Correspondance érotique

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Correspondance avec une charmante jeunes filles.
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romane
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Correspondance érotique avec une douce jeune fille

En passant devant ta boutique, j’avais remarqué une splendide paire de chaussures et une ravissante vendeuse. J’entrais dans la boutique, plus pour la ravissante vendeuse que pour la paire d’escarpin.

J’entrais alors dans la boutique et je fus accueilli par toi. Tu étais ravissante, mignonne et accueillante.

Je te montrais la paire qui me faisait tant plaisir. Tu me félicita sur mon choix et partit dans les réserves chercher l’autre pied après m’avoir invité à m’asseoir dans le canapé.

Tu revins, tout souriante et t’accroupis à mes pieds.

Involontairement ta jupe remonta sur tes belles cuisses gainées de soie. J’eus le temps de voir une mignonne petite culotte en dentelle blanche.

Tu rougis en te relevant afin de remettre ta jupe en place. Tu cherchais quelqu’un du regard, avec une légère angoisse, mais tu te calmas et repris ta position en retenant ta jupe.

Dommage, j’avais trouvé cela très mignon. Je te souris, un peu complice.

Moi je ne portais rien ce jour là sous ma jupe en daim. Alors que tu te concentrais à la mise en place de mes escarpins, j’ouvris légèrement mes cuisses. En relevant la tête, tu vis ce que je voulais t’offrir. Tu rougis à nouveau. Je te souriais encore plus de ta gêne.

Tu te relevas évitant mon regard.

-Voulez-vous marcher afin de voir si cela vous convient. »

Je me levais et marchais. Je fis exprès de trébucher. Tu volas à mon secours et me pris par la taille. Je frissonnais au contact de ta main sur ma hanche. Tu m’aidas à marcher un peu et dès que je sentais que tu allais me lâcher, je trébuchais à nouveau.

-Vous n’avez jamais porté de chaussure avec de si haut talon. »

Si tu avais vu ma collection de chaussures.

-Non! »

-Je comprends. »

Il y avait une glace par terre en biais afin de se voir chaussé. On s’en approcha. Est ce une chance, mais se jour là, la glace avait un angle plus prononcé et nous trouvant suffisamment proche, j’eus à nouveau une belle vision sur ta culotte.

-Ravissant! » dis je.

-Oui, les chaussures sont très belle. »

-Je parlais de vous. »

Tu rougis à nouveau et finit par voir ce que je voyais dans la glace.

-Merci. »

-Je prends les chaussures. »

-Vous êtes sûre? »

Je posais une main discrète sur tes fesses et les caressais rapidement.

-Oui! »

Je me dirigeais alors vers mes affaires dans une démarche assurée. Ton regard me brûlait les fesses.

-A bientôt, » dis je en quittant la boutique après t’avoir adressé un clin d’œil.

Tu ne me quitta pas des yeux jusqu’à ce que je quitte la boutique.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-

Je me suis rasée la chatte ce matin. Je suis aussi nue qu’un caillou. C’est lisse et très doux. Tu veux toucher?

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*

Je suis entrée dans ce pub, histoire de boire un bon whisky et de profiter de l’ambiance.

J’ai senti un moment un regard sur moi. C’est alors que je la vis, quelques tabourets plus loin.

Elle était blonde, cheveux mi-long. Elle portait un pull et une jupe ouverte très haut sur sa cuisse. Elle avait une superbe jambe gainée de résille et une petite bottine comme tu dois les aimer. D’où je me trouvais, je voyais la lisière de son bas.

Elle me jetait de temps en temps un regard.

Je ne pouvais laisser passer cette occasion, surtout que je sentais un léger émoi dans ma culotte.

Je me suis approchée d’elle et me suis présentée. Elle ne me repoussa pas. On discuta longuement du comment et du pourquoi de notre présence dans ce pub et dans cette région. Je buvais ses paroles et mouillais de plus en plus.

Après s’être payé un verre mutuellement, je me lançais.

Je me suis penchée vers elle et lui ai dit doucement.

-Tu me plais, j’ai envi de toi. »

Elle me sourit le visage un peu rouge et but une gorgé. Elle se pencha alors à son tour.

