Alice in Wonderlands? Ch. 04

Informations sur Récit
Alice, une histoire de vengeance.
9k mots
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Partie 4 de la série de 9 pièces

Actualisé 12/29/2023
Créé 02/25/2023
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cinolas
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chapitre 4 - Une rentrée mouvementée.

J'arrive au 3ème étage, celui qui est interdit aux enfants dans ce bâtiment. Je jette un œil dans la salle des professeurs, salue à l'occasion deux collègues et continue ma route. Je longe les trois salles transformées en lieu de stockage pour le matériel de l'école, de véritables cavernes d'Alibaba pour ceux qui prennent le temps de les utiliser. Je dépasse les deux toilettes qui nous sont réservées et qui auraient bien besoin d'une complète rénovation, puis la grande salle qui sert aux diverses réunions et arrive enfin au bureau de Vincent situé au bout du couloir à côté de la porte de secours. Ils sont immenses les couloirs des bâtiments de St Thérèse de la Luciole !

Vous vous demandez sûrement ce que fait une athée convaincue comme moi au milieu de ce parterre de cul béni. Loin de moi l'envie d'un coming out religieux, figurez vous que j'y suis arrivée complètement par hasard. Lors de ma recherche de stage l'an dernier les 3 établissements en ville que j'avais demandés n'ont pas pu m'accueillir. L'année était particulière, toutes les écoles étaient surbookées et les places étaient chères. J'aurais pu bien sûr utiliser le réseau de mon père pour que l'on me fasse aisément une faveur, mais je ne mange pas de ce pain-là.

Aucun poste à moins de 30km et si on tient compte des bouchons pour sortir de la ville il fallait compter une heure de trajet matin et soir, toute une sinécure qui je vous l'avoue ne m'enchantait guère. J'avais fini par jeter mon dévolu sur une petite commune située à environ une cinquantaine de kilomètre. Plus loin encore me direz-vous. En effet, mais elle n'était qu'à une petite dizaine de kilomètre de la mer et quitte à m'excentrer je pouvais ainsi profiter aisément des joies de la côte après la classe.

J'avais même imaginé laisser ma voiture sur place la semaine et faire le trajet par le Ter qui desservait la commune. Pas plus long en trajet et moins fatiguant ! Tout était à peu près calé pour démarrer cette année de stage dans de bonnes conditions lorsqu'à quelques jours de la rentrée Monique, l'une des secrétaires du rectorat en charge des stagiaires, m'appelle en fin de matinée pour me proposer un autre poste.

" Alice, j'ai un poste qui vient de se libérer en centre-ville, m'annonce-t-elle. C'est une classe de grande section, dans le privé, mais cela ne devrait pas te poser de problème. J'ai réservé le poste et j'ai donné ton nom, ça t'intéresse?"

Même si le privé n'est pas ma tasse de thé, l'opportunité était à étudier de très près. J'appelle l'école dans la foulée et me retrouve en tout début d'après-midi dans le bureau du directeur pour une présentation du projet de l'établissement et de la classe qui me serait confiée. Aucune allusion religieuse dans son discours, cela me rassure sur leur approche éducative. Le projet me convient et moins d'une heure et demie après avoir franchi le portail de st Thérèse de la Luciole je pose ma griffe sur la convention de stage toute fraîchement sortie de l'imprimante !

Vincent est en train de nous préparer un petit café lorsque j'arrive dans son bureau.

- Jette un œil au message que j'ai reçu ce matin, il va certainement t'intéresser, m'invite-t-il.

Je pose mes fesses dans son fauteuil de ministre, secoue la souris pour sortir son pc de la veille et découvre un texte sobre affiché sur sa messagerie. "2 photos et une vidéo pour votre info. Salutation". Je clique sur la première des pièces jointes proposées et après quelques secondes de suspense dû à l'âge canonique de son ordinateur je reste bouche bée devant ce que j'aperçois. En toile de fond une douche collective aux murs blancs cassés et au premier plan deux corps nus ! L'un debout à la forte poitrine et les jambes bien écartées, l'autre devant à genou la tête au beau milieu de l'intimité du premier !

