J'appartiens à Snake désormais Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Je respirais profondément et laissai mon corsage glisser de mes épau-les, je couvrais mes nibards de mon bras et jetais mon corsage sur la veste.

J'aurai voulu disparaître, je savais qu'il était inutile de supplier plus long-temps mon tourmenteur, tout ce que je savais c'est que je ne pouvais pas faire ça! .....

Mon corps avait toujours était sacré pour moi, il me semblait inimagina-ble de devoir me déshabiller pour distraire sexuellement ce crétin assis sur le canapé! ....

Il ne me pressait pas, il jouissait autant de ma gêne que ma partielle nu-dité.

Je lui jetais un oeil, le sourire ravi qu'il affichait m'enfoncèrent encore plus dans mon embarras, je détournais rapidement mon regard, mais je ne parvenais pas à trouver une chose sur laquelle mes yeux pourraient se fixer.

Je posais les yeux sur la caméra qui filmait mon humiliation, finalement je gardais les yeux braqués sur un vieux calendrier de Playboy suspendu au mur dans le dos de mon tourmenteur.

Je ne pouvais pas rester comme ça tout le temps, aussi dégrafais-je ma jupe et l'enlevais sans la laisser traîner au sol et la lançais-je sur le tas de mes vêtements qui grossissait, je réfléchissais profondément pour affermir mes esprits.

Je passais mes pouces sous la ceinture élastiquée de mes collants et les roulais lentement sur mes cuisses, je me trouvais maintenant en pe-tite culotte et soutien-gorge.

L'idée de la prochaine étape à franchir était si cruelle que je frémis de peur, finalement je tendais le bras dans mon dos et dégrafais mon sou-tien-gorge, je le tenais devant moi, couvrant toujours mes nibards de ses bonnets, puis je fis glisser les bretelles et libérais mes bras, je cachais mes nichons d'un bras et de l'autre main je lançais le soutien-gorge sur la pile de mes vêtements.

- "Doux Jésus, comment ai-je trouvé la force de faire tout cela! ...." je n'avais aucune réponse à présenter à cette question.

Finalement j'écartais mon bras et offrais mes nibards à la vue de ce monstre qui avait le pouvoir de détruire ma vue et mon mariage.

Je n'appréciais qu'il siffle à la vue de mes appâts mammaires dénudés.

Comme de nombreuses jeunes femmes de mon âge, mes seins sont très fermes ils bombent comme des obus sur mon buste, ils sont très sensibles, bien trop sensibles à mon goût.

Parfois, lorsque Jay les caresse et titille mes mamelons, je pensais que s'il les caressait plus longtemps ou plus vigoureusement je succomberai à un orgasme rien qu'à ces caresses.

Mais bien sur ce n'était pas à moi de dire à Jay comment s'y prendre! ..... Mais cela était vraiment jouissif lorsqu'il me pelotait les miches.

C'était le moment de l'ultime humiliation, je compris cependant que de toute manière mon épreuve ne s'arrêterait pas là.

Cet homme allait me posséder, et j'allais le laisser faire, et pas seule-ment une fois, pas juste aujourd'hui, mais je devrais endurer de nom-breux viols à l'avenir.

Je roulais ma petite culotte sur mes cuisses et la descendais sous les genoux, puis l'enjambais tentant de garder mes cuisses serrées l'un contre l'autre.

Je terminais d'enlever mon dernier sous-vêtement et le jetais sur la pile mais il l'attrapa au vol, il me regarda fixement et porta la petite culotte à ses narines et en respira longuement les parfums.

Jamais je n'aurai cru me sentir aussi gênée, et pourtant je l'étais.

Je restais immobile un long moment avant qu'il ne m'ordonne de me re-tourner.

Je me tournais lui montrant mon dos je jure que je pouvais sentir ramper sur mes appâts.

Puis il me commanda de me tenir face à la caméra.

Une fois en place, je dus croiser mes doigts dans mon cou et faire saillir me coudes de façon à sortir la poitrine. J'obéis, ce n'était qu'un affront de plus.

J'écartais les cuisses d'une cinquantaine de centimètres lorsqu'il me l'en-joignit.

Après avoir longtemps contemplé mes charmes, il se leva et s'avança vers moi.

