Correspondance érotique

BÊTA PUBLIQUE

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romane
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Je gobais un sein de Sophie et le suçais avidement.

Tu glissa alors deux doigts en moi et me masturba. Sophie titillait mon clitoris. Ta langue remplaça ses doigts puis j'eus droit à vos deux langues chaudes et humides. Ta langue entrait et sortait de ma grotte en fusion.

-Bouffez moi les filles, continuez c'est très bon."

Sophie me dévorait la bouche et les seins.

-Je veux plus!" dis je en me levant afin de retirer ma robe. "Je vous veux en moi."

Vous fîtes de même. Au pied du sofa, sur un plateau, se trouvait deux superbes godemichés ceintures. Vous les passèrent toutes deux et revinrent vers moi.

Alors que tu me frappais le sein avec ton engin, je suçais celui de Sophie. Je pris ensuite le tien en bouche et alternais ma caresse buccale entre les deux pénis.

Je vous offrais toujours une superbe vue sur ma chatte que vous ne manquiez pas de caresser.

Sophie me mit à quatre pattes et après m'avoir encore lubrifié la chatte, elle me pénétra de son nœud en latex.

Pendant qu'elle m'honorait, tu me frappais les fesses pour accroître mon plaisir.

Tu glissas ensuite sous nous deux et ta langue et ta bouche me lécha pendant que Sophie me baisait.

Quand Sophie s'arrêtait pour reprendre on souffle, j'ondulais ma chatte sur ta bouche vorace. Oh quel bonheur.

-Viens me baiser à ton tour ma petite chatte." Te dis je.

Tu ne te fis pas prier deux fois. J'accueillis ton pieu en moi. Tu te déchaînas comme une furie pendant que je suçais le gode de Sophie.

Tu me fis longuement jouir.

Une fois mon orgasme atteint, tu retira ton gode et se fut au tour de Sophie de t'honorer. Vous étiez toutes les deux magnifiques. J'assistais à ta jouissance et à ton orgasme assise dans un fauteuil.

Inutile de te dire dans quel état j'étais à mon réveil ce matin

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*

Ma petite chérie

Je viens de me doucher. J'aurais bien aimé garder sur moi l'odeur de ma folie de cette nuit, mais je pense que certaine narine n'aurait pas apprécié.

Je me suis longuement caressée devant mon DVD de Andrew Blake "Aroused". Je ne sais pas si tu connais, mais les filles sont à croquer. Je sais que tu n'apprécierais pas certaine de leur chaussures mais le reste je pense que oui.

En fermant les yeux, je me voyais parmi elle, léchant, suçant,…

Mon vibromasseur joua de mes sens me rendant encore plus chaude et humide.

A la fin du film, je me suis rendue dans ma chambre. Je retirais mes vêtements et m'allongeais nue sur le lit. Mon corps tremblait de plaisir. Je roulais ma couette sous moi et me frottais langoureusement dessus déposant ma liqueur.

Ma petite chatte attendait une bouche qui ne venait pas. Mes tétons étaient aussi durs que de la pierre. Je transpirais de tous les pores et surtout du mon fruit d'amour.

Où étais tu ma belle petite chatte? J'avais envi de toi.

Je t'imaginais dans les bras de ton bel amant, te faisant baiser sauvagement. Mon plaisir n'en était que meilleur.

Après avoir longuement jouit, je me suis endormis.

La fraîcheur de la nuit caressant mon corps nu me réveilla vers 4 h du matin.

Je remis ma couette en ordre et glissais dessous.

Quelle nuit merveilleuse. Je m'endormis à nouveau.

J'espère que ta nuit a été aussi merveilleuse que la mienne. C'était le résultat d'une semaine d'abstinence.

Je t'embrasse tendrement

Ta Romane sucrée.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*

Tu es assise dans le canapé, dégustant un délicieux punch. On ne dit rien.

J'admire tes jambes et surtout les superbes escarpins que tu portes. On voit que tu aimes les belles chaussures.

Tu me rends mon sourire te sachant déshabillé par mon regard.

Je pose mon verre et me lève. Tu ne me quittes pas du regard.

Je m'approche et m'agenouille à tes pieds. Je te souris.

Je fais glisser mes doigts sur le velouté de ta jambe. Tu frémis à mon contact. Je descends te caresser les pieds. Tu fermes les yeux.

Je me baisse et sors ma langue pour lécher le velouté de ta peau. Tu gémis.

Je fais aller et venir ma langue sur ta jambe. Doucement, je retire ton escarpin.

Je caresse ton pied. Tu gémis un peu plus.

Ma bouche descend. Je suce un à un tes doigts de pied. Tu gémis plus fort et t'ouvres doucement.

Oh coquine, tu n'a rien mis dessous. Alors que j'honore ton pied, mes yeux ne peuvent quitter la vue de ta douce petite chatte.

Lentement, je monte ma main vers elle. Ton bassin ondule sous les assauts du plaisir. Je touche la peau délicate de ton pubis. Ton corps s'arque boute.

