A la botte de ses élèves

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Coulybaca
Coulybaca
105 Admirateurs

Kurt étouffa ses rires en entendant une naïve ado la prévenir que son corsage était déboutonné, madame Fine avait fait son cinéma en la re-merciant vivement en le refermant, ne le déboutonnant à nouveau que lors de l'heure suivante.

Par le passé, Kurt avait remarqué qu'elle possédait un très élégant cor-sage blanc taillé dans un tissu extrêmement fin, quasiment transparent, qu'elle ne portait que sous une veste et sur une combinaison ou un mail-lot.

Un jour, selon les ordres de Kurt, elle le mit sans rien en dessous, et dans sa classe sans rien dessus. On aurait pu croire qu'elle faisait classe torse nu.

La forme de ses nibards étaient clairement visibles, ses aréoles contras-taient brutalement avec la texture ivoirine de ses nichons, elle exposa ainsi ses nibards se balançant mollement au gré de ses gestes tout au long de la journée.

Lors de la septième heure, Kurt remarqua que l'impact sensuel était in-croyable, lorsqu'elle se tournait devant la fenêtre le soleil dardant ses rayons au travers de la fine texture de son chemisier, soulignant sen-suellement ses courbes.

Madame Fine réagissait maintenant comme une esclave servile, obéis-sant sans aucune révolte aux moindres de ses désirs.

Dans un mail, il l'amena à admettre qu'elle possédait chez elle des te-nues encore plus petites et plus subjectives qu'elle ne mettait jamais pour faire classe.

- Il lui enjoignit de mettre un petit bustier noir qu'elle lui avait décrit, l'autorisant à le cacher sous un gilet pour ne pas attirer l'attention du personnel déjà intrigué par ses attitudes et son comportement extravagant par rapport à sa conduite habituelle.

Le lendemain madame Fine portait une minuscule jupe qui n'était en fait qu'un tube. Elle était plus courte et plus moulante que tout ce qu'elle avait déjà porté à ce jour.

Elle avait expliqué dans un Kurt mail précédent qu'elle l'avait achetée quelques années plus tôt pour se rendre à une fête, mais qu'elle ne l'avait jamais portée autrement.

Elle était très moulante, elle soulignait la rondeur de ses fesses, et met-tait en évidence son petit ventre et si courte qu'on lui voyait les jambes jusqu'à l'aine.

Le bustier voilait à peine ses nibards qui semblaient tenter une évasion à chacune de ses respirations, elle passait son temps à remonter les bre-telles sur ses épaules.

Il y avait un écart de plusieurs centimètres entre le bustier et la jupe lais-sant prendre l'air à son nombril.

Pendant la plus grande partie de la journée, elle portait au dessus un chandail au col boutonné qui semblait un peu court et moulant.

Mais Kurt lui avait intimé d'enlever son chandail lorsqu'elle entrait dans sa classe.

Tout au long de la journée, Kurt reçut des rapports lui confirmant que la chatte et le cul de madame Fine étaient bien visibles, de la même ma-nière elle exposait ses nibards, elle ne portait pas de soutien-gorge, et chaque fois qu'elle se penchait en avant, elle les étalait a sous les yeux de tous.

La dernière heure de la journée était consacrée à une assemblée assez barbante dans l'amphithéâtre.

Des enseignants et des administrateurs prenaient place parmi les étu-diants pour les tenir à l'œil.

Kurt avait invité madame Fine à s'asseoir avec lui dans un coin des gra-dins.

Comme les élèves prenaient place, Kurt avait escorté madame Fine jus-qu'à un point central dans un coin de l'amphithéâtre et s'était assis plu-sieurs rangs plus bas à sa gauche.

Elle portait son sweater, mais ses longues jambes attiraient une foule de regards alors qu'elle escaladait les gradins sa courte robe se retroussant au dessus de sa croupe à chaque enjambée.

De nombreux étudiants avaient vérifié qu'elle ne portait pas de culotte exhibant à leurs yeux égarés sa chatoune et son trou du cul.

Une fois madame Fine assise à sa place, ce coin de l'amphithéâtre avait surtout attiré les étudiants males, des copains de Kurt et des inconnus.

Mais il ay avait une bonne centaine de mâle excités qui encerclaient la jolie femme succinctement vêtue.