Vous l'avez facilement deviné, l'autre c'est moi en train de faire plaisir à Aurélie lors de cette soirée fitness si particulière. D'une main tremblante je double clic sur la seconde. Elle me présente de face cette fois, jambes grandes ouvertes, avec Aurélie dans mon dos qui me masturbe alors que je venais de prendre mon pied. Je n'ose ouvrir la vidéo. Ses images défilent en léger accéléré pour me montrer à quatre pattes embrassant généreusement les cinq chattes disposées sur le banc du vestiaire. Les têtes de toutes les autres participantes ont été soigneusement floutées !

Ah non ça ne va pas recommencer, j'en ai soupé des photos, il n'est pas drôle du tout ce running gag. La main crispée sur une souris que j'ai follement envie de balancer à travers l'écran, je ne peux m'empêcher de lâcher "Ah, les salopes !". Certes on n'y voit que des détournements de majeur dans celles-ci, mais ce n'est pas une raison. Merde alors, j'aimerais que l'on respecte un peu ma vie privée. Je vais devoir le crier sur tous les toits, "je ne suis pas exhibitionniste !!!" Arrêtez de m'afficher dans tous les lieux publics !

Vincent vient de déposer l'expresso devant moi comme si de rien n'était, comme si nous regardions tout simplement quelques œuvres de la dernière exposition avant-gardiste proposée au centre culturel. Il se place à mes côtés pour déguster le sien et commente tout naturellement la scène.

- Tu es magnifique Alice, je ne m'étais pas encore attardé sur tes courbes, mais elles sont superbes. Et que dire de ce déhanché, de la présence de ce superbe fessier qui crève l'écran lorsque tu te déplaces. Une belle harmonie avec tes cheveux qui ondulent !

En boule, toute recroquevillée dans son immense fauteuil, j'écoute ses éloges sans rien dire. J'ai piqué un fard en découvrant les chefs-d'œuvre, mais maintenant la gêne a fait place à la colère, à l'agacement, à l'énervement. Je tente de paraître aussi naturelle et détachée que possible, mais il me faut le renfort de ma seconde main pour éviter qu'un début de parkinsonite aiguë vienne renverser la tasse que je viens d'attraper.

- Merci pour tous ses compliments, répondis-je du bout des lèvres en goûtant l'expresso.

- Je ne te savais pas attiré par le beau sexe. Tu as défilé à la Gay pride cette année.

- Non, mais je .... ce n'est pas ... il faut que je te dise .... tout ça n'est ...

J'essaie désespérément de démarrer un brouillon d'explication de ma présence dans ce traquenard lesbien. Mais lesbien utile en soi?

- Je te charrie, tu n'as pas à te justifier, tu es libre d'avoir la sexualité que tu veux. Mais avec le souvenir de cette bouche aux talents si prometteurs que tu m'as fait découvrir en fin d'année dernière pour me motiver pour ton rapport de stage, je te pensai clairement hétéro. Bi c'est bien aussi tu sais.

- Mais je .... non, écoute ..., continué-je de m'enfoncer très clairement.

- Par contre, essaye de rester plus discrète, tu sais bien que notre établissement est très strict là dessus et que cela pourrait être une cause de renvoi si cela venait aux oreilles de certains membres de notre directoire.

- Revenons aux choses sérieuses, je voulais te proposer une formation vendredi prochain.

Sérieux ! Difficile avec cette vidéo de mes charmes si violemment exposés qui tourne en boucle sous nos yeux que je décide enfin de fermer d'un clic rageur !

- Je ne t'en dis pas plus pour l'instant, tu auras la surprise. J'ai prévu une remplaçante pour ta classe. Si la formation te plaît, on pourra l'envisager tous les vendredis.

- Tu viendras un peu plus tôt, vers 7h, avant que tes collègues arrivent, enchaîne-t-il sans attendre mon accord. Je ne veux pas que ta remplaçante vienne te déranger à tout bout de champ. Tu passeras par l'escalier de secours pour plus de discrétion, je te laisse un double de la porte.

- Allez maintenant si tu veux bien rendre à César son fauteuil, s'amuse-t-il en me posant la main sur l'épaule, j'ai une journée extrêmement chargée !

