Terreur à Ténérife Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Coulybaca
Coulybaca
105 Admirateurs

Nous sommes rentrés à la maison, nous nous sommes assis et avons siroté un verre d'un puissant alcool pour dans l'espoir que celà nous re-laxe.

Je remarquais que nous n'avions pas beaucoup discuté entre nous de-puis la veille, nous ne voulions ni l'un ni l'autre évoquer ces profonds changements qui bouleversaient notre vie!

Nous ne nous sentions jamais tout à fait en sécurité.

Chaque fois que nous entendions un bruit à l'extérieur, on avait peur que ce soit quelqu'un qui débarque pour baiser Jenny.

Mais personne ne vint et, après un souper léger on regarda un peu la télé puis nous nous sommes couchés.

Nous étions tous deux très fatigués après la dernière nuit.

Nous nous sommes réveillés assez tôt ce dimanche matin, le fait d'être prisonnier dans notre propre maison était affolant.

Nous ne pouvions pas sortir, en dehors des plages programmées.

Nous ne disposions que de deux soirées de libre chaque semaine, le mercredi et le dimanche, nous sortions rarement le dimanche, c'était de-puis longtemps notre jour de repos.

De toute manière nous n'avions pas envie de sortir maintenant que, la plupart du temps, on devait rester seul chez nous.

Nous aurions voulu que cesse ce défilé d'hommes qui venaient satisfaire leurs appétits de luxure avec Jenny.

Jenny me confia qu'en fait, il lui semblait que des bites provenant de tou-tes directions venaient l'assaillir dans notre propre maison.

Ses élèves les plus vieux avaient tiré avantages de sa situation!

Elle travaillait un soir par semaine dans un bordel pour Nigériens, et en-core ne savions-nous rien, pour l'instant de ce club privé où elle devrait se rendre chaque mardi soir.

Par ailleurs il planait toujours la menace de voir débarquer des clients qui voulaient la sauter!

Et cela incluait notre propriétaire d'origine indienne qui pouvait se pointer à tout instant.

Cet esclavage semblait fait pour durer sans que nous puissions nous re-beller.

Le dimanche n'était pas un jour de totale liberté du moins avant 14 heu-res, aussi étions-nous incapable de vraiment nous relaxer avant 14 heu-res.

Loersque 14 heures sonna à l'horloge, personne n'était venu dans cette matinée, on pouvait enfin nous décontracter un petit peu.

Jenny n'y parvint pas avant qu'il soit temps de nous coucher et qu'elle ait décidé ce qu'elle porterait le lendemain pour aller au travail dès ce lundi.

Lorsque je rentrais de mon travail ce lundi, la porte était ouverte, mais je ne vis pas Jenny.

Je me rendais dans notre chambre où j'entendis des bruits produits à l'évidence par un couple en train de forniquer. Je jetais u oeil et vis notre propriétaire juché sur le ventre de Jenny la baisant comme un malade.

Je me précipitais au salon et m'emparais de la caméra, puis je remontais en toute hâte filmer les dernières minutes de leur coït.

Notre proprio roula sur le flanc, elle se leva et nettoya consciencieuse-ment sa bite comme une bonne petite ménagère zélée.

Il l'observa attentivement puis finalement me fixa avec la caméra en main.

Cela le dérangeait, mais il retrouva rapidement ses esprits et ordonna à Jenny de continuer à le sucer, il me semblait que sa bite reprenait len-tement de la vigueur.

Puis il focalisa son attention sur moi et me fit signe d'approcher. , Lorsque je fus plus près, il me demanda pourquoi je les filmais en train de copuler.

J'essayais de le convaincre qu'il s'agissait seulement d'un jeu érotique entre Jenny et moi, mais il me fixa droit dans les yeux et je compris qu'il ne me croyait absolument pas, il me coupa alors :

-Non, non je ne vous crois pas, je ne crois pas que ça l'amuse de se donner à moi! ... Quelqu'un lui impose de se comporter ainsi avec moi! ... Est ce vous?

Je me comportais comme s'il avait découvert mon secret, que j'étais juste un pervers obligeant Jenny à coucher avec d'autres hommes sous mes yeux.

-Cessez de me mentir! Me coupa-t-il à nouveau.

