J'appartiens à Snake désormais Ch. 01

Informations sur Récit
Jeune femme désoeuvrée se fait pièger par le biais du Web.
7.7k mots
4.33
68.4k
4
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Partie 1 de la série de 7 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 10/19/2007
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J'appartiens à Snake dorénavant Ch 1

I belong to Snake now Ch 1

Coulybaca / Vulgus

Le texte de Vulgus étant particulièrement long, j'ai pris la liberté de le couper en plusieurs parties afin d'en faciliter la lecture.

Chapitre 1 : Une jeune épouse désœuvrée tombe sous la coupe d'un maître chanteur, premier contact avec son tourmenteur.

Laissez moi vous raconter mon histoire, cette histoire qui m'a couté si cher en bouleversant ma vie.

Je m'appelle Ashley, j'ai 22 ans et je pèse 57 kgs pour une taille d'1,75 m.

J'ai une abondante chevelure rousse et j'étais mariée, jusqu'à l'année dernière avec Jay mon époux que j'avais rencontré dans mes années collèges et que j'avais épousé à la sortie du lycée dès mon diplôme ob-tenu.

Il avait obtenu ses diplômes 1 an avant moi et était en bon chemin pour devenir le prochain Donald Trump, si on excepte la chevelure.

Mon mari Jay est plutôt traditionaliste, il ne veut pas que sa femme tra-vaille par exemple, c'est à lui de se charger de la bonne santé financière de la maison, nous étions profondément croyants et fréquentions l'église chaque dimanche.

Je restais à la maison tous les jours, je suppose que j'avais beaucoup trop de temps libre puisque nous n'avions pas d'enfant. Il n'y avait que nous deux et beaucoup de nuits à venir Jay travaillait très tard le soir, aussi demeurais-je souvent seule chez moi.

Ces jours où il rentrait très tard, la charge de travaux domestiques du lendemain consistait surtout à nettoyer les tasses et à faire du café.

Récemment nous avons acheté un nouvel ordinateur dans une boutique locale qui les construit à le demande.

Ils ont leur propre service IP et ils nous offrirent une forte remise lors de l'achat de l'ordinateur.

J'avais déjà utilisé des ordinateurs dans mes années collège, mais c'était uniquement pour exécuter mon travail de clase et pour communiquer avec des amis et ma famille.

Il n'y a que quelques mois, après l'achat de cet ordinateur que j'ai dé-couvert le monde du chat un jour que je m'ennuyais fortement.

Je me suis tout d'abord rendue sur les salons de discussion juste pour voir ce qui s'y passait.

Je voulais observer la façon dont ces gens s'y prenaient, les choses qu'ils évoquaient ainsi que le genre d'écriture qu'ils utilisaient, petit à petit je me suis insérée dans les conversations.

Cela aurait du bien se passer, sauf que je commençais à fréquenter des salons qu'une femme mariée, encore moins une jeune mariée ne devrait pas visiter.

J'avais des échanges de plus en plus érotiques, je confias à des étran-gers des choses que je n'avais jamais dites à mon mari!

C'était très amusant! .... Excitant! ....

Une paire de fois j'essayais de me brancher sur des salons érotiques, mais je ressentais beaucoup de hontes en le faisant.

Je faisais des choses horribles juste pour rendre ma vie plus excitante.

J'adorais avoir de longues conversations orientées sur le sexe, je révé-lais beaucoup trop de choses à de parfaits étrangers.

Je prétendais avoir accompli des actes extravagants dont je n'avais même pas entendu parler auparavant, je me branchais maintenant sur des salons spécialisés sur le sexe.

Mais ce n'était pas encore assez sulfureux, des interlocuteurs me récla-mèrent des photos, je disposais d'une caméra numérique que je posais sur un trépied et tirais quelques clichés forts innocents, juste pour leur montrer à quel point j'étais jolie.

On ne voyait que mon visage, j'étais entièrement vêtue.

Il y avait une paire de gars avec qui je correspondais régulièrement, je me sentais en confiance avec eux, ils étaient vifs, drôles et sexy et habi-taient de l'autre coté du pays.

J'envoyais des photos de mon visage à l'un des deux, puis, je me lais-sais convaincre de leur envoyer des photos de moi en petite culotte et soutien-gorge, mais mon visage n'était pas visible, sur l'une d'elle je me caressais les nichons.