Madame Fine aurait espéré pouvoir tenir ses cuisses serrées pour ne pas livrer son intimité aux yeux des élèves assis sur les rangs plus bas, mais Kurt était parmi eux et lui avait ordonné d'écarter les cuisses en grand, des dizaines d'élèves étaient retournés yeux vrillés sur son entre-cuisse velu.

Kurt lui envoya alors un message lui enjoignant d'enlever son chandail et de se pencher en avant pour livrer à tous le spectacle de ses nichons dénudés se balançant mollement au gré de ses gestes.

Dès le début des débats les élèves qui l'entouraient portèrent leur atten-tion sur ses charmes exposés à leur convoitise.

Plusieurs d'entre eux l'avaient déjà copieusement pelotée où avaient vu leurs copains la peloter allégrement en toute liberté, aussi, la première chose que firent les gars assis derrière elle fut de lui peloter hardiment les fesses.

Obligée de se pencher en avant pour offrir un meilleur point de vue sur ses nibards elle sentait sa jupe se retrousser sur sa taille alors que déjà la bande de chair qu'elle leur exposait était fort tentante.

Ils étaient plusieurs à la tenir par la taille, lui caressant sa chair nie, l'un d'eux, plus hardi ne tarda pas à glisser sa main sous sa jupe.

Ils se relayèrent pour lui caresser son cul nu et le doigter profondément ainsi que sa fentine, alors qu'elle exposait ses nichons et sa chatte aux élèves assis en contrebas.

Un des gars alla même jusqu'à lui enfoncer un crayon dans l'anus faisant exploser de rire ses comparses.

CHAPITRE 8

Madame Fine avait choisi de profiter de la quatrième séquence pendant laquelle elle n'avait pas d'élèves en charge pour se restaurer succincte-ment dans sa salle de classe.

Kurt l'avait prévenue que tant qu'elle choisissait de ne plus parader à moitié dévêtue sous les yeux de ses élèves il lui permettait de venir se réfugier dans cette classe vide à cette heure de la journée.

Le lendemain du jour ou il lui avait donné cette consigne, il vint la voir tout seul, elle se tenait devant le tableau noir qu'elle effaçait.

Elle fissionna à sa vue, mais ne dit pas un mot.

Kurt s'assit dans son fauteuil.

- "Viens ici Jackie!......" lui intima-t-il.

Lentement elle le rejoignit et se posta sur le coté du fauteuil. Il prit sa main et la posa sur son front.

Madame Fine se trouvait maintenant face à lui, le dos appuyé contre l'arête de son bureau.

Kurt la toisa de la tête aux pieds, admirant sa sveltesse, bien que ses formes soient épanouies.

Elle portait un sari indien de fragile texture, qui descendait sous ses ge-noux, elle n'avait pas mis de collants.

- "Je ne me laisserai jamais de tes appâts ma chérie, je me de-mande si je veux passer dans la classe supérieure l'année pro-chaine ou si je ne préférerai pas revenir profiter tes charmes l'an-née prochaine!....."

Kurt se pencha en avant, il posa les mains sur ses genoux au dessus de sa jupe. Instinctivement madame Fine voulut reculer, mais elle se trou-vait pressée contre son bureau.

Kurt glissa sa main sous l'ourlet de son sari, et la remonta entre ses cuisses les lui caressant tout en retroussant son sari au dessus de ses genoux.

- "Je ne me lasserai jamais de tes longues jambes ma petite ma-dame Fine chérie!....."

Il continuait à retrousser son sari exposant ses longues jambes à sa convoitise.

Lorsqu'elle fut remontée à mi cuisses, il la poussa doucement en arrière, elle posa ses fesses sur le rebord du bureau.

Il lui écarta doucement les cuisses, elle se laissait manipuler servilement, il remonta alors encore plus haut son sari jusqu'à exhiber le fond de sa petite culotte blanche en coton, à quelques centimètres de ses yeux.

Kurt bouchonna sa jupe sur ses hanches et se mit à lui caresser les mol-lets, les genoux et les cuisses les yeux rivés au fond de sa patte culotte qui dessinait distinctement la forme de sa foufoune.

Il ne s'agissait pas d'un string mais plutôt d'un brésilien coupé haut sur les hanches.