- Oui, oui, bien sûr, m'empressé-je de lui répondre en laissant libre la place toute chaude. Moi qui m'attendais à passer à nouveau sous son bureau, je ne traîne pas pour aller retrouver la chaleur de ma classe. Quelle est la S... qui s'est permis de diffuser ces photos? Je n'avais pas prévu de reprendre les cours à L'Orange bleue, mais là je vais devoir aller enquêter. J'ai une folle envie d'aller dire ses quatre vérités à la dérangée du bulbe qui joue avec ces clichés. Je n'ai pas envie que sa liste de diffusion s'agrandisse à mes dépens !

---------------

La semaine se déroule plutôt tranquillement au rythme des récrés, des cris des enfants dans la cour, des préparations avec les atsems, bref la petite routine qui s'installe déjà trois semaines seulement après la rentrée. Je commence à vraiment trouver mes repères dans ce début de seconde année avec cette tranche d'âge. Le choix des maternelles se confirme pour la suite de ma carrière pour l'instant. Ma remplaçante est venue jeudi passer une journée avec moi pour elle aussi prendre ses marques. Marguerite, original son prénom, très dynamique !

Il est 7h tapante lorsque je m'engage dans l'escalier à colimaçon grinçant situé sur le côté du bâtiment pour me rendre dans le bureau de Vincent. Il vaque déjà à ses occupations quand j'y rentre, matinal le garçon. Je ne me suis pas fait de film sur la formation qu'il souhaite me proposer, laissant la surprise et l'opportunité le jour même de la refuser si elle est loin de mes attentes. Une bonne odeur de café embaume toute la pièce. Je suis plus thé le matin, mais je crois que je vais me laisser tenter. Une assiette remplie de croissant et de pain au chocolat trône sur la table. L'accueil est agréable.

Lorsque je suis attablée devant une tasse fumante dévorant l'un des pains au chocolat, mon péché mignon, il attaque.

- Avant de te parler de la formation, j'aimerais que tu te déshabilles, me demande-t-il sans se séparer de son calme.

Je recrache sur la table en toussotant le morceau du pain qui vient de prendre un début de sens interdit en entendant la demande de Vincent.

- Ça ne va pas la tête, réagissé-je violemment, elles t'ont chamboulé le ciboulot mes photos. Tu te prends pour qui? Tu n'es pas du tout mon style, tu sais. Et ne crois pas que ta position de directeur va changer quelque chose. Tu n'es qu'un salaud en fait ! Allez je te laisse avec tes fantasmes et je retourne avec mes pitchouns, eux au moins sont moins dérangés !

- Il est vrai, et je te l'accorde volontiers, qu'elles ont décuplé ma libido à ton égard. Je ne peux le nier. Crois-tu qu'elles feraient autant d'effet à certains membres de notre Directoire? me demande-t-il en venant poser ses mains sur mes épaules alors que je m'apprêtais à me lever pour quitter son bureau sans attendre.

Il est en train, sans rien dire, de me faire chanter cette pourriture. J'y crois pas, quel enfoiré sous ses airs cool et aimable. Je fulmine, j'enrage, je peste à tout va contre cet anthropopithèque qui vient de placer les restes de son cerveau au niveau de ses testicules. Bienvenue chez les cons aurait dû écrire Dany Boon tant cette particularité humaine est commune à toutes nos régions ! Un véritable fléau !

- Et puis je pourrai peut-être convaincre l'expéditeur du mail de ne plus étaler ta vie privée sur la voie publique. Qu'en penses-tu?

J'évite de lui répondre franchement, car sinon ses oreilles vont saigner tant j'ai envie de l'insulter par tous les noms. Je suis capable de régler mes petits problèmes toute seule et compte bien découvrir l'ignoble expéditeur qui se permet d'étaler mes débordements. Me mettre à poil ne me dérange pas en soi, même si maintenant avec mes ornements j'ai carrément plus de mal à assumer. Je ne les ai pas tous encore vraiment acceptés, voir même pas du tout pour l'un d'entre eux. C'est surtout ce foutu cadenas qui me pose problème, il est vraiment le symbole de cette soumission sexuelle que je ne digère pas.

