Milf&Monster: Elle a Les Crocs!

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La séance de jardinage chez la Dr. Acula dérape.
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Note de l'auteur : Tous les personnages mis en scènes dans cet histoire ont plus de dix-huits ans et toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ne saurait être que fortuite.

Je trouve qu'il n'y a pas assez de textes qui mettent en scène des créatures fantastiques. J'ai voulu réparer cette injustice, et comme en plus j'aime les MILF ben.... Ça donne l'historie que vous allez lire. Elle est un peu barrée, j'espère que ça vous plaira.

N'hésitez pas à lâcher quelques étoiles à la fin, ça m'encourage à continuer.

----------------------------

J'étais en train de bosser mes cours quand j'entendis quelqu'un mentionner mon nom en bas.

-- Non, je suis désolée, mais ça ne va pas être possible. Il est très occupé en ce moment. Vous devriez faire appel à quelqu'un d'autre. »

 Oh oh. Ma mère prenait le ton qu'elle réservait aux personnes qu'elle n'aimait pas, et peu après j'entendis la porte d'entrée se fermer.

Je pris position en haut des escaliers.

-- Maman? C'était qui ? Qu'est-ce qu'ils voulaient?

-- Rien rien mon chéri, retourne faire ce que tu faisais.

Non, tu ne vas pas t'en tirer comme ça !

-- Allez maman, dis-moi. C'était à propos de l'annonce c'est ça? Il y a quelqu'un d'intéressé ? » demandai-je, plein d'espoir.

J'avais décidé de passer l'été de manière un peu productive, et j'avais laissé des annonces proposant mes services de jardinier amateur dans tout le quartier. Ma mère soupira. 

-- Oui, c'est... La voisine là, juste à côté. Elle a besoin de quelqu'un pour s'occuper de cette espèce de savane qui lui sert de jardin. Mais je ne veux pas que tu y ailles Léo. Hors de question que mon fils fréquente des gens de son espèce !». Elle renifla dédaigneusement. « Crois-moi, moins tu t'approcheras de ce genre de créatures, et mieux tu te porteras.

-- Maman, c'est rétrograde ! » Je roulai des yeux. Ma mère et les autres habitants du quartier n'aimaient vraiment pas notre nouvelle voisine. Ils avaient même essayé de se plaindre à la mairie pour empêcher son arrivée quand les premières rumeurs avaient circulées, mais ils avaient reçus une fin de non-recevoir.  Moi, de mon côté, je n'étais pas trop mécontent qu'elle soit là. « Et en plus, j'ai besoin de cette argent pour la rentrée !

-- Mais je peux t'aider mon chéri, je préfère que tu te concentres sur tes études et...

-- Mais maman! Ce n'est pas à toi de décider ce qui est bon pour moi. Je ne suis plus un enfant et si je veux bosser cet été, je bosse cet été, un point c'est tout.

Et puis en plus, un peu de travail manuel me permettrait de me défouler et j'en avais bien besoin après la rupture avec mon ex.

-- Où est-ce que tu vas ? » cria ma mère alors que je descendais en trombe les escaliers. Je fis un crochet pour le salon pour lui donner un bisou sur la joue. « Devine. A plus tard.

Et je la laissai bouche bée.

Avant de sortir de chez moi, je m'arrêtai devant le miroir près de la porte d'entrée. Je passai rapidement mes doigts dans mes cheveux brun foncé, repérant quelques épis qui se dressaient. Je pris quelque secondes pour lisser le t-shirt sans manches que je portais et après un dernier coup d'œil à mon reflet dans le miroir, je roulai des yeux et sortis, me dirigeant vers chez Madame Acula. 

Me recoiffer avant de sortir était peut-être un peu futile, mais c'était plus fort que moi. J'essayai toujours de paraître sous mon meilleur jour devant notre jolie voisine, du moins depuis que j'avais remarqué qu'elle était une véritable MILF, aussi sexy que toutes celles que j'avais reluquées sans vergogne sur des sites pornographiques. Pour être honnête, c'était même elle qui m'avait incité à regarder du porno mettant en scène des MILF et des cougars. Je m'asseyais devant mon PC pendant des heures et je regardais ces petits bâtards super chanceux se faire sauter par des femme sexy et expérimentées qui faisaient deux fois leur âge, et parfois je me demandais si ça s'était déjà produit dans la vraie vie.

