Les Jumeaux D'amour Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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« Gabrielle, Toussaint, puis-je vous présenter ma sœur Léa Delmotte et notre amie Tahira Tawfiq. Tahira, Léa, voici Gabrielle Sawané que vous avez pu admirer cette après-midi et son frère Toussaint. Toussaint est judoka et cherche du travail comme agent de protection rapprochée. Je lui ai donné le numéro du cabinet . Tu te souviens , Léa, que Papa parle régulièrement de cette agence de sécurité dont il s'occupe?

Léa examina le grand Malien à la dérobée. Plus grand et beaucoup plus puissamment bâti que son frère, il aurait pu être un très bel homme si ce n'était la longue balafre qui le défigurait du haut de l'oreille jusqu'au menton. N'empêche, c'était un beau spécimen de mâle! Sa sœur par contre était encore plus belle de près que vue de loin sur le parquet mais visiblement, elle mourrait de faim.

« Loïc, je crois surtout qu'ils ont bien mérité d'enfin pouvoir se restaurer. On va vous laisser tranquilles » ajouta- t'elle en s'adressant à Toussaint « mais nous serions ravis de vous voir après le premier match de la Ligue. Cela vous dirait qu'on vous invite dans un resto marocain pour le cinquième quart temps? Toussaint, voici mon numéro de mobile, envoyez-moi un texto ce soir que je puisse noter le vôtre»

Et en un clin d'œil le couple s'était éclipsé à l'intérieur du Subway tandis que le trio reprenait sa route.

« Est-ce que tu peux m'expliquer pourquoi tu as bousillé mes efforts? Tu deviens jalouse ou quoi? » râla Loïc

« Frérot, cette fille avait une faim de loup et le Subway ferme dans une demi-heure. Si tu avais continué ton plan drague à la con, elle t'en aurait voulu à vie rien que pour lui avoir fait rater sa viennoiserie. Et moi je t'aurais arraché les roustons pour m'avoir fait rater ce beau mâle »

« Je ne comprends pas» soupira Tahira, « je viens à peine de comprendre que vous êtes amants que je vous vois en train de draguer de façon éhontée chacun de votre côté. Et comment peux-tu le trouver beau? Avec sa balafre ... et sa peau foncée » murmura t'elle pour finir.

« Tss tss Tara dit Loïc, la couleur de la peau n'a aucune importance! La beauté est universelle. Ceci dit, il va falloir qu'on t'explique en détail notre façon de vivre notre amour sinon on risque de vraiment te choquer un de ces jours ... Et en attendant, j'ai son autographe! Signé Gabi,... Gabi O Gabi!!!»

Et pendant tout le trajet du retour, les jumeaux se relayèrent pour raconter leur découverte de la sexualité, leurs aventures amoureuses avec d'autres et même le jack-pot des 'gratifications' mais sans citer le nom de Sylvie.

En rentrant, Tahira , très gênée leur demanda s'ils ne voyaient pas d'inconvénients à ce qu'elle dorme seule cette nuit-là. « J'ai besoin de remettre du calme dans ma tête » expliqua t'elle.

« Mais que croyais-tu , qu'on allait te traîner dans notre lit chaque fois qu'on a les hormones qui chatouillent? » demanda Loïc presqu'indigné « Tu nous rejoins quand tu as envie, ni plus, ni moins! »

Ils se retirèrent dans leur chambre peu après Tahira. Après s'être déshabillés, ils se pelotonnèrent l'un contre l'autre dans leur lit et firent le bilan d'une journée fertile en émotions. Evidemment évoquer Tara les émoustilla , surtout Léa qui avait le plus joui du corps de la jeune fille. « Tu te rends compte que je n'ai même pas pu la lécher! » se plaignit son frère dont la verge reprenait vie .

« C'est pour ça que tu étais tellement intéressé par Gabrielle? Tu veux une compensation?»

« Compensation, peut-être, mais pas pour Tara. Pour les deux vieilles! Je ne pouvais pas faire autrement que d'être excité par cette splendide fille de notre âge, après mes deux jours avec Sylvie et Caroline. Avec son corps de gazelle, c'était une sorte de fantasme vivant. Un peu comme toi avec Toussaint!»