Kurt lui pétrit les cuisses pendant un bon moment; puis il se redressa et agrippa la ceinture de sa petite culotte à deux mains.

Madame Fine soupira alors qu'il la tirait vers le bas sachant pertinem-ment qu'une fois de plus elle allait offrir à sa vue de sa chatte palpitante.

Kurt fit glisser le petit sous-vêtement de coton sur ses cuisses, au-delà des genoux, jusqu'à ses chevilles, la laissant tirebouchonnée autour de son pied droit.

Il sépara de nouveau ses cuisses et se pencha sur ses appâts, pressant son visage contre sa féminité velue.

- "Huuummm ...." grommela madame Fine lorsqu'il parcourut d'une langue habile sa fentine.

Ce n'était pas le roi du cunnilingus, mais il savait agiter sa langue, il la léchait consciencieusement, dessinant des cercles de sa langue frétil-lante sur sa petite chatte embrasée, la pointant dans son intimité de temps à autre aussi profondément qu'il le pouvait.

Quand il vit qu'elle appréciait ses hommages, il enfouit profondément son visage dans son buisson odorant, ses cheveux irritant ses joues alors que son nez traînait sur le haut de son vagin.

Ce sont les frottements de son nez dans sa chatte qui provoquèrent ses émois, elle haletait de plus en plus vivement au gré des frottements de son nez.

Chaque fois que son nez disparaissait dans sa fente, elle tendait son pelvis contre le visage de Kurt écartant en grand ses cuisses.

- "Hooooooooooo ......... Whhooooooooooooooo ......" soupirait-elle se penchant en arrière sur le bureau agrippant l'arête du bureau à deux mains.

Ses mains couraient de ses cuisses à sa taille puis à sa croupe rebon-die. Il pressa son entrecuisse contre son visage tortillant la tête, léchant de plus en plus rapidement sa foufoune enfiévrée.

- "Oh, oh ohhhhhhhhhhh ......."

Madame Fine releva ses jambes et les posa sur le dossier de sa chaise de chaque coté de Kurt, il savourait la douce chaleur de ses cuisses soyeuses enserrant sa tête.

- "Uhhhhhhhhhhhh!....."

Madame FIne posa ses mains sur la nuque de Kurt pressant fermement son visage dans sa toison tout en tortillant des hanches.

- "Ahhhhh ..... AHHHHHHHHH ....... " elle serra les cuisses sur ses oreilles, relevant une fesse après l'autre pour mieux s'offrir aux ca-resses suaves de sa langue.

- "EEEEEEEEEHHHHHHHHH .... " elle poussa ses couinements habituels de juissance, mais cette fois ses plaintes se prolongèrent inhabituellement.

Madame Fine reprit ensuite ses esprits et son souffle.

Kurt repoussa la chaise et contempla longuement sa maîtresse cuisses grandes ouvertes.

Kurt jeta un oeil sur l'horloge, la classe reprenait dans dix minutes, c'était encore beaucoup de temps pour un ado lubrique.

Il baissa rapidement son pantalon et son caleçon et se branla rapide-ment la bite.

Puis il pointa son gland turgescent à l'orée de son fourreau d'amour, sa foufoune était inondée, il s'enfourna illico au plus profond de son utérus.

Madame Fine se taisait alors que Kurt la bourrait frénétiquement sur son bureau. Elle avait les yeux rivés aux siens, pantelante alors qu'il tortillait des hanches entre ses cuisses accueillantes.

Il juta en moins de trois minutes au cœur de son intimité.

Sans un seul mot il remonta son pantalon et quitta la salle de classe.

Le lendemain Leo annonça qu'il voulait profiter en tête des charmes de madame Fine lors de la pause, ce qui se passa conformément à ses vœux.

Mais cela n'empêcha pas Jake et Kurt de flâner aux abords de sa salle de classe pour les observer aux travers des vitres et prendre quelques savoureuses photos de leur tête à tête.

Ils arrivèrent à temps pour voir Leo s'asseoir dans le fauteuil de madame Fine, tout comme Kurt la veille.

Mais cette fois madame Fine était assise sur ses genoux lui faisant face la jupe troussée haut sur les hanches.

Elle montait et descendait sur la bite de son élève alors qu'il insérait ses mains dans son bustier pour lui peloter les nibards à son aise.