Je supposais que oui, mais que ce n'était pas si fréquent que ça entre humains, alors entre membres d'espèce différentes...

En songeant à cette femme, un sourire s'étendit sur mon visage alors que je marchais jusqu'à la lourde porte en fer forgé qui menait à l'allée devant chez elle. Je l'ouvris tranquillement en me rappelant mon trésor de guerre, toutes ces photos de Victoria allongée sur son fauteuil alors qu'elle lisait le soir chez elle, en petite tenue avec un verre de vin à porté de main. Enfin, j'espérais que c'était du vin.

J'avais eu bien le temps de les examiner ces photos. La dernière fois, elle s'était assoupie et son livre était tombé près d'elle. Elle s'était alors levée de son fauteuil et s'était penchée pour le ramasser, et le gros plan que j'avais pu faire sur son cul était si beau que j'avais failli l'encadrer dans ma chambre. Mais bon, maman n'aurait vraiment pas apprécié. En tout cas, j'étais rentré en vitesse dans la salle de bain pour détruire ma bite discretos tout en regardant ses fesses sublimes.

Je sonnai à la porte et me tournai pour observer son jardin. La porte en fer forgé, par où j'étais rentré, grinçait et était un peu rouillée. Avec un peu d'huile et un petit coup de peinture, elle serait comme neuve. Je remarquai également que l'herbe était haute et que la haie et les buis avaient besoin d'être taillés. Je commençais donc à faire une petite liste mentale de toutes les choses que je devrais retaper, quand la porte s'ouvrit derrière moi. Je perdis alors totalement le fil de mes pensées.

Elle était superbe : ses cheveux couleur aile de corbeau était rassemblés en une queue de cheval avec deux petites mèches encadrant son visage ovale, ses yeux bleu pâle étincelaient sous d'épais cils noirs, ses paupières étaient fardées dans un mélange sensuel de noir et de cuivre. Son teint était lisse et légèrement bronzé, ses pommettes mises en valeur par un blush un peu plus sombre, et ses lèvres charnues étaient peintes d'un rouge foncé. La petite robe bustier noire qu'elle portait me laissait deviner le haut de ses seins généreux qui dépassaient, son torse se rétrécissant jusqu'à une taille fine et élégante qui mettait en valeur ses hanches. Enfin, l'ourlet de sa robe ne descendait pas plus loin que le haut de ses cuisses, ses longues jambes galbées se rétrécissant jusqu'à ses pieds délicats dans des escarpins simples et efficaces.

Elle avait l'air sensuelle, et un peu dangereuse, un peu assoiffée de sang, ce qui était assez logique enfin de compte.

-- Bonjour Léo, ça me fait tellement plaisir de te voir » sourit-elle. Son sourire était éclatant, et je pouvais voir ses canines se terminant en de long crocs.

Parce que ouais, la voisine était une vampire.

Ma voisine, la Dr. Acula, était une des premières à être venu cohabiter avec des humains, et tenait beaucoup à renvoyer l'image d'une nonhumaine exemplaire et parfaitement intégrée. Étant donné que les membres de son espèce avaient une réputation de prédateurs sexuels assoiffés de sang, elle se comportait donc de manière assez pudique et réservée avec moi et les autres habitants du quartiers. Autrement dit : jamais de tenue spécialement aguicheuse. Enfin, si on faisait abstraction de ses petites tenues décontractées qu'elle portait quand elle se croyait seule!

-- Léo tout va bien? »

-- Bonjour Madame Acula » répondis-je précipitamment, reprenant brusquement le fil de mes pensées. Elle pencha la tête sur le côté en m'observant. « Je viens à propos du jardin, ma mère m'a dit que vous aviez besoin de quelqu'un?

-- Oui mais rentre, ne reste pas là. Tu laisses entrer la chaleur. » Elle s'écarta pour me permettre le passage et j'entrais.

-- Je... euh... il fait bien frais chez vous Madame Acula. » Elle me regarda en passant la langue sur un de ses crocs. Je souris nerveusement. Je savais bien que les discours spécistes de ma mère étaient des bêtises d'une autre époque mais malgré tout, une part de moi s'attendait à ce qu'elle me saute à la gorge à tout moment.