Je leur disais des choses que les hommes aiment entendre, des propos croustillants, je leur décrivais souvent mes fantasmes les plus osés.

mais tout cela en toute sécurité, ils ignoraient mon nom, ils ne possé-daient que mon adresse mail : "sexcindy 1984", ils ignoraient où j'habi-tais, ils n'avaient aucune possibilité de remonter jusqu'à moi.

Tout marchait sur des roulettes, jusqu'à deux semaines plus tôt, à 1 heure du matin.

C'est alors que le téléphone sonna et me réveilla, mon mari a un som-meil très léger, c'est un tel problème que la nuit il se met des boules "quiés" dans les oreilles, ainsi il n'entend plus rien.

J'empoignais promptement le combiné, j'avais le cœur remonté dans la gorge, je pensais qu'on allait m'annoncer que quelqu'un de la famille était victime d'un accident très grave! ..... Ou quelque chose de ce genre.

Pour quelle autre raison quelqu'un nous téléphonerait-il cette heure ma-tinale.

Inquiète, je dis

- "Bonjour....."

Il y eut une brève pause, puis une voix masculine embraya :

- "Hello sexycindy 1984...... Ou préfères-tu que je t'appelle Ashley? ...."

Je crus bien avoir une attaque! .....

Ce ne pouvait-être qu'un des deux hommes avec qui je correspondais régulièrement qui avait trouvé qui j'étais et où je demeurais! ......

Mais si cela n'avait été que cela, c'était bien pire! .....

- "Qui êtes-vous? ...." interrogeais-je proche de la panique absolue.

J'entendis quelqu'un glousser au bout du fil et la voix reprit :

- " Va relever tes mails! ...." puis il raccrocha.

Je vérifiais que Jay pionçait toujours du sommeil du juste, je me glissais discrètement hors du lit et me ruait dans le bureau.

J'allumais l'ordinateur et m'assit attendant, le cœur battant la chamade.

Lorsque ma boite à lettre s'afficha, j'y trouvais un mail provenant de " tonpirecauchemar". J'hésitais un long moment, mais finalement je me résolus à l'ouvrir, il fallait que j'en découvre le contenu.

Je cliquais sur l'icône correspondant, je vis immédiatement qu'il conte-nait une douzaine de photos de moi.

Mon visage était bien visible sur chaque photo alors que je m'exhibais en sous-vêtements, il y en avait même une ou je me caressais les nibards au travers de mon soutien-gorge et de ma petite culotte.

Il s'agissait des photos que j'avais envoyées à mes deux correspondants par mail, mais j'avais envoyé des photos différentes à chacun d'eux.

Mais il y avait pire encore.

Je déroulais le mail et parvins au texte, il s'agissait d'extrait de mes conversations avec les deux hommes, des thèmes souvent obscènes, et de la façon dont je les évoquais, on pourrait croire que j'avais vécu ces situations, ces actes, ces pervers agissements que je citais.

Par exemple je me vantais d'avoir de nombreux amants lorsqu'il était au boulot, de sortir dans des tenues provocantes pour allumer les mâles que dont je comblais ensuite les désirs les plus pervers, j'allais même jusqu'à me vanter d'avoir des relations lesbiennes.

Dans une autre conversation j'expliquais que j'avais des rapports sexuels avec l'ado qui entretenait notre pelouse..... Et j'avais fait de mon mieux pour rendre ces relations plausibles.

En fin de mail, "tonpirecauchemar" avait écrit :

- "J'ai retransmis toutes tes conversations depuis que tu te promè-nes sur le web... Si tu ne veux pas que ton mari ait connaissance de ces photos et des tes dires tu ferais mieux de te pointer au 5711 rue Lawton demain matin à 9 heures.... Bonne nuit, dors bien! ...."

Je relus plusieurs fois ce mail me demandant quel était le bâtard me l'avait envoyé.

Je cherchais à trouver comment expliquer tout cela à mon mari, il était profondément croyant et très stricte en ce qui concernait la morale.

Il ne croirait jamais qu'il ne s'agissait que de propos imaginaires que j'avais inventé pour exciter mes correspondants.

Et même s'il parvenait à le croire, il trouverait cela inacceptable, de toute façon, s'il venait à connaître tout cela nous allions tout droit au divorce! .....