« C'est vrai que Toussaint, c'est un beau fantasme, malgré son horrible balafre! Je me suis pendant cinq minutes imaginée couverte par ce mâle superpuissant et je me suis senti toute chaude dans mon slip. Surtout que je sais que si je couche avec lui, ça va te mettre dans tous tes états et que tu vas me ramoner comme une bête par après »

« Salope! »

« Obsédé! »

« J'ai envie de toi! »

« Baise-moi! »

Loïc ne se le fit pas dire deux fois. Il roula sur sa sœur qui écartait déjà les jambes. Il n'eut même pas besoin de vérifier son état : sa verge trouva l'entrée de son vagin ruisselante et passa le cap des grandes lèvres comme le piston coulisse dans le cylindre d'un moteur à explosion.

Dans la chambre avoisinante, Tahira se rendit compte que les cloisons intérieures de l'appartement devaient être en carton car elle entendait les cris et gémissements de l'amour comme si elle avait été dans le même lit.

« AAAAH mon Lolo! OOOh, Ca fait du bien ta grosse bite bien dure! ...Tu es si gros! ...Tu penses à Tara AAAH? Ou à Gaaabrielle?! ....OOH , encore!

« Non ... han ... je pense à toi ... écrasée par ... humpf .. Toussaint ... le super-mâle ... black .. sur tes seins ... aaah han .. Dans ton ven...tre ... humpf!»

Ecrasée par ce flot de lubricité qui lui frappait les oreilles comme autant d'assauts sur son clitoris en feu. Elle roula sur le ventre et glissa sa main dans son slip et commença à se masturber avec une sorte de désespoir, écrasant ses seins sur le matelas, tous ses sens en émoi total et se mordant les lèvres pour ne pas hurler.

« Léa! Loïc! J'ai envie! Faites- moi aah jouir! »

A côté, cela ne se calmait pas, au contraire ...

« Prends-ça, ...humpf ... ma sœur nympho .. han ... vais te baiser.. han .. à mort ... humpf ... pourra plus .. humpf ... marcher ... deux jours... »

« AAAH oui ... cou...verte par .. gorille black ... grosse bite! OOOH grosse bite mon Loolooooh! Ta panthère ... lécher sexe black! »

Tahira était envahie d'images en noir et blanc de corps entremêlés, de gros plans de sexes ivoires et ébènes se pénétrant avec fureur. Elle jouit en mordant l'oreiller pour étouffer les cris qui lui montaient à la gorge.

Elle planait dans un univers cotonneux, à peine consciente des cris qui atteignaient un paroxysme dans la chambre voisine. Lorsqu'elle reprit totalement conscience, le silence était revenu. Elle se rendit compte que son slip était trempé et elle l'ôta, essuyant encore un peu sa vulve ruisselante. Elle avait de nouveau laissé ses sous-vêtements dans le living! Tant pis, elle dormirait le sexe à l'air, offerte au premier venu ... Tant qu'elle y était, elle enleva son T-Shirt de nuit et se caressa un peu les seins puis se morigéna (« Arrête Tara, sinon tu vas repartir pour un tour! »)

Apaisée, elle s'assoupit mais fut réveillée quelque part dans la nuit par un nouveau concert de cris qui venaient de la chambre d'à côté. (« Ils sont terribles » gémit-elle « insatiables ... obsédés ... oooh tellement amoureux ... « ) . Elle poussa ses doigts dans son vagin jusqu'à ce qu'elle trouve son fichu hymen. (« faut m'en débarrasser ... une bite ... aah ... une queue ... par pitié! Une pine ...! Ma virginité ... pour une verge ... oooh bien dure ... pour me fendre ... aah! ... pourfendre ... dé... fon...cée « ) AAAAAAHHHH! cria- t'elle , surpassant pour une fois ses voisins dans les décibels.

Moins d'une minute plus tard, la silhouette de Léa s'encadrait sur le pas le porte

« Tara, tout va bien? » demanda t'elle à voix basse.

Très gênée, celle-ci répondit sur le même ton « Oui oui, désolée, un petit cauchemar » (« pourquoi ne lui as-tu pas dit que tu te branlais comme une folle »).

« Tu pourras te rendormir? Ou tu préfères venir dans notre lit?»

Pendant un dixième de seconde, Tara voulut répondre « Oui, dans votre lit, prenez-moi, faites-moi l'amour! » mais quand elle ouvrit la bouche, ce fut pour dire « Non, c'est gentil, ça ira maintenant ».

