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Rainett
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"Delphine, M. Fourreur aimerait vous voir dans son bureau aujourd'hui. Je vous ai programmée à 16 heures, s'il vous plaît, ne soyez pas en retard."

"Oh ! Pétard !" C'est vendredi, et si le patron veut me voir l'après-midi même, ce n'est pas bon signe.

Sans compter que mon pervers de patron me poursuit de ses assiduités depuis que j'ai intégré son service il y a 7 mois. Je savais que je n'aurais pas dû accepter cet emploi tellement il flirtait lourdement lors de l'entretien d'embauche, mais comment pouvais-je refuser? La paye était trop bonne pour renoncer, surtout pour un poste de comptable débutante !

Lorsque mon mari et moi avons emménagé ici à la capitale, c'est devenu pénible. Ici, la vie est beaucoup plus chère qu'en province. C'est un écrivain de talent, mais la réalité d'un artiste fauché n'est pas aussi séduisante qu'on pourrait le penser. Je venais de réussir mon baccalauréat de comptabilité, mais étant une grande fille blonde, les gens ne me prennent pas au sérieux. Ils ne pensent pas que je sois intelligente, bosseuse et sérieuse.

Non, ils regardent ma poitrine, mes jambes, mes fesses, et se disent: "Putain, elle est bonne, cette salope !"

Les gens ne voient pas une comptable quand ils me regardent; ils voient juste une bimbo, et c'est ce que M. Fourreur a pensé de moi en m'engageant. Mais je travaille dur et je pensais que je me débrouillais bien, mais apparemment, ce n'est pas le cas, et maintenant j'ai peur de me faire virer.

J'ai passé la journée la tête basse, morose, essayant juste de rester occupée et de ne pas penser à ce qui m'attendait cet après-midi. Je ne peux pas perdre mon travail, alors j'ai décidé de faire face à tout ce dont on m'accuse, la tête haute. Je suis une bonne employée et je mérite mon salaire !

À 15H50, je me levais, rectifiais ma tenue, retouchant ma coiffure, mon maquillage, vérifiant les plis de ma jupe et de mon chemisier. Satisfaite de mon apparence, je me suis dirigée vers le bureau du patron, la boule au ventre, claquant des talons pour chasser mon angoisse. La secrétaire personnelle de M. Fourreur m'a faite entrer, avec un sourire narquois sur le visage. Cette garce sait probablement ce qui m'attend, mais je n'ai pas peur, je peux gérer ça !

"Vous avez souhaiter me voir, M. Fourreur?"

"Oui, Delphine, entrez et asseyez-vous. (il attend que je prenne place) J'ai été alerté d'une situation délicate, et je pense que nous devons discuter ensemble pour décider comment résoudre ce problème."

Jusqu'ici ça va ! Assise dans le profond fauteuil en cuir, j'attends patiemment qu'il m'informe, perplexe quant à la situation qui pourrait éventuellement m'impliquer. J'ai regardé mon patron taper sur son ordinateur avant de tourner l'écran vers moi. Je pouvais voir clairement les écritures comptables de l'entreprise. Ce qui n'avait pas de sens pour moi, c'était qu'il existait un autre graphique qui montrait qu'une somme importante avait disparu chaque mois, totalisant un peu plus de 20 000 euros pour les 7 derniers mois. Mon esprit de comptable a rapidement réagi devant cette situation.

"Quelqu'un détourne de l'argent de la société! Vous avez raison, M. Fourreur, c'est un problème assez sérieux. Je peux revenir sur le budget de chaque mois et voir si je peux trouver où va l'argent, ce qui devrait nous aider à identifier qui est le voleur."

"Ce ne sera pas nécessaire, Delphine, vous voyez, mon équipe a déjà passé en revue les chiffres et nous avons découvert qui est l'escroc. Mais vous l'avez probablement deviné maintenant."

Je ne pouvais pas m'empêcher de remarquer que M. Fourreur souriait bêtement, arrogant et fier de lui.

"Nous avons découvert que vous étiez à l'origine de l'argent manquant, Delphine. Nous avons pu suivre les transactions via le système et nous avons découvert qu'elles provenaient toutes de votre terminal. C'est une violation de votre contrat et une infraction pénale très grave, détournement de fonds, abus de confiance, etc ... J'aimerais entendre vos explications avant d'appeler la police?"