Et puis si je mets un doigt dans cet engrenage comment vais-je pouvoir m'en sortir? J'ai le ciboulot qui tourne à toute vitesse, mais n'arrive cependant pas à avoir une réflexion cohérente. L'histoire de cet été m'a un peu affaibli et ce second coup de bambou est difficile à digérer ! Vous allez me dire que je peux aller réaliser mon stage ailleurs et gentiment faire un bras d'honneur à cet excité du calbute qu'est Vincent. Pas si facile que ça, la rentrée étant entamée tous les postes vont être pourvus et j'ai absolument besoin de valider mon stage cette année. Un véritable début d'impasse !

Bon si ce taré veut une petite pipe à poil en échange de son silence, c'est pas la mer à boire en soit, mais n'allez pas penser que je me déshabille au moindre claquement de doigts ! Je vais lui la jouer fellation à toute vitesse.

- Tu n'es vraiment qu'un salaud, lui craché-je au visage en me levant pour ôter mes vêtements.

Je suis loin d'être en mode strip-tease et fais au plus pressé. Vincent, lui, récupère au fur et à mesure chacun de mes vêtements jonchant le sol pour les mettre, soigneusement et correctement pliés, dans un sac. Le dernier emballé, il va enfermer son trésor dans un des placards gardant précieusement la clé dans une de ses poches.

Je suis devant lui comme une cruche, nue comme un ver, cachant de mes mains ma poitrine et mon sexe.

- Voyons Alice, les photos montraient tout elles, me reproche-t-il en venant écarter mes bras pour les mettre le long du corps.

En découvrant mes bijoux, il ne peut retenir un sifflement d'étonnement.

- Tu es fétichiste, adepte du sm ou tu veux rester vierge jusqu'à ton mariage? me demande-t-il en découvrant toute cette panoplie.

- Ça ne te regarde pas, lui renvoyé-je, occupe-toi de tes fesses !

- C'est vrai, confirme-t-il tout en commençant à m'ausculter de bas en haut comme un vulgaire cheval de course que l'on veut en parfaite santé avant de le mettre sur la ligne de départ du Grand Prix d'Amérique.

Il triture tous mes objets, écarte mes mains quand elles veulent l'en empêcher en ajoutant un répétitif "voyons Alice", s'attarde à jouer un peu avec mon clito sorti en permanence, s'arrête sur le cadenas qui ferme la porte de ma grotte à plaisir pour en tester par quelques légères tractions son inviolabilité, découvre d'une main baladeuse les contours de mes fesses avant d'aller vérifier la fermeté de mes seins. Puis, après cette interminable prise de contact, il se recule pour admirer l'ensemble du spectacle proposé et rompt le lourd silence qui s'était installé.

- Je voulais te proposer pour cette journée de formation quelques exercices buccaux. Tes dernières orientations sexuelles peuvent t'éloigner de cette pratique et te faire perdre la main ou la bouche devrais-je dire ! Il est donc important que tu t'entraînes.

Tout ça pour me dire qu'il veut une pipe, il ne peut pas aller à l'essentiel ce taré qu'on en finisse ! Le froid de son carrelage sur mes pieds nus me fait pointer en plus.

- Va t'installer sous le bureau que je t'explique en détail ton programme de la journée.

- Comment ça pour la journée? m'exclamé-je n'ayant pas envisagé d'y passer autant de temps.

Quelques petites claques sur les fesses me motivent à me mettre en mouvement vers son bureau. Rapidement installée dessous, je constate que le lieu d'accueil est toujours aussi spacieux, mais manque cruellement de décoration même s'il a ajouté un petit rideau sur le devant permettant de fermer l'endroit lorsqu'il n'est pas là.

- Comment va mon petit fourreau à bite? me demande-t-il une fois installé, tu es à ton aise?

Un "ta gueule" sort tout naturellement de ma bouche encore libre. Il descend son pantalon sur ses chevilles découvrant un chibre en partie en action, prend place dans son fauteuil et s'agence contre le bureau. Je laisse ses jambes se positionner à mes côtés.

- Bien, dit-il une fois en place, nous pouvons attaquer. Une petite tape sur la tête tu suces, deux tu t'arrêtes tout en conservant ma queue dans ta bouche. Interdit de la laisser sortir de la matinée ! Les consignes sont-elles assez claires?

Je ne réponds pas.

- Et surtout tu ne fais pas la fine bouche, tu avales tout, je ne veux pas découvrir la moindre virgule sur mon pantalon.

