Alice in Wonderlands? Ch. 07

BÊTA PUBLIQUE

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Ma main vient inconsciemment de se glisser entre mes cuisses. Cachée sous la table à l'abri des regards je me laisse aller à envisager un petit plaisir. Je me refrène vite, car si l'envie est là, quelques caresses sur mon sexe vont vite transformer ma culotte en serpillière ! Faire un strip-tease avec l'entrecuisse complètement trempé ferait un peu désordre ! Sans ralentir mon jeu de bouche, je tente de faire glisser discrètement ma culotte. Je me contorsionne et tortille des fesses et lorsque je la sens arrivée à mes chevilles ma main retrouve prestement mon clito.

Il est déjà tendu et vibre au moindre de mes passages. Mes doigts commencent à jouer doucement avec alors que mes lèvres se recouvrent déjà d'une fine couche de mouille. Je jette un œil à mon partenaire pour voir si mes manigances ont été repérées. Il est lui aussi dans son monde et ne me regarde pas. Son cigare éteint à la main, il le manipule un peu dans tous les sens tel un bâton de majorette et le porte de temps en temps à ses narines pour humer son odeur.

Je tente d'harmoniser le rythme de ma bouche à celui de mes doigts. Il ne faudrait pas que je fasse jouir mon partenaire avant moi ! Après de très longues minutes de jeu avec ce pieu je le sens commencer à frémir quelque peu, j'accélère alors mes doigts qui flânaient langoureusement sur mon clito. Ce dernier en tension depuis un bon moment ne laisse pas passer l'occasion et explose violemment. Emportée par cet orgasme j'ai quelques secondes de trou noir et je me retrouve le nez dans ses poils.

Je reprends mon souffle et repars à l'assaut du braquemart qui me fait face. Je me suis un peu enflammée lors du frémissement, car il me faut encore un bon moment avant d'amener mon partenaire à l'extase. Comme à chaque fois la dose de foutre est bien copieuse. Avant de refaire surface, je nettoie mon sexe trempé avec la nappe et réintègre ma culotte !

Après avoir pris congé de mon hôte, je me motive pour réaliser mon premier strip-tease. Le résultat n'est pas probant et je dois être aussi sexy que la petite boulotte que j'ai vue en action vendredi soir, c'est vous dire ! Je suis empotée, mes gestes sont patauds, je suis tendue et fixe bêtement le mur pour éviter de croiser les regards émergents des alcôves. Je ne suis carrément pas à l'aise du tout avec ce déshabillage en public et à peine ai je enlevé ma culotte que je me précipite dans une alcôve libre pour me rhabiller discrètement. L'exhib ce n'est pas mon truc !

Pour mon plus grand plaisir, je ne suis pas sollicitée lors de mes deux prestations suivantes. C'est à la fin du strip suivant que je découvre le morceau de tissu violet au milieu de mes affaires. L'alcôve est juste en face de moi, son occupant à dû se rincer l'œil joyeusement.

Je ramasse mes fringues et vais le rejoindre. Je suis surprise de découvrir Émilienne installée devant un grand verre de guiness. Elle a troqué sa tenue de garçonne pour une longue robe légère aux couleurs printanières. Elle a un regard vicieux qui pétille derrière les verres de ses lunettes rondes en me voyant arrivée.

- Ferme le rideau Alice et viens t'asseoir, m'ordonne-t-elle, nous serons plus tranquille pour discuter.

J'obéis et pose mes fesses sur un coin de la banquette en gardant mes habits sur mes genoux pour cacher mon intimité ! Ce petit bout de femme m'impressionne. Malgré sa petite taille, elle dégage une autorité naturelle, son énergie est débordante. Je l'ai vue driver son personnel d'une main de fer tout le week-end, elle sait y faire ! Il faut être motivé quand tu bosses pour elle sinon !

- Si tu veux postuler pour nos prochains spectacles de strip-tease il va falloir que tu bosses dur, se moque-t-elle en faisant allusion à mes passages catastrophiques.

- Oui je crois que ce ne sera jamais mon truc !

- Tu as pourtant l'air d'être à l'aise avec ton corps, commente-t-elle en tripotant l'anneau ornant mon sein droit.