Je suis restée assise là, sous le choc. Mon terminal? Comment cela aurait-il pu venir de mon terminal? Je n'ai jamais rien volé dans ma vie ! Puis le reste de ses mots m'a frappé.

"La police !? Monsieur Fourreur, il y a évidemment une erreur, je n'ai pas fait ça ! S'il vous plaît, laissez-moi regarder les comptes, je peux prouver mon innocence ! Je ne peux pas me permettre de perdre mon travail, et si je suis soupçonnée de fraude, je ne pourrai plus jamais trouver de travail ! S'il vous plaît ... Nous pouvons chercher à comprendre !"

Pendant que je parlais, M. Fourreur avait contourné son grand bureau pour se tenir devant moi, souriant niaisement. Mon patron est plutôt bel homme; il prend soin de lui, il a un corps athlétique et, debout devant moi, me dominant de toute sa taille, il est très imposant. En dépit de mes efforts pour me défendre, son attitude à la fois proche et hautaine m'impressionne. Il le sait, et il en abuse pour pouvoir exercer son pouvoir sur moi. J'essaye de résister, mais ça marche.

J'ai trop peur de perdre mon travail. Mes lèvres tremblent et je me tortille dans mon fauteuil pendant qu'il me dévisage. Son assurance et sa détermination renforcent mon angoisse, je bafouille et perds pied. Sa voix chaude se fait apaisante:

"D'accord, Delphine, calmez-vous. Je serai le premier à admettre que mon équipe a commis une erreur. Vous ne m'avez jamais causé de problème auparavant, alors je suis prêt à vous donner une chance de prouver votre innocence. Mais je m'attends à votre entière coopération pendant cette enquête, ainsi que votre aide totale pour un autre problème que j'ai."

Mes angoisses s'effacent d'un coup. Éperdue de reconnaissance, je m'exclame:

"Vraiment? Merci, monsieur, je ferai bien sûr tout ce qui en mon pouvoir pour vous aider. Je suis innocente de ce que l'on m'accuse ! Comment voulez-vous que je vous aide? Je suis prête à tout pour garder mon travail !"

"Je suis heureux de l'entendre, j'ai toujours admiré votre enthousiasme et votre détermination. Maintenant, voyons si vous êtes prête à coopérer. Déboutonnez votre chemisier, Delphine."

Ses mots résonnent comme une gifle: "Quoi? Qu'est-ce que vous dites?" Je demande, soudain en colère. Comment ce pervers peut-il avoir un comportement aussi grossier? En me levant, j'attrape mon sac et me dirige vers la porte en fulminant: "J'informerai les RH de vos propos, M. Fourreur. De quel droit pouvez-vous traiter ainsi une employée?"

"Je peux vous dire tout ce que je veux, Delphine, parce que si vous sortez maintenant par cette porte, la sécurité vous attend devant l'ascenseur et elle vous retiendra jusqu'à l'arrivée la police qui vous arrêtera pour détournement de fonds, abus de confiance, grivèlerie, etc ..."

Je me fige, une main sur la poignée de la porte. Tout ce que j'ai à faire, c'est tourner la poignée et partir. Mais je ne peux pas. Je me retourne, M. Fourreur n'a pas changé de place avec ce sourire vicieux toujours plaqué sur son visage, et je sais qu'il me tient. Il a toute une équipe d'hommes de loi prêts à me découper en petits morceaux.

Il a fabriqué toutes les preuves nécessaires pour que je ne puisse plus sortir du piège dans lequel il m'a emprisonnée. Je sens ma volonté défaillir devant la perversité de ce monstre. Je ne peux rien faire pour sortir de cette situation et il le sait. À nouveau, sa voix cajole:

"Maintenant, sois raisonnable, reviens t'asseoir ici, pour que nous puissions discuter de ce que tu devras faire pour garder ton travail."

Désespérée, j'essaye de reprendre un peu de contrôle, je m'éloigne de la porte sans revenir m'asseoir.

"Qu'avez-vous à me dire, qu'on en finisse avec ça? Voulez-vous juste voir mes seins? Je ne suis pas surprise, un pervers comme vous n'en a probablement jamais vu dans la vraie vie ! Un homme, un vrai, ne se comporte pas avec les femmes comme le pervers asocial que vous êtes !"