Je frissonnais en sentant ses mains me caresser le dos, puis descendre sur mes fesses, je pleurnichais discrètement.

Mais je savais qu'il serait ravi de me voir pleurer, et c'était bien le pire.

Il explora méticuleusement mes charmes jusqu'à planter des doigts in-discrets dans mes blessures naturelles entre mes fesses.

Je ne lui opposais aucune résistance, chaque fois que je pensais me re-beller, je réalisais à quel point se serait futile maintenant et qu'en fait cela ne ferait qu'accroître le plaisir qu'il prenait à désacraliser mon corps et mon âme.

Il s'approcha encore de moi tendit la main et empoigna mes nichons. Je remarquais alors la présence d'un miroir accroché au mur derrière la caméra, je fermais les yeux en me voyant ainsi molestée.

Mais mon tourmenteur avait décidé de ne pas me laisser me cacher der-rière la fine peau de mes paupières.

Il me regardait dans le miroir et m'intima d'ouvrir les yeux et de me re-garder me faisant peloter.

J'ouvris les yeux et observais ce foutu bâtard empoigner, serrer, étirer, tordre mes nibards bien fermes.

Il était évident qu'il me faisait mal, mais il était tout aussi évident qu'il adorait faire mal.

Il me passa fugitivement en tête que c'était bien dommage que le suicide soit un pêché mortel car cela semblait le meilleur moyen de me sortir de ce gâchis.

Il concentrait ses caresses sur mes miches, mes mamelons étaient dar-dés, à ma grande honte.

Il les serrait, les étirait et les et tordait ce qui contrastait durement avec les gentilles caresses de mon Jay.

A ma grande horreur, je sentais comme des coups de jus irradier mon clito, je réalisais rapidement que si cela ne cessait pas rapidement, un orgasme dévastateur, ne tarderait pas à me terrasser.

Et je ne pouvais pas le supporter! ....

Mais il n'arrêta pas, et j'eus un violent orgasme.

Je m'affaissais, incapable de supporter mon propre poids, je sanglotais une fois de plus la tête cachée entre mes mains.

Je ne suis pas tombée par terre, il me rattrapa à temps, il empoigna ru-dement ma poitrine d'une main alors que l'autre traçait son chemin entre mes cuisses.

La simple idée que Jay ait voulut enfoncer sa main dans mon vagin m'apparaissait inimaginable, mais cette fois j'étais avec un salaud que je ne connaissais pas, un homme qui avait l'intention de se servir de moi comme de son jouet sexuel. Un homme qui tirait une grande jouissance de mes souffrances! ......

- "Oh mon Dieu, comment ai-je pu avoir un orgasme des mains de ce monstre? ...." pensais-je effondrée.

Je ne serai plus jamais la même désormais, j'étais une femme déchue.

Je pus enfin reprendre des forces et me redresser sur mes jambes.

Mais sa main continuait à malaxer mon vagin, il le manipulait rudement et il me pénétra la vulve d'un doigt curieux.

Je criais lorsque son doigt fora son trou dans ma foufoune.

Il me força à me relever et murmura à mon oreille dans le langage le plus vulgaire qu'il puisse trouver ce qu'il voulait que je lui fasse.

Je secouais la tête en guise d'acquiescement et soupirais.

Il ne servait à rien de me plaindre, ni de résister, je ne pouvais que réagir à chaque nouvelle humiliation, je n'avais pas d'autre choix.

Il me lâcha finalement et recula d'un bon pas, je me tenais de profil par rapport à la caméra il m'enjoignit de le déshabiller.

J'essuyais mes larmes d'un revers de main et agrippais doucement le bas de son tee-shirt, et faisant bien attention de ne pas toucher sa peau plus que nécessaire, je le remontais et le faisais passer au-dessus de ses épaules.

Je le jetais sur la pile de mes vêtements sur la table basse puis je me laissais tomber à genoux et débouclais sa ceinture et son jean.

Cherchant à détourner les yeux de la grosse bosse qui déformait le de-vant de son caleçon je descendais son jean qu'il enjamba rapidement.

Je le débarrassais de son jean et cherchant à dissimuler ma totale révul-sion je saisis la ceinture de son caleçon et le descendis tout de go sur ses chevilles.