- Oui, mais en public, c'est vraiment autre chose, je suis complètement bloquée.

- On est dans l'intimité en ce moment, ça devrait aller alors, précise-t-elle en commençant à me caresser le mamelon.

Je recule légèrement mon buste pour échapper à sa main. Je ne m'étais pas imaginée un seul instant en acceptant la proposition de Mr Robert que je puisse avoir une relation avec une femme, cela aurait été de toute façon une condition non négociable à mon accord. Cela me dégoûte toujours autant et je ne suis pas prêt de faire mon coming out ! Pourtant vu la tournure que prennent les événements je sens qu'Émilienne va être l'exception, car je vois mal comment sortir de ce "gay pied".

- Voulez-vous que je retente un autre strip sous vos conseils, tenté-je pour m'extraire de l'alcôve.

- Tu as toute l'après-midi pour t'entraîner, me précise-t-elle en venant reprendre plus fermement possession de ma poitrine avec ses deux mains.

Tout en me massant, elle enlève mon masque et approche sa tête de la mienne pour tenter d'attraper mes lèvres. Je me dérobe et lui fais comprendre mon manque d'attirance pour la gent féminine. Elle semble agacée par mon refus et me pince les tétons pour se défouler. Je couine un peu sous ses doigts devenus brutaux qui mettent à mal mes extrémités.

- Dois-je sortir un petit jeton doré pour avoir droit aux plaisirs de ta langue? me demande-t-elle ou préfères tu peux être retourner jouer les dames pipi? J'ai quelques habitués aujourd'hui qui ne refuseraient pas d'honorer gratuitement ta bouche.

La salopeeee. La j'avoue que le choix est cornélien. Malgré ma mâchoire en souffrance je me demande si je ne préférerais pas me retrouver œuvrer dans les toilettes que de passer sous sa robe. Sa question était rhétorique, car tout en parlant elle tire sur mes anneaux pour me faire venir vers elle. Devant la douleur je ne résiste pas et me retrouve collée contre sa poitrine. Elle me léchouille au passage la figure et continue de me guider en tirant fortement sur mes tétons vers le bas pour que je me positionne entre ses cuisses.

Arrivée à destination elle relâche l'un de mes seins pour relever sa robe, écarter les cuisses et me présenter son mont de vénus. Le lieu est glabre à l'exception d'un petit ticket de métro, son sexe est plutôt grand comparé à sa petite taille, ses grandes lèvres sont fines, mais imposantes. L'endroit semble accueillant malgré ma répugnance. En découvrant cette chatoune entretenue, les images de mon expérience à la salle de fitness me sautent aux visages. Je revois tous ses sexes que j'ai dû lécher, beurkkk.

Je n'ai pas trop le temps de m'appesantir. Elle me rapproche de son centre à plaisir en tirant violemment sur le téton encore sous son emprise. Puis d'une main ferme elle attrape ma tête et vient coller mes lèvres contre celles de son intimité. J'étouffe presque avec mon nez écrasé contre son sexe. Ses cuisses m'écrasent les oreilles et m'empêchent de retrouver ma liberté. Son autre main n'a pas lâché mon téton et continue à le torturer sans relâche. Une vraie maso la Émilienne.

Je décide d'être plus coopérative pour mette fin à ce petit calvaire, qui, je le sens bien, ne s'arrêtera que lorsque j'aurai rendu grâce. Je sors ma langue et commence à goûter à son sexe. À son contact ma tortionnaire relâche un peu la pression. Mes seins retrouvent leur liberté, mon téton droit me lance grave ! Ses cuisses s'écartent à nouveau et me laisse le champ libre pour m'occuper plus aisément de son sexe.

Je ne me précipite pas, ne donnant que quelques coups de léchouilles léger en refoulant le dégoût que me procure ce contact. Émilienne attendant mieux replaque ma tête contre son intimité et commence à la frotter sur mon visage. Elle mouille rapidement et me barbouille la figure de son jus. Elle me relâche ensuite pour que je continue mon œuvre. Malgré ma répulsion j'y mets un peu plus d'entrain pour finir au plus vite et m'occupe de son clito.