À ma grande surprise, il commence à rire. Pas de colère sur son visage face à mes insultes, il reste juste là à rire de moi.

"Non, Delphine, je ne veux pas seulement voir tes seins. Mais si tu es si déterminée à aller au fond des choses, alors voici. Je te tiens maintenant, tu es mon jouet et j'ai tout ce dont j'ai besoin pour te faire enfermer pendant longtemps. Voilà pourquoi j'engage des bimbos blondasses comme toi, tu n'as aucune crédibilité. Personne ne croira ta version des faits, et surtout personne ne voudra te croire. Tu es beaucoup trop jolie, tous les mâles que tu croises n'ont qu'une idée en tête, te baiser. Avec ton physique, tu n'aurais jamais dû choisir comptabilité. Où ne jamais venir te jeter dans mes pattes. Maintenant tu m'appartiens et voilà ce que tu vas faire: tu vas devenir mon assistante personnelle, tu auras le bureau à côté du mien, tu m'apporteras le café quand je te sonnerai et tu passeras sous le bureau pour me sucer la bite pendant que je dégusterai mon café. Ensuite, quand tu m'auras bien sucé, tu me laisseras te baiser n'importe quel trou que je veux baiser, comme la bonne petite cochonne que tu es. Tu n'as aucun moyen de t'en sortir; personne ne te croira si tu racontes quoi que ce soit. J'ai les moyens de te traîner dans la boue et de briser ton ménage. Tu le sais, et c'est pourquoi tu vas déboutonner ton chemisier comme je te l'ai demandé, sortir tes seins de leur cage de dentelle, te mettre à genoux et ramper jusqu'à moi pour me sucer la bite. Est-ce que c'est parfaitement clair?"

Mon cerveau tournait dans le vide. Je n'ai aucun moyen d'empêcher cela. Il a absolument raison ! Je n'ai aucun pouvoir dans cette situation, et mon corps me trahit. Pendant qu'il m'humilie, qu'il me traîne plus bas que terre, et qu'il me soumet à sa volonté, je sens mon ventre trembler de désir et ma chatte s'humidifier.

Quand il m'a décrite toutes les façons dont il veut m'utiliser, je me suis sentie rougir de honte tandis que mon corps espère, et attend de faire ce qu'il demande. Sans défense, je laisse tomber mon sac au sol, et mes mains commencent à déboutonner mon chemisier. M. Fourreur ne fais aucun geste et me regarde dégrafer mon chemisier, exposant mon soutien-gorge en dentelle blanche. Avant de continuer, je fais une dernière tentative pour me protéger.

"Si je fais ça ... tout ce que vous voulez ... si je suis votre assistante personnelle ... et tout ce qui va avec ... vous ... promettez-vous de faire disparaître les accusations portées contre moi? Je suis une employée honnête et je jure n'avoir commis aucun acte répréhensible, je suis prête à vous le prouver. Promettez-moi de me protéger, que je ne serai pas congédiée ou arrêtée, et que mon mari ne saura jamais rien, jamais..."

En réponse, M. Fourreur déboutonne son pantalon, en tire une queue semi-raide, qu'il caresse distraitement en regardant ma poitrine.

"Je promets. Maintenant, sors tes nichons, à genoux et rampe jusqu'ici, salope. J'ai attendu assez longtemps pour ça."

J'obtempère, d'abord sortir mes seins, puis tomber à genoux, enfin ramper vers lui, j'ai bien conscience de la façon dont mes seins se balancent sous moi, alors j'accentue un peu le balancement en tortillant des fesses. Levant les yeux vers mon suborneur, je décide de lui administrer une fellation dont il se souviendra longtemps.

J'humidifie mes lèvres avec le bout de ma langue en faisant monter ma salive. Avec sa bite à quelques centimètres de mon visage, j'augmente mon trouble en humant le parfum de mâle en rut qui émane de son sexe. Alors que je serre ma prise autour de son membre, je donne un premier coup de langue sur le gland violacé. J'examine son gland turgescent.

Quelques gouttes nacrées s'en échappent. Je n'y résiste pas. Je goûte par petites touches de ma langue gourmande la crête du gland tendu tandis qu'il me la pousse avec impatience. Hum... comme c'est bon ! C'est salé ! Ma langue trotte lentement autour du gland.

