J'appartiens à Snake désormais Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Je gardais les yeux ont fermé essayant de combattre les indéniables, irrésistibles sensations de plaisir envahissant mon corps comme un océan.

Puis il posa ses lèvres sur les miennes et me roula une pelle fiévreuse, je me laissais faire et répondis rapidement à ses baisers.

Je sentais sa virilité frotter contre ma chatte alors que nous nous em-brassions avec passion.

- "Ca y est, je vais jouir....." pensais-je affolée, c'était l'ultime affront le dernier coup de poignard, j'étais incapable de refreiner mes ins-tincts primitifs.

Je n'avais pas encore la moindre idée de l'emprise que ce monstre installait sur mon esprit et mon corps.

- "Prends ma bite en main et rentre la dans ta chatte! ...." m'ordon-na-t-il impavide.

Je tendis la main et me saisis de sa virilité et l'alignais sur l'accès de ma grotte inondée de cyprine, lentement il s'enfonça en moi.

Nos yeux étaient rivés sur son membre forant son chemin dans ma fou-foune.

Je sentais sa bite si grosse que je craignais qu'elle ne me blesse cruel-lement.

Je me demandais fugitivement si mon mari constaterait la différence, in-déniablement ma foufoune allait se trouver distendue par cette énorme mentule! .....

Il me semblait impossible que ma grotte puisse reprendre sa taille nor-male après un tel assaut! .....

Il ne s'arrêta que lorsqu il se trouva enfouit jusqu'aux burnes dans ma petite chatte incroyablement accueillante, il me sourit avec dérision et me dit tranquillement :

- "Alors salope..... As-tu goûté déjà une queue aussi épaisse? ..... Ne te tracasse pas tu goûteras à bien d'autres grosses mentules désormais! ..... Avant que j'en aie fini avec toi tu reviendras sou-vent me supplier de te faire baiser! ..... Ca va te changer de la pe-tite saucisse de ton cornard! .... Désormais tu te feras baiser par de vrais hommes! ...."

Je secouais la tête de gauche à droite murmurant :

- "Non, non, non... "

Mais j'avais beau le nier, je m'émerveillais d'être aussi élargie par sa grosse queue, de me sentier aussi pleine de lui, d'avoir pu absorber la totalité de son énorme bite dans ma petite chatte élastique.

Puis il commença à me labourer, lentement tout d'abord puis de plus en plus vite, c'était incroyable, je sentais que je perdais une nouvelle ba-taille.

Mes hanches se tendaient vers lui, mes grognements e murent en gé-missements de plaisir, je savais que je perdais à nouveau tout contrôle de mon corps et de mes esprits.

Je l'étreignais fiévreusement bras verrouillés dans son dos, et je me ser-rais contre lui, le plaquant contre mon corps de toutes mes forces l'invi-tant à me labourer de plus en plus vite jusqu'à cet instant enivrant où je le sentis se tendre en moi ; je sentis alors sa grosse bite trembler et éja-culer des torrents de foutre dans mon fourreau embrasé, je savais qu'il se vidait totalement les couilles dans ma foufoune accueillante.

Je grognais sourdement en l'étreignant fiévreusement alors qu'un nouvel orgasme me terrassait, puis un autre, un autre... Et encore un autre......

C'était la première dois que je rebondissais d'orgasme en orgasme, pour être honnête je n'avais jamais eu autant de plaisir! .......

Je savais bien que j'avais déjà joui sous les assauts de mon mari, mais ce n'était pas comparable à mon émoi actuel! .....

Je n'aurai jamais cru que l'on puisse jouir à ce point! .....

C'est alors que je me rappelais ce qui se passait.

J'étais étendue sur un sol souillé avec un complet étranger qui me bai-sait contre ma volonté et qui se servait de moi comme il l'aurait fait d'une prostituée.

Je criais et l'embrassais et griffais son dos de mes ongles dans les der-niers soubresauts de mes orgasmes.

Il restait étendu sur moi, me fixant dans les yeux observant attentivement les émotions qu'affichait mon visage expressif.

Il avait toujours cet ignoble sourire salace aux lèvres alors qu'il me dévi-sageait avec attention.

Soudain il tendit la langue et me lécha le visage du menton au front.

Je tremblais de révulsion alors qu'il roulait sur le flanc et s'assit.

Il resta assis quelques instants jouant avec mes nibards, puis il les gifla avec vigueur me faisant hurler et me relever pour pouvoir les protéger.

Il se releva, se pencha vers moi et m'aida à me relever.

Il pointa son doigt vers le fond du vestibule et m'intima :

- "La salle de bain est au bout du couloir... Vas y et nettoie ta cha-toune... Et fais vite! ...."

Je me dirigeais en chancelant vers la salle de bain j'étais sur le point d'y entrer lorsque je me figeais.

Je n'avais jamais vu un tel bordel! ..... Cette sale était dégueulasse.....

Je compris alors que cette place m'était totalement appropriée après ce que je venais de faire.

J'entrais, baissais la lunette des toilettes et m'assit à contrecœur sur les toilettes et attendis quelques instants alors que s'écoulaient des flots de foutre de ma chatte inondée.

Lorsque plus rien n'en sortit, je me nettoyais avec du papier toilette, puis je gagnais le lavabo.

Il n'y avait pas de serviettes propres, je fis couler l'eau jusqu'à ce qu'elle soit suffisamment chaude et je rinçais le linge le moins sale que je trou-vais et m'en servais pour me nettoyer succinctement.

Je terminais en me nettoyant la foufoune et mes cuisses ornées de filets de foutres.

J'utilisais plusieurs serviettes sales pour me sécher puis, je retournais au salon.

En dépit de ce qui venait de se passer, je me sentais formidablement gênée de me trouver entièrement nue sous les yeux de cet étranger.

Il avait remis son jean et son tee-shirt et enfilais une vielle paire de san-tiags.

Il me laissa remettre ma jupe et mon corsage mais ni ma petite culotte ni ma veste! ....

Puis j'enfilais mes chaussures et l'on sortit de la maison.

14 octobre 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

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