Alice in Wonderlands? Ch. 07

BÊTA PUBLIQUE

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J'enquille comme prévu deux grands verres du mystérieux cocktail, il est plus corsé que celui d'hier et j'ai déjà les étiquettes qui me chauffent un peu. Cela va me faciliter le démarrage ! Après une bonne demi-heure d'attente, Émilien apparaît sur notre territoire. Il n'a pas vu mes seins pointer à l'horizon et vient me relancer pour que j'effectue ma balade quotidienne.

Je pars à reculons affronter les regards du public. L'espace cabaret est déjà à moitié plein et trois strip-teaseuses ont commencé leur show sur la petite scène. C'est très énergique et on se croirait par moment en séance de fitness, surtout quand la plus pulpeuse d'entre elles enchaîne les grands écarts avec une facilité déconcertante.

Je ne m'attarde pas et perchée sur mes échasses je vais traîner ma frimousse et mon popotin dans les autres lieux de débauche. Le club est bien plus animé qu'hier et déjà plusieurs couples ont pris possession des espaces à disposition dans les deux couloirs. Quelques regards s'attardent sur ma silhouette lors de mon passage, je tente de rester discrète et continue à épouser les murs ! À cause de ma déambulation, le rosebud que j'avais fini par oublier vient de se réveiller et agace ma corolle.

Lorsque je reviens à mon home sweet home, j'ai, comme hier, un aficionado en attente papotant avec ma collègue. C'est mon premier amour de la veille, un vrai fan donc ! Commencer la soirée par une connaissance est plutôt agréable. Je suis quand même un peu tendue pour cette première pipe, mais malgré tout mes débuts sont moins catastrophiques qu'hier et j'arrive à m'en sortir avec une prestation appréciée par mon partenaire.

L'heure suivante est assez calme avec une seule prestation à un gentleman qui m'a laissé pratiquer assise sur la cuvette, tellement rare ! dans cette position ma jupe ne cache pas grand-chose et il a pu apprécier le spectacle de mon shorty rouge, ce qui l'a sûrement aidé à jouir plus rapidement, une tactique à retenir ! Je jette un œil de temps en temps à la salle de spectacle qui s'est remplie. Comme avec les chippendales, les strip-teaseuses font le service entre deux représentations pour le plus grand plaisir des spectateurs.

Il est presque onze heures et la soirée commence à vraiment battre son plein. Je gère les cocktails pour me laisser dans un état très légèrement flottant, mais sans perdre pied. J'étais un peu, mais agréablement, surprise tout à l'heure du calme dont je bénéficiais. Camille me fait remarquer qu'il faut leur laisser le temps de consommer ! Comme dans la citation le calme avant la tempête? Elle arrive et va être au moins de force 8.

Une petite file d'attente est en train de se former. Sans vraiment m'en rendre compte, en quelques minutes je suis prise d'assaut. Il en arrive de toute part, ils se sont tous donné rendez-vous et je ne sais pas par quel bout, dans tous les sens du terme (!), commencer. Camille joue mon assistante et attribue des créneaux horaires à mes prétendants pour bénéficier des faveurs de ma bouche.

En connaisseuse, elle me dit qu'une grosse dizaine de minutes doit être suffisante pour faire rendre l'âme à un braquemart normal et planifie mes rendez-vous sur ce rythme. J'aurais de mon côté préféré prendre plus mon temps, mais devant l'urgence de la situation je ne tergiverse pas et emmène le premier sexe sur la liste vers la porte du paradis.

Il est grand, sec, à la coiffure hirsute et à la tête rigolarde et lorsqu'il offre à ma bouche son long chibre fin je me dis que dix minutes ce n'est pas si long que ça et qu'il va falloir que je sois efficace pour tenir le rythme. Je ne me vois pas zapper les politesses d'usage et me jeter sur leur sexe comme

une affamée en manque de chibre depuis plusieurs jours.

J'arrive à être un peu prêt dans les délais sans passer pour une nymphomane en manque de pratique et lorsque je le raccompagne le suivant est déjà prêt. Au suivant, au suivant racontait Brel dans sa chanson antimilitariste. C'est l'air qui pourrait être joué ici, car le défilé vient de commencer !

