La Tarte

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Conte cruel....
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ANDRERP95
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Voici un très ancien texte que je trouve magnifique avec un final d'une cruauté remarquable.

Je n'en connais pas l'auteur pour le féliciter. Je pense que c'est une femme.

Je ne voudrais pas que ce texte se perde suite à la suppression de mon blog.

Si vous connaissez l'auteur ....

Je vous laisse le découvrir. A vous de me dire.

.Bonne lecture.

LA TARTE.

Chapitre 1

J'ai rêvé d'être cocu. Lorsque j'avais des relations sexuelles avec ma femme je fantasmais sans arrêt à l'idée qu'elle fasse l'amour avec un autre homme sa virilité pénétrant la chatte de ma femme. Évidemment j'étais forcé de regarder la chose puis après forcé encore de lécher sa chatte encore trempée du sperme de l'amant.

Mon moment favori c'était quand elle me forçait avec sa main sur ma nuque à nettoyer le sexe de son amant, puis lorsque j'avais fini que je devais la nettoyer jusqu'à ce que plus rien ne coule de sa chatte.

C'était toujours pour moi un excellent moyen de mettre le feu aux poudres. L'idée d'une queue d'homme dans ma bouche, suivie par une délicate mousse crémeuse était virtuellement le seul fantasme que j'avais, et comme j'aurais pu le prévoir il s'est développé jusqu'à l'obsession.

Je ne savais même pas que ma femme avait elle aussi commencé à partager le même fantasme, elle ne m'en avait jamais rien dit, comme je ne le lui en avais pas parlé. Ce qui brisa ce silence conjugal fut assez trivial comme souvent au début. C'est arrivé il y a un an et je ne l'ai jamais oublié.

J'y pense même sans arrêt me demandant si les choses seraient différentes aujourd'hui si ce n'était pas arrivé.

Comme beaucoup je surfais sur internet à la recherche de mon fantasme, j'ai trouvé un site qui offrait des milliers d'histoires, des photos, des vidéos, si je m'abonnais.

Le contenu me convenait admirablement, et c'est ce qui m'a incité à donner mon accord et en moins d'une minute j'étais membre.

C'était le mieux que j'ai vu jusqu'à ce moment, histoire après histoire, des hommes cocus racontaient, certains en avaient parlé à leur femme, d'autres avaient surpris leurs femmes avec des amants et aimaient regarder depuis une cachette. D'autres avaient accepté de devenir le cocu de leur femme.

Une histoire m'excitait tout particulièrement parce qu'elle rejoignait mon fantasme selon lequel Sandra -- ma femme -- me disait ne plus être satisfaite de mon petit pénis, et que soit je consentais à ce qu'elle ait des amants, soit elle me quitterait. Bien sûr j'acceptais avec dégoût, puis avec le même dégoût je faisais ce que je devais une fois que l'amant avait joui en elle.

Les photos et vidéos étaient top, j'aimais celles qui montraient une femme étendue sur un lit où l'on voyait du sperme couler de sa chatte encore entrouverte, elle tenait la tête de son mari à deux mains le forçant à avaler la queue encore en érection de l'homme encore couverte elle aussi de foutre gluant.

J'ai au moins eu le bon sens de ne pas imprimer les photos, mais je n'ai pas pu m'empêcher de le faire avec certaines histoires. J'étais certain de pouvoir les cacher dans un coin de mon bureau, et je les avais sous la main lorsque c'était nécessaire, notamment lorsque ma femme utilisait l'ordinateur que nous partagions.

Vous vous doutez de la suite, Sandra est tombée dessus en cherchant une agrafeuse. L'histoire du dessus de la pile s'appelait « Sandra prend un amant », et ce nom avait attiré mon attention, et cela lui fit le même effet. Elle lut les premiers paragraphes, puis toute l'histoire.

99% des femmes auraient réagi de deux manières : certaines auraient été honteuses d'apprendre que leur mari avait de tels fantasmes et elles auraient fait de leur mieux pour passer sous silence leur découverte. Les autres auraient réagi avec colère, et fait face à leur mari. Sandra n'est pas comme ça. Sa réaction fut de chercher les autres histoires, et de les lire du début à la fin.