Sous mes coups de langue, son premier orgasme ne tarde pas à venir et elle me gratifie d'une bonne dose de sécrétions supplémentaires. Elle est généreuse quand elle éjacule l'Émilienne, je vais finir avec un vrai masque de nuit moi ! Alors que j'espère la séance terminée, sa main retrouve le haut de mon crâne pour m'indiquer qu'elle ferait bien un second voyage. Je passe encore une bonne vingtaine de minutes entre ses cuisses pour arriver à mes fins. Ce deuxième opus est bien plus violent et ses cuisses m'écrasent les écoutilles le temps de son orgasme.

Enfin libre, je me relève un peu étourdis par cette fin écrasante. J'ai la figure trempée par sa mouille et je cherche de quoi lui redonner un aspect plus entretenu. Émilienne m'arrête et m'ordonne de garder son odeur sur moi. Je ne pourrai me laver qu'en rentrant chez moi ! Je suis écœurée de conserver toutes les preuves de ses orgasmes sur mon fin minois.

- Tu m'as bien proposé de refaire un strip sous mes directives tout à l'heure? me rappelle-t-elle

Devant ma mine dépitée, elle enchaîne.

- Allez retourne plutôt me montrer si tu sais mieux t'exprimer avec la barre de pool danse.

- Ne fait pas ta timide et reste à poil, m'ordonne-t-elle en attrapant mes fringues alors que je commence à remettre mon soutif. Fais-moi un show sympa et repasse me voir dans dix minutes pour récupérer tes frusques.

Son ton autoritaire ne laisse pas la place à la négociation. Elle glisse une main contre mon sexe pour constater sa sécheresse persistante malgré la demi-heure passée entre ses cuisses et me donne une bonne claque sur les fesses pour m'éjecter nue de l'alcôve. J'ai tout juste le temps de remettre mon masque avant d'arriver dehors. Je suis à moitié déboussolée par la tournure des événements. Je mate dans tous les sens pour voir les éventuelles réactions à ma sortie en tenue d'Ève, mais aucun mouvement à l'horizon.

Je rejoins alors la barre de pool et commence à faire corps avec l'objet métallique. Elle doit m'observer. Pour ma part je passe mon temps à fixer cette foutue barre pour tenter de m'extraire du contexte. Danser à poil au milieu de cette grande salle est une vraie torture ! Au fil des minutes je me détends et mes mouvements sont plus fluides. Je ne dis pas que je maîtrise, mais ça doit être plus regardable. Mon petit cadenas résonne contre la barre régulièrement, heureusement le fond musical couvre ce tintement désobligeant.

La mouille commence à sécher sur mon visage, j'ai envie d'une bonne douche pour me débarrasser de ce souvenir d'Émilienne. Je suis loin de me donner à fond et quand j'estime avoir fait le temps demandé je me précipite retrouver ma tenue d'écolière dans l'antre de la patronne. À peine ai-je ouvert la bouche pour lui réclamer mon bien que je me fige. Émilienne n'est plus dans l'alcôve. Elle s'est transformée en deux papys qui doivent aisément dépasser les soixante-dix balais.

Bêtement je me cache les seins et le sexe en les apercevant alors je viens de m'exhiber pendant une dizaine de minutes, je n'ai plus ma tête ! L'un d'entre des deux s'est emparé de ma culotte et profite de mes effluves intimes. L'autre se lève de la banquette pour m'inviter à m'asseoir entre eux deux. À peine ai-je posé mon popotin que leurs mains s'accaparent de mon corps sans aucune demande d'autorisation écrite. Ils palpent, caressent, soupèsent, étirent, massent, tout ce qui est accessible à leurs dix doigts.

Après quelques minutes de ce jeu, ils sortent leur chibre. La vue de ces petits bouts de chair tout fripés est loin de me donner envie. Je crois qu'ils en ont aussi conscience, car c'est mes mains qu'ils attrapent pour que je caresse leurs deux chipolatas. Je suis moins rebuté par cette façon d'aborder les choses et je branle délicatement les deux vis qui prennent forme doucement entre mes doigts. De leur côté ils ont repris leur découverte de mes charmes et s'appliquent à caresser le moindre centimètre de ma peau disponible.