Quelques minutes plus tard, Madame Fine se releva, se retourna se ras-seyant sur genoux lui tournant le dos.

Elle avait ainsi plus de facilité à monter et descendre sur sa grosse queue.

Leo était penché en arrière sur la chaise alors que la ravissante prof s'empalait sur sa bite dressée.

Il avait posé ses mains sur ses nibards repoussant les bonnets de son soutien gorge au dessus de ses miches et jouait avec ses tétons tout en la fourrant allégrement.

Jake et Kurt entendaient distinctement ses couinements, ses gémissements de plaisir, elle avait posé sa tête sur l'épaule de Leo, elle se tortilla sur lui, roula des yeux dans ses orbites et se mit à trembler comme une feuille secouée de spasmes incontrôlés. Puis elle se décontracta, son corps s'affaissa entre les bras de Leo avant qu'il ne la repousse pour quitter la chaise.

Le lendemain ce fut au tour de Rod, lorsque Jake et Kurt leur jetèrent un coup d'œil intéressé, Rod était penché sur le bureau de madame Fine, il avait son pantalon sur ses chevilles.

Elle était agenouillée devant lui en jupe et chemisier ouvert. son chemi-sier, ses lèvres enserraient étroitement sa bite et sa tête montait et des-cendait sur la hampe raidie. De temps à autre elle tournait la tête pour lécher ses couilles velues.

Plus tard ils lui demandèrent si c'était lui qui lui avait demandé de lui lé-cher les burnes, en fait elle l'avait de sa propre initiative.

Le jour suivant, Jake et Kurt insistèrent pour la baiser de concert, prétex-tant avoir les couilles pleines à ras bord.

Ils réussirent à les convaincre leur disant de guetter leurs exploits au tra-vers de la fenêtre.

Dès que Kurt fut assis sur l'arête du bureau se faisant faire une savou-reuse pipe par madame Fine qui se tenait à quatre patte la tête entre ses cuisses, Jake se posta derrière elle et la baisa en levrette.

En dehors de cette période il était très difficile de rencontrer madame Fine seule pour se la faire, mais il y avait parfois des opportunités.

Une fois, alors que Kurt errait dans les couloirs vides pour rejoindre sa deuxième heure de cours, il tomba sur madame Fine qui franchissait la porte d'entrée du vestibule pour se rendre dans les bureaux.

Il se précipita sur son chemin de retour et l'attendit le pied ferme.

Dès qu'il entendit la porte des bureaux se refermer, il vit madame Fi,ne se ruer dans les escaliers pour rejoindre sa classe.

Elle poussa un soupir en voyant qu'il l'attendait, il posa ses mains sur ses épaules.

- "Non Kurt, pas tout de suite ... Mes élèves m'attendent!....." lui su-surra-t-elle d'une voix faible.

- "Qu'ils attendent!..... Ce ne sera pas long!...."

Il la força fermement à appuyer sur les marches, le cul en l'air, descendit rapidement pantalon et caleçons sur ses genoux et se branla se tenant entre les cuisses de madame Fine.

Puis il la poussa en arrière, l'allongeant à plat dos sur les marches et re-troussa sa jupe à sa taille dévoilant une petite culotte de coton blanche. Il écarta le fond de la petite culotte exposant son con velu et plongea sa bite dans sa petite chatte affamée.

Il s'étendit sur elle dans l'escalier allant et venant dans le compas de cuisses grandes ouvertes. Madame Fine l'attira à elle et hulula longue-ment dans les escaliers clamant son orgasme.

Kurt savait qu'il prenait des risques, il devait en finir rapidement.

Madame Fine avait noué ses chevilles dans son dos mains verrouillées sur sa nuque.

Elle poussait de petite cris de jouissance alors qu'il la pilonnait lubrique-ment. Il ne leur fallut pas plus de 5 minutes pour succomber tous deux à un orgasme ravageur puis madame Fine, la chatte pleine du sperme de son jeune amant reprit le chemin de sa classe.

Un jour, lors de la septième heure il était programmé une visite à la bi-bliothèque scolaire.

Madame Fine voulait leur apprendre à choisir les bouquins requis pour leurs recherches.