Il y en a toujours un là à côté de la table à attendre patiemment son tour de manège. Camille, comme dans un marathon, me tend régulièrement un verre pour que je me désaltère d'une rapide gorgée de cocktail avant de reprendre mon épreuve. J'ai, comme dans un cabinet médical du plaisir, l'impression d'enchaîner les patients. Tous ces chibres défilent l'un après l'autre entre mes mains et ma bouche devenue experte.

Des gros, des petits, des fins, des sans âmes, des mal rasés, des fier-à-bras, des courbés, des mats de cocagne, des biens entretenus, des glabres, des touffus, des exigeants, des délicats, des peines à jouir, des hors catégories, des poussifs, des tendres, des difficiles, des disgracieux, des jouissifs, des hauts en couleur, des arrogants ...

Bref je suis en train de mettre à jour à vitesse grand V mon bestiaire du braquemart. Je vais devenir la reine de la clarinette baveuse et de la vipère de broussaille. Ces panais en attente de quelques coups de langue et de la douceur d'une paire de lèvres expérimentée cherchent quelques minutes de bonheur avant de repartir l'esprit soulagé vers de nouvelles conquêtes.

Je suce, tête, gobe, lèche bisouille, titille, branle à tout va pour tenir coûte que coûte la cadence infernale imposée. Mes mains, pour accélérer le mouvement, ne quittent leurs valseuses que lorsqu'elles ont rendu l'âme. Mes bretelles ont un effet bœuf sur mes partenaires qui jouent à chaque fois avec leur élasticité pour découvrir ma poitrine et vérifier d'une main douce la bonne tenue de mes deux globes. Malgré quelques demandes pour me refaire la façade, j'avale à chaque fois la fumée de leur cigare à moustache pour rester présentable lors de ma prochaine sortie.

Après deux heures d'une cadence infernale j'ai les genoux en compote, les joues en feu, la mâchoire qui commence à avoir des crampes, la gorge irritée par tant de passage, la bouche pâteuse avec toutes ces sortes de foutre ingurgitées, les bras et les poignets tétanisés par les masturbations incessantes quand je suce et la tête un peu étourdis par tous ces va et viens. Avec toutes ces génuflexions je commence à avoir du mal à arquer et j'ai l'espoir qu'une petite pause pointe le bout de son nez à chaque fois que je sors de mon lieu de luxure, mais non c'est à chaque fois un chibre nouveau qui m'attend et me renvoie à la case départ.

Je réclame d'urgence à Camille un petit coussin pour sauver mes genoux qui commencent à haïr la durée du carrelage. C'est Émilien qui vient à mon secours en m'apportant à ma sortie suivante un coussin confortable grand format. Il en profite pour me glisser à l'oreille que la soirée est une véritable réussite et que je ne dois surtout rien lâcher. Il en a de bonne lui, c'est bien d'encourager, mais il faudrait voir à ne pas épuiser trop rapidement son poulain. C'est à lui de gérer ses clients.

Les deux heures suivantes ont fait fondre tous mes espoirs. Le défilé n'a pas fait la moindre petite pause et j'ai enchaîné et enchaîné et enchaîné sans arrêt. J'ai même proposé à certains dont les chibres restaient raisonnables l'option "baisage de bouche". En mode soft bien sur ! Ce n'était pas prévu à la carte du menu au départ, mais vu les crampes qui me taraudaient la mâchoire depuis un moment et mes poignets tétanisés qui ne branlaient plus rien cela m'a grandement soulagé.

Heureusement l'ambiance est très détendue et mes partenaires sont joviaux tout plein. Ils sont, pour la plupart, très à l'aise avec le sexe et leur esprit convivial m'a bien aidé à tenir le coup. J'ai eu moult invitations à prendre un verre, certains m'ont même proposé des cunnis endiablés après mon "service". Je ne suis pas tombée sur un bourrin comme la veille et n'ai croisé qu'une seule queue mal entretenue. Elle a été le challenge de la soirée celle-là, car elle puait à cent lieux et il a eu de la chance de ne pas être dans les premiers sinon j'aurai fait un refus d'obstacle.