Après de longues minutes de ce jeu de main partagé, celui qui s'était accaparé de ma culotte l'enroule autour de son petit braquemart. J'accélère mes mouvements de va-et-vient et il ne tarde pas à éjaculer une quantité impressionnante de foutre dans mon shorty. Je suis surprise d'une telle abondance au regard de la taille de son anguille de calcif. Il a entièrement redécoré mon bout de tissu !

Le second ne tarde pas à montrer des signes d'impatience. Il attrape mon soutif, écarte ma main pour maîtriser sa jouissance et décore les deux bonnets de mon soutien mamelle de nombreuses giclées d'un foutre bien dense. Ils avaient fait, lui aussi, des réserves pour l'hiver, pas possible autrement avec les deux petites billes qui encadrent la base de son os à moelle.

Je récupère le reste de mes habits et leur offre gracieusement mes sous-vêtements en guise de souvenir de cette rencontre éphémère. Ils refusent mon offre et préféreraient que je les remette ! Je me vois mal enfiler ces bouts de tissu recouverts généreusement par leur sperme et insiste sur mon présent. Les deux acolytes semblent butés et refusent une nouvelle fois, l'un d'eux finit par me lâcher qu'Émilienne ne serait pas contente.

Je vois, ils sont en service commandé les Dupont et Dupond. Ils ont des ordres, des consignes précises et on ne badine pas avec les directives de la daronne ! J'entends le message et attrape rageusement mon soutif. Les premiers contacts de leur semence avec ma peau sont horribles, j'ai les seins qui collent rapidement. Il en va de même pour ma culotte qui humidifie en plein mon postérieur et mon sexe.

Lorsque je ressors de l'alcôve, j'ai une sensation poisseuse des plus désagréable, je me sens sale. J'ai en plus la peau du visage qui craquelle sous l'effet de la mouille maintenant complètement sèche. Je ne me vois pas refaire de show dans cette tenue dégueulasse, aussi je choisis d'aller voir ailleurs si j'y suis et pars me balader dans les couloirs du club pour chasser l'envie de douche qui est en train de refaire surface. Il n'est que 18h et j'ai encore deux heures à tuer avant la fermeture de ce lieu de vice.

Je prends le temps de détailler les différents lieux de plaisir qui sont proposés aux clients. Je m'amuse même à voir ceux qui me brancheraient et m'imagine même dans certains. J'aime les lieux calmes et soft aussi je mets de côté la prison et tous ceux trop ouverts sur l'extérieur où chacun peut jouer aux voyeurs.

Je frissonne devant la table gynéco, jamais je ne pourrais m'exposer aussi ouvertement ! Le cheval de manège est libre et je m'amuse à le faire fonctionner pour voir le rythme proposé par les trois vitesses possibles. Le gode sur sa selle est plutôt d'un beau gabarit et est réservé aux expérimentées. Comme la 3ème vitesse qui secoue à toute berzingue !

La porte de la "salle des tortures" est restée grande ouverte. Le terme est un peu exagéré, c'est moi qui la nomme ainsi vu la croix de st André et les quelques anneaux qui trône sur les murs. La croix est utilisée par une pulpeuse quarantenaire dont la chevelure détachée cache à moitié son visage. Elle est en sueur et subit les coups de martinet que son tourmenteur distille avec précision.

Il fait gémir sa partenaire sans user de violence, mais en s'attardant sur les zones les plus sensibles. Les pointes de sa généreuse paire de seins ont l'air d'être son terrain préféré. Je reste à les observer un moment dans l'encadrement de la porte. La femme pousse des gémissements presque continus, un mélange de douleur et de plaisir. Se sentant très certainement observé, son fouetteur se retourne. Il prend le temps de me détailler et m'offre un sourire accompagné d'un petit geste de la main pour m'inviter à prendre place sur la Croix. Je ne suis pas maso pour un sou et je décampe à grandes enjambées !

Après avoir fait le tour du propriétaire, je passe récupérer un cocktail au bar et vais m'affaler sur la banquette d'une des alcôves disponibles. J'ai à peine dégusté la moitié du verre qu'avec la fatigue de ce week-end chargé je pique du nez.