-Moi aussi, j’ai envi de toi. »

Alors qu’elle me regardait, à nouveau droite sur son tabouret, elle passa sa langue sur ses lèvres. Ce fut trop pour moi. J’avais une envi furieuse de l’embrasser, mais il y avait trop de monde.

Je payais et sortis du Pub avec elle.

Je lui proposais de venir chez moi. Elle me suivit dans sa voiture.

J’ouvris ma porte avec fébrilité et une fois chez moi, je la pris dans mes bras et on s’embrassa fougueusement sur la bouche.

Humm.

Je glissais une main sous sa jupe et constatais qu’elle était tout aussi excitée que moi. Je ne sais plus comment, mais on se retrouva dans mon lit, nue, nous caressant langoureusement et nous embrassant délicieusement.

Elle est blonde et sa petite chatte me l’a prouvé. Elle a des seins bien fermes qui appel les caresses et la bouche. Elle a un petit tatouage entre le nombril et sa toison que je vais raser ce soir. C’est un papillon. Des fesses… Sa liqueur est légèrement salée.

On s’est broutée et cela faisait longtemps qu’une fille ne m’avait brouté le minou.

J’ai passé un excellent Week-end et un Dimanche de rêve. On n’a presque pas quitté le lit, sauf moi pour t’écrire entre deux ébats.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*

Surtout que je n'arrive plus à dormir depuis 4h30. J'ai vainement cherché à me rendormir mais tu occupais mes pensées. Si Sophie savait que je ne rêve pas tout le temps à elle? Elle est assez cool, mais là elle tiquerait un peu.

Ce matin, à chaque fois que je refermais les yeux, je me voyais assise au bureau, les jambes écartées.

Dans la pièce on entendait un bruit de respiration rapide et le bruit que fait une langue et une bouche en plein travail sur une petite chatte luisante. Mon corps tremblait à chacun de tes coups de langue. J'essayais de me concentrer sur mon travail, mais tu étais trop gourmande. Je gémissais lorsque le téléphone sonna. J'essayais de reprendre mes esprits, mais toi, ma petite cochonne, tu n’arrêtas pas ton travail. Je répondis tout de même, essayant de ne pas trahir mon émotion.

Je raccrochais et laissais échappé un long gémissement. Je te regardais, le nez et les joues pleines de ma liqueur. Tu es ravissante dans cette petite nuisette. Je vois aussi deux doigts long et fin, les ongles rouges, aller et venir dans ta chatte humide. J'avance le bout de mon escarpin et titille un peu les plis qui protègent ton clitounet. Tu gémis et retire tes doigts afin que je te caresse du bout de ma chaussure. Je sais que tu aimes cela. Ma chaussure se macule de ta mouille. Ton bassin tangue aussi vite que le mien. Je retire mon escarpin et te caresse plus en profondeur. Nous gémissons en cœur.

Tu finis par me faire jouir. Tu me nettoies la chatte comme une perle. Tu n’as pas eu ton plaisir. Tu sors de dessous le bureau. Tu m'offres le résultat de ton travail dans ma bouche. Je t'attire sur mes jambes. Tu enjambes mes cuisses, face à moi. Nos bouches ne se quittent pas. Ton bassin fait un long va et vient sur ma cuisse gainée de bas. Ta petite chatte dépose ta sublime liqueur sur la soie de mon bas. Tu pousses des petits cris. Je glisse ma main sur ton bas ventre et agace ton clitoris du bout de mon pouce. Tu jouis enfin.

J'ouvre les yeux. Mon corps est luisant de sueur et ma main s'agite sur ma chatte. Je jouis.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-

L’approche des fêtes me rend toujours mélancolique. Je n’aime pas beaucoup cette période de l’année, mis à part la bonne chair et le fait que les jours vont se rallonger à nouveau.

De plus, je comptais organiser une petite fête pour la fin d’année. Je m’y suis prise trop tard et tout le monde était pris. Je vais donc la passer tout seule. Je vais aller faire le tour des pubs et peut-être trouver une âme solitaire comme la mienne.

Quand j’ai lu ton message Samedi dernier, j’ai pris mes affaires et suis partie faire un tour afin de me changer les idées.

Toutes les filles merveilleuses que je croisais, je les imaginais en bas bleutés et string en dentelle bleu. Ma ballade ne me changea pas les idées et de retour chez moi, je me déshabillais frénétiquement et me jetais sur le lit.