-Quelqu'un l'oblige à se prostituer, n'est-ce pas!

Il semblait tant parodier l'acteur qui jouait dans "court circuit" que je dus réprimer un grand sourire.

Il était évident que ne l'avions pas berné, j'ajoutais finalement :

-Quelqu'un est effectivement en position de forcer Jenny à coucher avec vous, uniquement pour l'humilier, lui faire honte! ..... Je ne sais pas comment ils ont su que Jenny ne s'entendait pas avec vous, mais elle est obligée de leur obéir servilement et de coucher avec vous pour s'excuser, tout au moins la première fois! .... Je ne sais même pas s'il entrait dans leur plan qu'elle récidive!

Il réfléchit un bon moment et reprit :

-Elle aurait pu refuser après la première fois! Je ne pense pas qu'elle suce ma queue parce qu'elle aime le faire ou bien parce que subitement sucer un immigrant quinquagénaire l'excite! .... Je pense qu'il lui a été ordonné de forniquer avec moi et que celui qui lui a donné cet ordre ne lui a pas dit qu'elle ne devait le faire qu'une seule fois, je pense que je peux la baiser quand je veux, où je veux! ..... Et bien que je ne l'aime pas, je dois avouer qu'elle est vraiment très jolie, très sensuelle et que j'adore la baiser! .... Je pense que je vais souvent me la faire! .... Je la baiserai tant que personne ne me dira d'arrêter! ... Je pense qu'elle est obligée de faire tout ce que je désire, et que vous devez vous contenter d'as-sister au spectacle en prenant des photos! .... Qu'en dites-vous?

Nous nous regardions silencieusement, chacun cherchant l'argument définitif pour clore le débat.

Il n'attendit pas plus longtemps et reprit :

-Je pense que c'est ça!

Puis il abandonna le sujet se concentrant sur la pipe que lui taillait Jen-ny.

Il jouit rapidement l'air triomphant.

Jenny avala la mince dose de foutre qu'il éjacula dans sa bouche et gar-da sa bite en bouche jusqu'à ce qu'il la repousse.

Il se releva et se rhabilla affichant sa satisfaction.

Il nous jouissait de notre situation, il profitait surtout de celle de Jenny, il se foutait pas mal de moi.

Je remisais la caméra lorsqu'il partit et prit Jenny dans mes bras toujours étendue sur le lit.

Je m'assis et me pelotonnais contre elle, elle ne pleurait plus, elle était morose, il lui semblait qu'elle sombrait de plus en plus profondément dans un monde de dépravation sans pouvoir réagir.

Je la comprenais parce que je ressentais la même chose.

Je l'embrassais dans le cou tout en la tenant serrée contre moi, après quelques minutes elle me confia :

-Je me suis encore fait baiser par les trois jeunes batards au boulot! ... Cela devient une corvée quotidienne, et cela risque durer jus-qu'à leur départ à 21 ans! ... Et encore dois-je considérer que j'ai bien de la chance qu'ils n'aient refilé le tuyau à personne!

Elle tendit la main entre nous deux, empoigna ma bite qu'elle serra ten-drement entre ses doigts.

Elle s'était ramollie, mais je bandais dur en filmant sa performance avec le proprio, je m'en sentais coupable, bien que je ne puisse m'empêcher de bander!

Elle me susurra :

-Nous n'avons pas fait l'amour depuis des jours et des jours, tu dois en avoir drôlement envie!

Je répliquais :

-Tu dois déjà satisfaire énormément de bites affamées, tu n'as au-cun besoin d'en satisfaire une de plus!

Elle soupira et reprit :

-C'est vrai, parfois j'ai l'impression de baiser avec tous les homes qui m'approchent... Mais ton pénis est le seul qui ne soit pas une menace! ... C'est le seul qui ne me viole pas! ..... Et je sais combien tu es en manque!

Sur ces mots elle se tourna vers moi et me repoussa sur le dos avant de libérer ma mentule.

Elle me sourit, un sourire sincère cette fois, et me dit :

-Je t'aime, et j'aime ton pénis! .... N'aie pas peur de me faire l'amour! .... Malgré avec tout ce que j'endure, j'ai envie de te ren-dre heureux!

