Alice in Wonderlands? Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

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Faire la gamine, il en a de bonne lui, c'est de mon pucelage anal dont on parle là, pas d'un caprice à deux balles pour aller faire un tour de manège. J'ai le droit d'en revendiquer l'usage qui me plaît quand même ! Je fais un détour par la salle de bain pour enlever, difficilement, l'intrus de mes fesses et le rejoins dans la chambre. Après autant de temps dans les lieux j'ai carrément l'impression d'avoir les fesses vides ! Un espèce de manque apparaît après le soulagement de son retrait. Mon anus claque du bec à la recherche du disparu.

Ma robe est vite enlevée et après un commentaire coquin sur mon absence de dessus, la langue d'Alexandre arrête de dire des conneries pour aller goûter au plaisir de mon entrejambe. Après une bonne vingtaine de minutes d'un cunni ininterrompu et alors que je suis enfin détendue, en quête d'une petite accélération sur mon clito pour atteindre les plaisirs qui se pointent à l'horizon, il s'arrête et me retourne.

Il est autoritaire quand il me met à quatre pattes, la tête posée sur l'oreiller. Ses doigts fleurètent avec mon anus pour l'enduire copieusement de vaseline. Ils s'y sont déjà aventurés à plusieurs reprises pendant le cunni et forcent à présent l'entrée sans grande difficulté. Ils vont et viennent à leur guise, seul ou par paire, enduisant le conduit du précieux gel.

Après de longues minutes de préparation, c'est le gland d'Alexandre que je sens caresser mes fesses. Toujours sans un mot pour ne pas effrayer l'animal que je suis, ce chibre en costume de latex vient chercher un peu de lubrifiant à la source de ma chatte pour ensuite faire une première approche vers mon sphincter dilaté. J'ai un début de sué et j'ai les jambes qui ont la tremblote, tendue je suis malgré les conseils d'Alexandre.

Au contact de son gland sur ma corolle, j'enfouis ma tête dans l'oreiller de peur de crier et d'informer tout l'immeuble de mes déboires. Je pousse comme demandé par le chef d'orchestre lorsque le gland tente d'entrer. Malgré le travail préparatoire de ses doigts, le conduit est loin d'être suffisamment élargi, il faut dire qu'il est plutôt bien équipé Alexandre. Sa queue revient à la charge à plusieurs reprises, repassant avant à chaque fois à la source de mon lubrifiant naturel.

Lors d'une énième tentative, après une grosse claque sur mes fesses qui me détourne l'attention quelques secondes, son gland profite du relâchement pour s'accaparer les lieux. Mon petit cri lors de l'introduction est sans soucis étouffé par l'oreiller. Alexandre ne s'arrête pas en si bon chemin et sans tenir compte de mes couinements continus à progresser à grandes enjambées. C'est seulement lorsque je sens son bassin venir se coller contre mes fesses que je sais que toute sa queue vient de trouver sa place dans mon cul !

- Enlève là, s'il te plaît, enlève là, ne puis-je m'empêcher de chouiner sans arrêt. Ce gros bout de chair qui m'envahit et me dilate la corolle est insupportable et douloureux.

Mais il n'entend pas mes apitoiements. Il fait une pause bien ancré au fond de mon popotin et attend que je m'y habitue. Ses mains tentent une nouvelle fois de détourner mon attention en s'activant sur mes tétons et sur mon clito, mais ma libido a pris la poudre d'escampette et mon cerveau reste bloqué sur ce qui arrive à mes fesses. Quand j'essaie de me relever pour échapper à l'envahisseur ses mains autoritaires, mais sans rudesse, me remettent en place.

Lorsqu'il me sent un peu moins crispé, il commence quelques aller-retour tout en douceur, en prenant son temps, de manière très précautionneuse. Il ressort entièrement de temps en temps pour lubrifier régulièrement toute la longueur de son chibre et replonge chercher un peu de bonheur dans mes entrailles. Mes fesses restent vraiment serrées et malgré toutes ses précautions et toutes ses attentions je ne trouve rien d'agréable à cet acte bestial.