Je fermais alors les yeux et te vis faire l’amour avec ton compagnon. Je vous regardais faire l’amour tout en me masturbant de mon côté. Quand il jouit en toi, je te vis avoir ton orgasme. Tu étais encore plus belle à ce moment là.

Dans mon fantasme, tu ne t’endormis pas. Tu me regarda en souriant, moi me masturbant toujours. Tu te rapprocha de moi et écarta ma main de ma chatte. Tu me caressas en douceur avant que ta bouche vorace me dévore la vulve. Ce fut à mon tour de jouir.

Tu occupas mes pensées durant tout le week-end et je ne trouvais pas le courage d’écrire et même de t’écrire.

Dès que je me mettais à mon clavier, je sentais à nouveau le désir de me caresser sentant ta langue en moi.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-

Un jour, je suis repassée dans ta boutique. Tu m’a reconnu et souris timidement. Sans rien dire, je t ‘ai donné un petit bout de papier et je suis ressorti. Je devinais que tu avais une pose entre midi et deux et j’avais réservé une chambre dans un hôtel proche de la boutique.

Je m’y rendis à l’heure dite. Ce n’était pas un superbe hôtel mais pour ce que j’y comptais y faire, cela n’avait pas d’importance.

Je pris une douche, m’enroulais dans une serviette et je t’attendis le corps en émois.

Midi passa de quinze, trente, quarante cinq. J’étais triste. Me serais je trompée sur toi? J’avais décidé de rester le plus longtemps possible.

Il était treize heure passé de quelque minute, lorsque j’entendis frapper timidement à la porte.

Je l’ouvris le cœur battant. Tu étais là. Je pris ta main et te fis entrer dans la pièce. Je fermais le verrou et te fis face. Tu ne me quittais pas des yeux. Je défis le nœud de ma serviette et la laissais tomber offrant mon corps nu à ton regard.

Je m’approchais. Nos yeux étaient rivés les uns dans les autres. Doucement, je déposais un baiser sur tes lèvres closes.

-Je suis folle! » dis tu dans un souffle.

Je pris ton sac et le retirais. Je pris ta veste et la retirais. Tu ne m’en empêchais pas et cela était déjà une autre victoire pour moi.

Je te pris alors dans mes bras et t’embrassais. Tu te laissa faire et ouvris la bouche. Nos langues se mêlèrent enfin. Tu frissonnais.

Je sentis enfin tes mains se poser sur mes hanches et les caresser doucement. Tu t’enhardis et les glissa sur mes fesses. Je les balançais te montrant que j’appréciais beaucoup.

Tu embrassais bien. Tout en continuant notre baisé, je te débarrassais de ton chemisier. Deux merveilleux globes apparurent. Je quittais ta bouche pour les cajoler, les lécher et les sucer. Tu gémis.

Tu retiras ta jupe de toi même. Ton string bleu me chavira les sens.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-

Je fus réveillée par des gémissements. Visiblement ils venaient de votre chambre. Je glissais hors du canapé où vous m’aviez installé et allait voir telle une petite sourie. Tu étais à quatre patte et ton copain t’honorait par derrière. Vous ne pouviez me voir. Je glissais alors une main sur mon sexe et me caressais en vous regardant. C’est alors que vous jouîtes en cœur tous les deux. C’était mignon.

Je suis repartie m’allonger dans le canapé.

Ton copain se doucha et partit travailler. On était lundi et tu ne travaillais pas ce jour là.

Je suis retournée vers la chambre. Tu dormais, le drap sur ta peau humide de sueur. Je m’approchais doucement du lit.

Lentement, je fis glisser le drap hors de ton corps. Je pus enfin t’admirer rien que pour moi. Tu avais les jambes légèrement écartées. Je voyais tes douces lèvres humides de tes liqueurs et de la semence de ton homme.

Je descendis ma tête. Je reniflais ton odeur, et cela m’enivra. Timidement, je posais une main sur ton sexe imberbe. Tu gémis doucement et t’écarta un peu plus. Tu dormais toujours. Je massais ton mont de vénus et ton corps répondait à ma caresse.

De la liqueur perla à nouveau. Je posais ma bouche sur tes lèvres délicate et goûtait ta cyprine.

Hummm, c’était divin. Je glissais ma langue dans tes chairs liquéfiées. J’agrippais tes cuisses et dévorais ta petite chatte.

