L'ombre du Passé Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

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Ils avaient vraiment le physique de l'emploi, Moktar qui paraissait le chef, un grand noir, balaise, la lèvre lippue dominait d'une tête ses deux acolytes, marocains d'origine, la peau sombre, un sourire niais de satisfaction éclairant leurs faciès patibulaires.

- Je vous ai amené la marchandise, vous devrez me les dresser aux petits oignons .... En sortant de vos mains elles devront éponger la bite d'un pékin en moins de trois minutes, ..... Et vider les couilles d'un client dans leurs ventres et leurs culs en moins de temps qu'il ne faut pour le dire! ....

- On est toujours d'accord, si on en profitait pour tester la marchan-dise? .... Allez les filles, désapez-vous, qu'on voit ce qu'on peut faire de vous! ....

Ali et Mohamed s'assirent à leurs cotés, pour mieux jouir du spectacle.

Lentement, avec crainte, dégoûtées de leur soumission elles entrepri-rent, se regardant l'une l'autre, leur effeuillage, cinq minutes plus tard, bras le long du corps elles offraient leurs charmes à l'examen des trois testeurs.

Servilement, elles écartaient les cuisses à la demande, proposant aux doigts inquisiteurs leurs anus et leurs moules, les doigts s'inséraient profondément dans leurs failles, vrillant leurs conduits, testant l'élasticité de leurs muqueuses.

Enfin, l'examen prit fin, ils désignèrent Aurore du doigt, sa toison fauve leur ayant particulièrement plu, se proposant de leur révéler à toutes la teneur d'une leçon de dressage.

Prenant Corinne et Sylvie sur leurs genoux, Ali et son frère invitèrent les autres à s'asseoir à leurs pieds pour mieux jouir du spectacle.

Les trois loubards se relevèrent, sur leur ordre Aurore vint les débarras-ser de leurs vêtements superflus , mettant à jour trois flamberges respectables.

Mokram, le petit marocain corpulent, arborait sous son ventre replet un gros gourdin, plus remarquable par sa grosseur que par sa longueur, à l'inverse de Saïd qui présentait une bite ordinaire quant à l'épaisseur mais d'une longueur que les belles effarouchées évaluaient à une tren-taine de centimètres.

Et encore n'avaient-elles rien vu, Moktar était doté d'un chibre d'ébène comportant les caractéristiques réunies de ses deux congénères.

Aurore frémit d'appréhension, s'imaginer ces colonnes dans son ventre ou dans son cul dépassait son imagination, elle tremblait nerveusement. Ils commencèrent par la soumettre à un bilan évaluatif, Moktar consignait ses caractéristiques sur un bristol à son nom.

- Bouche accueillante, chaude, langue frétillante, gorge profonde, 16/20 annonça Saïd, Mokram confirma son jugement.

- Moule étroite, serrante, onctueuse, on peut aller bien au fond, elle devra apprendre à bouger son cul, enfin 13 nota Saïd, Mokram ne fut pas d'accord et n'accorda que onze, ce n'est qu'avec de gros-ses difficultés qu'il avait pu enfoncer son bélier dans le ventre de la rousse, la gaine lui étranglait le gland, le forçant à déconer rapide-ment pour ne pas jeter son foutre aux oiseaux.

- Pour son cul, passe le premier, tu me l'élargiras! .... conseilla t il à Saïd .

En forçant un peu, la bite enduite de cyprine, glissa de vingt bons centi-mÈtres dans les intestins de l'impétrante, puis se bloqua . Mokram voulut essayer à son tour, il ne parvint même pas à forcer du gland le trou du cul crispé. Les notes fusèrent :

- 7 pour moi! ..... Pour moi 5 , elle est vraiment trop serrée, va falloir forcer pour l'élargir! ....

Médusée, les cinq spectatrices écoutaient les trois testeurs juger des qualités d'Aurore comme ils l'auraient fait d'un morceau de viande qu'ils auraient acheté chez le boucher du coin, consciente qu'ils agiraient de même avec elles, elles se recroquevillèrent le long des jambes de leurs maîtres épiant le spectacle de ce qu'elles subiraient prochainement.

Coulybaca

Janvier 2008

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