A la botte de ses élèves

BÊTA PUBLIQUE

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En dessous elle partait un petit soutien-gorge en dentelle blanc et un tanga de soie assorti, des bas couleur chair et une ceinture porte jarre-telle blanche.

Après la septième heure, Kurt lui révéla qu'elle devait venait avec lui après les cours qu'ils avaient rendez-vous avec plusieurs élèves.

Il lui ordonna appeler son mari pour lui demander de passer prendre les enfants à la sortie des classes, l'informant par ailleurs qu'elle rentrerait fort tard.

Elle appela donc son mari :

- "Sam ...." c'était la première fois que Kurt entendait son prénom.

Avant qu'elle ne raccroche, il cria dans le téléphone :

- "T'inquiète pas Sam on va prendre grand soin d'elle!..... Ne te tra-casse donc pas!......"

A 16 heures, madame Fine attendait Kurt dans le parking de la faculté.

Depuis qu'elle avait racheté ce vaste espace ils aimaient qu'elle utilise son véhicule, mais Kurt le conduisait.

Kurt et Rod prirent place uir le siège du fond encadrant madame Fine, juste derrière trois jeunes hommes qui prirent place sur le siège passa-ger et la banquette intermédiaire.

Ils arrêtèrent tout d'abord dans une pizzeria, ou madame Fine offrait des pizzas et du coke pour ses six compagnons.

Ils s'engouffrèrent tous les sept dans la pizzeria, elle s'assit avec les ados le temps qu'ils dégustent leurs pizzas.

Kurt et ses amis lui caressèrent les cuisses, mais les choses n'allèrent pas plus loin.

De retour dans la voiture Kurt et Rod s'assirent de chaque coté de madame Fine à l'arrière et cette fois Kurt se permit des privautés intimes avec sa prof, passant la main dans son chandail il lui pelota les nibards sous l'œil intéressé de ses comparses.

Il lui fit écarter largement les cuisses alors qu'il caressait son mont de Venus ce qui offrait une vue excitante sur le fond de son petit tanga en-cadré par ses bas et son porte jarretelles blanc.

Kurt espérait que ses complices voit sa main glisser sous le coté de la culotte de madame Fine pour la doigter avidement.

Ils s'arrêtèrent ensuite pour faire provision d'alcool, et comme madame Fine était la seule à pouvoir acheter des boissons alcoolisées et la seule ayant des revenus, elle leur procura plusieurs cartons de bière et une bouteille de gin.

L'alcool acheté, Kurt autorisa Rod à les rejoindre sur la banquette ar-rière, il empoigna sa main et la posa sur sa bite lui faisant signe de le branler, alors qu'elle branlait Rod de l'autre main.

Ils se rendirent dans la maison de Leo, ses parents étant partis pour le week-end.

Madame Fine descendit et gagna la cuisine sous les ordres de Leo.

Le temps qu'ils transvasent les boissons du coffre de la voiture dans le réfrigérateur, une trentaine de jeunes dont beaucoup de ses élèves se pointèrent réclamant à boire.

Certains se mirent à danser avec leur sexy prof.

Lorsqu'elle eut avalé deux verres pleins de gin, madame Fine leur fit une petite danse sous les acclamations des spectateurs, elle était le principal point d'attention de la fête.

La majorité de ces ados avaient eu madame Fine comme prof cette an-née et les années antérieurs;

Ces nichons n'étaient pas très gros mais ils se balançaient au rythme de ses pas au grand ravissement de l'assistance.

Sa jupe plissée se retroussait à chaque volte sur elle même, exposant ses longs de nylon gainant ses jambes et parfois même sa ceinture porte jarretelles et la chair nue de ses cuisses au dessus des bas.

Et cette femme cultivée dansait en se trémoussant du cul et des han-ches, excitant les autres participants buvant bières sur bières qui s'assi-rent faisant cercle autour d'elle.

En un rien de temps une bonne partie des jeunes ados se retrouva bien éméchée guettant madame Fine, seule femelle à se mettre sous la dent.