Elle m'a dit que c'est ce qu'elle a fait, et qu'elle était de plus en plus excitée à chaque nouvelle histoire. Elle comprenait que nous partagions le même fantasme mais que nous étions trop timides pour en parler. Elle résolut de mettre un terme à cette situation, et à sa façon, directement, c'est ce qu'elle fit.

Lorsque je suis rentré du boulot elle m'appela au salon, c'était surprenant, car d'habitude elle préparait le dîner à cette heure-ci.

En entrant dans la pièce je l'ai vu étendue sur le canapé et une pile de papier sur la table basse devant elle. Elle m'indiqua le coussin devant elle m'indiquant qu'elle voulait que je me mette là, ce que je fis.

J'ai jeté un œil sur les papiers, et mon cœur faillit cesser de battre, la page du dessus portait en titre "Sandra prend un amant"

Je devais être rouge comme une tomate, je me sentais comme un gamin pris la main dans le pot de confitures. Elle devait être en colère. Et elle commença simplement par me dire :

- J'ai trouvé ça dans ton bureau aujourd'hui, certaines sont excellentes, je pense que tu les aimes aussi sinon tu ne les aurais pas imprimées, celle du dessus est ta favorite?

Elle me regarda droit dans les yeux attendant ma réponse. J'essayais de trouver une réponse qui prouverait que mon intérêt était totalement innocent. J'ai même imaginé lui dire qu'il s'agissait d'un projet de recherche pour mon boulot. Mais comme je ne suis pas dans cette branche je n'ai pas trouvé ça crédible.

J'ai opté pour ce que je méritais et j'ai dit "oui".

Elle a souri, en partie à cause de ma honte, mais aussi par satisfaction de me voir répondre honnêtement. Sachant que la conversation dépendait d'elle elle m'a dit :

- En voyant mon nom dans le titre ma curiosité a été piquée, puis quand j'ai lu ce que faisait cette femme, et ce que son mari faisait, ça m'a paru très intéressant. C'est quoi ta partie favorite?

Je ne pouvais tout bonnement pas me faire à l'idée de tout déballer comme ça, j'avais caché ça si longtemps, j'avais du mal à faire face à brûle-pourpoint, mais j'ai compris au bout d'un moment qu'elle n'était pas en colère, et que cela semblait même lui plaire. J'ai bredouillé :

- Je ne sais pas, toute l'histoire m'intéresse

Elle ne voulait pas que je m'en sorte comme ça, et elle a dit sur le ton de la conversation :

- Mon moment préféré c'est quand elle force son mari à nettoyer la queue de l'amant. Je trouve ça excitant de voir un homme faire ça. Si c'était nous dans l'histoire j'aimerais aussi quand tu as ta part dans ma chatte, ça doit vraiment être bon tu ne crois pas?

J'étais aux abois, et j'ai répondu :

- Oui je pense qu'elle aimerait ça

Elle tenait le poisson bien ferré, et elle a continué :

- Je ne parle pas d'un autre homme ou d'une autre femme, je te demandais ce qui nous plairait le plus si nous le faisions, ça m'excite de penser à toi en train de sucer la queue d'un homme, puis te sentir avaler son foutre dans ma chatte, c'est cette partie qui t'excite le plus aussi?

Sandra a toujours été celle qui de nous deux avait la parole facile. Il était courant pour elle d'utiliser des mots comme queue ou chatte, mais les utiliser dans ce contexte c'était différent. Elle mit un bras sur mon épaule, et commença à doucement me caresser, elle me demanda doucement :

- Je me demande si le foutre d'un autre homme aurait le même goût que le tien. Penses-tu que tu aimerais ça?

Elle me demandait ça parce que j'aimais la lécher après nos relations sexuelles, et j'étais familier avec le goût de mon sperme. Elle m'avait tout de suite dit que ses orgasmes étaient aussi importants que les miens, et elle m'avait fait promettre que si je jouissais le premier je l'aiderais jusqu'à ce qu'elle jouisse elle aussi.

Il y a eu bien des fois ou mon pénis refusait de coopérer après avoir giclé une fois, et c'est pour cela qu'elle pouvait insister pour que je descende à la cave. Les premières fois n'avaient pas été facile pour moi mais j'avais développé un goût pour la chose, et c'était devenu agréable pour moi. En regardant en arrière je réalise que lécher mon propre sperme dans sa chatte pouvait être la source de mon fantasme?