-- Je ne mords pas tu sais, pas la peine d'être aussi nerveux.

-- Je suis désolé. Je ne voulais pas... je... euh... désolé.. Madame Acula.

Elle rit, ce qui attira mon attention sur sa poitrine. 

-- Bien euh.. Vous avez besoin de moi? Ma mère... euh..., la voisine, elle m'a dit que euh...

-- Oh, je sais qui est ta mère, Léo. Pas besoin d'expliquer. Suis-moi, je te décrirai mes besoins autour d'un verre.

-- Merci, euh... Madame Acula.

Elle se dirigea vers la cuisine en passant devant moi, ses hanches se balançant de manière séduisante, ses talons hauts claquant bruyamment sur le sol en marbre. Mes yeux remontaient sur ses jambes galbées et s'arrêtaient sur son cul bien tonique et, peut-être était-ce un effet de mon imagination, mais en apercevant son reflet dans la paroi vitrée bordant un côté de la cuisine, je crus voir un sourire malicieux passer sur ses lèvres.

Bon sang, il faut que je me calme! 

J'avais déjà failli avoir des ennuis il y a quelques semaines en la reluquant alors qu'elle rentrait chez elle. 

J'étais assis à mon bureau et j'avais levé les yeux de mon écran d'ordinateur en entendant les crissements du gravier de l'allée sous les pneus. Me penchant sur ma chaise; j'avais tiré légèrement le rideau sur le côté et je l'avais vu qui se garait. J'étais resté assis quelques minutes à l'observer pendant qu'elle effectuait sa petite routine quotidienne avec la boîte aux lettres. Comme toujours, elle était vraiment jolie dans le tailleur qu'elle mettait pour aller au travail. J'avais entendu des gens qualifier ce genre de tenues de « business sexy », et franchement, j'étais tout à fait d'accord. Ses tenues n'étaient jamais vulgaires mais ses jupes étaient toujours légèrement moulantes et, tout en n'étant jamais trop courtes, elles s'arrêtaient quand même quelques centimètres au-dessus des genoux.

Celle qu'elle portait ce jour-là était une petite jupe crayon noire et était accompagnée d'une paire de bas couleur sombre. Elle en portait toujours, et je m'imaginais qu'ils montaient à mi-cuisse. Ces modèles-là avaient toujours été mes favoris. Les jambes de la voisine étaient extrêmement bien mises en valeurs dedans, et elles étaient encore rehaussées par la paire de chaussures à talons, noires également, qu'elle portait ce jour-là.

Ces chaussures là aussi étaient mes préférées, simples et efficaces. Plus sexy que professionnelles, certes, mais pas non plus au point d'être des chaussures de salope. Son blazer gris foncé lui donnait une allure très élégante et sa chemise blanche en-dessous était coupée de manière à produire un effet similaire à sa jupe, attirant l'attention vers sa poitrine généreuse dans un décolleté qui en dévoilait suffisamment, sans en avoir l'air.

Elle était passée ensuite à l'étape suivante de son petit rituel et s'était penchée pour regarder le courrier. Cette partie-là, c'était la meilleure. Si elle était tournée dos à la maison quand elle se penchait, j'avais droit à une vue imprenable sur son derrière moulé dans sa jupe. Et si elle était face à la fenêtre, comme ce jour-là, je pouvais alors plonger mon regard à l'intérieur de sa chemise depuis mon perchoir et apercevoir ce qu'elle portait en dessous. Même à cette distance, j'avais eu un bref aperçu de la voluptueuse poitrine de Madame Acula nichée dans son soutien-gorge en dentelle noire. 

Elle avait refermé la boîte aux lettres et avait remonté le chemin qui menait jusqu'à la porte d'entrée. Elle m'avait ensuite offert une opportunité supplémentaire de savourer le lent balancement de ses hanches et la façon dont sa jupe moulait ses fesses alors qu'elle était passée devant la façade de sa maison et s'était dirigée sur le côté pour jeter un œil à l'état de son jardin. Elle avait secoué la tête de droite à gauche, visiblement dépitée, puis avait fait demi-tour et était revenue vers la porte d'entrée.