Ainsi parla Zarathoustra avant de me donner une première petite tape sur la tête. Peu motivée, vous vous en doutez, j'attaque de manière très mollassonne cette première turlutte de la journée. Eh oui première, car à mon grand regret je sens qu'elles vont être nombreuse ! Vous trouvez peut-être que j'accepte trop facilement la situation, que je me laisse faire sans combattre, ou que cette situation m'exciterait à mort? Pour cette dernière, je vous rassure j'ai le frifri aussi sec que le désert de Gobi ! Je vous avoue, par contre, qu'habituellement prête à sortir le glaive tel Maximus lors de ses conquêtes romaines, je suis fatiguée de toutes les péripéties qui ont rythmé ce mois d'août ultra chargé !

Son monstre est vite en action lui, déjà excité par le contexte. Il me remplit grandement la bouche et met un terme à mes commentaires ronchons que je débitais encore à voix basse ! Je ne sais plus si je vous l'ai déjà décrit. Allez quitte à passer pour une radoteuse. Il n'est pas très grand 15/16cm maximum, mais très large avec une belle épaisseur. Son gland fait presque minuscule posé sur une telle montagne de chair. Autant vous dire que pour ma petite bouche je vais grandement travailler des mâchoires pour pouvoir m'en occuper !

Heureusement la première tournée n'est pas longue à arriver. Elle est généreuse et ne laisse pas place à l'improvisation pour tout avaler sans risquer un débordement catastrophique. Deux petites tapes, j'arrête et sens son chibre diminuer tranquillement entre mes lèvres. La position n'est pas très confortable pour conserver cette bite en permanence dans mon palais des gourmandises, ma poitrine est un peu écrasée. De petites tapes en petites tapes la matinée se termine. Une seule visite dans son bureau a perturbé le silence des lieux en dehors de quelques bruits de succion plus accentués lors de mes travaux de bouche. J'ai eu droit à une seconde giclée, tout aussi importante, il a de la réserve et a l'air de récupérer plutôt vite. Ce qui n'est pas de bon augure pour l'après-midi, car j'ai déjà la mâchoire qui réclame des vacances !

- Tu as ce qu'il faut dans le frigo, me précise-t-il en partant manger à la cantine.

- Tu ... tu fermes à clé au moins?

- Je ne sais pas, je ne t'ai pas trouvé très douée ce matin, s'amuse-t-il en voyant mon air un peu affolé.

Dans un coin de la grande salle qui lui fait office de bureau, un petit coin cuisine est installé avec un frigo dans lequel je découvre un grand tupéroir rempli d'une appétissante salade. Au moins je ne vais pas mourir de faim ! Un jeûne ne m'aurait pas posé trop de soucis, même si avec la quantité de foutre avalée dans la matinée, on ne peut pas dire que je fais diète ! À propos de jeûne, ça compte vous croyez dans le ramadan le foutre? Aucune pipe autorisée jusqu'au coucher du soleil?

Je dévore sa salade en compagnie d'un grand thé puis attends en flânant dans son bureau son retour. Bizarre, mais ma nudité ne me dérange pas du tout. Je l'avais déjà remarqué lorsque j'ai passé deux jours nus après la pose des piercings, mais c'était sans risque, dans le confort de mon cocon. Là, au beau milieu de son bureau, bien loin de mes pénates, je me sens tout aussi détendue. Bien sur aucun regard voyeur n'est là pour me mettre un peu de pression ! Le bruit d'une clé dans la serrure me fait rapidement rapatrier ma caverne. Peu de risque qu'il autorise l'accès à son bureau au premier venu, mais restons prudente.

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Lorsque mme Michu, remontée comme une pendule, déboule dans le bureau de Vincent en début d'après-midi, je suis attablée à la tâche dans mon réduit. Je viens tout juste de reprendre sa queue dans ma bouche après la pause repas et le café. Elle n'a pas encore retrouvé toute sa splendeur et se laisse un peu tirer l'oreille dans cette phase digestive !

- Vincent, vous ne connaissez pas la dernière, introduit-elle sans détour. Et oui dans leur catho-sphère le vouvoiement est de rigueur malgré l'emploi du prénom ! Bizarre non?

cinolas
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