Milf&Monster: Elle a Les Crocs!

BÊTA PUBLIQUE

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Mon gland était déjà brillant de pré-sperme et davantage de liquide suintait de ma fente lorsque Victoria baissa la tête et commença à lécher mon gros bout comme une sucette. Elle y déposa des petits baisers humides, aspirant tout mon pré-éjaculat bien clair. La douce sensation de ses lèvres caressant mon bout sensible me fit gémir mais ce n'était rien comparé à la caresse chaude et enveloppante de sa bouche lorsqu'elle m'engloutit.

Sous mes yeux stupéfaits, Victoria commença à bouger la tête de haut en bas. Elle était hésitante au début, comme si elle avait oublié comment faire, mais bientôt elle commença à pousser plus bas puis à reculer pour téter mon gland en ronronnant, avant de me prendre à nouveau profondément dans sa bouche, en m'avalant davantage à chaque plongeon. Elle prit rapidement un délicieux tempo, ses lèvres douces glissant de haut en bas sur mon membre tandis que sa langue caressait le dessous de ma bite palpitante. Je ne pouvais pas m'empêcher de gémir de plaisir pendant que ma voisine me suçait, l'intérieur tendre de ses joues me massant alors qu'elle roucoulait autour de ma circonférence. Ses yeux étaient fermés alors qu'elle me faisait une pipe lente et sensuelle.

-- Oooh Victoria... Tu es tellement douée pour ça!

Je portai mes mains sur sa tête, lui caressant les cheveux, haletant chaque fois que je sentais mon gland toucher l'entrée douce et serrée de sa gorge lors de ses mouvements vers le bas. Mon contact dut l'encourager. Le son de ses haut-le-cœur se mêla rapidement au refrain de ses succions baveuses et de mes grognements lubriques, alors que ma voisine commençait à prendre davantage sur ma bite. Bientôt, elle enfonça mon gland dans son gosier, me serrant pendant de longues et douces secondes avec les muscles de sa gorge avant de glisser vers l'arrière jusqu'à ce que je sorte de ses lèvres humides et moelleuses.

-- Oh, putain ! » m'exclamai-je alors que sa bouche chaude et humide engloutissait à nouveau ma bite palpitante.

Gardant ses mains sur mes cuisses, Victoria commença à bouger la tête en prenant toute ma longueur dans sa gorge avec frénésie. Je gémis comme un idiot en regardant ma voisine si sexy dévorer ma bite jusqu'aux couilles. Victoria gémissait à chaque fois qu'elle descendait et ses yeux étaient fermés, comme si avoir ma bite dans sa bouche était un pur bonheur.

Elle passa sa main entre mes jambes et commença à caresser légèrement mes couilles.

-- Oh, putain. » haletai-je. « Oh mon Dieu ça fait du bien!

Faisant glisser ma bite hors de sa bouche avec un petit « plop » humide, elle ria.

-- C'est le but!

Saisissant ma bite, elle frotta avec application mon bout dégoulinant le long de sa joue.

-- Qu'est-ce que tu en dis Léo? Tu aimes voir ta belle grosse bite contre mon visage?

-- Oh putain oui !

-- J'aime ça aussi. » Elle aspira rapidement le bout dans sa bouche et le libéra à nouveau avec un bruit de claquement sec. « Elle a vraiment un super goût....

Faisant courir sa langue le long de ma hampe, elle me demanda.

-- Tu imagines Léo? Tu imagines ces lèvres serrées autour de ta bite? Tu rêves de jouir dans ma bouche?

-- Oui. » gémis-je alors qu'elle baissait la tête et faisait tourner sa langue autour de mes couilles.

-- J'adore! » ronronna-t-elle. S'arrêtant pour faire courir sa langue le long de mes couilles à nouveau, elle gémit. « J'ai pensé à toi bébé, je sais que tu me mates copieusement, je l'ai toujours su et ces derniers mois je n'ai pu penser à rien d'autre qu'à sucer et baiser ta belle jeune bite bien dure de petit primate !

-- Ce...  c'est vrai? » demandai-je dans un râle. Les mots avaient plus de mal à sortir alors qu'elle commençait à taquiner du bout de sa langue les bords sensibles de mon gland, tout du long.

-- Oh oui ! C'était tellement injuste; un beau garçon comme toi, et une femme excitée et solitaire comme moi. » Elle embrassa ma bite et me fit un clin d'œil. « Mais bon, j'ai mieux à faire avec ma bouche que parler, non?

-- Oh oui. » Je hochai la tête avec frénésie.

J'étais follement excité alors que je me réjouissais de la vue de sa salive recouvrant ma longueur tandis qu'elle replongeait plus vite sur ma viande lubrifiée par les crachats, m'avalant de plus en plus sauvagement. Un frisson me parcourait la colonne vertébrale à chaque fois que Victoria glissait sa bouche le long de ma bite, me suçant tout en ronronnant, s'arrêtant pour têter mon gros gland de temps à autre, le taquinant avec sa langue, gémissant tout le temps alors qu'elle me suçait avec passion.

Dans un état second, je regardai ma voisine me sucer, les yeux rivés sur le sceau doux et étroit de ces lèvres pulpeuses serrées autour de ma circonférence. Je ne pouvais pas me lasser de l'image de la jolie tête de Victoria s'enfonçant le plus loin possible sur ma bite, sa main me tenant à la base pour mieux aligner ma longueur afin de me prendre bien profondément dans sa bouche. C'était incroyablement chaud et sensuel à la fois.