MERDE! .....

J'éteignis finalement l'ordinateur et je me recouchais.

Jay m'entendit revenir dans le lit, et me demanda si tout allait bien.

Je lui répondis que je m'étais rendue dans la salle de bain, il se rendor-mit aussitôt.

Je restais étendue éveillée pendant des heures avec cette horrible me-nace planant sur ma tête.

Je me levais en même temps que Jay, et préparais le petit déjeuner tan-dis qu'il s'apprêtait à partir au boulot.

Après son départ je retournais dans le bureau, rallumais l'ordinateur et relus le mail si menaçant.

Je devenais folle à ne pas trouver de solution pour m'en sortir dignement et à me demander comment ce type avait pu dégotter ces informations me concernant.

Alors que j'étais assis face à l'ordinateur, plus ou moins abasourdie, je reçus un autre mail émanant de "tonpirecauchemar", j'hésitais à l'ouvrir, mais je savais pertinemment que je n'avais pas le choix et je m'exécutais finalement.

Le mail contenait un petit plan précisant l'endroit où je devais me rendre, le parcours que je devais suivre était clairement indiqué et une nouvelle photo de moi en sous-vêtements tenant mes nichons à deux mains comme si je les offrais à un amant.

Il se faisait tard aussi ai-je pris une douche rapide et me suis-je maquillé, puis j'ai cherché quoi me mettre sur le dos.

Tous mes vêtements étaient classiques. C'est ainsi que je m'habillais, à mon image, je sélectionnais une jupe bleue marine, chemisier blanc et une élégante veste.

Je m'habillais rapidement puis me regardais dans le miroir.

J'ignorais totalement ce qui m'attendait, mais je craignais fort qu'il s'agisse d'un chantage sexuel. Nous commencions notre vie de couple et n'étions pas riches. Il était plus prudent d'enfiler une tenue donnant une bonne impression.

Je ne sais pas qui me jouait ce tour, ni comment j'allais bien pouvoir m'en sortir, mais je devais m'en sortir, il m'était impossible d'imaginer avoir des rapports sexuels avec un autre que mon mari, de plus j'étais assez timide.

Je savais que j'avais un visage avenant, mais j'étais très gênée lorsqu'on m'en faisait compliment.

Chaque fois qu'un homme me reluquait avec insistance je rougissais comme une tomate, je ne pouvais m'en empêcher.

Jay était le seul homme à m'avoir vu nue et à toucher ma peau, cepen-dant lorsque j'étais au collège, j'avais laissé plusieurs fois un petit ami, me caresser la poitrine au travers de mes habits, j'étais très excitée, mais je savais que c'était mal et j'avais arrêté de le voir avant qu'il ne me pousse à aller plus loin.

J'avais commencé à fréquenter mon mari alors qu'il faisait partie des aî-nés du collège et que je me trouvais avec les débutantes, nous étions tout de suite tombés amoureux l'un de l'autre, tout nous semblait parfait. Il avait pris la place de mon père dans mon esprit et prenait soin de moi, nous partagions les mêmes principes moraux et religieux.

C'était mon prince charmant, il me demanda en mariage 4 mois avant que je ne sois diplômée, j'acceptais sans resserve de devenir sa femme.

A partir de cette date on flirta de façon un peu plus appuyée, par exem-ple j'acceptais d'introduire ma main dans on pantalon pour prendre sa "chose" en main, je me contentais de la tenir en main, mais c'était déjà beaucoup pour moi! ...... Je lui permettais de prendre de plus en plus de libertés avec moi, il me caressait parfois les cuisses sous la jupe, em-paumait mes seins en passant la main dans les bonnets de mon soutien-gorge... Mais il y avait des limites! .... Nous n'eûmes jamais de rapports intimes avant notre mariage! .....

C'était bien d'attendre le bon moment

Nous avons abordé nos épousailles purs et innocents.

Et ce fut une semaine d'explorations et de découvertes éblouissantes qui valait bien le temps d'attente.

Et voila qu'un étranger insistait pour que je le rejoigne à une certaine adresse, et je pressentais qu'il avait l'intention d'avoir des relations sexuelles avec moi! .....