J'aurais pu me montrer inflexible, mais elle avait déjà entrepris de me sucer lentement et j'aurai beaucoup de mal à renoncer à cette fantasti-que fellation.

Une fois que je me fus vidé dans sa bouche, elle se releva et alla pren-dre une douche tandis que je m'occupais du souper.

Elle revint qu'un quart d'heure plus tard et m'aida à terminer les prépara-tifs du repas.

J'ouvris une bouteille de vin que l'on but en mangeant, puis on nettoya la cuisine et on regarda la télé pendant un petit moment.

Quand nous sommes allés coucher, je l'ai prise dans mes bras et j'ai commencé à l'embrasser amoureusement, puis mon visage se glissa vers sa prairie?

Elle avait eu énormément de rapports sexuels ces derniers temps mais que de très rares orgasmes!

Je pensais que cela ne pouvait que la décontracter un tant soit peu.

Elle chercha à freiner mes élans amoureux mais j'insistais en lui léchot-tant la cramouille la faisant jouir à plusieurs reprises alors que je lui bouf-fais le gazon, puis je cessais brusquement toutes caresses. sans même la pénétrer.

Après cela nous nous sommes endormis, nous étions tous deux plus re-laxés et nous avons bien mieux dormi que toute cette semaine, même si la pensée de devoir nous rendre au club privé le lendemain soir nous in-quiétait.

Mardi fut un nouveau jour d'humiliation et de dégradations pour Jenny, nous étions de plus en plus nerveux au fur et à mesure qu'approchait l'heure de nous rendre au club privé.

Juste avant que nous partions, le téléphone sonna, c'était monsieur Eng.

Il me dit qu'il avait oublié de me prévenir de ne pas prendre la caméra, les caméras étaient interdites à l'intérieur du club.

Je conduisis Jenny au club et nous entrâmes par la porte de coté qu'on nous avait indiqué de prendre.

Une énorme différence sautait immédiatement aux yeux : tous les gens à l'intérieur étaient blancs!

Pour des raisons obscures, la pensée qu'elle devrait faire tout ce qu'on lui demanderait dans un club rempli de gens de notre ville nous rendait la chose encore plus gênante.

Nous avons gagné un petit bureau où se tenait monsieur Eng derrière un bureau couvert de dossiers de travail.

Il nous regarda aimablement et sourit :

-Ah Jenny, juste à l'heure, enlève-moi cette tenue!

Elle défit l'unique bouton de sa toge et me la tendit.

Monsieur Eng se leva contourna le bureau et la fit mettre à genoux.

Elle ouvrit instantanément sa braguette et sortit sa grosse bite alors qu'il lui disait :

-J'espère bien que tu vas me sucer avec toute la science que tu as emmagasinée depuis le début de tes vacances à Ténérife!

Monsieur Eng nous informa :

-La clientèle de ce club est tout à fait différente de l'autre, ici tu trouveras surtout des seniors, des gagneurs, des hommes d'affai-res blancs.

-C'est un club de sexe, juste un plus discret que les autres. Enfin légèrement plus discret.

-Tu devras circuler parmi les consommateurs et flirter avec eux, si l'un veut coucher avec toi il te donnera son numéro de chambre et tu iras l'attendre dans cette chambre où tu feras tout ce qu'il te de-mandera.

-Tant que tu seras dans le club les règles sont simples, tu ne dois rien refuser quoi que l'on te demande.

Il se tourna alors vers moi et ajouta :

-Tu l'attendras dans la salle d'attente en compagnie des autres ma-ris et petits amis... Mais ne te tracasse pas, les performances de nos putes sont secrètement enregistrées et vous pourrez les voir sur des écrans dans la salle d'attente.

On me mena dans une pièce ou un mur était couvert d'écrans de surveil-lance, le but étant, je suppose d'humilier les spectateurs.

Nous pouvions voir nos femmes errer dans un salon plein de pervers vieux anglais qui les emmenaient dans les chambres contiguës où elles devaient se plier toutes leurs fantaisies sexuelles.

J'observais Jenny qui circulait au travers de la salle alors que ces hom-mes de la classe supérieure l'empoignaient pour inventorier sans vergo-gne ses charmes les plus secrets comme ils le feraient d'une prostituée des plus communes.