Je descend ma main et cueille un peu de ton émoi sur mes doigts. J'abandonne un temps tes pieds pour te goûter.

Tu m'appels. Tu ne tiens plus. Je lèche encore un peu ton pied et remonte entre tes jambes pour aller boire le divin nectar que tu m'offres.

Je te tiens par les hanches et lèche ta délicieuse petite chatte gorgée de liqueur. Tu es divinement bonne.

Tu jouis enfin. Je jouis moi aussi, deux doigt dans ma chatte.

On s'embrasse enfin.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-

Quel genre de pensées traverse le cerveau quand on se masturbe?

Pour ma part, c'est mon petit ange sulfureux qui m'inspire.

Après t'avoir envoyé mon dernier message, je suis retournée dans mon lit. J'ai fermé les yeux.

Je t'ai vu en robe d'été assise sur un banc, les jambes écartées, m'offrant la vision de ton string blanc. Il n'y avait personnes que nous deux. Tu jouais à serrer et écarter tes jambes.

Ma main est descendue entre la chaleur de mes cuisses et j'ai commencé à me masturber.

Moi, je ne portais rien sous ma robe d'été. Tu t'es levée, tu es passée derrière moi. Tu m’as caressé le haut des cuisses et lentement tu t'es agenouillé tout en caressant les jambes. Tu les caresses longuement posant sur ma peau de léger baiser.

J'ai une autre image de toi, debout, en bas et guêpière. Je suis en porte-jarretelles les mains entravées par un foulard dans le dos. Je suis debout, offerte. Tu t'approches lentement. Tu te colle dans mon dos et te frotte contre moi. Mes doigts touchent ton pubis.

Mon doigt entre et sort en émettant un petit bruit mouillé. Je ne gémis pas encore.

Tu as pris mes deux seins dans tes mains et tu les caresses tout en m'embrassant dans le cou. Je frissonne.

Tu détaches mes mains, prend ma tête et m'embrasse doucement.

Tes mains descendent vers ma petite chatte en fusion. Tout en frottant ton corps dans mon dos, tu me masturbes doucement.

Tu me fais asseoir. Tu t'installes entre mes cuisses et commence à laper ma liqueur.

Tu me broutes, me manges, me bois de tout ton saoule. Moi je crie, gémis, râle.

Continues, ne t'arrêtes pas.

Mon corps ondule sous les vagues du plaisir. Je gémis maintenant.

Ho ma coquine, tu aspires mon petit clito maintenant. C'est bon, ne t'arrêtes pas.

Je me caresse les seins. Je vois que tu te masturbes également. Ma position ne me permet pas d'atteindre ta petite chatte. Ton doigt luit de ta divine liqueur. Ho je viens, je vais jouir. Continues, ne t'arrêtes pas.

Oh mon amour, ma belle, ma tentatrice. Que j'aime tes caresses, ta bouche, tes lèvres. Je jouis maintenant, le corps tendu sur le lit. Ne part pas, reste. J'ai soif, j'ai faim de toi.

Ma bouche se pose sur ta chatte gorgée de liqueur et je te bois à mon tour. A ton tour tu jouis, tu cris, tu râles.

Reste, non ne part pas.

Je me suis endormi une petite heure.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-

Nous étions parties en week-end toutes les deux dans une station balnéaire de la côte basque. Nous avions prit une belle chambre donnant sur la plage. Le premier soir on avait fait longuement l’amour oubliant d’aller manger.

On avait passé la journée à la plage à dorer nos corps au soleil et à nous baigner. Une fois dans l’eau, on restait l’une près de l’autre profitant de cette occasion d’intimité pour nous toucher, nous caresser.

Vers 17 heures, on était sur des charbons ardents. On décida de retourner dans l’intimité de notre chambre afin d’assouvir notre désir brûlant.

On n’a pas put s’embrasser dans l’ascenseur vu que l’on n’était pas seule. Une fois la porte de la chambre refermé, on se jeta au cou l’une de l’autre et notre baiser fut charnel, gourmand.

On avait déjà nos chemisiers à terre lorsque mon téléphone portable sonna.

-Laisses » tu dis.

-Je ne peux pas. Tu sais que ma mère à un certain âge et que bientôt… » lui dis je en prenant mon portable.

-Bon, mais sir ce n’est rien, ne tardes pas. »

-Promis! » te dis je en t’embrassant.

Je décrochais. C’était bine ma mère. Tu allas dans la salle de bain. Alors que je réconfortais ma mère sur le faites que je sois loin d’elle, j’entendis l’eau de la douche couler. Je voulais te rejoindre mais ma mère me tenait. Je fermais les yeux et te voyais sous l’eau de la douche, le corps humide, magnifique, ta petite chatte…

-Tu m’écoutes Romane! » hurla ma mère au téléphone me tirant de mon rêve.

-Oui maman, je t’entends. »

Je raccrochais au moment ou tu sortais de la salle d’eau enveloppée dans une serviette. Tu me regardas avec un air de reproche.