Cela me semblait impossible. Je ne voulais pas me plier à ses dictats. J'irai et je lui expliquerai que oui, je m'étais laissé emportée dans des correspondances osées, mais que ce n'était que pour exciter mes inter-locuteurs. Je n'avais jamais eu l'intention de faire quoi que ce soit avec un autre que mon mari! ...... Jamais! .....

Je jetais un oeil sur le plan qu'il m'avait envoyé. La rue se trouvait à une paire de kilomètres mon domicile. Je devais quitter mon quartier, prendre la route principale et au prochain croisement je me retrouverai dans la rue Lawton. Je détestais l'idée que ce pervers habite aussi près de ma maison! ......

Il était temps d'y aller et de résoudre ce problème. Je montais dans ma voiture et démarrais. La maison était isolée. La pelouse avait besoin d'être tondue. Il y avait une grosse moto rangée hors du garage, juste à coté d'une camionnette avec la vitre arrière couverte de badges adhé-sifs.

Je passais devant, sans m'arrêter la première fois. Je n'arrivais pas à me résoudre à m'arrêter. Mais finalement, sachant que je n'avais pas le choix, je me garais dans le virage face à la maison. Je me dirigeais len-tement vers l'allée du garage, j'étais si nerveuse que j'avais du mal à res-pirer.

J'entendais de la musique provenant de la maison, je dus frapper plu-sieurs fois à l'huis avant que quelqu'un ne me réponde.

L'homme qui ouvrit la porte avait dans les 30, 35 ans il était grand et fort. On aurait dit un ancien haltérophile.

Il était encore musclé mais il commençait à bedonner, il semblait assez bienveillant, je commençais à suspecter que je n'aurais pas à négocier avec lui, il me semblait familier, mais je ne saurai pas dire pourquoi.

Il me regarda un moment, sans dire un mot, puis repartit en tenant la porte ouverte pour m'inviter à entrer.

Je tentais de lui dire que je ne voulais pas entrer chez lui, que je voulais juste discuter avec lui, je balbutiais et bégayais finalement il me coupa :

- "Ta gueule grognasse et magne-toi le cul d'entrer! ..."

Je n'aurai pas été plus choquée s'il m'avait giflée, personne ne m'avait jamais parlé ainsi, ou utilisé ces termes en ma présence, j'aurai aimé pouvoir le gifler, au lieu de cela il s'approcha vers moi et me saisit par la nuque pour me pousser dans le salon.

Une fois à l'intérieur il claqua la porte et s'assit dans un vieux fauteuil, pendant une longue minute il me regarda fixement, je me figeais sous son regard, il était évident qu'il prenait un grand plaisir à me voir apeu-rée, humiliée, choquée.

J'ouvrai la bouche pour discuter de ma situation, bien que je ne sache pas vraiment ce que je pouvais dire, tout ce que je savais c'est que je devais parvenir à m'en sortir sans trop de dégâts.

- "T'es vraiment stupide, ma salope! ..... Est-ce que tous tes amis savent à quel point t'es paumée? .... "

- "Quoi..." m'insurgeais-je outrée. "En aucun cas! .... Et je vous prie-rai de me parler sur un autre ton et en d'autres termes! ... Je n'en tolérerais pas plus! ....."

Il rit de ma réaction brutale.

- "Qu'y a t-il salope, tu n'aimes pas qu'on te traite de salope? ...... Je te nommerai comme je le veux et tu souriras en approuvant! ...... T'as compris? ...."

- "Je vous en prie..... Ne mêlez pas le seigneur à vos grossièretés... Je ne suis venue que pour vous raisonner...... Je ne suis pas le genre de femme que vous croyez! ..... Ces bavardages sur le net...... C'était...... Je ne sais comment dire... Un jeu anodin! ..... Je ne sais pas comment vous avez déniché ces photos et mes ba-vardages, mais je veux que vous les détruisiez et que vous ne me contactiez plus désormais! ...... Avez-vous compris? ....." mon dis-cours me semblait faible et inefficace.

Il me rit au visage.

- "Désolé ma petite salope, mais ce n'est pas ce que j'entends faire! .... Je veux utiliser ton petit cul à mon gré...... Je crois que tu vas trouver les jours à venir tés éducatifs! ......"

Il se releva et me poussa sur le canapé.

Il était si sale et inconfortable que je n'osais bouger de peur de me salir, mais j'étais trop abasourdie pour lui résister! ....