Ils s'agitaient en la regardant évoluer sensuellement. Ils se mirent à ré-clamer :

- "Bouge ton cul madame Fine!...."

- "Secoue toi le popotin!...."

- " Montre nous tes fesse!...."

Ils voulaient tous surenchérir sur les vœux de plus en plus salaces de leurs comparses.

- "Secoue te nichons!...."

- "Montre nous tes cuisses!...."

- "Montre nous ton joli petit cul!...."

- "Ouai comme ça ...... Encore ..... Plus haut la jambe ....."

Madame Fine bien programmé pour complaire à ses élèves se mit à danser de façon beaucoup plus provocante, secouant ses fesses en ca-dence.

Elle n'était ni jeune ni petite mais elle parvenait à onduler sensuellement au rythme de la musique.

Les ados qui l'entouraient jetaient des yeux concupiscents sur ses han-ches tressautantes et ses nibards qui se balançaient au rythme de ses pas, d'autres jetaient des coups d'œil lubriques sous sa jupe qui volai au gré de ses voltes.

Cela ne tarda pas avant que leurs désir s'expriment :

- "A poil!...."

- "On veut te voir à poil!...."

Un groupe de jeunes se mit à psalmodier en chœur :

- "A poil ...... On veut te voir à poil ...... A poil!....." Il lui était impos-sible d'ignorer leurs souhaits.

Les chants lui réclamant un strip-tease continuaient.

Madame Fine dégrafa la fermeture éclair dorsale de sa jupe et la fit glis-ser sur ses cuisses, d'un coup de pied rageur elle s'en débarrassa conti-nuant à danser en porte-jarretelles et petite culotte blanche.

Elle était assez grande avec un cul épanoui qu'elle remuait en cadence au grand plaisir des spectateurs, qui aimait la voir rouler des hanches de façon aussi évocatrice.

Elle savait très certainement le sens de l'expression "rouler des han-ches" ......... Et lorsqu'ils lui dirent de s'exécuter, elle fit de son mieux pour faire rouler ses fesses en cadence, Kurt et ses amis hurlèrent de plaisir à la voir mimer l'amour de façon aussi provocante.

Tout en chaloupant du cul, elle croisa les bras et saisit le revers de son chandail qu'elle remonta lentement le faisant passer au dessus de sa tête avant de le lancer rejoindre sa jupe.

Elle baissa alors lascivement ses bretelles de soutien gorge une à une les spectateurs grondaient de plaisir.

Lorsqu'elle dégrafa le clips séparant ses bonnets, ses nibards jaillirent littéralement de leur écrin de dentelle, elle dansait maintenant torse nu.

Elle leva les bras au dessus de la tête comme une danseuse indienne et se trémoussa lentement lançant son buste de droite et de gauche sous les yeux écarquillés de l'assistance.

Sa poitrine était très ferme pour une femme de son âge, mais elle les balançait, les secouait, les agitait d'une façon bien plus sensuelle que n'aurait pu le faire une des jeunettes fréquentant le lycée.

Kurt et ses copains savouraient le spectacle de cette femme mure leur agitant ses nichons de façon aussi licencieuse sous leurs yeux éblouis, il se chamaillaient pour conquérir le meilleur point de vue, madame Fine se tournait et tournait faisant à tous l'offrande de ses succulents appâts.

Quelques minutes plus tard, les yeux rivés sur ses fesses et sa chatte, ils criaient et sifflaient réclamant d'en voir plus.

Madame Fine, très gênée, braquait alternativement ses yeux sur le pla-fond sur le sol, souriant timidement aux élèves qui lui faisaient face, ses yeux s'emplirent de larmes.

PLusieurs gars sortirent des dollars et les glissèrent dans son porte-jarretelles et la ceinture de sa petite culotte.

Ce faisant, ils lui, pelotaient avidement le cul alors qu'elle cherchait o conserver un bon rythme de balancement de ses hanches.

Ils criaient maintenant :

- "Encore madame Fine!..... Montrez nous en plus!....."

