été prise.

J'eus un nœud à l'estomac mais, hypocrite, je fis semblant d'être content pour elle. Elle me raconta son entrevue qui s'était bien passée et qu'il suffisait qu'elle vienne uniquement maquillée. Tous les vêtements étant fournis par le club, elle pouvait s'y rendre même avec des guenilles.

- Tu sais, tu peux trouver mieux comme travail

- C'est payé 2000 euros par mois, bien plus que lorsque j'étais au restaurant

- Mais, .... Je suppose que tu commences ce soir vu ton maquillage.

- Oui je dois y être pour 21h30 mais je ne sais pas trop à quelle heure je finirai. On m'a expliqué que c'était selon les clients mais il était assez rare que ce soit après 06h00.

- Je vais venir ce soir avec toi, je resterai à une table.

- Non, tu ne peux pas, les maris et les petits copains sont interdits car une fois il y en a un qui a fait un scandale.

Je fus surpris mais je préférais me taire.

Pendant le repas, ce fut surtout Linda qui parla, surexcitée d'aller bosser dans ce club, oubliant sûrement qu'elle serait pas mal dénudée.

Chapitre 2 : Le Club

Le club n'étant qu'à trente minutes de voiture, elle partit travailler vers 21h00. Lorsqu'elle ferma la porte, j'eus comme une boule à l'estomac. Je ressentis alors de la colère contre moi pour n'avoir rien fait pour la retenir. Essayant d'atténuer mon angoisse, je me dis que ce n'était qu'un travail et que je n'avais pas à m'inquiéter.

Je dormis tout de même très mal, seul dans mon lit, me réveillant plusieurs fois en regardant l'heure. J'enrageais de ne pas avoir le droit d'aller dans ce club pour aller voir ma femme puis, après réflexion, je me dis que cela était peut-être mieux. Je n'aurais pas apprécié de la voir une minijupe à raz les fesses et un haut transparent, matée par tous ces mecs.

Il était 05h30 lorsque j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir. J'avais envie de lui poser des tas de questions mais elle devait être fatiguée surtout que mon réveil sonnait à 06h00.

Elle rentra dans le lit alors que j'en sortais. Je lui fis un bisou lui demandant juste si ça s'était bien passé.

- Oui, très bien. C'était bizarre au début de servir habillée aussi sexy puis je m'y suis habituée.

- Et les clients, ils ne t'ont pas trop reluquée?

- Je ne sais pas, je n'ai pas fait attention.. bonne nuit

Elle me fit comprendre que notre conversation devait prendre fin et je dus l'abandonner pour aller me préparer.

Durant les trois jours qui suivirent, on ne fit que se croiser, mangeant juste ensemble le soir où elle me racontait comment s'était passée sa nuit.

Le patron s'appelait Marc et il était très content d'elle. Il lui avait même dit qu'elle passerait du côté VIP car non seulement elle avait une très jolie plastique mais en plus elle était très professionnelle.

- Quel côté VIP? il n'y a qu'une salle si je me rappelle bien.

- C'est derrière le gros rideau qui était gardé par le vigile bodybuildé

- Il y a une salle là?

- Oui, réservée aux gens très importants. En plus les serveuses qui y sont affectées sont payées 500 euros de plus par mois.

Ça me plaisait de moins en moins mais je ne répondis pas. Elle avait le sourire depuis qu'elle travaillait là-bas mais on ne se voyait plus. Heureusement que le week-end allait arriver, on allait pouvoir en profiter un peu.

En rentrant du travail le vendredi soir, je fus surpris de constater que ma femme était dans la salle de bain en train de prendre une douche. Lorsque je voulus ouvrir la porte pour l'embrasser, je fus étonné de constater qu'elle l'avait verrouillée.

J'attendis que l'eau finisse de couler pour frapper contre le montant.

Depuis qu'on était ensemble, on s'était toujours montré nu l'un à l'autre et lorsqu'elle apparut, une serviette autour du corps, je ne pus m'empêcher d'être surpris.

- Tu prends une douche avant d'aller travailler, c'est nouveau!

- Ce soir Marc m'affecte du côté VIP et il nous l'impose.

Je fus étonné par cette demande mais ce ne fut rien par rapport à ce qui suivit. Avec une toute petite voix elle me dit.

- Il y a autre chose...

- Quoi?

Hésitante, elle retira sa serviette et j'ouvris de grands yeux en constatant que son sexe était lisse comme à sa naissance.