Après un long, très long moment de solitude avec ce braquemart qui me pilonne sans arrêt le popotin, Alexandre vient se bloquer tout au fond pour un court, mais très intense, génocide de spermatozoïde dans son bout de latex. Il ne s'attarde pas sur son plaisir. Il sort de mon conduit et me retourne pour plonger une nouvelle sa tête au milieu de mes jambes. J'ai les fesses qui palpitent dans tous les sens comme le poisson qui, hors de l'eau, cherche désespérément un peu d'oxygène.

Je ne me sens pas du tout en état pour partir prendre mon pied, mais Alexandre est têtu et tenace, c'est un véritable acharné qui sait jouer de sa langue. Il lui faut quand même une bonne dizaine de minutes de persévérance pour m'emmener au paradis.

- Ça va, me demande-t-il lorsque nous sommes revenus sur terre.

Je lui suis reconnaissant de ne pas me demander si j'ai aimé, cela aurait été réellement déplacé. Mais j'ai presque quand même envie de lui sortir les panneaux comme dans l'école des fans avec feu Jacques Martin. Jouissance : 0, plaisirs : 0, comportement d'Alexandre : 10, mal au cul : 10 .... Tout juste la moyenne tout ça !

Le grignotage qui s'en suit est très partagé. Gargantuesque pour lui qui apprécie la préparation de mon petit parmentier et lui fait la fête. Minuscule pour ma part tellement j'ai l'estomac noué à la perspective d'une nouvelle sodomie. La pendule de la cuisine égrène les secondes et me rapproche sans la moindre issue de secours vers cette seconde intrusion. Ma petite boule au ventre s'intensifie au gré de ce temps qui défile trop vite.

Vous croyez que l'enculage fait partie de l'évolution de la femme? Moi qui pensais que c'était une pratique réservée aux politiciens. Alexandre ne rentre pas dans le débat et m'indique que Mr K ne va pas tarder à arriver. Le rituel du bandeau / menottes / boule quies effectué je me retrouve sur le ventre dans mon lit avec l'oreiller sous l'estomac pour relever ce qui va devenir le lieu du drame. Mon fessier quoi ! Suivez un peu.

Il a pris soin ensuite de bien préparer ma corolle qu'il a grassement enduite de lubrifiant. Puis c'est l'attente, longue et irrespirable tellement j'ai envie d'être déjà à l'après ! Une main vient de me masser vigoureusement les fesses et briser tous mes espoirs d'annulation ! Là purée j'ai vraiment envie d'être à plus tard ! Je vous passe les détails de cet acte brutal qui m'a défoncé les fesses. J'en ai regretté la douceur et le tact d'Alexandre. J'ai eu beau suivre ses conseils en ouvrant les jambes, en poussant lors de l'introduction et en tentant de me détendre au maximum, mais rien n'y a fait. Je n'ai pas arrêté de couiner de douleur dans mon oreiller pendant toute la sodo et j'ai les fesses en compote !

La seconde couche a été bien plus longue à arriver, car il a forcément repris possession des lieux un peu plus tard pour me faire profiter d'une nouvelle giclée de foutre dans les intestins. Eh oui Mr K ne sort pas couvert ! C'est donc mon popotin qui héberge ses spermatozoïdes pour mon plus grand malheur ! Malgré mon orifice bien dilaté par sa première visite, cette deuxième chevauchée fut presque plus douloureuse. Cette brute se sentant en terrain conquis ne s'est retenue à aucun moment et a donné libre cours à ses coups de reins fougueux qui ont mis le feu à ma corolle !