Tu te réveillas et sursautas. Je te regardais sans quitter ta fontaine.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-

Mon petit bouton salé

Je me suis réveillée ce matin avec un petit goût salé sur les lèvres. Serais tu la jeune fille que je léchais dans mon rêve?

En refermant les yeux, je revois cette jeune femme, sa poitrine accueillante, ses fesses douces de déesse, son ventre creux et sa petite chatte imberbe. J’ai découvert ce corps avec mes mains, ma bouche et ma langue. Je me souviens encore de ses gémissements lorsque ma langue fouinait dans sa grotte liquéfiée. Ces mains me tenaient la tête et elle me demandait de ne pas arrêter.

Je me suis réveillée en sueur, la main entre les cuisses, poisseuse de mes liqueurs. J’ai léché mes doigts, un a un, en pensant à toi.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*

Oui, mes pétales restent ouvertes, invitant ainsi ma douce abeille à venir butiner mon nectar. Je la sens humide à l'instant, mouillant ma petite culotte de satin noir.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-

Une fois arrivée chez moi et nous être tendrement embrassées, je lui ai demandé si elle était toujours d’accord pour que je lui rase la chatte. Bien sûr que oui.

On alla alors prendre une bonne douche. Se fut l’occasion de longs baisers et de caresses très intimes pour fêter nos retrouvailles. On jouit chacune notre tour sous la douche.

Une fois dans ma chambre, je l’installais confortablement à la tête de mon lit. J’amenais serviettes, mousse à raser, rasoir, et ciseau. Je lui demandais si elle voulais garder une petite touffe comme moi, au dessus de mes lèvres pulpeuses, ou bien être totalement nue comme une jeune fille de douze ans, comme toi ma belle chatte.

Toute nue fut sa réponse.

Je m’installais entre ses cuisses largement ouvertes et égalisais son pubis avec les ciseaux.

Une fois les poils bien court, je pris de l’eau dans la bassine près de nous afin d’humidifier sa toison. J’en profitais pour passer mon pouce sur le haut de ses lèvres proches de son clitoris que je sentais poindre. Elle gémissait de bien être.

Je répandis la mousse sur sa toison et autour de ses lèvres.

Je pris alors le rasoir.

-Certaine! » lui dis je.

-C’est bon vas y! »

Je l’embrassais pour la remercier de tant de confiance et doucement passais le rasoir sur sa toison. Celle-ci disparut petit à petit sous les lames du rasoir.

Elle me regardait fascinée. Elle tenait ses jambes bien ouvertes afin de ne pas me gêner dans mon travail. Je fis très attention en passant près de ses lèvres.

Je pris ensuite de l’eau afin de retirer le reste de mousse.

Encore quelques coups de ciseau près des lèvres afin de terminer mon travail.

J’étais fière de mon travail. Je la regardais. Elle me sourit.

-Alors! Pas déçu? »

-Non, j’aime beaucoup. »

Je glissais ma langue sur mes lèvres avec gourmandise. Je m’abaissais et lentement lécher la peau, là ou se trouvait son pubis auparavant.

-Mon dieu!!! » dit elle, « Ho mon dieu!! »

J’avais le goût du savon dans la bouche. Je vis perler son émoi sur ses lèvres. Je posais une main sur son mont de vénus et la massais tout en m’allongeant plus confortablement entre ses cuisses.

Du bout de la langue, je cueillis sa rosé et écartant ses lèvres, je la glissais plus loin en elle.

C’était des tremblements, des gémissements au fur et à mesure que je la dégustais.

Je recueillis tout ce qu’elle pouvait m’offrir. Elle jouit dans ma bouche. C’était succulent.

A suivre …

As tu aimé ma belle chatte?

A la question de la jeune fille « Que veux tu? »

Ma réponse est : après tes seins, tes fesses que tu dis merveilleuses, quelque petites claques, quelques caresses douces et une langue mutine dans le vallon proche de ton petit œillet. Ensuite je lècherais l’intérieur de tes cuisses avant de déguster ta petite chatte d’amour.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*

Tu m'avais donné rendez-vous dans cette boite de nuit. Ton mec faisait la fête de son côté.

