Brian est en Irak Ch. 01

Informations sur Récit
Son mari en Irak, une jeune femme se fait pièger.
5.2k mots
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Partie 1 de la série de 6 pièces

Actualisé 05/05/2022
Créé 09/23/2007
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Brian est appelé en Irak

Coulybaca / Vulgus

Le texte de Vulgus étant très long, je me suis permis de le divi-ser en plusieurs parties afin d'en faciliter la lecture

Premier chapitre : droguée, violée, filmée.

Pour la première fois depuis le dpart de Brian pour l'Irak, je m'accordais une petite sortie.

Son unité de la garde nationale avait étée appelée pour une période de service actif, et, avant même que nous réalisions, il était partit en Irak.

Cela faisait trois maintenant mois qu'il était parti et je crevais d'ennui.

Jusqu'à ce jour je me contentais de travailler et de rentrer ensuite à la maison pour regarder la télé et écrire à mon mari.

Je lui écrivais une lettre chaque nuit et ne recevait pas souvent de ré-ponse.

Je savais que ses conditions de vie en Irak étaient très primitives et qu'il en voyait des vertes et des pas mûres.

Mais un simple mot me disant que tout allait bien et qu'il m'aimait m'au-rait suffi.

Cela faisait un plus d'un an que nous étions mariés et je savais qu'il m'aimait mais je m'inquiétais beaucoup pour lui et j'avais besoin d'être rassurée.

Je ne voulais pas qu'il me dise qu'il m'aimait, je le savais pertinemment, mais je voulais savoir s'il était en bonne forme, s'il avait été blessé.....

Lorsqu'une amie me parla de la petite fête qu'elle organisait chez elle ce vendredi soir, je n'avais pas envie d'y aller parce que Brian me manquait, depuis deux semaines je n'avais aucune nouvelle de lui.

J'y suis allée parce que j'étais fatiguée de rester assise seule devant la télé dans mon petit appartement et que j'étais inquiète.

Je voulais écouter de la musique, parler avec des gens heureux, danser et boire quelques verres.

Je n'avais aucune idée de la façon dont allait se terminer cette sortie.

Mon amie Tanya n'était pas une « tête en l'air », je n'avais aucune raison de craindre qu'il s'agisse d'autre chose que d'une petite fête entre amis, c'était son anniversaire et deux de ses amis avaient organisé cette petite fête en son honneur, ils avaient réservé une piscine dans leur complexe d'habitations.

J'avais l'intention de boire quelques verres, de me détendre, de danser un peu, puis de rentrer chez moi retrouver le confort de mon grand lit conjugal.

Rien ne m'inquiétait, j'étais une jeune femme de 21 ans mariée et indé-pendante et j'étais capable de prendre soin de moi.

Du moins je le pensais à ce moment! .....

Le temps était ensoleillé, il faisait très chaud, je faisais quelques danses et bus quelques verres, puis j'enfilais mon bikini et piquais une tête dans la piscine pour me rafraîchir.

Quelques gars me rejoignirent, j'étais très flattée, je flirtais avec quel-ques-uns uns mais je leur signifiais clairement que cela n'irait pas plus loin, et ils ne tardèrent pas à m'abandonner, j'étais un peu déçue.

Lorsque vous sortez d'une année très satisfaisante de vie amoureuse pour vous retrouver privée de sexe pendant trois longs mois, cela n'est ni facile à endurer ni enthousiasmant.

Lorsque la nuit tomba, le temps fraîchit un peu, je refaisais quelques danses. J'étais restée en bikini, et j'étais loin d'être la seule, de nom-breuses filles dansaient en bikini.

Je passais pas mal de temps avec un des invités, il était très rusé et amusant et prenait courtoisement soin de moi. Lorsque nous ne dansions pas, nous nous asseyions sur le bord de la piscine, de l'eau jusqu'au cou, où à petite table pour siroter quelques canettes de bière.

Je lui avais signifié clairement que je partirai à 22 heures, et, bien que déçu, il n'avait pas élevé d'objections.

Il était légèrement plus vieux que moi, il devait approcher la trentaine et se montrait fort mature.

Il savait qu'il ne me sauterait pas ce soir, et nous j'aimais sa compagnie amicale.

De plus il me distrayait vraiment de ma vie ennuyeuse, et de toute façon les autres gars m'avaient laissé totalement choir.