-Tu avais promis! »

-C’est ma mère ma chérie. »

Je t’embrassais pour me faire pardonner. Tu acceptas mon pardon. Je sentais la chaleur de ton corps sous la serviette.

Je me sentais un peu sale pour commencer quoique soi.

-Tu m’attends, je vais prendre une douche rapide. »

-Rapide sinon tu devra te satisfaire toute seule. » me répondis tu avec un sourire coquin.

Je pris une douche éclair. Alors que je sortais de la salle de bain en me séchant les cheveux, je te trouvais dans le lit, couché nue sur la serviette, les jambes repliées et ouverte, une main allant et venant sur ta petite chatte d’amour. Tu avais les yeux fermés et tu gémissais.

Tu étais belle. Je ne voulais pas t’interrompre de suite et te regardais te masturber en douceur. Tes doigts luisaient de ta liqueur.

Tu ouvris enfin les yeux et me vis. Tu souris, passa une langue gourmande sur tes lèvres et continua ta caresse.

Je laissais choir ma serviette et m’approchais du pied du lit. Tu me suivis du regard. Le spectacle était délicieux. Je m’allongeais entre tes jambes. L’odeur de ta liqueur me parvint aux narines, réveillant mon appétit de toi.

Alors que mon visage était près de ta main, tu sortis tes doigts luisant de liqueurs blanches et les tendis vers ma bouche. Je les suçais avec avidité. Une fois bien net, je glissais mes doigt sur tes lèvres onctueuses, juteuses à souhait. Je les écartais découvrant ta grotte pleine de mouille odorante. Je posais alors ma bouche sur tes lèvres juteuses, glissais ma langue dans ta vulve chaude et me mis à te brouter avec fougue. Je ne me lassais pas de ton odeur. Tu me pris la tête, rugissant comme à chaque fois que je m’attaquais à ta chatte. Ta fontaine ne semblait pas vouloir tarir. Je suçais, léchais, buvais de tout mon saoul.

Je glissais un doigt, puis deux en toi, la pointe de ma langue agaçant ton petit clitoris qui sortait du replis de ses chairs. Une fois un des deux doigt bien lubrifié, je le glissais dans ton petit œillet bleu. Je te sodomisais de mon doigt tout en continuant à te dévorer le pistil.

Tu eus ton orgasme m’offrant encore plus à boire pour mon plus grand bonheur.

Je remontais afin de t’offrir ta divine liqueur dans ma bouche. Notre baiser fut long et doux.

On descendit pour le repas ce soir là. Je ne pris pas d’apéritif, préférant garder un peu plus longtemps ton odeur dans ma bouche. Aucun apéritif n’était aussi bon que ta douce liqueur.

Tu me remercias plus tard à grand coup de langues.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-

Je suis sortie de ma douche et tout en m'essuyant je suis passée devant la chambre. Tu n’étais plus dans le lit. Je me rendis alors dans la cuisine.

Tu était là, debout, me tournant le dos, vêtue uniquement de ton mignon petit string bleu. Tu te préparais une tartine de confiture. J’admirais ton superbe corps avant de venir m’y coller.

-Tu sais que les voisins peuvent te voir. »

-Ha bon! » dis tu ingénue.

Tu frotta tes fesses sur mon bas ventre.

-Tu es toute mouillée! » dis tu.

-Comment le sais tu? »

Je lâchais la serviette pour te caresser les seins, le ventre et le mont de vénus. Je t’embrassais tendrement dans le cou. Je t’entendis soupirer.

Tu me fis face et on s’embrassa. J’aime le goût de ta bouche. La pointe de tes seins était dure comme un caillou. Je les pinçais provocant un long cri de douleur mélangé à du plaisir.

Je t’appuyais contre la table et m’agenouillais à tes pieds.

-Romane! Je t’en pris, tu vas me mettre en retard! »

Je ne te répondis pas massant tes lèvres à travers ton string en dentelle. Tu écartas les jambes afin de me faciliter la tâche.

-Tu me rends folle! » dis tu.

Je pris ton string et le fis descendre le long de tes jambes. Tu écartas de toi même les pétales de ta fleur déjà bien humide. J’y posais ma bouche.

Je pris mon petit déjeuné dans un divin calice.

Même après notre nuit agitée, ta source ne s’était pas tarie.

Tu arriva effectivement en retard, ce jour là, mais sans ton string en dentelle bleu.

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2 Commentaires
JehanSuchahardJehanSuchahardil y a presque 11 ans
félicitation

Heureusement il n'y a pas que des bas dans cette histoire :

il y a aussi des Hauts, et de quelles hauteurs ! !

et des mini-portraits de femmes absolument magnifiques ...

Encore plus séduisante que vos autres histoires, si c'est possible ...

merveilleusement évocatrice, délicieusement érotique et kinky ...

Jean-François

AnonymousAnonymeil y a plus de 18 ans
Superbe

Bravo pour ces mini histoires. J'adore celles où il est question de femmes en bas!!! C'est tellement plus érotique...

Merci et continuez !!!

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