Sandra m'a dit récemment avoir toujours fantasmé à ce moment-là sur le fait que je léchais le foutre de son amant. On était sur la même longueur d'ondes bien avant que je le sache.

Lorsque j'ai essayé de répondre à sa question j'étais incapable d'être aussi honnête et ouvert qu'elle, et j'ai rusé en disant :

- Je ne sais pas, c'est dans beaucoup d'histoires de ce genre, les autres hommes doivent trouver ça bien.

Elle se rapprocha encore et me dit d'une voix douce :

- Tu veux essayer, ou c'est juste un fantasme?

C'était droit au but, et de nouveau je ne suis pas arrivé à répondre honnêtement. J'ai dit

- Je ne sais pas, j'aime penser à ça depuis longtemps, tu veux essayer?

Si je pensais la tromper en lui retournant sa question, j'avais tort, elle répondit sans hésitations:

- Il y a longtemps que j'y pense, je pense qu'on devrait essayer si tu es capable de gérer ça, tu peux vraiment et honnêtement t'asseoir là et regarder un autre homme me faire l'amour?

Elle me caressait depuis quelques minutes, mon cerveau coulait à pic jusqu'à mes couilles, c'était trop bon, et je ne voulais pas qu'elle s'arrête, j'ai dit tout doucement

- Je crois qu'on peut essayer, ce doit être quelque chose que tu veux toi aussi, je ne voudrais pas que tu fasses ça à cause de moi.

Elle a ri avant de répondre :

- Si je ne voulais pas que ça arrive ça n'arriverait pas tu peux être sûr de ça.

Puis elle passa une vitesse supérieure en me disant :

- Dans toutes ces histoires c'est la femme qui décide, et elle fait faire à l'homme des choses, c'est comme cela que tu vois les choses pour nous?

Dans ma tête c'était toujours Sandra qui avait le pouvoir et elle me faisait faire ces choses. Admettre ça maintenant devant elle m'était difficile, j'ai dit :

- Je veux que ce soit ta décision, je ne pourrais jamais te forcer à faire quelque chose comme ça.

Elle a rigolé et a pincé ma queue en érection désormais en disant :

- Tu as sacrément raison tu ne pourrais pas, s'il y a quelque chose de forcé à faire je suis celle qui en décide!

Puis elle donna une chiquenaude à ma queue et dit :

- Je vais voir où en est le dîner, il sera prêt dans une demie heure ne sois pas en retard.

Et sans autre mot elle me laissa seul avec tout ce qu'elle venait de me dire.

Dès qu'elle fut partie j'ai regardé les histoires qu'elle avait trouvées, comme elle n'avait pas mentionné quelque chose qui était la partie la plus importante j'espérais qu'elle ne l'ait pas trouvé.

Il y avait dans ces histoires un élément supplémentaire dans le cocufiage. Cela donnait à peu près ça, après être devenu cocu, l'amant de la femme devient jaloux du mari, et commence à insister pour qu'il ne soit plus un rival.

Chaque histoire avait un chemin différent, mais en définitive le mari perdait toujours quelque chose, en général d'ailleurs il perdait sa queue.

A la pensée de ma femme lisant de telles histoires sachant qu'elles m'excitaient, me plongea dans une honte terrible. A mon grand soulagement ces histoires n'étaient pas dans la pile, ce qui voulait dire qu'elle n'avait pas regardé le tiroir d'en dessous.

Soulagé je me suis assis et j'ai réfléchi à ce dont nous avions parlé.

Une telle conversation me semblait incroyable. J'en suis arrivé à la conclusion qu'elle voulait prendre un amant baiser avec lui pendant que je regardais, et puis que je fasse ma part ensuite. Beaucoup plus que ce que je pouvais gérer d'un coup, et en allant à la salle de bains avant le dîner j'étais dans le brouillard.

Chapitre 2.

Elle était prête à prendre le taureau par les cornes si j'ose dire, ce fut évident lorsque nous fîmes l'amour cette nuit-là. D'abord il était peu fréquent que nous fassions l'amour le vendredi soir, habituellement c'était le samedi, avec une autre nuit durant la semaine selon les circonstances, celle-ci avait eu lieu la veille!