Vers 21 heures trente il me proposa de boire une dernière bière, il quitta alors la piscine et partit me chercher une canette et nous avons pris place sur deux transats en retrait de la piscine.

Le volume musical avait baissé vers les 21 heures trente et nous pou-vions discuter plus facilement, je ne cachais pas que je m'étais bien amusée.

Je sirotais ma dernière bière et jetais œil un oeil sur ma montre, décidée à partir dès 22 heures.

Ce n'est pourtant pas ce qui s'est passé.

Je ne me souviens pas de ce qui est arrivé.

J'étais assise discourant avec mon interlocuteur, prenant du bon temps.

La dernière chose dont je me rappelle c'est que je me suis réveillée sa-medi matin dans un lit allongée au coté d'un mec.

Je ne sais pas ce qui s'est passé.

Je savais que j'étais loin d'être ivre, je devinais qu'on m'avait droguée.

Je jetais un oeil sur le type allongé le long de mon corps et je le recon-nus, c'était le mec avec qui j'avais passé la plus grande partie de la soi-rée, mais je ne parvenais pas à me rappeler son nom.

J'étais nue, j'avais des traces de foutre sur mes nichons, mon buste et mon ventre, mes cuisses étaient recouvertes de semence séchée.

Je me pris la tête entre les mains et je réalisais que j'avais tout autant de foutre étalé sur le visage.

Je me levais lentement, j'avais une bonne gueule de bois, je cherchais des yeux la salle de bain.

Lorsque je bougeais, je réalisais que j'étais toute courbaturée, mon corps était sévèrement meurtri, mon vagin me faisait mal, mon anus me faisait mal, et j'avais la gorge en feu.

Je compris que j'avais été violée la nuit précédente et pas par un seul homme.

Je trouvais la selle d'e bain et m'y rendais, je me regardais fixement dans un miroir. Mon visage était couvert de taches de foutre sec, mon corps et mes cheveux en était recouverts.

Je sentis soudain mon estomac se soulever et je me précipitais dans les toilettes et vomis tripes et boyaux pendant quelques longues minutes.

Lorsque je cessais, l'estomac vide, je jaillis des toilettes et me lavais la figure et les mains, c'est alors que je le vis, il se tenait dans l'entrée de la salle de bain et me souriait de toutes ses dents.

Avant que ne dise quoi que ce soit, il intervint :

-"Quel gâchis! ..... Je t'ai entendu vomir, j'étais certain que tu dégueulerais après avoir avalé autant de foutre! ..... Tu vas pouvoir recommencer à me sucer maintenant que tu as l'estomac vide! ....."

Je retrouvais ma voix et bien que difficilement je hurlais :

-"Tu n'es qu'un sale violeur! ...." Tu ne t'en sortiras pas comme ça! ..... Dès que je serai sortie j'appelle les flics... je te hais! ...."

Il se contenta de me sourire et me fixa comme si je lui sortais une bonne plaisanterie.

Je terminais de me nettoyer et empoignais un drap de bain pour me sé-cher., puis je retournais dans la chambre et y cherchais mes vêtements.

-Il me suivit et, lorsque je lui demandais où e trouvaient mes vête-ments il me rétorqua :

-"Ton bikini? ... Dans le salon! ....."

Je frappais du pied la porte et me ruais dans le salon, quatre hommes assis autour d'une table me sourirent de toutes leurs dents. On aurait dut qu'ils venaient tout juste de se lever.

Je réalisais qu'ils devaient tous avoir usés de mes charmes cette nuit, je ne me rappelais de rien et me sentais très embarrassée de me retrouver nue sous leurs yeux. Je vis mon bikini gisant au sol, je m'en saisis et l'enfilais rapidement.

Mon sac à main était posé sur la table je l'empoignais, mais je ne trou-vais pas le reste de mes vêtements, ils étaient certainement encore le long de la piscine.

Je me dirigeais vers la porte, mais avant que je ne l'ouvre il me dit :

-"Ne pars pas... Nous avons quelque chose à te montrer! ....."

-"Non... je m'en fous! ... Je m'en vais! ....." hurlais-je en ouvrant la porte.

Je ne fis pas assez vite. L'un des quatre hommes qui avait visiblement dormi dans la salle de séjour se leva et me bloqua le passage.