Il s'assit à mon coté et s'empara d'une enveloppe posée sur la table basse face à nous et le déplia.

Il en sortit plusieurs photos et des copies de mes bavardages ainsi que liste de noms et d'adresses.

La liste contenait les noms des parents de Jay et de mes parents, de mes grands-parents, de mes voisins, de mes amis, du patron de Jay et de quelques-uns uns de ses collègues.

Il y avait aussi le nom et l'adresse de notre pasteur et de membres in-fluents de notre paroisse.

J'eus soudain une brusque envie de vomir, je jetais un coup d'œil circu-laire et localisais la salle de bain, aussi me ruais-je sur le bidet et je vo-mis de tripes et boyaux.

Une fois terminé, je me rinçais la bouche et le visage et l'évier.

La seule serviette que je vis était si sale que je m'essuyais la bouche et les mains avec du papier toilette.

Je jetais un oeil dans le salon mon tourmenteur était toujours assis à la même place sur le sofa.

Je retournais dans le salon, ce n'est qu'alors que je compris que j'étais piégée, je lui demandais alors que qu'il voulait obtenir de moi.

- "T'es une belle salope... " rigola-t-il

- "Tu n'as aucune idée de ton impact sexuel! ..... Mais moi si! ...... Je vais t'apprendre tout ce que tu dois connaître du sexe! ... Tu vas apprendre à baiser et sucer sur commande! ..... Et à t"habiller de façon suggestive! ...."

- "Vous ne comprenez pas! ...." tentais-je de le raisonner une der-nière fois

- "Je n'ai jamais couché avec un autre homme que mon mari, je ne le peux pas! ....."

Il m'ordonna d'aller lui chercher une bière dans le réfrigérateur, je ne voulais pas le faire! .... Je savais que si j'obéissais au moindre ordre de sa part, je tomberai sous son emprise.

Il n'eut même pas à me menacer, je me savais battue, j'allais lui chercher sa bière dans le frigo.

Le contenu du réfrigérateur me répugna, je me demandais s'il avait déjà été nettoyé, je pris la bière et la lui tendis.

Il était à peine 9 heures 30 ce matin et il buvait déjà de la bière.

Il vit se peindre ma désapprobation sur mon visage, il rit et me précisa :

- "Je bois toujours une bière en regardant un strip-tease... Et main-tenant vire mois tes loques! ..... Prends tout ton temps, on dispose de toute la journée! ....."Puis il s'empara d'une télé commande et la pointa sur une caméra disposée sur un trépied proche et me dit de commencer mon effeuillage.

Je jetais un oeil sur la caméra et paniquais, c'en était trop. Je m'effon-drais sur les genoux, me cachais le visage entre les mains et me mis à sangloter.

Il me regardait fixement.

Lorsque j'eus enfin recouvré mes esprits, je le regardais, il me sourit, vi-siblement mon humiliation le faisait jouir,.

- "Oh mon Dieu dans quel piège étais-je allée me fourrer? ....."

Je tentais à nouveau de le raisonner, je le suppliais, je lui dis que je ne pouvais pas me déshabiller devant un autre home que mon mari, et en-core moins face à une caméra! ....

J'avais les yeux rivés sur la caméra et je remarquais que le bouton rouge était allumé, il enregistrait mes lamentations, mes suppliques.

- "Tu n'es qu'une stupide petite salope... Allez magne-toi le cul... J'étais décidé à te faciliter les choses, mais puisque tu ne veux pas y mettre du tien et suivre mon programme, je vais être obligée de te fouetter le cul à coups de ceinture! ...... Et pas plus tard que tout de suite... Si tu veux éviter d'être fouettée, décide toi et fous à toi à poil! .... Mais si tu préfères, je peux aussi appeler des copains à la rescousse, ils m'aideront à te foutre à poil! .... Préfères-tu cela? ...."

Je me redressais brutalement, essuyais mes larmes et mon nez avec une serviette en papier que j'avais conservée en main après m'être rin-cée le visage.

Je rangeais la serviette dans une poche de ma veste puis j'enlevais ma veste et le jetais sur la table basse.

J'ôtais mes chaussures et je déboutonnais lentement mon corsage, le sortant de ma jupe lorsque j'en atteignis le bas.

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