Certains lui agrippaient la ceinture de sa petite culotte de leurs pouces tendus, cependant, ils hésitaient encore à la lui ôter.

Mais la foule ne voulait plus attendre et les mains qui avaient glissé des dollars dans sa ceinture lui descendaient maintenant la petite culotte sur les genoux.

Une grosse main la tira sur le coté on entendit distinctement la fine den-telle se déchirer.

Déséquilibrée elle tomba dans les bras de ses admirateurs qui jetaient sa culotte au loin.

Ils l'encerclaient si étroitement qu'ils la rattrapèrent avant qu'elle ne chute et sol et l'aidèrent promptement à rétablir son équilibre.

La chatte à l'air madame Fine continuait de danser, elle semblait particu-lièrement vulnérable alors que ses admirateurs enfouissaient leurs visa-ges dans entrecuisse savourant à plein nez ses flagrances intimes.

Son cul n'était pas le plus ferme des femelles du lycée, mais il était tout rond, avenant sans défauts notables.

Elle secouait sa croupe et ses seins les projetant en cadence aux visa-ges de ses admirateurs qui bavant de concupiscence, sifflaient et hur-laient des encouragements.

Les mains d'ados à moitiés ivres se tendirent palpant ses chairs, parcou-rant sa fente inondée de cyprine, lui pinçant rudement ses tétons dardés rampant sur tout son corps : les épaules, le torse, les jambes, les cuis-ses , les fesses.

Ils lui arrachèrent sa ceinture porte-jarretelles et ses bas.

Finalement épuisée de danser, madame Fine vacilla et s'effondra entre les mains de la cohorte de spectateurs qui la reluquaient avidement, ils l'entraînèrent vers le canapé le plus proche où ils l'étendirent la reluquant lubriquement.

Des mains couraient sur son corps, des doigts pénétraient chacun de ses orifices, une langue pointue lécha brièvement son trou du cul, des lèvres couvrirent les siennes, des langues avides fouillèrent sa bouche, la partouze débutait.

Bite après bite de nombreux ados la possédèrent, ils se vidaient rapide-ment les couilles dans sa chatte engorgée et se voyaient immédiatement remplacé par l'amateur suivant.

Au début ils avaient formés une longue queue de clients au pied du lit, attendant de prendre place entre ses cuisses pour s'allonger sur son corps nu.

Puis ils la relevèrent et la placèrent sur les genoux d'un étudiant assis sur le lit qui la prit par le trou du cul alors que d'autres lui malaxaient les seins ou se faisaient branler à pleine main.

On entendait plus que des gémissements, des grognements, des plain-tes, des lamentations qui sortaient de la bouche de la malheureuse prof qui subissait là son premier gang bang.

Seul Kurt qui la connaissait bien identifiait les moments où elle était ter-rassée par de puissants orgasmes, il en dénombra un nombre incroya-ble.

Plus tard, elle fut allongée sur le ventre d'un étudiant qui s'enfouit dans sa chatte alors qu'un autre, bien éméché grimpait sur le lit et l'enculait tout de go.

Prise en sandwich notre malheureuse prof poussait des hurlements d'extase.

Bien plus tard dans la nuit, lorsque madame Fine eut reçu un nombre invraisemblable de bites en bouche , en con et en cul, les jeunes hom-mes satisfaits repartaient prévenir d'autres copains que la délicieuse prof se faisait partouzer chez Leo.

Le nombre d'amateurs ne se tarissait pas de ce fait, il y avait toujours de nouvelles bites qui venaient se vider les couilles dans ses trois orifices engorgés.

Et cela dura jusqu petit matin.

Kurt avait rapidement perdu le compte des jeunes l'ayant possédé mais ils devaient y avoir 80 à 100 jeunes de 18 ans qui avaient profité des charmes de la ravissante prof éreintée, un pourcentage appréciable des élèves qui fréquentaient les classes terminales du lycée.

Aux aurores il ne restait plus qu'une poignée d'ados ivres, ils avaient tous satisfaits leurs appétits lubriques à plusieurs reprises.