Après nous être douchés, et mis au lit, Sandie ne perdit pas de temps pour remettre sur le tapis le sujet qui ne m'avait pas quitté l'esprit depuis notre conversation quelques heures avant. Elle me choqua en me disant sans préliminaires :

- Tu dormiras à poil, désormais ce sera plus facile pour moi de t'exciter quand je rentrerai à la maison avec du travail pour toi. Commence par enlever ton slip.

J'ai toujours dormi en slip. Ses ordres me semblaient faciles à suivre elle m'avait excité en me caressant le pénis depuis que nous étions au lit. J'ai senti un frisson lorsque je l'ai enlevé, et que je l'ai expédié de l'autre côté du lit.

Que l'on me dise de faire quelque chose a toujours été mon désir secret, et ce désir soudain réalisé s'est révélé très excitant pour moi. Aussitôt ma queue était en érection complète.

Sandie a mis sa main dessus, et a commencé à me caresser doucement, me rendant plus excité à chaque seconde qui passait. Au bout d'un moment elle a dit :

- J'ai pensé à qui pourrait être mon premier amant. Ce n'est pas quelque chose que l'on doit prendre à la légère. Plein de mecs aimeraient me mettre la main dans ma culotte, mais on revient à la sécurité. Si un homme doit me baiser à cru, je dois savoir que je suis en sécurité en le laissant faire, tu es d'accord?

Ce sujet vient rarement dans les histoires que je lisais, et encore moins souvent dans mes fantasmes. Même excité comme je l'étais je pouvais comprendre que si l'homme portait un préservatif, le principal objet de mon fantasme en serait pas présent lorsque je lécherais la chatte de ma Femme. Qu'elle ait prévue une réponse prouvait qu'elle était déterminée à continuer,

- J'ai tourné ce problème dans ma tête, et j'en suis arrivée à Jack, que penses-tu de lui?

Jack est le voisin d'à côté, plus âgé que nous d'environ 15 ans, il était enseignant, et a pris une retraite anticipée pour prendre soin de sa femme gravement malade. Lorsque celle-ci dût être prise en charge par un établissement spécialisé Jack a continué à vivre ici en rendant quotidiennement visite à sa femme.

Cela semblait un choix tellement inhabituel que j'ai hésité avant de lui demander calmement :

- Pourquoi choisirais-tu Jack? Je pensais que tu aimerais un homme plus jeune.

Elle a ri avant de me répondre :

- Jack est un excellent choix, il n'a pas fait l'amour depuis au moins deux ans, et seulement avec sa femme, c'est une bonne assurance sanitaire, il habite à côté, et ce sera pratique pour lui de venir dans notre lit, et il a une grosse queue.

Dans d'autres circonstances cela m'aurait fait rire, mais tout ce que je trouvais à dire fut :

- Comment tu sais ça?

- Il tondait la pelouse au printemps dernier, et je lui ai demandé de m'étaler la lotion solaire sur le dos, je l'ai regardé du coin de l'œil pendant qu'il m'étalait la lotion et je voyais sous son short une très grosse bosse, bien plus grosse que la tienne.

Je dois vous expliquer pourquoi ces circonstances ont été possibles. Je gagne très bien ma vie, Sandie n'a pas besoin de travailler, et pour éviter de s'ennuyer elle a pris des cours de cuisine, lorsque la femme de Jack est tombée malade Sandie a préparé les repas du couple, Jack nous a rendu le service en venant tondre la pelouse, et cet arrangement entre voisins a continué après le départ de sa femme. Nous sommes très proches y compris amicalement, et je suppose que c'est la raison pour laquelle Sandie n'a vu aucun inconvénient à ce qu'il lui passe la crème solaire sur le dos.

Au ton de sa voix je savais qu'elle avait fait son choix, je dis :

- On dirait que les jeux sont faits.

Elle répondit à brûle-pourpoint :

- Oui c'est exact. Depuis que je sais que je vais baiser je veux choisir avec qui. Je te ferais savoir quand ce sera à toi de faire ta partie.

Cela me permit de demander ce qui me trottait dans la tête depuis notre conversation, et j'ai demandé calmement :

- Et quand vas-tu faire ça?