Je voulus le griffer, j'étais assez furieuse pour m'en prendre à lui. Je hur-lais de se retirer de mon chemin, il se contenta de me sourire sans bou-ger d'un pouce.

Cela ne fit qu'augmenter ma fureur.

Je me ruais sur lui cherchant à le repousser, voyant le peu d'impact de mon action je me sentis folle de rage.

Il était fatigué de me voir agir ainsi, il me saisit par une mèche de che-veux et me souleva dans les airs.

Je jetais mon sac et posais mes mains sur sa taille cherchant à me libé-rer de sa douloureuse emprise

Il ignora mes efforts et me traîna facilement sur le canapé et me projeta brutalement entre les deux hommes qui étaient assis dessus.

Il me dit alors :

-"Tom vient de te dire avec une extrême politesse de rester pour regarder quelque chose qu'il désire te montrer! ..... J'espère bien que tu ailles accepter de regarder ce qu'il veut te faire voir! ...... C'est d'une extrême importance pour toi! ....."

Je me redressais et frottais mon crane douloureux, il en tomba une averse de pellicules de sperme séché qui me couvrit les épaules. Je comprenais peu à peu ce qui m'était arrivé et ce qui allait s'ensuivre.

Je me forçais à prendre une profonde inspiration et leur demandais ce que je devais voir d'important.

L'un d'eux se saisit d'une télécommande et alluma la télé.

Je criais de dépit lorsqu'apparut l'image et que je me vis passer des bras d'un homme à un autre dans ce salon.

J'étais entièrement nue et je souriais, on aurait cru que je n'avais jamais autant joui de la vie et de ses plaisirs! .....

Leurs mains courraient sur tout mon corps et je semblais les encourager de tout mon cœur.

J'éructais sourdement :

-"Vous n'êtes que de sales bâtards! ....."

Et j'essayais de me relever pour fuir cette maudite chambre.

J'étais à peine debout que l'homme assit à mon coté gauche me rassit de force sur le sofa.

L'un d'eux m'informa alors :

-"Le film est loin d'être fini... Tu as encore beaucoup de scènes à visionner! ..... Tu vas aimer...... C'est très éducatif, voire même pédagogique! ....."

Je me débattais et grogna :

-"Tout ça montre que vous m'avez lâchement violée, infâmes salo-pards! ...."

Tom intervint alors :

-"Eh non ma petite chérie, tu n'as pas regardé avec assez d'attention! .... Les images dont nous disposons, prouvent que tu participais volontairement à cette orgie! ...... Regarde-toi bien, tes yeux sont grands ouverts, tu souris et participes activement à la baise, tu tiens bien sur tes jambes! .... Personne, après avoir regardé ce film ne pensera que tu te faisais violer! .... Regarde bien! ...."

Je n'avais pas le choix, ils ne me laisseraient pas partir tant que je n'au-rai pas visionné la cassette! .....

Je me calais dans le sofa et je regardais les hommes qui ne me pelo-taient pas se déshabiller.

Lorsqu'ils furent nus, ils me prirent en main et ce fut au tour des autres de se dévêtir. Et je repassais de nouveau de mains en mains.

J'étais très humiliée de me voir sur l'écran, d'autant plus que j'étais as-sise au milieu de cinq spectateurs attentifs les yeux rivés sur l'écran.

Ils finirent par se lasser de me peloter tout à tour, et trois d'entre eux s'assirent sur le canapé un quatrième me demanda d'une voix douce de m'agenouiller entre ses cuisses.

Il n'y avait pas le moindre signe de contrainte.

Quand bien même je savais que j'étais droguée, je n'en voyais pas plus de signe.

Ma gêne s'accrut encore lorsque je me vis prendre la bite d'un premier homme dans ma bouche et le sucer avidement.

J'avais maintenant réalisé que tous ces hommes m'avaient possédé! ....

Cela ne facilitait pas le fait de s'asseoir parmi eux pour regarder le film qui se déroulait sur l'écran télé.

Tandis que suçais ce premier gaillard, les autres s'agenouillèrent autour de moi, face à la caméra de Tom et ils se mirent à me peloter lascivement les nichons, l'un d'eux glissa sa main entre mes cuisses me branlant âprement.

J'observais mes réactions alors qu'il me labourait la fente de ses doigts, mon visage affichait une lubrique satisfaction.