- Je suis passée chez l'esthéticienne aujourd'hui

- Mais pourquoi! je croyais que tu ne le voulais pas

- Marc nous oblige à le faire lorsque l'on est du côté VIP. Il ne veut aucun poil au niveau de nos sexes.

Je fus surpris qu'il demande une telle chose, ne voyant pas en quoi l'intimité de ma femme pouvait l'intéresser.

Mon regard ne pouvait plus se détacher de cette chatte épilée que je rêvais de voir ainsi depuis longtemps. Me reprenant je lui dis.

- Il n'a pas le droit de te demander une telle chose

- C'est que...

- Oui?

- Du côté VIP, les serveuses sont nues, c'est pour ça que c'est mieux payé.

Je reçus comme un coup de matraque, me demandant si je ne rêvais pas. Il était hors de question que ma femme aille faire le service à poil. Ses seins, son sexe, ses fesses ne seraient plus cachés et elle serait dévorée des yeux par des tas de clients.

Voyant que j'allais mal réagir, elle me coupa la parole avant.

- Je fais juste un essai ce soir et demain je prends une décision

- Mais!

- S'il te plaît.

Ça ne me faisait pas plaisir mais je finis par accepter. Voulant enfin passer un peu de temps avec ma chérie, je lui demandais.

- C'est quand les jours où tu es de repos, cela va faire 5 nuits d'affilée que tu travailles.

- C'est que, le club est ouvert 7 jours sur 7 et ils manquent de serveuses. Pour l'instant Marc m'a demandé de travailler tous les soirs.

- Mais! il n'a pas le droit

- C'est juste provisoire, le temps qu'il embauche du monde.

Cela me plaisait de moins en moins mais je finis par céder.

En ne voyant qu'une seule assiette sur la table, elle m'expliqua qu'elle ne mangeait pas avec moi. Elle devait être une peu plus tôt au club car c'était son premier soir en VIP et qu'elle avait des consignes à prendre.

Super, le week-end commençait bien et je n'allais même pas souper avec la femme de ma vie.

C'est vers 19h00 qu'elle m'embrassa pour aller dans ce club pourri. Mais qu'est-ce qui m'était passé par la tête en la sortant au restaurant la semaine dernière et en franchissant ensuite la porte de cet établissement.

Maintenant elle allait faire le service à poil pour des vieux lubriques qui allaient l'admirer sans vergogne alors que moi j'allais encore rester seul cette nuit.

Une fois dans mon lit, je n'arrêtais pas de penser à ma femme en train de faire la boniche complètement nue et sans vraiment savoir pourquoi, je commençais à me branler.

Ce n'était pas possible, je ne pouvais pas être excité en la pensant là-bas, sans défenses et sans vêtement, en train de circuler entre les tables tout en leur exposant sa petite chatte rasée.

Finalement je mis très longtemps à m'endormir, m'imaginant des tas de choses même si je savais que je pouvais lui faire confiance.

Je me réveillais vers huit heures du matin et, en me retournant pour lui dire bonjour, je fus horrifié en constatant que son côté était vide. Non, elle avait dû se lever pour boire ou soulager une envie pressante, elle ne pouvait pas être toujours là-bas alors que le club devait être fermé depuis longtemps.

C'est alors que j'entendis la porte d'entrée et je me levais en trombe, inquiet et un peu en colère.

Lorsqu'elle se trouva devant moi, elle prit son air de malheureuse avant que je ne crie. Elle me connaissait bien et elle savait qu'avec cette mimique elle pouvait tout obtenir de moi.

- Excuse-moi de ne rentrer qu'à cette heure mais il y avait pas mal de monde et c'était l'anniversaire du patron. Il nous a payé un verre à tous une fois le club fermé et ça s'est éternisé un peu trop.

Voyant qu'elle avait l'air vraiment désolée, je la pris contre moi pour l'embrasser. Je fus surpris de constater qu'elle sentait fort l'alcool et le tabac mais vu le lieu où elle travaillait c'était peut-être normal.

- Ça s'est passé comment cette nuit au VIP

- Très bien, juste un peu gênée au début mais personne ne faisait vraiment attention à moi. Marc m'a dit que j'avais assuré et qu'il était très fier de moi.

- Et vous êtes beaucoup de serveuses au VIP?

- Comme il n'y a pas trop de monde, on est deux en tout. Mais je te rassure, si ça se trouve, ils n'ont même pas remarqué que j'étais entièrement nue

C'est étrange mais je ne la croyais pas trop. Ma femme avait un corps tellement parfait que je doutais qu'un homme ne la regarde pas alors qu'elle était à poil.

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