Une grande table de lecture se trouvait au centre de la salle entourée par des rayons d'étagères.

Mais, sur un des cotés entre les étagères de livres et la table de lecture se trouvait un couloir ou étaient rangés les livres de grandes tailles.

Au milieu de cette visite, Kurt, Leo, Jake, Rod, et une paire de copains faisaient des recherche dans cette section. La plupart des élèves avait trouvé les livres qui leurs étaient nécessaires et, les lisaient assis autour de la grande table de lecture.

Les jeunes délinquants remarquèrent vite que madame Fine aidait un élève dans la section des grands livres.

Jake la rejoignit et se posta dans son dos, ses compères les regardait tranquillement derrière les piles de livres.

Lorsque l'élève qu'elle aidait se retira Jake retint madame Fine par le bras, il requit son aide pour trouver un livre dans le couloir dans leur dos.

Comme elle se penchait en avant à la recherche du titre recherché, face à la grande table, Kurt et ses potes virent Jake lui peloter les fesses.

Madame Fine se figea effrayée, mais elle réalisa que les étagères les cachaient des élèves assis autour de la table, seuls les spectateurs dans son dos pouvaient savourer le spectacle qu'ils offraient.

Elle jeta un coup d'œil circulaire dans la grande salle histoire de voir si quelqu'un d'autre voir se qu'un de ses élèves lui malaxait allégrement la croupe. Il glissa sa main sous la jupe et reprit ses caresses à même la peau nue. L'endroit et l'instant favorisaient ses intentions.

Il se laissa tomber sur les genoux dans le dos de madame Fine, comme s'il cherchait dans les étagères basses, retroussa sa jupe à sa taille, of-frant la vue de son cul nu à ses potes, à l'insu du reste de la classe.

Il enfouit son visage entre ses fesses, elle se raidit et ouvrit la bouche; mais aucun son n'en sortit.

Elle se mordait les lèvres pour garder une apparence sereine.

Jake pressait fermement son visage dans sa raie culière, Kurt et ses amis avaient bien du mal à refreiner leurs gloussements, ils étaient aba-sourdis de voir Jake ose de telles caresses en ce lieu, cela faisait long-temps en vérité qu'il voulait fourrer son nez dans une raie culière fémi-nine.

Jake lui tenait fermement les fesses, lui léchant la raie du cul de bas en haut, pointant sa langue dans son anus fripé.

Madame Fine tendit la main et agrippa l'étagère qui lui faisait face.

Ses élèves pouvaient voir son visage et le haut de son torse mais ils ne pouvaient pas distinguer Jake, agenouillé dans son dos, qui lui travaillait la raie culière de la langue.

Tout en lui titillant le trou du cul, il avait glissé une main sur sa chatte et parcourait sa fentine d'un doigt expert.

Elle avait maintenant les yeux fermés, elle se mordait les lèvres pour en-diguer ses cris de bonheur alors que son corps tremblait comme une feuille.

Il inséra quatre doigts dans son antre embrasé alors que la pointe de la langue il lui évasait le goulot.

Kurt et ses amis entendaient distinctement le clapotis des doigts fouillant la moule inondée de cyprine de leur gentille prof.

Elle poussa un sonore gémissement de plaisir que pratiquement tous les élèves entendirent alors qu'elle succombait à un orgasme d'une rare in-tensité.

Plusieurs élèves lui jetèrent un oeil étonné, mais ils ne pouvaient voir qu'une prof en détresse s'agrippant à une étagère.

Jake retira son visage de son entre fesse et Kurt vit avec jubilation que son petit l'œillet frémissant était trempé de salive.

Jake rampa littéralement jusqu'à la plus haute étagère alors que ma-dame Fine rabattait sa jupe, la lissait et se laissait tomber sur la chaise la plus proche histoire de reprendre ses esprits.

CHAPITRE 9

Le vendredi soir, Madame Fine supplia Kurt de lui laisser porter des sous-vêtements le lendemain car elle avait une conférence pédagogi-que.

Kurt y consentit gentiment.

Le lendemain elle portait d'un chandail moulant et d'une jupe évasée noire, elle n'était pas très courte mais elle donnait l'illusion de révéler plus de ses charmes qu'elle ne le faisait en réalité.

Coulybaca
Coulybaca
105 Admirateurs