Il est 3h15 quand enfin je peux poser mon postérieur. Cela fait plus de 4h que je pratique non-stop et je suis complètement rincée. Camille me rassure en me disant qu'Émilien avait arrêté la vente des bouteilles, sinon, même à leurs tarifs si élevés, je risquais de passer la nuit dans les toilettes ! J'accueille la nouvelle par un sourire un peu bêta encore complètement étourdie par cette longue valse de chibres en délire.

J'enfile d'une traite la petite bouteille d'eau qui traîne à mes pieds. J'ai besoin de nettoyer les conduits. J'ai les saveurs de tous ces spermes avalés qui envahissent en permanence mon palais. J'ai même pensé à un moment que ce trop-plein de spermatozoïde risquerait de me faire vomir, mais finalement, malgré mon dégoût, j'ai réussi à m'en accommoder.

Je remonte mes bretelles qui se sont fait la malle, je dois être en topless depuis quelque temps, car j'ai un peu perdu le fil à un moment donné. Je ferme les yeux et un défilé de sexes en tout genre se met en route. Une sorte de bande-annonce me rappelant tous les membres croisés dans cette soirée sans fin. Camille respecte ma léthargie et c'est une envie de pisser qui me ramène bassement à la réalité une dizaine de minutes plus tard.

En revenant des cagoinses, la vessie libérée, j'ai l'impression de puer le foutre à des kilomètres. Il est presque 4h et le club va fermer. Camille sort le petit pot en verre qui résume l'activité de ma soirée. Ma main l'arrête lorsqu'elle veut renverser son contenu sur la table. Comme hier je ne veux pas voir, je ne veux pas savoir. Elle écarte doucement mon bras.

- Tu dois savoir, tu dois connaître ta performance, me dit-elle en caressant ma joue, car cela en est une belle ! m'affirme-t-elle en connaisseuse avertie du taillage de plumeau.

Comme hier je ne veux pas savoir jusqu'où j'ai été dans la débauche. Je ferme les yeux et entends les petits jetons dorés résonner discrètement sur la table en bois lorsqu'elle déverse le pot. J'ouvre un seul œil et devant mon inertie, Camille commence à les compter. Je suis ses mouvements quand elle écarte au fur et à mesure chacun d'entre eux pour le comptabiliser. Inconsciemment j'en fais de même et le total m'effraie !

- 23? lui demandé-je de me confirmer, c'est bien 23 que j'ai compté?

- Eh oui, je t'avais dit que tu avais réalisé une belle prouesse, tu peux être fière de toi et tu sais que je suis une connaisseuse.

Je n'en reviens pas d'en avoir sucé autant et surtout d'avoir tenu tout ce temps. Mes émotions sont mélangées. J'ai un petit sentiment de satisfaction d'avoir réussi ce challenge marathon, ce petit pan d'orgueil mal placé qui vous rend fier d'une action même si elle vous dégoutte à la base. Ce mélange de dégoût en repensant au lieu de pratique, de soulagement que tout se soit bien passé, de plaisir presque lors de certaines rencontres ... s'entrechoque dans mon ciboulot fatigué.

On comptera les bouses à la fin de la foire répétait mon grand-père avant de préjugé trop rapidement de la réussite ou non d'une situation en court. Je crois que je vais en faire de même, j'ai le reste des vacances pour faire un bilan à froid ! J'enfile juste mon duffle-coat dans le bureau d'Émilien et cours mettre ma viande dans le torchon.

En sortant, le froid m'agresse, comme ce foutu intrus fessier qui brûle ma corolle très irritée depuis le milieu de la soirée. Il ne faut pas que j'oublie de l'enlever celui-là !

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Il est 13h30 lorsque je déboule encore à moitié endormie dans le bureau d'Émilien. La nuit a été courte, car après la soirée du samedi aussi agitée j'ai eu du mal à trouver le sommeil. Le club est ouvert de 14h à 20h le dimanche, donc pas de folles nuits de débauche en perspective. J'espère que l'après-midi sera calme, car pour parler vulgairement j'ai un peu la tête dans le cul. Vous allez me dire que c'est le rosebud que j'ai eu toute la journée hier dans le cul et que ça change un peu. Je ne relèverai pas ce mot déplacé !