Au moment où elle était entrée dans la maison, j'avais déjà pris position devant la fenêtre de la salle de bain. Il y a des mois de cela, j'avais trouvé le lieu idéal qui me permettait de voir ce qui se passait dans le salon de la voisine sans être vu. Je me sentais un peu ridicule et pathétique à me retrouver tous les jours au même endroit pour la reluquer, mais ça en valait le coup, oh ça oui! Je n'avais pas pu m'empêcher de sourire alors que je voyais la voisine passer à la seconde étape de son rituel d'après travail: enlever son blazer et exposer sa petite chemise moulante en-dessous.

Elle l'avait posé sur son lit et avait levé sa main derrière sa nuque pour défaire sa pince à cheveux, se faisant sa chemise s'était soulevée légèrement, révélant la peau nue de son ventre et son nombril.

Oh ouai!

Son ventre était plat, mais sans pour autant être athlétique; et ça la rendait d'autant plus sexy à mes yeux. Madame Acula n'était pas un fantasme retouché sur du papier glacé, mais bien une vraie femme de chair et d'os à qui les siècles n'avaient rien ôté de sa beauté, tout au contraire. Elle avait laissé tomber ses cheveux et secoué un peu sa tête, envoyant cascader sa longue crinière aile de corbeau le long de ses épaules et de son dos. Ça me rendait toujours dingue quand elle faisait ça. C'était le genre de trucs que les actrices faisaient dans les films, où que j'imaginais les filles faire devant leurs amants. Un geste de séduction qui mettait sa chevelure en valeur et que la voisine ne faisait que quand elle était seule - ou qu'elle croyait l'être.

Ensuite elle s'était assise sur le bord de son lit et avait enlevé ses talons. Un geste simple et anodin en apparence, un truc que n'importe quelle femme faisait en rentrant chez elle. Mais quand c'était Madame Acula.... Elle avait une manière de rendre ce petit geste en apparence si banal terriblement érotique. J'adorais la manière dont elle se penchait vers l'avant, surtout dans une journée comme celle là où elle portait les talons que je préférais. Elle avait enlevé la première chaussure, lentement, et j'étais sûr qu'elle avait poussé un soupir. Un soupir d'aise, mais dans mon petit esprit tordu, c'était surtout un soupir terriblement sexy, un soupir que j'aurais tant voulu entendre directement dans le creux de mon oreille, peut-même juste après qu'elle ait murmuré mon prénom alors que j'entrais en...

Du calme mon grand, du caaaaalme.

Elle avait répété le même geste avec sa deuxième chaussure puis s'était levé et j'avais souris à nouveau. A cet instant, je savais qu'elle allait faire ce qu'elle faisait toujours et que je considérais comme le clou du spectacle. Elle avait relevé un peu sa jupe, et une fois de plus j'avais pu admirer la façon dont ses bas mettaient en valeur la peau légèrement bronzée de ses jambes. Puis elle avait roulé lentement le bas le long d'une de ses jambes et était passée à l'autre. Elle s'y prenait lentement, presque délicatement, ce qui rendait le geste d'autant plus sexy, et j'aurais juré qu'elle faisait comme si elle savait que quelqu'un la regardait. 

Mais elle ne trouverait sûrement pas ça très flatteur si elle savait que c'était le fils de la voisine qui profitait du spectacle. Elle s'était alors rassise sur le lit et j'avais écarquillé les yeux alors qu'au lieu de finir de dérouler ses bas comme d'habitude elle avait fait quelque chose d'encore plus intéressant. Elle avait levé une de ses jambes et avait roulé le bas jusqu'à sa cheville avant de le retirer. J'avais espéré un bref aperçu de son soutien-gorge, et voilà que j'avais eu droit à une belle vue sous sa jupe! Et en plus d'une belle étendue de la peau nue de ses cuisses, j'avais même juste eu le temps d'entrevoir un bout de tissu noir entre elles.

Une chouette surprise!

Elle avait refait la même chose avec son autre jambe et un frisson délicieux de surprise et d'excitation m'avait parcouru quand elle avait passé ses bras derrière son dos et sous sa chemise. Un instant plus tard, elle avait retiré son soutien-gorge de sous sa blouse.  Elle s'était ensuite penchée pour attraper ses chaussures et ma bite s'était raidie au spectacle -bien trop bref hélas- des seins nus de la voisine qui pendaient pendant quelques secondes. Elle s'était levée, avait attrapé ses bas, son blazer et s'était dirigée vers sa salle de bain, pour finir de se changer, à l'abri des regards indiscrets.

