Brian est en Irak Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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J'essayais de me dire au fond de moi-même que cela importait peu maintenant, ils m'avaient fait faire tout ce qu'ils voulaient dorénavant je ne ferai que répéter ces actes obscènes.

Je savais cependant que c'était faux, pour une bonne raison, je serai consciente désormais attentive aux pratiques et actes sulfureux aux-quels ils allaient soumettre mon corps, et j'étais bien certaine qu'ils me réservaient bien d'autres humiliations mordantes.

Tom se plaça devant moi et me dit :

-"Nous avons pris du bon temps cette nuit chérie, tu t'es comportée comme une sensationnelle petite pute...... Personnellement je ré-fléchis à ce que je pourrais bien te faire faire maintenant que tu sais ce va t'arriver et que tu détesteras chaque minute de ton futur calvaire..... Cela va être bien mieux maintenant que tu resteras lu-cide! .... Pourquoi ne commencerais-tu pas par te relever et enle-ver ce foutu bikini! ......"

Il se baissa et me saisit la main pour m'aider à me relever, je réalisais qu'il était inutile de lutter, non seulement ils m'avaient tous vu nues, mais de plus ils avaient tous usés et abusés de mes charmes! .... Je n'en avais pas le moindre souvenir, aussi loin que je pouvais réfléchir tout ce qu'ils avaient l'intention de me faire subir serait nouveau dans mon esprit sinon dans mon corps.

Je jetais un oeil sur Tom, qui se tenait debout mon agenda en main, mon cerveau tournait à vide, je ne voyais pas comment me sortir de ce gâ-chis.

Je vis que l'un d'entre eux avait recommencé à me filmer, je vis alors les larges sourires qu'ils affichaient tous à l'idée de prendre leur plaisir avec moi alors que je serai consciente et qu'ils savaient tous pertinemment que je haïrais ce que j'allais endurer.

J'étais terrifiée, folle d'humiliation et ils s'en rendaient parfaitement compte.

Je baissais les yeux sur le tapis, tendais mon bras dans mon dos et et dégrafais mon soutien-gorge de bikini.

Il tomba aussitôt au sol offrant mes nichons fermes à leur convoitise.

Ils gloussèrent, je suppose que me voir humiliée les amusait.

Il était évident qu'ils se réjouissaient déjà de me dégrader tout autant qu'ils aimaient baiser. Je devais assumer le fait qu'ils aiment sauter des filles et qu'ils n'étaient pas prêts de me laisser tomber.

Je passais les pouces sous la ceinture élastiquée de mon maillot puis je le roulais sur mes cuisses avant de le choir au sol.

Je me trouvais maintenant entièrement nue, entièrement livrée à leurs appétits lubriques. Je luttais contre l'envie de cacher mes charmes derrière mes mains, cela serait hypocrite et inutile, ils avaient tous amplement goûtés à mes charmes, cela ne ferait que les amuser un peu plus.

Tom me félicita :

-"Ca c'est une gentille fille... Et maintenant trempe-toi le cul dans la baignoire et prends une bonne douche! ..... Tu pues! ....."

Comme je sortais du salon, me mordant les lèvres pour protester que ne "puais" pas avant qu'ils me violent, Tom se tourna vers ses copains, la caméra toujours en main et suggéra :

-"Pourquoi ne l'accompagnerais-tu pas John? .... Tu vas la filmer sous la douche! ......"

John me suivit caméra en main, j'étais cruellement consciente que la caméra enregistrait tous mes faits et gestes.

Je me glissais sous a douche et utilisai le savon de Tom et son sham-poing pour me débarrasser des tâches de foutre séché qui parsemaient mon corps, mon visage, mon entrecuisse, mon buste et mes cheveux.

John maintenait ouvert le rideau de douche pour me regarder et me fil-mer tout à son aise.

Je ne désirais absolument pas retourner dans le salon, pour leur servir de jouet sexuel, mais je me crispas de plus sous l'œil de la caméra qui enregistrait chaque détail de ma toilette intime.

Il alla jusqu'à me filmer assise sur les toilettes alors que je faisais pipi, m'ordonnant de bien écarter les cuisses qu'il puisse capturer les images de mon urine jaillissant de ma chatte.

Je frissonnais de révulsion à chaque nouvelle humiliante expérience qu'on m'imposait sous l'œil de la caméra.

Avant de retourner dans le salon, je me brossais les dentures avec mon doigt et de la pâte à dentifrice de Tom.

Je voulais effacer le goût de sperme que j'avais en bouche. J'imaginais déjà que je se serai pas longue à retrouver ces haïssables effluves dans ma bouche.

Lorsque je revins dans le salon, Tom m'appela à lui, et me força à me baisser.

Il me flaira longuement sacarstiquement comme s'il vérifiait si j'étais as-sez propre pour qu'il me touche.

Il sourit alors et dit :

-"C'est bien mieux! ..... Et maintenant mes amis et moi-même avons programmé ta journée pendant que tu te nettoyais..... Tu es assez fine pour savoir que les choses qui nous amusent ne sau-ront pas aussi amusantes pour toi que pour nous! ..... Et pourtant tu sais que tu n'as pas le choix, n'est ce pas? ......"

Je hochais la tête en signe d'approbation. C'était vrai, peu importe ce qu'ils allaient exiger, ils en connaissaient assez sur moi pour ruiner ma vie, détruire mon mariage et ma réputation! ......