Je fus surprise de la taille de la bite qui jaillit en plein air, elle me sem-blait énorme, elle était beaucoup, beaucoup plus grosse que le pénis de Jay et beaucoup plus laide.

Je savais qu'il y avait des chibres de différentes tailles, mais je n'avais jamais pensé me retrouver un jour à genoux à quelques centimètres de la bite d'un étranger, une bite qui selon moi faisait au moins une bonne vingtaine de centimètres de long, et de plus, affreusement épaisse.

Je ne pensais qu'il parviendrait à enfiler cette énorme massue dans ma foufoune si étroite.

Son short enlevé, il empoigna sa massue charnue et la promena sur mon visage. Quelques gouttes translucides suintèrent de son méat.

Je savais que cette pré-émission indiquait son niveau d'excitation, mais je n'avais encore jamais vu ce phénomène! ....

Je n'avais de toute manière jamais eu mon visage aussi proche de la bite de Jay! .....

Et je n'avais pris sa bite à main, à part en de rares exceptions au travers de ses vêtements.

Et voilà que ce monstre promenait sa bite sur mon visage déposant un filet gluant lorsqu'il touchait ma peau.

Il promenait lentement son gland sur mes joues et mes paupières des-cendant vers mon menton, s'attardant sur mes lèvres.

Je me détournais, mais il me gifla sévèrement en plein visage.

Je n'avais jamais été giflée auparavant! ......

Jamais de toute ma vie! .....

J'étais profondément choquée.

J'ouvris les yeux et je vis l'épaisse bite à quelques centimètres de mon nez.

- "Embrasse-le! ..." m'ordonna-t-il sereinement.

J'essayais à nouveau d'esquiver ce geste, j'étais sure de ne pas y arri-ver, je n'étais pas si naïve, je savais que certaines femmes se pliaient à ces actes, je savais même que c'était assez ordinaire, mais ce n'était pas normal, ce n'était pas moral.

Les femmes honnêtes, comme moi, ne posaient sûrement jamais les lè-vres sur des organes sexuels masculins! .....

Il empoigna à nouveau les cheveux et tira dessus.

Et sur le ton de la conversation, un ton presque amical il m'avisa :

- "Sais-tu ma petite chérie que je n'ai jamais baisé de rouquines avant toi? ..... Je suis vraiment impatient de goûter à tes charmes! ......"

Sur ces mots il attira mon visage vers sa bite qu'il pressa contre mes lè-vres.

- "Et maintenant embrasse le salope! ....."

Je fermais les yeux, mais il hurla que je devais les ouvrir et le regarder.

J'ouvris donc les yeux et je les braquais sur petit bedon, je pinçais les lèvres et soumise comme on ne l'est plus je lui obéis servilement.

Puis il me dit de lécher mes lèvres, à ma grande surprise, le pré-sperme qui avait souillé mes lèvres n'avait pas de goût particulier, cependant en obéissant à cet ordre j'avais totalement réalisé ce qu'il me faisait faire, et que j'acceptais bon gré mal gré de faire.

Comme je commençais à tousser, il me donna une nouvelle tape sur la tête, je fis alors de mon mieux pour contrôler mes réactions instinctives.

Il me força lentement à baisser la tête et lorsque son gland turgescent frôla mes lèvres il m'intima de tirer la langue et de le lécher.

Je grognais ma honte et m'efforçais de lui obéir servilement.

Je léchais consciencieusement son gros brugnon, révulsée par cet acte que je m'efforçais d'accomplir de mon mieux.

Le violent sursaut de sa bite alors que j'effleurais son bourgeon du bout de la langue m'effaroucha brusquement.

Il miaulait son plaisir alors que je mettais à lécher servilement son or-gane mâle.

C'était difficile, il tortillait de la queue comme pour échapper à mes lè-vres, ce qui rendait encore plus humiliant le fait de le garder sous contrôle.

Lorsque je l'eus léché un bon moment, il guida mes lèvres sur mes bour-ses, écœurée, je dus lécher ses grosses burnes poilues.

Comment tant de femmes pouvaient-elles se laisser traiter ainsi? ...."

Lorsque ses burnes furent bien couvertes de salive il me releva la tête et annonça :

- "C'est bien ma chérie, c'en est assez des préliminaires, il est temps maintenant de passer aux choses sérieuses...... Referme tes soyeuses lèvres sur ma grosse bite et montre moi quelle longueur de bite tu peux enfourner dans ta bouche! ....."