Je sentis alors de grosses larmes couler sur mes joues, j'en étais fu-rieuse, je ne voulais pas que ces bâtards se rendent compte de ma pa-nique.

J'essuyais mes yeux et continuais à regarder l'écran. Mon chevaucheur de bouche ne tarda pas à éjaculer, je semblais savourer avec un énorme plaisir sa semence que j'avalais voracement. Je n'avais jamais accordé une telle cajolerie à mon mari! .....

L'homme qui me possédait se recula et un autre prit sa place, ils me re-gardaient tous me repositionner pour lui faciliter l'accès à ma bouche Tom précisa alors :

-"Au cas où tu te le demanderais Rory était le second que tu su-çais,... Tu m'avais déjà fait une pipe le temps que mes copains ar-rivent! ... Mes amis avec qui je partage tout! ...."

Horrifiée, je me vis sucer les quatre bites de ces salauds, Tom s'appro-chait de temps à autre et prenait des gros plans de mon visage souriant alors que j'avalais leur foutre tout à tour.

Lorsque j'eus sucé les le quatrième salaud, je fus disposée sur le dos et le premier que j'avais sucé s'installa entre mes cuisses et engouffra faci-lement sa bite dans ma petite chatte détrempée.

Je vis que mes grandes lèvres chatte étaient rouge vif et gonflées, comme si l'on m'avait déjà possédée.

Je braquais mes yeux sur Tom qui me précisa :

-"Ouais, je t'avais déjà baisée auparavant! ...."

Ils me baisèrent tous l'un après l'autre, une fois qu'ils avaient éjaculé dans ma foufounette, ils revenaient vers mon visage et je leur nettoyais complaisamment la bite avec la bouche.

Je sentis soudain mon estomac se soulever, la main sur la bouche je fonçais dans la salle de bains.

Il était temps je dégueulais de suite.

Mon estomac était quasiment vide et c'était surtout des nausées sèches.

J'attendais que mon estomac se calme, puis je me lavais le visage et je retournais à reculons dans la salle de séjour.

Je repris ma place entre les deux hommes sur le sofa et le DVD, qu'ils avaient mis sur pause, repartit m'imposant des images de mon gang bang.

Une fois qu'ils eurent tous éjaculé en moi, les fellations recommencèrent. Cette fois la seconde pipe de Tom était filmée et j'étais obligée de me regarder en train de le sucer habilement.

Mais cette fois ils ne jouirent pas dans ma bouche, une fois que la bite de Tom fut assez dure, il me retourna sur le prie-dieu et entreprit de me graisser le trou du cul avec de la vaseline.

Je le regardais me lubrifier et m'évaser l'anus pendant quelques minutes, puis il me tendit le tube de vaseline et je l'utilisais pour graisser sa grosse bite avec un empressement apparent.

Il me regardait dans les yeux et sourit de toutes ses dents alors que j'éta-lais la pommade grasse sur sa bite

Il me tapota doucement la tête me félicitant :

-"T'es vraiment une bonne fille! ....."

Puis la caméra entreprit des allers retours entre mon visage et mon trou du cul alors qu'il enfouissait sa grosse bite dans mon petit oeillet qui n'avait jamais été à telle fête! .......

Je le regardais faire avec incrédulité de le voir pénétrer aussi aisément alors que je lui jetais un regard passionné.

Tom dit alors :

-"Je ne pensais que cueillir ton pucelage anal serait aussi facile ma chérie, c'était bien la première fois que tu te faisais enculer, n'est ce pas? ......"

Je hochais la tête abasourdie de voir la facilité avec laquelle il s'enfouis-sait jusqu'aux burnes dans mon trou du cul asservi.

Ils avaient arrêté le son, mais maintenant ils le rallumaient et je m'enten-dis grogner de plaisir tout en lui demandant de m'enculer avec encore plus de vigueur! ......

Tandis qu'il me cassait le cul, les autres se succédaient dans ma bou-che, visiblement je devais leur rendre leur vigueur pour qu'ils puissent se satisfaire à leur tour dans mon trou du cul.

Ils s'étaient déjà vidés les couilles à deux reprises et certains me labou-rèrent pendant très longtemps avant de prendre leur plaisir dans mon anus distendu, mais pas tous, une paire d'entre eux se vidèrent les couil-les aussi rapidement que la première fois.

Cependant cette séance d'enculade dura assez longtemps, je les sup-pliais tous, chacun à leur tour de m'enculer plus vigoureusement.