Tom poursuivit :

-"C'est bon..... Je ne veux pas avoir à répéter mes menaces pour te faire obéir! ..... Si cela te pose problème, on pourra toujours te rendre de cette drogue que je t'ai donnée la nuit dernière... Tu as pu constater son efficacité! .... Nous sommes un groupe de gens à l'imagination assez vive, les images pourraient être bien pires si l'on te droguait à nouveau! ......

Je savais pertinemment que sans aucun doute qu'ils prendraient un énorme plaisir à me détruire si je ne me montrais pas d'une docilité absolue! ....

Je ne savais pas si je pourrais leur obéir, j'ai toujours été une femme très conservatrice, je n'étais pas de ces filles qui s'habillaient pour provoquer et exciter les mâles, avant cette nuit, je n'avais jamais eu de rapports sexuels avec plusieurs partenaires et je n'avais surtout jamais posé pour des photos pornographiques.

En de nombreuses occasions Brian m'avait demandé de poser pour des photos sexy, il me réclamait désespérément une photo sexy pour em-mener lors de son séjour en Irak.

Je pensais que c'était pour la montrer à ses copains aussi avais-je refu-sé.

Je l'aimais de tout mon cœur, et j'aimais être sexy, mais c'était juste pour Brian et moi. Tout au moins jusqu'au début de cette nuit.

Tout en m'avertissant de lui obéir docilement si je ne voulais pas être droguée à nouveau, il tendit le bras vers moi et me caressa comme s'il était le propriétaire de mon corps.

Je le haïssais de toucher des endroits intimes que seul mon mari aurait du pouvoir toucher, je le détestais d'autant plus que mon corps répondait à ses caresses.

Bien que je sache que ce n'était qu'une réponse primitive, sur laquelle je ne pouvais exercer aucun contrôle, je détestais sentir mon corps se libé-rer de mon cerveau.

Je hissais d'autant plus que je savais que je lui appartenais totalement le temps qu'il se fatigue de mes charmes.

Il me fit relever et me dit alors :

-"Allez ma chérie, allons dans ma chambre trouver quelque chose à te mettre sur le cul! .... Puis on va aller faire un tour..... »

D'un coté j'étais ravie de ne pas devoir passer la journée enfermée avec ces salauds, mais par ailleurs, je craignais vivement les humiliations qu'ils pourraient me faire subir en public."

Un coup d'œil sur leurs visages respirant la cruauté suffit à me convain-cre que je ne devais attendre aucune pitié de leur part.

Ils étaient plus vieux que moi et flirtaient tous avec les 30/35 ans.

C'est tout ce que je savais d'eux. Je ne connaissais le nom que de trois de ces salauds, Tom, Rory et John.

Avant cette funeste nuit je n'avais appartenu qu'à deux hommes, mon mari bien sur et un petit ami qui avait cueilli maladroitement mon puce-lage alors que j'avais 18 ans. Et voilà qu'en une seule nuit, le nombre de mes amants grimpait à 7, et encore dont deux dont je ne connaissais même pas les noms.

Je suivis Tom dans sa chambre, il me dit alors :

-"T'as juste besoin de quelque chose qui te permette de gagner l'endroit où l'on va, une là on te trouvera une tenue plus appro-priée... "

Il sortit d'une commode une chemise qu'il me tendit.

Je l'enfilais et commençais à la boutonner.

Il me stoppa avant que je n'aie boutonné beaucoup de boutons.

Je regardais jusqu'ou descendais les pans de la chemise, devant eux couvraient à peine ma chatte, je doutais qu'ils couvrent la totalité de mes fesses.

Il m'avait fait arrêter le boutonnage sous la poitrine.

La chemise était ample et le décolleté pendait bas dévoilant mes nichons à tous les gens qui me regarderaient de coté.

Je me tenais debout, attendant qu'il me tende une autre pièce de vête-ments, mais il sourit et rigola :

-"C'est parfait, allons-y... "

J'avalais ma salive sous le choc, j'avais résolu de ne pas tenter de me dérober à ses ordres, je savais que de toute manière c'est lui qui gagne-rait. Cependant il m'était impossible de sortir aussi peu vêtue! ....

Je l'interpellais :

-"Tom, attendez... "

Il arrêta et se retourna, un large sourire illumina alors son visage.

Je suis immédiatement qu'il ne me donnerait rien d'autre à porter. Il avait décidé de m'humilier, j'hésitais une seconde et je feintais :

-"Mes pieds... Pourrais-je au moins enfiler mes sandales? ...."

Il me regarda ironiquement et rétorqua :

-"Je suppose qu'elles sont dans le salon, allons y salope! ...."

Je pensais fugitivement :

-"Je ne suis pas une pute, mais toi tu n'es qu'un sale bâtard mon salaud! ...." Je me mordis la langue pour ne pas exprimer à voix haute ce que je pensais tout bas.

Je ne voulais pas qu'il se sente obligé de me prouver que j'avais un sta-tut de soumise désormais.

Je m'arrêtais dans la chambre et me regardais dans un miroir en pied, je n'en crus pas mes yeux, il fallait que je sorte dévêtue de cette façon! .....

Je me tournais et je vis que j'allais offrir une bonne moitié de ma croupe à la vue des passants.

Je rattrapais Tom avant de lui donner l'opportunité d'exercer son autorité, lorsque j'entrais dans la salle de séjour, ces salauds explosèrent de rire et sifflèrent en me voyant dans une tenue aussi dégradante.

Je jetais un coup d'œil panoramique et retrouvais mes sandales sous la table basse, je les enfilais, ils se levèrent tous d'un même mouvement et nous partîmes.

16 septembre 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

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