Peu de temps après, elle entendit à nouveau des bruits de sommier et des gémissements étouffés et regretta amèrement sa réaction de vierge effarouchée mais heureusement, la conclusion ne tarda pas et elle parvint à s'endormir.

Ils firent tous trois la grasse matinée en ce dimanche matin tant et si bien qu'ils étaient à peine présentables lorsque Lucie sonna à la porte. Léa se précipita pour ouvrir et accueillit son aînée à bras ouverts (« et le corsage aussi » remarqua Tara « Mais ils ne pensent qu'au sexe ces deux-là! »)

Elle fit les présentations et attaqua de but en blanc « Lulu, désolée de t'ennuyer un dimanche mais est-ce que tu ne pourrais pas faire une prescription pour Tara? Elle n'aura pas le temps de passer à ton cabinet la semaine prochaine et avec son tempérament, il vaut mieux qu'elle prenne ses précautions le plus vite possible »

Tara rougit jusqu'à la racine des cheveux « Léa, qu'est-ce que euh L... le docteur Lucie va penser de moi? »

« Rien de pire que ce que je pense de notre délicieuse nymphomane , ma chérie! Mais elle a raison. Tu as assez de problèmes comme ça sans en rajouter un à échéance de neuf mois! Ceci dit, si tu veux la pilule, je dois faire un examen gynécologique d'abord. Désolée mais je reste une pro, même avec les amies et même avec les amies de mes TRES grandes amies!»

« Lolo, va acheter des cigarettes! » ordonna Léa

« hein? mais je ne fume pas! »

« Achète un journal, une cassette porno, un casier de bière, n'importe quoi mais sors d'ici et reviens dans 20 minutes! »

Penaud, le garçon attrapa sa veste et s'exécuta.

Dix minutes plus tard, Lucie avait terminé son examen et rédigeait son ordonnance tout en établissant son diagnostic.

« Tu es très étroite ma chérie. Ne crois pas que je veux t'influencer mais je pense que tu ne devrais pas avoir ta première expérience avec un homme. Je conseillerais plutôt une aide mécanique de faible calibre »

Très rouge, Tahira regarda Léa d'un air interrogateur

« Un vibro ou un gode »

Tara était pivoine.

« Je conseillerais plutôt un gode anal pour la grande première ; un vibro en marche risque d'être désagréable et en plus, à cause les piles, ils sont déjà plus gros ... »

« J'ai ce qu'il te faut » assura Léa

« Et allez-y mollo par la suite en montant dans les tailles. » continua Lucie comme s'il était entendu que ce serait Léa qui serait la guide de sa nouvelle patiente « Attends d'être vraiment habituée à un gabarit avant de passer au suivant »

Tara était totalement incapable de proférer le moindre son. Parler de la perte de sa virginité était déjà une épreuve en soi pour elle mais y ajouter les accessoires sexuels était au-dessus de ses forces. Elle hocha silencieusement la tête pour montrer qu'elle avait compris.

« Bien » dit Lucie pour changer de sujet et donner un peu d'air à sa nouvelle patiente « Et si vous me racontiez plutôt en détail votre installation à trois ou votre soirée d'hier? »

(« du sexe, encore du sexe, rien que du sexe » répondit Tara en elle-même)

Loïc avait profité de son expulsion forcée pour téléphoner à son père tout en se baladant.

« Bonjour Papa ... oui je vais bien... oui Léa aussi ... Elle est occupée avec Tara ; des trucs de fille ... je n'y comprends rien alors j'ai préféré faire un tour... Ca je m'en doute que tu dois avoir le même problème ... tu as aussi deux femmes à la maison! ..... Dis , voilà pourquoi je t'appelle ; tu vas recevoir un coup de fil d'un certain Toussaint Sawané. C'est un type bien. Malien, 1m95, 110 kilos de muscle. ... Oui, tu vois bien où je voulais en venir! Si tu pouvais le recommander, ce serait chouette! Sa sœur vient seulement de commencer ses études et il doit subvenir à leurs besoins... OK, merci Papa! Embrasse maman et Anne-Marie de notre part. »

« Les enfants vous embrassent » dit Jean aux deux corps nus qui s'ébattaient sur le lit devant lui. Il pointa sa verge vers l'entrée d'un vagin et s'enfonça d'un coup dans une de ses femmes sans trop se préoccuper de l'identité de celle-ci.

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