Elle m'a branlé plus fermement avant de me répondre :

- Lorsque je serais prête. Tu le sauras quand je te ferais goûter ta première tarte à la crème.

J'étais près de jouir, et sa référence à mon fantasme à fait fleurir l'idée dans ma tête, elle savait l'effet que cela avait sur moi, l'effet que ses mots crus avaient sur moi, et elle me donna le second ordre de la soirée :

- Je vais te montrer comment nous ferons à partir de maintenant, mets-toi sur le dos.

Sans réfléchir je me suis mis sur le dos, dans la lumière tamisée je la voyais accroupie sur le lit, presque nue, comme elle dormait habituellement en été, je l'ai vu guider ma queue dans sa chatte.

Etant donné l'excitation qu'elle m'avait procurée avec sa main, et le sujet de notre conversation, je savais que j'allais éjaculer très rapidement. C'est ce qu'elle voulait, elle me dit :

- Souviens-toi de ce que c'est, quand je commencerais à baiser avec Jack tu n'auras plus cette chance, si sa queue est aussi grosse que je l'ai vue je ne te sentirai plus, ce serait perdre notre temps, vas-y éjacules maintenant, et je te donnerais ta première leçon sur la bonne manière d'éjaculer hors de ma chatte.

Elle a accéléré le rythme et en moins d'une minute j'ai lâché mon sperme en elle, elle a continué à me monter jusqu'à ce que mes spasmes cessent, puis elle s'est soulevée, et a approché sa chatte de ma tête.

Cette façon de lui donner du plaisir avec ma bouche est la partie la plus excitante pour moi de mon fantasme, mais dans nos relations sexuelles normales je serais descendu entre ses jambes, elle était toujours sur le dos quand je léchais et suçais, et je n'aurais jamais pensé à lui demander de s'asseoir sur mon visage, alors que j'en avais tant envie.

Mais cette fois elle se mit en place comme si cela faisait des années, je commençais à lécher sa chatte, et elle me donna des instructions sur la bonne manière de lui donner du plaisir, à voix basse elle me dit :

- Ce sera plus facile pour toi de me bouffer la chatte, quand je suis sur le dos beaucoup de foutre se perd et tu ne l'as pas, de cette manière tu pourras avaler la moindre goutte... Je veux que tu fasses courir ta langue le long de ma fente, que tu prennes tout le foutre qu'il y a là, c'est la partie qui sort la première, tu dois le faire tout de suite, et vite.

Puis elle ne dit plus rien jusqu'à ce que j'ai fini cette partie et que j'ai léché et avalé aussi vite que je le pouvais. Il n'y avait pas beaucoup de foutre dans cette partie de sa chatte, et en fait j'en récupérais moins dans cette position.

A un moment donné elle me dit :

- Arrêtes-toi là, tu sens ce point? Oui c'est mon clitoris, rappelles-toi où il est, je vais juste bouger un peu pour mettre ma fente sur ta bouche, c'est là qu'il y a le plus de foutre, tu dois être capable de tout avaler.

Elle s'est repositionnée doucement, je sentais son clitoris frotter contre mon nez, elle me donna des instructions :

- Vas-y je suis juste sur ta bouche, suces mon trou

Je fis comme elle l'ordonnait, et je fus surpris par la quantité de foutre dans ma bouche. Quand je bouffais sa chatte avant je n'avais jamais eu à traiter une aussi grosse quantité de foutre, et je voyais ce qu'elle voulait dire lorsqu'elle m'avait dit que j'en perdais une grosse quantité en route, au début ça a débordé de ma bouche, je l'ai fermée, et j'ai avalé, dès que la première livraison fut en route je me suis remis au travail, je n'avais jamais pensé qu'un homme de mon âge produisait autant de sperme.

Avec le temps ma queue était de nouveau en érection. Quand Sandie sentit que j'avais fini ma tâche, elle me dit :

- Maintenant je vais te montrer une autre façon que tu auras de me bouffer quelque fois.

Elle remonta d'un cran, et retourna son corps jusqu'à ce qu'elle soit face à mon entrejambe, après s'être mise en position elle me dit :

- Cela met mon clitoris juste sur ton pubis, tu dois te rappeler d'être toujours épilé avant de te mettre au lit, je ne veux pas frotter mon clitoris sur ta toison.

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