Le Club - Partie 09

BÊTA PUBLIQUE

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-Je..., balbutia -- t -- elle, je viens pour le service.

-A oui, répondit -- il avec un sourire narquois. Le vestiaire est là, rajouta -- t -- il en indiquant l'endroit d'où il arrivait. Ta tenue t'y attend.

Delphine resta figée, incapable de bouger. Elle sentait le regard de cet homme posé sur elle et ce fut ce qui lui donna la force de se diriger vers le vestiaire.

Le vestiaire était une petite pièce sombre où l'on avait aligné des casiers en fer. Sur le côté, se trouvait un couloir de douche et l'attention de Delphine fut attirée par le bruit de sanglots. Elle se dirigea vers cette pièce et elle y trouva Muriel, la serveuse qu'elle avait rencontrée la semaine précédente, assise dans un coin, nue, les genoux remontés contre son ventre et sa tête appuyée contre eux. Gênée d'assister à ce spectacle dont elle comprenait facilement la raison, Delphine ne savait pas comment réagir quand la jeune fille releva vers elle son regard nimbée de larmes. Soudain, toute trace de souffrance disparut pour laisser la place à une expression dure comme si elle lui reprochait sa présence.

-Quoi? Lui lança - t -- elle alors. Tu te crois peut -- être meilleure que moi.

Complètement désarçonnée par la réaction de la jeune fille, Delphine resta sans voix. Muriel se releva alors sans la quitter des yeux.

-Suis -- moi, lui ordonna -- t -- elle.

Elle quitta alors les douches et Delphine lui emboîta le pas sans rien ajouter. Elle ne voulait pas augmenter encore la nervosité de la jeune fille qui subissait des sévices sans noms.

Muriel ouvrit un des casiers et en sortit une veste mauve comme celle que Delphine avait vu sur elle la semaine dernière.

-Voici ta tenue de travail, lui expliqua -- t -- elle. Quand tu viendras ici, tu rangeras tes vêtements dans ce casier et tu ne mettras que ça. Pendant la soirée, les clients pourront mettre les mains partout où ils le voudront mais seulement les mains. Pour le reste, seul monsieur Diaz peut disposer de nous.

-Je n'ai pas accepté d'aller plus loin, répliqua Delphine qui eut droit alors à un sourire ironique de son interlocutrice.

Muriel lui tendit alors la clé du casier et s'en écarta pour s'approcher d'un autre qu'elle ouvrit pour en sortir une autre tenue mauve qu'elle s'empressa d'endosser. Delphine quant à elle resta de longues secondes à fixer ce vêtement horrible qu'elle était condamnée à porter pour toute la soirée.

-Magne -- toi! grogna Muriel. Nous avons la mise en place à réaliser.

Delphine sursauta et commença à se déshabiller.

Θ

Les premiers clients arrivèrent dès l'ouverture des portes. Uniquement des hommes comme c'était prévisible. Delphine estima à leur tenue qu'ils appartenaient à la classe aisée. Diaz les accueillaient en souriant et semblaient en connaître la grande majorité. Cependant, elle ne put pas vraiment déterminer si elle les connaissait à cause la faible luminosité de la salle. D'un certain côté, cette situation la rassurait car ainsi elle ne pouvait pas non plus être reconnue par une personne qui la connaissait.

Humberto dirigeait la manœuvre depuis sa cuisine pendant que Muriel et elle devaient faire le service en salle et ce fut un véritable enfer. Montée sur des talons inconfortables, Delphine circulait entre les tables bien garnies. Son entrejambe et ses fesses nues constituaient des cibles de choix pour les mains exploratrices des clients qui n'avaient aucunes retenues. Quand elle s'immobilisait pour prendre une commande, les plus audacieux n'hésitaient pas à enfoncer leurs doigts dans sa fente ou à triturer son clitoris ; si jamais elle devait se pencher pour ramasser des verres vides, c'était son anus qui subissait le même genre d'exploration. Certains clients poussaient la perversion jusqu'à glisser des pourboires dans son intimité mais le pire fut qu'après un certain temps passé à subir un tel traitement, elle constata avec horreur que son entrejambe était humide. Quand les clients s'en rendirent compte, ce fut la curée, ils redoublèrent d'activité et les commentaires scabreux firent leur apparition. Elle fut traitée de « fontaine », de « petite salope » et de tant d'autres termes qu'elle tenta d'oublier sitôt entendus.