Sa queue m'excite à outrance tandis qu'il aspire à baiser ma bouche. Je sens mon corps s'embraser. Je suis chaude comme une chatte avide de son petit lait, et je le lape goulûment avec délectation. Puis je fais courir ma langue de haut en bas le long de la colonne de chair comme je le fais pour mon mari, avant d'engloutir sa viande d'un coup en m'écartelant la bouche.

Avec mes lèvres serrées, je le laisse profiter de l'humidité et de la chaleur de ma bouche autour de sa queue. Puis je commence à le sucer correctement. Aussi fière que je sois de mes compétences professionnelles, je suis tout aussi fière de mon aptitude de suceuse de bite et M. Fourreur commence à l'apprécier.

D'une main je serre doucement en massant ses boules. J'ai envie de me toucher la chatte, mais je suis entièrement absorbée par sa queue. Tellement absorbée que je n'ai pas vu M. Fourreur appuyer sur un bouton de son interphone pour appeler sa secrétaire.

Je m'arrête rapidement quand je l'entends entrer, seulement pour me rendre compte qu'elle tient un appareil photo dans ses mains, et que cette salope a le même sourire cynique qu'elle avait quand je suis arrivée. Une petite tape de mon patron derrière ma tête me ramène à mon ouvrage, tandis que sa secrétaire nous tourne autour, prenant des clichés de ma fellation sous tous les angles.

Ma libido reprend le dessus et bientôt j'oublie l'autre salope de secrétaire. J'ai envie qu'il me gicle dans la bouche. Cette idée me submerge et m'enflamme. Alors, je me mets à le pomper en cadence. Je m'enfonce cette grosse queue le plus profondément possible dans le gosier. J'en bave.

Agrippant fermement sa queue à la base pour le contrôler, retenant mon souffle, je me soulève légèrement pour aligner ma gorge avec son érection et soulager ma bouche, résistant au besoin instinctif de bâillonner. Ma petite chatte est toute mouillée. Je sens sa queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans ma bouche. Je l'enfonce jusqu'à l'étouffement.

Elle m'excite; ça me rend folle. Je le pompe. Il gémit mais ne jouit toujours pas. Le gland glisse dans ma gorge et mes lèvres touchent son pubis humide. Je le veux dans ma bouche. Je veux tout prendre de lui. Je ne veux rien perdre de son foutre. Je m'active avec détermination et application.

Je peux sentir qu'il est sur le point de jouir, et tout ce que je peux faire, c'est espérer qu'il finira avant que je meure du manque d'oxygène. Il râle, ses mains s'accrochent dans ma chevelure, et il décharge de long jets de sperme au fond de ma bouche.

Animé de spasmes, il n'en finit pas d'inonder par saccades mon gosier. Ma bouche est pleine de ce liquide saumâtre et visqueux. Il faut que j'avale tout de lui. Sa charge est énorme, et je fais de mon mieux pour tout avaler, mais je peux sentir que ça déborde au-delà de mes lèvres, coulant vers mon menton et ma poitrine.

Maintenant repu, M. Fourreur se retire de ma bouche et range son outil dans son pantalon, d'un geste congédie sa secrétaire, et retourne s'asseoir à son bureau, me laissant à genoux sur le sol, avec ma bouche et ma poitrine dégoulinantes de sperme.

"Tu peux rentrer chez toi, maintenant, Delphine. Lundi matin, à 7H30, tu embaucheras dans le bureau voisin du mien. Puisque tu as passé avec succès ton test d'aptitude, tu recevras une augmentation. Mes félicitations pour ta promotion."

Sans un autre mot, je me rhabille et rassemble mes affaires. Visiblement, dans sa bouche, c'est un compliment. Et je n'en aurai pas d'autre. Vivement lundi qu'il me baise, ce vieux pervers.

Lundi matin, 7H30 pétantes, je me suis présentée devant mon patron, toute fraîche, et pleine de bonnes intentions. J'avais bien réfléchi pendant le week-end aux possibilités de promotion qu'il me proposait, et je voulais sortir mon couple de la galère financière.

Il s'est levé pour m'accueillir, m'a embrassée en me pelotant et m'a entraînée dans le bureau voisin du sien. Surprise, ce fameux bureau voisin était en fait un lieu de repos, équipé d'une couchette et d'un cabinet de toilettes.