- Alice, me crie Émilien les bras grands ouverts pour m'accueillir dans un style très marseillais lorsque je franchis la porte de son bureau, un véritable succès cette soirée. Je dois vraiment te féliciter pour ta participation. Tu as été merveilleuse.

Je ne relève pas le compliment vu ce que m'a coûté ce fichu samedi soir. Je ne vois pas vraiment pas les choses sous le même angle. Depuis vendredi soir le mien s'arrête aux paires de cacahuètes velues.

- Alors écoute, pour aujourd'hui comme la soirée d'hier a été très chargée et que les clients du dimanche sont par nature moins dépensier, j'ai eu une idée de remplacement pour que tu ais une journée plus tranquille. L'ambiance de l'après-midi est plus propice aux câlins et aux moments tendresse qu'aux folies d'une soirée.

- La salle de l'étage est très peu animée le dimanche, enchaîne-t-il sans me laisser le temps d'en placer une. Il y a moins de monde et moins de jeunes femmes n'ose se lancer dans l'exercice compliqué des barres de pool danse ou dans un strip-tease sans aide d'un alcool inhibiteur. Je me disais donc que tu pourrais peut-être jouer ce rôle? Qu'est-ce que tu en dis? C'est plus confort que dame pipi, tu ne trouves pas?

- Oui bien sûr, je préfère ça sans problème, sauté-je sur l'occasion afin d'éviter une nouvelle journée agenouillée dans les cagoinses.

J'avoue que je suis venue à reculons aujourd'hui, sans aucune envie de compléter mon album de service trois-pièces. J'ai les genoux en compotes et la mâchoire douloureuse qui grince à chaque mouvement de lèvre. Sans parler de l'abondance de foutre qui a fini par me mettre l'estomac sens dessus dessous. J'ai accepté un peu vite sans vraiment réaliser ce qu'il me proposait trop contente d'éviter quelques jeux de bouche éprouvants.

- Par contre je suis vraiment crevée de la soirée d'hier et je ne pourrais pas danser tout l'après-midi, lui précisé-je.

- Oui je comprends, je te propose seulement deux passages d'une grosse dizaine de minutes par heure, un en strip et l'autre en pool, ça te va?

J'aurai bien évité le strip, ce n'est pas du tout mon truc, mais je ne veux pas trop tirer sur la corde ne voulant pas le vexer pour me retrouver en dame pipi une nouvelle fois.

- Le strip-tease doit être intégrale? questionné-je naïvement

- Quelle question, bien sûr enfin voyons Alice, on n'est pas au couvent, rigole-t-il, je ne te pensais pas si pudique.

- C'est surtout à cause du petit cadenas, j'ai du mal à m'exposer avec en public.

- Le cadenas, quel cadenas?

- Celui qui est sur mon sexe, précisé-je.

- Je ne savais pas que tu en portais un, montre moi ça Alice

Je suis sure que ce salaud s'en souvient, même s'il ne m'a vue nue que peu de temps il n'a pas pu le rater. Bêtement un peu rougissante je baisse ma culotte et remonte ma jupe pour lui faire découvrir ce qui barricade l'entrée de mon sexe. Il a un mouvement de la main pour le toucher, mais se retient au dernier moment. J'apprécie ce respect.

- C'est mignon tout plein ce cadenas, tu gardes ta virginité pour ton amoureux, s'amuse-t-il

Le "ta gueule", comme avec Vincent, est sortie tout seul, tout naturellement. Ça m'inquiète parfois de ne pas me contrôler en entendant les conneries des gens. Émilien ne s'en offusque pas et enchaîne.

- Dans un club libertin, même si ce n'est pas courant, ça ne choquera personne rassure toi !

Bon raté, mais j'aurai quand même tenté pour ne faire que du pool danse ! Tout en m'indiquant de finir de me déshabiller, il sort de son placard ma tenue du jour ainsi qu'un nouveau masque vénitien. J'en suis une grande consommatrice ! Je garde mon shorty bleu nuit et mon soutif assorti et enfile les longues chaussettes bleues qui monte jusqu'aux genoux, la jupe plissée bleu roi et le petit chemiser blanc bordé de bleu presque transparent. J'ajuste le nœud papillon rose qu'il me tend. En résumé, à part les yeux bridés, je ressemble comme deux gouttes d'eau à une écolière japonaise ! Émilien se recule pour admirer son œuvre, un sourire de satisfaction rayonne sur son visage !