Angoissé, je la vis suivre un de ces hommes dans une chambre je suis sure qu'il s'agissait du gros homme avec lequel elle avait du baiser dans notre hôtel à Ténérife.

Ils passèrent un très long moment ensemble.

La soirée était bien plus calme que celle qu'elle avait endurée au club nigérien vendredi dernier, de plus elle se termina plus tôt.

Je suppose que ces vieillards étaient des couches tôt et comme il s'agis-sait d'une nuit en semaine.

Nous avons pu quitter le club vers minuit, Jenny ne me semblait pas vraiment traumatisée.

En fait j'avais l'impression qu'elle était très excitée.

Alors que nous retournions à la maison, elle me fit arrêter dans un parc dans un quartier tranquille.

Elle tourna son visage vers moi, j'avais du mal à me concentrer tant elle était excitante dans sa minuscule petite toge.

Elle vit ce que je reluquais et gloussa puis elle tendit la main et me fit tourner le visage me regardant droit dans les yeux.

Elle me fit un grand sourire et me demanda:

-As-tu reconnu, sur l'écran, ce gros homme qui m'a déjà baisée à Ténérife?

Je hochais affirmativement la tête.

-Sais-tu qui il est?

Je secouais la tête, j'étais certain que si je l'avais déjà vu se tapant Jen-ny ailleurs qu'au club ce soir ou à Ténérife je m'en rappellerai!

Elle me révéla qu'il s'agissait de l'ancien chef de "'Intelligence Service", il l'avait reconnue et avait été très surpris de la trouver là dans ce club.

Aussi l'avait-il questionnée lorsqu'ils s'étaient rendus dans une des chambres où baiser, elle lui avait raconté toute l'histoire.

Lui révélant que toutes ces femmes étaient filmées alors que ces hom-mes les baisaient à couilles rabattues, et qu'elles étaient toutes obligées de se prostituer sous la menace, contre leur volonté.

Apparemment cela l'avait choqué, il lui avait promis qu'in servirait de ses contacts pour voir comment il pourrait intervenir.

Il était pratiquement sûr que, lorsque l'on saurait que de nombreux notables avaient été filmés dans des positions forts compromettantes il y aurait une rapide intervention des forces de l'ordre.

Nous sommes rentrés à la maison, en se jurant de ne rien révéler à qui que ce soit de ce qui venait de se passer.

J'étais presque sur qu'ils avaient posé des micros dans notre maison ce qui leur permettait de nous épier.

Mais nous étions bien trop excités pour pouvoir dormir.

Nous avons bu un verre de vin et nous nous sommes pelotonnés sur le lit en priant que cela cesse rapidement.

Et c'est ce qui se passa au milieu de la journée des agents de "l'Intelli-gence Service" ainsi qu'une armée de policiers locaux investirent les deux clubs et arrêtèrent de nombreux hommes d'affaires nigériens et leurs partenaires blancs.

Ils dénichèrent en outre un entrepôt empli de cassettes vidéos, photos et enregistrements de tous genres.

C'était fini, nous pouvions enfin appeler le propriétaire pour lui dire d'aller se faire voir chez les Grecs.

Nous avons pu recommencer à sortir avec nos amis et jenny porta à nouveau des tenues correctes.

Mais elle continua à évoluer entièrement nue dans la maison.

Elle eut quelques ennuis avec les trois jeunes qui la forçaient à baiser avec eux dans le cadre de son travail, elle finit par négocier un marché avec eux, elle accepta de continuer à baiser avec eux une à deux fois par semaine à condition qu'ils se taisent.

Par ailleurs elle savait que j'adorais qu'elle me raconte ce qui s'était pas-sé lorsqu'elle rentrait à la maison.

10 janvier 2008

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Vulgus

Coulybaca
Coulybaca
105 Admirateurs
12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 16 ans
Excellent

Excellent

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Le Mauvais Chemin Une bourgeoise et sa fille se perdent en route.
Pirates! Un couple part faire le tour du monde.
Vacances. Une mère et ses deux filles partent en vacances.
L'assistante sociale Une assistante sociale est victime de chantage.
Une assistante sociale à l'agonie la vengeance d'une allocataire
Plus d'histoires