Mon patron s'est effacé pour me laisser entrer la première, il a profité de mon hésitation sur le pas de la porte pour me caresser les fesses en me propulsant à l'intérieur. Il n'a pas perdu de temps en vain cérémonial pour se dénuder le bas du corps, pantalon et slip. Après tout, on était là pour baiser, n'est-ce pas?

Je l'ai imité aussitôt. J'avais soigné la présentation de mes dessous, avec un ensemble coordonné, soutien- gorge à balconnet, minuscule culotte, et bas retenus par des porte-jarretelles. Dessus, une simple robe portefeuille, facile à dégrafer et rapide à ôter.

Mon expérience de vendredi m'avait apprise qu'il était capable de produire une importante quantité de sperme, et je n'avais pas beaucoup de tenues de rechange. D'ailleurs, j'avais eu beaucoup de mal à ravoir mon chemisier taché de foutre. Mon patron s'est installé, jambes écartées, dans un profond fauteuil, en disant :

«Approche, Delphine !»

J'ai saisi un coussin qui traînait sur la banquette-lit, je l'ai jeté à ses pieds, et je me suis agenouillée dessus. Son sexe est au repos. Je le saisi, décalotte le gland, et le prend en bouche immédiatement. Je fais ça avec mon mari, j'adore le sentir grandir dans ma bouche.

Je le garde simplement en bouche, et je le caresse en passant mes mains sur ses cuisses, son ventre. À ce moment, il commence à grossir dans ma bouche, je lui masse les bourses. Quand il devient trop gros, je le tête bruyamment en salivant généreusement. Mon mari adore cela. Les hommes fonctionnent tous de la même façon, j'applique la même technique sur mon patron, qui me confirme son contentement en respirant fort, et en appuyant sur ma nuque pour me maintenir en place.

Quelques minutes à peine, et il me repousse : «Stop, je ne vais pas tenir longtemps dans une bouche pareille !»

Il m'a penchée en avant sur la couchette, le ventre collé à mes fesses. Avant qu'il ne me pénètre, je lui ai présenté le préservatif que j'avais préparé, mais il a fait une drôle de tête et il a refusé. Selon lui, les vrais mâles n'acceptent pas d'utiliser cet artifice avec les femmes mariées, c'est à la femme de s'organiser. Il m'a dit que je pouvais encore renoncer à ma promotion, mais j'étais excitée maintenant, et je lui ai cédé.

Je lui ai juste fait promettre de se retirer au moment fatidique, et il a promis. Il m'a prise en levrette, agenouillée sur le lit, le visage enfoui dans les coussins pour étouffer mes hurlements. D'abord, il est plus gros que mon mari, ensuite il m'a pénétrée sans ménagement.

Je n'avais pas prévu cette entrée sauvage, je n'avais pas fait le nécessaire, mais cette façon de procéder, à la hussarde, m'a rapidement conquise. Je me suis conformée à qu'il attendait de moi, remuant des hanches en cadence, respirant fort en poussant de petits cris pour l'encourager.

Au moment où il m'a avertie qu'il allait se retirer, j'étais si proche de finir que je n'ai pas voulu. Je l'ai gardé en moi, et son orgasme a déclenché le mien. Vidée, je me suis effondrée sur le lit, pendant qu'il se rajustait.

À ce moment, sa secrétaire est entrée dans la pièce, a ouvert un placard avec une clé qu'elle portait autour du coup, farfouilla à l'intérieur, récupèra une clé USB qu'elle montra au patron.

«Je réalise le montage et je vous apporte le résultat pour le visionner ensemble.» Et elle s'éclipse.

Mon patron me montre les différentes mini-caméras dissimulées dans le décor : «Au cas où, si tu n'avais pas oublié toute tentative de porter plainte. Allez, Delphine, tu ne vas pas rester vautrée ici toute la journée. Au travail, va rejoindre ma secrétaire, elle te dira quoi faire.»

La secrétaire œuvrait dans le fond de son vaste bureau, dissimulée derrière un paravent, occupée à monter le film qu'elle voulait projeter au patron. Je me suis adressée à elle pour savoir quelle tâche me revenait. De son ton narquois et goguenard, elle m'a lancé :

«Prends ma place, réponds au téléphone et trie les dossiers qui sont sur mon bureau.»

Rainett
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