Le « Fundo » ne ferma qu'à 4 heures du matin et Delphine termina son service littéralement épuisée autant physiquement que psychologiquement. Elle n'avait plus qu'une envie : rentrer au plus vite chez elle mais elle ne savait pas Diaz n'en avait pas encore fini avec elle.

Θ

Elle nettoyait l'une des tables, toujours seulement vêtue de sa seule veste de majorette mauve quand elle sentit soudainement une présence massive dans son dos. Elle voulut se retourner mais elle n'en eut pas le temps. Les mains puissantes de Diaz la plaquèrent violemment contre la table. Elle se débattit de toute son énergie contre lui mais il était bien trop fort pour elle. Il se colla contre ses reins nus et elle sentit alors la force son érection comprenant ce qu'il lui réservait.

-NON!!! Hurla -- t -- elle. JE NE VEUX PAS!!! CE N'EST PAS CE QUI ETAIT PREVU!!!

-Ta gueule, salope, répondit -- il. Je décide de ce qui était prévu dans le contrat et ton cul en fait partie.

Epuisée par sa soirée et en dépit de l'horreur qui l'attendait, elle manquait de force pour résister à la volonté de cette force de la nature. Il la maintint dans sa position de dominée de sa main droite et fit glisser sa main gauche jusque à sa chatte. Une nouvelle fois, elle fut manipulée dans son intimité mais elle savait que cette fois, il ne se contenterait pas cela ; ce n'était que les préliminaires à son viol. Contre sa volonté, elle sentit les muscles de son vagin qui se détendaient et son intimité s'humidifier une nouvelle fois. La main de Diaz se retira alors pour diriger son pénis de la meilleure des façons. Il la pénétra alors brutalement en lui arrachant un cri de douleur et d'affliction. Il ne lui fallut que deux coups de rein pour l'embrocher jusqu'à la garde puis entama alors un mouvement de va et vient.

Totalement mortifiée, Delphine renonça à résister, pliant sous le poids de l'homme qui s'appuyait sur son dos tout en la besognant sans pitié. Il continua son acte pendant de longues minutes, déchirant littéralement son vagin par la violence de ses saccades. Puis soudainement, il se retira et dans un râle de plaisir, il éjacula sur le dos de sa victime. Des jets de foutre inondèrent ses reins nus mais aussi sa tunique et sa nuque. Il essuya sa queue dans sa chevelure brune et s'éloigna en la laissant toujours allongée sur la table.

-Va te changer, ordonna -- t -- il, tu es dégueulasse. Et ensuite tu rentreras chez toi.

Une lumière s'illumina dans l'esprit ravagé de Delphine. Elle rassembla ses dernières forces et se releva pour rejoindre les vestiaires. Elle se rua sous les douches pour éliminer toute trace du sperme qui maculait son corps. Après quelques minutes, elle rangea sa tunique souillée de la semence de Diaz et se rhabilla pour s'enfuir de cet endroit.

Θ

Quand elle ressortit des vestiaires, Diaz était assis à une table et lisait un document. Delphine vit avec dépit que Muriel se trouvait installée entre ses jambes en train de lui prodiguer une fellation. Elle voulut se contenter de passer devant lui sans rien dire mais il ne comptait pas en rester là.

-Tu prends la pilule? Demanda -- t -- il.

Elle se fixa outrée par cette question.

-Je suis un homme marié et il n'est pas question que je fasse des bâtards avec toutes les putes qui passent, rajouta -- t -- il, alors dans deux jours quand tu reviendras bosser, n'oublie pas de prendre ta pilule.

Delphine s'enfuit alors mais elle était bien consciente qu'elle ne pouvait pas échapper à ce monstre.

Θ

-Suce mieux que ça, tonna Diaz à l'intention de Muriel en appuyant la main sur sa tête.

La jeune fille leva un regard apeuré dans sa direction et il la sentit redoubler d'ardeur.

Au bord de l'orgasme, il reporta une dernière fois son attention sur les documents qu'il lisait et qui traitaient de sa prochaine cible, encore plus consistante et tentante que Delphine.

-Caroline Georges, me voilà, grogna -- t -- il alors qu'il éjaculait au fond de la gorge de Muriel qui avala docilement tout le liquide.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
Excellente série...

Cette série "le club" est fort bien écrite et pas irréaliste du tout. Au contraire...

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