Quand je suis arrivée dans la boite, il ne me fallu pas beaucoup de temps pour te trouver. Tu dansais comme une déchaînée sur la piste de danse dans un mignon petit short rouge satin, et un bandeau sur les seins. Tu portais également des collants noirs et tes fameuses "Babies".

Tu me remarquas également mais continuait à danser.

Je m'installais au bar et commandais une Vodka tonic. Je m'apprêtais à le déguster lorsque tu arrivas. Tu pris mon verre en plongeant ton regard dans le mien. Tu le bus sans te sentir gênée. Ton odeur me parvint aux narines, une odeur de désir, de stupre. La transpiration ruisselait sur ton corps.

Tu reposas le verre vide sur le comptoir sans que ton regard ne me quitte. Une petite langue rose glissa sur tes lèvres et tu m'adressas un clin d'œil.

Tu te dirigeas alors vers les toilettes, balançant ton superbe postérieur. Tu savais, coquine, que je le regardais. Avant de rentrer, tu regardas si je te suivais. Tu m'offris ton sourire et entras.

Je me levais et me rendis à mon tour au toilette. Il y avait trois ou quatre filles, mais tu n'étais pas là. La porte d'un WC s'ouvrit et je te découvris, tout sourire. J'entrais dans le WC.

La porte n'était pas encore refermée que nos bouches étaient déjà l'une sur l'autre. Le baiser fut violent. Nos dents s'entrechoquaient et nos langues se mêlaient furieusement. Ta bouche avait l'odeur de la Vodka. Ton corps se lova contre le mien et nos mains découvraient nos corps respectifs. Tu avais soulevé ma jupe et ma caressais les fesses nues.

Je caressais, quant à moi, l'intérieur de tes cuisses. Tu t'ouvrais doucement. Je sentis la chaleur de ton intimité quand ma main glissa sur le devant te ton short. Tu gémis à ce contact.

Je quittais ta bouche pour lécher la transpiration qui perlait sur ton cou. Ta tête bascula m'offrant ta gorge à lécher.

Je fis glisser le bandeau vers le bas découvrant ta poitrine. Je la gobais aussitôt sous tes râles.

Ton bassin ondulait sous ma main. Je m'agenouillais, et pris ton short de deux mains. Je le fis descendre, ainsi que ton collant. Je découvris enfin ta chatte, celle dont on avait temps parlé.

Son odeur m'enivra plus que la Vodka. Sur tes lèvres, une douce liqueur perla. Je la cueillis sur le bout de mes doigts et la goûtais. Divin nectar…

J'ouvris la bouche et allais boire à cette source si merveilleuse. Tu gémissais en me tenant la tête. Mon repas fut succulent et bien arrosé. Tu jouis plusieurs fois m'offrant encore plus de liqueur.

Tu m'offris alors un bel orgasme.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-

J'ai rêvé de toi et de Sophie la nuit dernière. C'était, hummm…, c'était délicieux.

On se trouvait dans une grande pièce sombre. On portait toutes les trois des robes en satin bleu. La tienne était longue, classique. Celle de Sophie, plus sexy, ouverte sur le devant jusque au niveau de son pubis. La mienne s'arrêtait aux genoux. Nous étions bien sûr nues dessous.

J'étais allongée sur un grand sofa, les jambes grandes ouvertes, le bas de la robe sur mes hanches. Je me caressais la chatte sans aucune pudeur. Toi et Sophie étaient assises dans des fauteuils à côté de moi, me regardant.

Je t'ai alors regardé, invitant à me rejoindre. Je fis de même avec Sophie.

Vous vous êtes approchées tranquillement. J'ai passé ma main entre les cuises offerte de Sophie alors que tu me caressais la jambe.

Vous vous êtes accroupies. Tu t'es mis à me sucer mes doigts humides de mes liqueurs alors que Sophie me léchait la jambe.

J'étais la maîtresse avec ses deux esclaves.

Tu es montée sur le sofa et tu t'es mis à me lécher la chatte à grands coups de langue.

-Lèches moi, lèche ma chatte!"

Tu alternais ta langue et tes doigts, me massant divinement bien. Tu avais fait beaucoup de progrès depuis notre première rencontre.

Sophie m'embrassait goulûment tout en pétrissant ma poitrine. J'étais au paradis, mon corps ondulant sous les assauts du plaisir.

romane
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