Puis elle était revenue en petite tenue et avec un livre et s'était installée sur son fauteuil en cuir. Une main s'était faufilée dans sa culotte et je me voyais déjà prendre du bon temps moi aussi... quand ses yeux se levèrent et plongèrent droit dans les miens !

J'avais alors détourné le regard, le cœur battant et la trique palpitante. Ma bite qui avait formé une tente dans mon short me faisant me sentir comme un sale pervers doublé d'un espion. J'avais eu peur qu'elle s'en plaigne à ma mère, je l'entendais déjà m'enguirlander. Mais, heureusement elle n'avait rien dit. Et maintenant, je la reluquais à nouveau comme un vieux pervers, complètement bouche bée.

Merde Léo, ressaisis-toi !

Alors qu'elle me guidait vers une chaise, je détournai les yeux.

-- Merci » dis-je alors qu'elle me passait un verre d'eau. J'essayai d'ignorer le galbe de ses seins contre sa robe délicate alors qu'elle me rejoignait à la table de la cuisine. En sa présence, je me sentais gauche et mal à l'aise. Mon incartade de l'autre jour était dans mes pensées, et j'étais sûr que j'allais faire une connerie, genre renverser mon verre partout.

-- Pas de souci Léo. Tu en auras bien besoin, tu vas beaucoup suer cette après-midi. » Quelque chose dans sa manière de le dire me donna un coup de chaud. Je bus une gorgée, et déglutis nerveusement. « Alors, est-ce que tu es vraiment aussi expérimenté que ce que ta publicité le suggère?

-- Oui, je jardine depuis pas mal de temps, et j'ai tous les outils qu'il faut.

Ses yeux me balayèrent rapidement 

-- Oh mais je n'en doute pas. Je suis sûre que tu es très bien équipé. » Je me tortillai légèrement sur ma chaise, mal à l'aise sous le regard scrutateur de ses yeux bleus. « Ce serait bien dommage de ne pas profiter de la présence d'un jeune homme aussi costaud, compètent et si bien outillé près de chez moi, pas vrai?

-- Eh bien, je... Qu'est-ce que vous voulez que je fasse? » demandai-je avec une légère note de malaise dans la voix.

-- Hmmmm, une femme comme moi a d'assez gros besoins, comme tu peux l'imaginer. Pour commencer, il faudrait passer la tondeuse. Et ensuite, il faudrait s'occuper de la haie et couper les buis. J'aime que mon jardin soit net et bien entretenu. Mais comme je suis une vampire, je déteste travailler sous le soleil, et les humains avec qui je fais affaire habituellement sont tout le temps intimidés par ma présence. Et puis ils coûtent trop chers.

-- Vraiment ? Je vous croyais super riche ? » Ça m'avait échappé, c'était indiscret, mais trop tard.

Elle eut un petit soupir dédaigneux.

-- Ma fortune s'élève à plusieurs milliards d'euros, accumulés au cours de plus d'un millénaire de non-vie, que je rechigne à dépenser. Quand on a connu autant de crises économiques que moi, on préfère rester prudente.

-- Je croyais que c'était les dragons qui avaient des trésors.

-- C'est une légende. Si les dragons collectionnent de l'or, c'est surtout pour faire monter les prix. Ma fortune est diversifiée en actions, locations, fonds d'investissements et autres...

-- Ouah, vous êtes vraiment la pro du capitalisme !

-- Mais c'est tout naturel voyons, capitalisme et vampirisme, c'est à peu près la même chose. Enfin bref, j'ai besoin d'un homme qui sache prendre les choses en mains et répondre à mes besoins. Tu t'en sens capable? » Elle se pencha en avant, laissant voir son impressionnant décolleté.

-- Oui... Oui madame Acula. » Je sentais ma bite gonfler dans mon pantalon.

-- Bien, alors au travail. La tondeuse est dans le garage, tu peux y accèder par derrière. Si je suis satisfaite, tu auras peut-être même droit à un supplément en nature...