Je savais pertinemment que cet instant arriverait. Comment allais-je pouvoir laisser un homme enfourner sa grosse bite raidie dans ma bou-che? ....

Je frissonnais de révulsion, priant pour que je puisse surmonter cette nouvelle épreuve.

J'ouvrais la bouche en grand et explosé de rire il enfourna lentement sa grosse bite puante dans ma bouche affolée.

- "j'ai bien l'impression que t'as beaucoup de choses à apprendre dans l'art de la fellation ma chérie! ...... Ne te tracasse donc pas, tu auras bientôt beaucoup d'expérience....."

Je refermais les lèvres sur sa hampe et il s'enfouit dans ma bouche as-servie.

- "Attention à tes dents! ..." grogna-il sèchement.

- "T'es vraiment stupide fieffée salope... Voilà c'est mieux comme ça... Sers-toi de ta langue! ...."

Il coulissait lentement dans ma bouche s'enfonçant un plus profondé-ment à chaque coup de rein.

Il heurtait maintenant l'entrée de ma gorge à chaque coup de boutoir me bâillonnant à chaque fois.

Au début il se contentait d'observer mes réactions et de les ignorer, mais lorsqu'il commença à enfouir sa grosse bite dans ma gorge, il se mit à me gifler.

Chaque fois que je gargouillais, c'est dire à chaque coup de rein, il me giflait durement en plein visage. Je criais hystériquement maintenant.

Je criais, bredouillais et gargouillais cherchant désespérément à respirer alors qu'il s'imposait dans ma gorge.

C'est alors que brutalement il agrippa ma tête à deux mains et pressa mon visage contre son pubis velu, s'enfonçant avec une violence extrême dans ma bouche, sa mentule s'engouffra soudain dans mon ar-rière gorge asservi.

Mes lèvres enserraient étroitement la racine de sa bite puante! ....

- "Oh oui! ...." hurla-t-il

- "Ca y'est chérie..... Quel salope! ..... T'as tout pris dans la gorge! ...."

Sur ces mots, je le sentis pulser dans ma bouche et mon arrière-gorge, je savais pertinemment ce qui allait advenir, je ne pouvais plus respirer, j'aurai voulu qu'il se retire de ma bouche.

Je poussais de toutes mes forces sur ses cuisses, j'étais sure que j'allais mourir les lèvres refermées sur le sexe de cette ordure.

Finalement il se retira très, très lentement.

Il s'arrêta laissant son gland dans ma bouche et je goûtais tout de suite à ses premières giclées spermatiques.

- "Bien que tu sois crispée du trou du cul! ..." me dit-il admiratif, "Je crois que tu vas faire une excellente suceuse! ..... Avec de la pratique bien sur! ..... Je dois admettre qu'il n'y a pas beaucoup de salopes qui ont réussi à absorber toute ma bite dès la première fois! ....."

Devait-il vraiment me parler aussi vulgairement? ..... Ce langage renfor-çait encore mon humiliation initiale de me faire complimenter en ces ter-mes! ....

Lorsqu'il eut fini d'injecter ses derniers jets de semence dans ma bouche, il se recula de quelques pas.

J'aurai voulu recracher l'infâme potion, mais je savais que cela me rap-porterait quelques gifles de plus.

Aussi avalais-je bon gré mal gré, me débrouillant pour contrôler mes ré-flexes de rejet.

Cela me fut véritablement très pénible. Et je savais que cela risquait de se reproduire, et même souvent. Je ne pourrai pas pu en supporter beaucoup plus.

Je m'angoissais à l'idée de vivre sous sa coupe, l'idée de le tuer me tra-versa, mais c'était totalement utopiste.

Il me disposa sur le sol, jambes tournées vers la caméra. Il se redressa et ajusta l'ensemble, puis il se rassit sur sa chaise et se remit à siroter sa bière.

Dès qu'il fut bien à son aise il m'intima de me masturber. Bien sur il n'uti-lisa pas ce terme.

Je ne m'étais jamais masturbée, la masturbation est un grave pêché. Et voilà que j'étais obligée de me masturber devant un étranger et face à une caméra qui enregistrait tous mes gestes.