- Alice, Alice, réveille toi appelle Émilien en me secouant.

- Hummm, il est quelle heure, m'inquiéré-je en ouvrant difficilement une paupière.

- 19h30, il est interdit de ronfler dans les alcôves, se moque-t-il.

Je pensai juste m'assoupir quelques instants, mais j'étais parti pour une nuit entière là, je crois !

- Tu passeras me voir dans mon bureau quand tu auras émergé, me demande-t-il tout en déposant discrètement un petit jeton doré à côté de mon verre.

Je m'en doutais, cela m'aurait étonné aussi qu'il ne veuille pas profiter de l'occasion. J'enfile cul sec le reste de mon cocktail pour me donner du courage pour cette dernière droite dont je me serai bien passé. La levée du corps est compliquée, le foutre a eu le temps de sécher et ma culotte est collée à mon sexe, tout un bonheur ce redémarrage, beurkkkk.

Quand j'arrive dans son antre c'est lui qui est confortablement installé dans son fauteuil de ministre avec un verre à la main et le falzar aux chevilles !

- Je t'ai senti arriver, se justifie-t-il en faisant référence aux effluves de sperme qui m'accompagnent depuis la fin de journée.

Je ne relève pas l'allusion, car j'ai envie d'en finir au plus vite. Je m'agenouille devant son chibre de seconde catégorie et commence à tenter de le faire s'épanouir. Je n'ai pas trop de mal à faire rendre l'âme à son petit vilebrequin, il devait être excité comme un fou à me voir me balader dans son établissement l'Émilien depuis trois jours. Je découvre son visage épanoui en relevant la tête après avoir dégluti sa semence. Il fait plaisir à voir.

Encore un peu dans les nuages de son orgasme, Émilien profite que je ne me sois pas encore relevée pour glisser un autre jeton doré dans mon soutif.

- Tu le garderas en souvenir, me glisse-t-il dans l'oreille.

Sans quitter son fauteuil, il se ressert une rasade de whisky et attend patiemment en trinquant à ma santé que ma bouche retourne jouer avec son chibre et l'amène visiter les sommets de l'extase. Je vais vous laisser, car cette seconde tournée risque d'être bien plus longue !

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Lorsqu'il eut fini de faire les comptes, Mr Robert se servit un grand verre de whisky, le seul petit plaisir qu'il s'autorisait. Le week-end avait été très bon et il était satisfait du choix des deux spectacles qui avaient animé les soirées du vendredi et du samedi. Il ne doutait pas que le rôle très particulier de la dame pipi qu'avait joué Alice y était aussi pour beaucoup.

En repensant aux diverses conjonctures qui lui avaient permis d'enrôler cette jeune institutrice dans ce week-end de débauche, il eu une belle érection et regretta sa bouche. Ce verre en sa compagnie pour clôturer aura été un pur bonheur !

Il était à la bourre ce soir-là, de ces retards que l'on engendre la matin et que l'on traîne comme un fardeau toute la journée. C'était une voisine cette fois que le démon de midi tracassait fortement en début de matinée qu'il avait dû aller soulager en urgence qui l'avait mis dans le rouge. Un échange de bon procédé avec Marie-Odile où chacun accourait lorsque la libido de l'autre criait des sos à tout va.

Cela avait décalé toute sa journée et il était 19h passé quand il attaquait le nettoyage de la grande salle de réunion qui avait servie plusieurs fois dans la semaine et qui avait besoin d'un petit coup de rafraîchissement. Alors qu'il n'en était qu'à la moitié, une envie pressante qu'il retenait depuis déjà un bon moment revint à la charge. Il se précipita vers les toilettes des professeurs pour se débarrasser de ce surplus encombrant et tomba sur Alice complètement nue assise sur la cuvette cagoinses.

Quelle découverte, quelle rencontre, quelle opportunité, quelle chance cette porte si mal fermée ! Il n'en était toujours pas encore vraiment revenu. Et en plus elle était rousse ! Son péché mignon ! Il craque à chaque fois. Il ne pouvait pas s'empêcher de mater le jeune institutrice discrètement lorsqu'il venait faire sa classe. La voir en tenue d'Ève devant lui le fit se statufier illico.