- J'avais oublié, Alice avant que tu ne commences, de t'expliquer le fonctionnement de la salle.

- Comment ça? Je peux choisir la playlist pour le pool danse, rigolé-je.

- Tu as peut-être constaté que les alcôves avaient une tenture de couleur différente sur leur côté. Elle sert à les repérer plus facilement. Lorsqu'une femme, ou un homme ça arrive parfois, fait un pool ou un strip une personne peut venir déposer un morceau de tissu devant elle pour l'inviter à passer à son alcôve. La personne doit souscrire obligatoirement à l'invitation sans aucune autre obligation. Elle peut juste papoter, boire un verre ou plus si affinité. Elle peut refuser toute demande, mais pour toi forcément ... le client ... tout ça ... peut réclamer ta bouche !

Je ne réagis même pas et pars commencer mon show après encore quelques précisions d'Émilien sur ses attentes. Je ne suis pas pressée de me mettre à poil au milieu de cette salle. Aucune autre candidate à l'exhibition n'a l'air de vouloir me voler la vedette aussi je décide de me jeter dans le grand bain et jette mon dévolu sur le pool dance de gauche pour une première expérience de cet instrument de torture.

Je ne suis pas très à l'aise avec cette barre en métal. Je tente de l'apprivoiser sans vraiment grande réussite et me contente surtout de danser autour. J'arrête de me trémousser à la fin du morceau de musique et découvre en quittant la barre de pool qu'un premier admirateur avait fait fi de mon inexpérience et m'avait laissé son morceau d'étoffe. Je n'ai vu personne le déposer concentrée que j'étais à essayer de maîtriser l'engin de torture. Rouge, le morceau de tissu est rouge. Je parcours d'un œil rapide les différentes alcôves qui me font face pour enfin trouver la rouge à l'extrême gauche. Normal me direz vous !

Moi qui espérais un début d'après-midi tranquille ! En arrivant devant l'alcôve, je reconnais sans hésitation mon plus grand fan de ce week-end confortablement assis sur la banquette. Je vais l'appeler l'homme au cigare, car sa petite pochette en accueille un en permanence. Il doit passer ses journées au club ou il est tombé amoureux de ma bouche lors de ma première prestation à son égard vendredi?

J'arrête là mes délires et m'assois à ses côtés. Il me tend une coupe de champagne que je déguste tranquillement. C'est une histoire sans paroles, je suis presque contente de le revoir et n'ose briser le silence qui s'est instauré dans son alcôve. En dégustant la sienne, sa main gauche caresse l'intérieur de ma cuisse. Je laisse ses doigts s'inviter à découvrir mon corps. Ils déboutonnent à moitié mon chemisier pour laisser apparaître généreusement ma poitrine qu'il masse un moment.

Il remplit à nouveau ma coupe et d'une main habile prend connaissance pendant un long moment des autres charmes de mon corps. Satisfait par ce voyage sensoriel il déboutonne son pantalon et sort son monstre de sa caverne. Il n'a pas besoin de parler, le message est clair et j'y souscris sans rechigner. Je soulève la nappe tombante et me glisse sous la table pour aller attraper ce gros morceau de chair mis à ma disposition.

Cette queue me fascine depuis sa première rencontre. Elle n'est pas gigantesque, mais c'est quand même un sacré calibre. Elle est assez épaisse, bien proportionnée, très légèrement veineuse, à la toison soigneusement entretenue. Elle est fièrement posée sur deux monticules massifs. Je crois que malgré ma mâchoire douloureuse, c'est la seule qui va me faire plaisir à sucer aujourd'hui.

Bon les débuts sont quand même difficiles. Dérouiller la mâchoire n'est pas une mince affaire. Ça grince et tire de partout. Je m'applique surtout à téter le gland, je ne m'aventure pas à l'accueillir plus avant tant ma bouche est restée très sensible et ma gorge très irritée par toutes ces biroutes passées hier soir. Ma langue parcourt sans relâche l'imposante hampe qui soutient ce gland majestueux. Je la laisse parfois descendre plus bas pour gober par alternance ses joyeuses.