Lorsque Alexandre me libère je tombe dans ses bras, enfin "tomber" c'est une image bien sûr. J'ai une envie folle de prendre une douche pour laver l'affront que je viens de subir, mais il m'en empêche. Étonnamment il est nu et son sexe hisse fièrement le drapeau. Lorsqu'il m'allonge sur le dos, je ne sais pas trop comment réagir. Sa langue et ses mains reprennent possession de mon corps. Il relève mes jambes et vient se placer entre mes cuisses. Lorsque son chibre vient titiller mon entrée des artistes, je réagis vivement.

- Non Alexandre, ce n'est pas drôle du tout, enlève là tout de suite

- Chuuuut, me susurre-t-il à l'oreille. Il ne faut pas que tu restes sur une mauvaise impression.

Mais je m'en fous moi de ça, je veux juste soulager les élancements de mon anus à grand coup de crèmes réparatrices. On verra le côté psy plus tard à tête et cul reposés ! Mais il n'a pas l'air de m'entendre et son sexe vient sans attendre prendre position au plus profond de mon séant. Il est sur moi et toute bataille serait vaine. J'accepte en lui martyrisant le dos de coups de poing rageurs.

Alors que je m'attendais à un nouvel échauffement des contours de mon anus déjà bien rougis par l'effort, sa queue fait juste acte de présence. Sa bouche s'occupe de mes tétons, l'une de ses mains emmène l'une des miennes vers mon clito et lui indique de s'en occuper sans relâche. Son autre fait déjà connaissance avec mes lèvres intimes. Putain quand il a quelque chose dans le crâne ce grand con.

Je démarre mollement les premiers contacts avec mon clito, la motivation n'est pas là, cela va sans dire ! Lui, toujours bien ancré s'active sans répit à faire monter la pression dans mes organes à plaisir. Son chibre se réveille de temps en temps en donnant quelques légers coups histoire de ne pas s'endormir.

À force de temps et d'acharnement, Alexandre arrive à ses fins et mes doigts finissent par prendre une part très active à ce plaisir qui pointe le bout de son nez. Sa queue en profite pour redonner vie à mon popotin en se la jouant langoureuse dans mes entrailles. Il me lime tout en douceur, à la paresseuse et c'est d'une furieuse accélération sur mon clito que j'essaie de franchir la ligne d'arrivée. La flamme du dernier kilomètre est tout juste en vue, mais je commence quand même mon sprint, confiante sur mes capacités de résistance.

Après une explosion qui a vu mes fesses se contracter sans retenue sur l'intrus, j'interpelle vivement Alexandre.

- Sors là, sors là s'il te plaît, viteeeee.

Devant l'urgence de mon ton, il s'exécute. Après l'orgasme sa queue est devenue source de douleur et mon anus crispé dessus ne la supportait plus, il avait vraiment besoin d'être libéré. J'ai un peu de savoir-vivre malgré tous ces événements et c'est assez rapidement que je prends son chibre en bouche pour lui rendre la pareille. Bien sûr que j'ai enlevé la capote, bande de dégueulasse. Allez je vous laisse, mon fondement réclame des soins et l'infirmier est en formation !

---------------

Mr K ne s'était pas vraiment fixé sur l'utilisation d'Alice une fois que la fécondation serait réussie. Il s'était laissé la possibilité d'improviser en fonction de ses réactions. Il n'avait cependant pas pu s'empêcher de faire les honneurs à ce magnifique petit cul qui lui tendait les bras. C'est son péché mignon le sodo ! Il l'aurait aimée encore un peu plus serrée pour profiter encore plus de cette défloraison anale. Il était un peu surpris d'ailleurs de l'effet du plug, mais bast son cul était vraiment très accueillant et lui laissait entrevoir de belles perspectives pour la suite. Cet argument pourrait peser dans la balance lors de négociations ou pour asseoir certaines relations. Il ne regrettait pas aujourd'hui l'orientation qu'il avait choisie pour sa vengeance.

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1 Commentaires
StephabdxStephabdxil y a 11 mois

bonjour

pas fan de la partie couche culotte

un peu plus de detail lors des fellations ?

merci de vos textes

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