Je ne savais même pas comment m'y prendre. Je cherchais à lui expli-quer que je ne savais pas comment faire.

Mais à l'instant même où je proférais ces dénégations, je savais déjà que je perdais mon temps.

- "Tu n'es qu'une stupide petite salope, tu te fous de moi? ... Tout le monde sait comment se branler! ..... Bordel tu n'as cas te servir de tes doigts! ..... Tu ferais mieux de te presser fieffée salope! ..... Parce que si tu n'obtempères pas, je peux trouver quelqu'un qui t'aidera à le faire! ..... Je sais qui s'en chargerait avec joie! ....."

Je savais qu'il était capable de mettre sa menace à exécution.

La simple idée que d'autres étrangers puissent assister à ma soumission et à mon humiliation m'était intolérable.

Aussi tendais-je les mains vers le bas et je commençais à me caresser lentement.

Je tournais autour de mon clito, des sentiments diffus de plaisir envahis-saient petit à petit mon bas-ventre.

Je savais que c'était un pêché, mais je n'avais pas vraiment le choix! .....

Comme je continuais mes caresses il m'ordonna d'insérer un doigt, puis deux dans mon vagin et de les agiter.

Bien sur il ne me dit pas cela comme ça! ......

Je fermais les yeux, mais il m'enjoignit de les ouvrir et de braquer les yeux sur la caméra pendant que je me branlais servilement.

Jamais je n'aurai pensé jouir sous mes caresses, surtout dans ces cir-constances.

Il me forçait à faire des choses les plus horribles de ma vie.

Il me sembla que cela dura très longtemps mais en fait ma respiration se fit rapidement plus lourde alors que je sentais le plaisir monter dans mes reins.

Je m'y refusais, bien que je sache que je ne parviendrai pas à résister bien longtemps.

Je me mis à me branler furieusement, mes hanches se levaient pour ap-profondir la pénétration de mes doigts dans ma fente embrasée, et, à ma grande honte un second orgasme me terrassait.

Comment mon corps pouvait-il me trahir de façon aussi éhontée? ....

Mon bourreau, Je ne connaissais toujours pas son nom, me contemplait en train de jouir, il vint vers moi alors que je gisais cuisses grandes ou-vertes sur le plancher.

Il me tourna de façon à ce que la caméra me prenne de profil puis il s'agenouilla entre mes cuisses.

Je cherchais à le repousser alors qu'il s'installait entre mes cuisses et entreprenait de m'embrasser les cuisses et le bas ventre.

Personne ne m'avait jamais fait cela, c'était abominable, je le suppliais de cesser, je cherchais à le repousser mais tout cela en vain.

Ses lèvres s'approchaient de plus en plus de mes babines gonflées, le fait que cela me plaise rendait ses caresses encore plus haïssables.

Finalement sa langue s'insinua entre mes lèvres vaginales, je dus me mordre les lèvres pour éviter de hurler de plaisir.

Et mes hanches se relevaient venant à la rencontre de sa langue en dé-pit de mes efforts pour résister à ses caresses enivrantes.

- "Ouais... " dit-il légèrement dépité "Je savais bien que t'étais chaude, même si tu t'en défends! ..... Jette donc un oeil sut ta chatte embrasée...... Elle est inondée de cyprine! ....."

Cela ne pouvait pas être pire, chaque fois que je pensais que je ne pour-rais pas endurer d'épreuve plus dégradante, ma situation empirait.

Chaque acte dégradant m'enfonçait de plus en plus dans une honte in-commensurable.

Un nouvel orgasme me submergea! .....

Alors qu'il collait ses lèvres à mon clito, je ne pouvais plus contrôler mes sens.

Je mugissais mon plaisir à ma grande honte j'avouais ainsi mon intense plaisir, pire encore c'était, sans hésitation aucune, le plus intense or-gasme qui m'ait terrassé! ....

Et il le savait! .....

Je sentais qu'il en était convaincu.

Mon Dieu que je le détestais! ....

Il m'embrassa suavement la chatte à plusieurs reprises puis repris son parcours, se relevant en mordillant, au passage, mon estomac et mes nichons.

Il m'embrassa, me titilla et me pelota tant et si bien que je sombrais rapi-dement dans un nouvel orgasme, quand bien même mon esprit savait que c'était horriblement pervers.

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