Lorsque l'un éjaculait dans mes entrailles, je prenais sa bite en bouche pour la nettoyer de toutes traces d'excrément avec un empressement apparent alors que je demandais au suivant de le remplacer dans mon trou du cul.

Après cela ils s'étaient tous assis et s'étaient décontracté, de temps en temps l'un d'entre eux m'appelait pour se faire sucer à nouveau.

Lorsque je ne les suçais pas, j'obéissais à leurs ordres salaces, posant dans des positions obscènes, ou me branlant vigoureusement, recueillant le foutre qui s'écoulait de ma chatte et de mon anus pour me l'étaler sur le visage, mes cheveux et ma poitrine à leur grande joie.

C'est la chose la plus dégoûtante que j'ai jamais fait, et tout cela avec l'air d'adorer ce que je faisais.

Je réalisais que sans aucun doute je ne pourrai pas me plaindre à la po-lice, je ne sais pas quelle drogue ils avaient utilisé pour me sidérer, mais les effets étaient tels que n'importe quel flic, n'importe quel juge, n'im-porte que jury serait persuadé que je n'étais qu'une fieffée salope qui profitait de ce que son mari était réquisitionné en Irak pour se faire baiser à couilles rabattues et ce de façon obscène.

Je regardais fixement Tom et pleurnicha :

-"C'est d'accord... Vous avez gagné! ..... Je ne dirai rien aux flics..... Je sais trop bien ce qui arriverait si j'essayais de convain-cre qui que ce soit de la vérité! ....."

Tom sourit à pleines dents et me répondit :

-"Ne crois pas ça ma petite Kim chérie..... On n'en a pas fini avec toi! .... Bien sur on a tous savouré cette extraordinaire séance de baise d'hier soir..... T'es une formidable suceuse de bites et ta chatte est divinement étroite, et ton trou du cul encore plus savou-reux! ..... Nous n'allons pas te laisser partir comme ça! ..... Peut être dans une semaine ou deux, mais pour l'instant ton cul nous appartient! ......"

Je tentais de me relever, ils me rejetèrent sur le canapé.

Je pris ma tête entre mes mains tout en me lamentant :

-"Non, je ne peux pas, je ne veux pas! ...... Je ne peux pas refaire ces choses que vous avez obtenues de moi en me droguant la nuit dernière! ..... Je n'ai jamais fait de telles choses avec mon mari! ..... Je ne veux plus les faire! ...."

Tom éclata de rire et intervint brutalement :

-"Oh que si tu vas les faire ma chérie, parce que sinon ton mari re-cevra une copie du DVD qu'on vient de visionner, nous verrons bien alors s'il tolérera que tu fasses toutes ces choses avec des étrangers mais pas avec lui! ...... Je suppose ton émancipation l'émerveillera! ....."

Puis il se saisit de mon agenda qui se trouvait dans mon sac à main et ajouta :

-"Je suppose qu'il y a beaucoup d'autres gens qui seraient ravis de savoir à quel point tu n'es qu'une salope! ....."

Il parcourait l'agenda s'arrêtant de temps à autre me demandant qu'elles étaient mes relations avec différentes personnes dont j'avais noté les adresses dans mon agenda, je ne répondais pas, mais l'idée que ces gens puissent visionner le DVD relatant mes exploits était encore plus horrible que l'idée de devoir recommencer toutes ces choses avec ces salauds.

Je m'effondrais sur le canapé et couvrit ma face entre mes mains se-couée par une violente crise de larmes.

J'étais totalement incapable de réfléchir, ils me laissèrent pleurer tout mon saoul..

Lorsque mes sanglots se calmèrent, je compris que j'allais devoir faire tout ce qu'ils exigeraient de moi, aussi longtemps qu'ils le voudraient..... J'étais totalement en leur pouvoir.

Je savais pertinemment que j'avais été une participante involontaire dans les jeux sexuels qu'ils avaient filmés cette nuit.

Et bien que le sachant, on ne décèle aucun signe de révolte de ma part dans cet enregistrement, bien au contraire je semblais y participer avec enthousiasme, impatience. Ils n'avaient même pas à m'ordonner de me livrer à ces actes pervers, il leur suffisait de me guider, de suggérer cer-taines pratiques pour que je m'y efforce avec complaisance.

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