Les lèvres de madame Fine étaient gonflées, et gercées a force de suce des bites.

Son maquillage avait coulé au travers de son visage, ses cheveux étaient gluants de foutre, sa chatoune ressemblait à un cloaque engorgé de semence son trou du cul ne valait pas mieux, elle avait bien de la peine à marcher tant son corps était douloureux.

Elle était couverte de sperme des pieds à la tête, ils avaient fait un concours au milieu de la nuit à celui qui cracherait le plus de foutre sur son corps, ils n'avaient pas épargnés u seul endroit, son cou, sa poitrine, ses tétons, son cul, ses cuisses, ses hanches étaient couvertes d'une épaisse couche de foutre poisseux.

Madame Fine hébétée se mit à la recherche de ses vêtements sous l'œil glauque des ados ivres et somnolents qui la laissèrent faire passive-ment.

Sa petite culotte était déchirée, mais elle l'enfila tout de même pour éponger les torrents de foutre qui s'écoulaient de sa chatte et de son trou du cul se autres vêtements avaient été piétinés et souillés au cours de la partouze. son porte-jarretelles était déchiré en deux et ses bas en lambeaux.

- "Enfile tes loques ....." lui enjoignit Kurt à moitié réveillé.

- "Elles sont tellement déchirés que je ne sais pas si je pourrai les remettre .... " avança madame Fine d'une voix rauque.

- "Débrouille toi pour te couvrir!.... Je veux que ton mari te voit ren-trer ainsi attifée à ton retour chez toi!......" Kurt ressortit son porta-ble.

- "Et maintenant dit canari!....."

Madame Fine lui jeta un coup d'œil rapide, puis se souvint de sa situa-tion et baissa la tête honteuse.

Son chandail était plein de taches, déchirés et couvert d'empreintes de mains au niveau de ses nibards.

La fermeture éclair de sa jupe était inutilisable, sa petite culotte pois-seuse et sans fond, sa jupe aussi était couvertes de flaques de foutre qui séchaient lentement.

Plusieurs gars s'étaient servis de ses effets pour s'essuyer la bite avant de rentrer chez eux.

Madame Fine retrouva son collier et sa petite croix là ou elle les avait posés, ses chaussures avaient disparus.

Kurt qui avait gardé ses clefs de voiture, les lui tendit et la regarda se di-riger pieds nus vers la porte de sortie.

Mais il ne put résister à ironiser :

- "On se voit lundi madame Fine!...... Dis à ton mari que je vous en-verrai un mail et quelques photos prises cette nuit ..... Et ce sera ainsi jusqu'à la fin du trimestre ma petite chérie ..... N'est ce pas enviable de se sentir aussi désirée!......."

Il lui paraissait inutile de préciser que si elle en aurait fini avec lui et sa bande à la fin du trimestre ...... La fête recommencerait dès le début de l'année suivante, son petit frère entrait en seconde et il lui remettrait tou-tes les photos, toutes les cassettes qui devraient lui pentecôte d'asservir la ravissante madame Fine pour les trois années suivantes ....... Et d'au-tres petits frères qui suivraient!.......

25/07/2007

Histoire de GeorgeVI (Literotica)

Traduite avec l'accord de l'auteur par Coulybaca

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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

C'était atroce, comment on peut prendre du plaisir à 100% en sachant que ce qu'elle lui arrivait était tout simplement abominable ? Y'a une différence entre prise de risque et maltraitance. En plus le Kurt en question mdrrr ce fdp il s'arrêtait jamais. J'arretais pas de me dire (pourquoi il l'a baisait pas en solo au lieu de casser les couilles ?)

AnonymousAnonymeil y a plus de 16 ans
TRES TRES BIEN

Vraiment très bon boulot ! MErci pour cette très excitante traduction !!!

Lecteur9Lecteur9il y a presque 17 ans
Excellent

Un très bon choix d'histoire. Une traduction parfaite. Que du bonheur, merci.

AnonymousAnonymeil y a presque 17 ans
tres bien traduit

une histoire tres chaude et bien ecrit :-)

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