Tout à coup elle ouvrit la bouche aussi grand que possible et me prit jusqu'à la racine, ses crocs devant effleurant à peine la base de ma tige. Puis elle secoua la tête d'avant en arrière, grognant et sifflant, telle une tigresse arrachant un morceau de viande à sa nouvelle victime. Mes gémissements s'intensifièrent alors que j'endurais le plaisir et la douleur mêlés de son attaque.

Brusquement, elle mordit très lentement et doucement la base de mon manche, où je ressentis une légère pression. Je me raidis d'un coup et retins mon souffle, absolument immobile, ce qui était dingue vu comment je haletais il y a quelque secondes.

Pas ma bite, par pitié pas ma bite !

La pièce devint silencieuse. Je pleurnichai intérieurement tandis qu'elle remontait le long de ma queue.

-- Non » ronronna-t-elle, comme si elle pouvait lire dans mes pensées. « Je pense que je vais te laisser garder un peu plus longtemps ta belle grosse bite. Bien sûr » Elle attrapa mon érection, rouge et gonflée, et luisante de sa salive. « J'ai encore très soif, et maintenant qu'en plus j'ai trouvé de quoi sucer... » Elle croisa mon regard et me fit un sourire coquin, et murmura. « C'est difficile de résister! » Puis elle remit la tête de ma bite entre ses lèvres, suçant et caressant à un rythme rapide et régulier. 

-- Ohh, ouais... si proche, s'il te plaît...

Je voulais que ça dure, j'aurais aimé que ça continue encore et encore, mais je ne pouvais pas résister. La sensation, le visuel, les sons, mais surtout la réalisation de ce qui se passait, la vampire sexy d'à côté me faisait une pipe ; c'était tout simplement trop difficile à supporter pour moi.

-- Victoria... je suis proche... je vais bientôt jouir...

Victoria ouvrit les yeux et me regarda malicieusement, les lèvres tremblantes. Je réalisai qu'elle souriait autour d'une bouchée de ma bite. Mon membre fléchit, mon orgasme se précipitant vers moi. La tête de Victoria commença à bouger plus vite, sa main me serrait avec urgence. Sa gorge vibrait de ses gémissements étouffés, massant mon érection déchaînée. Je sentis mes couilles se resserrer et mon sperme affluer sur toute ma longueur. Puis une pensée me frappa. Ce n'était que le début. C'était juste la première fois que ma voisine me faisait une pipe. On pouvait faire ça, et bien plus encore, n'importe quand. C'est à ce moment-là que glissa sa main entre mes jambes et serra mes couilles, et je criai quand ma bite explosa.

-- Oooooh putain!... Oh ouais, Victoria, tu es incroyable!... Aaaargh!

-- Mmmmph!... Mmmh!...

Victoria émit un espèce de gargouillement et ses yeux se révulsèrent alors qu'elle continuait à sucer ma bite juteuse. Mes jambes tremblaient et mes hanches ruaient alors que je jouissais plus fort que jamais. Ma bite continua à gicler, envoyant d'épais jets de sperme dans sa gorge, mais Victoria prit tout et gémit à chaque fois qu'une autre giclée coulait dans sa bouche.

Je jetai la tête en arrière, je fermai les yeux et lâchai prise, grognant de plaisir alors que j'envoyais de longues traînées de sperme dans la bouche aspirante de Victoria. Ses ronronnements sourds, mélangés aux sons humides et spongieux de sa succion et de sa déglutition, me rendaient fou de désir alors que jet après jet de ma semence continuait à jaillir entre ces lèvres douces, éclaboussant son palais, s'accumulant sur sa langue, et dégoulinant dans son oesophage.

Mon esprit était surmené à l'idée que ma voisine, qui avait été à deux doigts de m'arracher la bite il y a quelques secondes, venait de me faire une pipe fantastique et engloutissait maintenant mon sperme épais avec enthousiasme. Elle me suçait toujours doucement, essayant de me traire jusqu'à la dernière goutte, avalant tout ce que j'avais à lui donner.

Je rouvris les yeux à la vue de Victoria avec ses lèvres serrées autour de mon gland, ses joues creusées dans une dernière aspiration puissante alors qu'elle se retirait lentement de mon membre. Je frissonnai à la sensation de la langue de Victoria s'élançant sur ma fente pour recueillir une dernière cuillerée de crème qui lui aurait échappée. Ses yeux se levèrent vers moi alors qu'elle me lâchait avec un petit « pop » sonore et humide. Ma bite ramollie retomba sur mon abdomen, complètement lessivée.

J'étais ébahi alors que je regardais ma voisine avaler les dernières gouttes de ma charge. Après avoir déglutis bruyamment, elle demeura assise sur ses talons entre mes jambes. Il y avait une fine goutte de ma semence au coin de ses lèvres brillantes. Elle la ramassa avec son doigt et la suça.

-- Putain. » soufflai-je. « Je n'arrive pas croire à que je viens juste...

-- Hhhmmmm. C'était presque aussi nourrissant que ton sang. Tiens d'ailleurs, puisqu'on en parle...

Elle approcha alors ses lèvres de mon gland et les passa lentement sur ma bite, l'effleurant avec ses crocs. Oh la vache, ça y est, elle va croquer dedans ! Comme si elle lisait dans mes pensées, elle poursuivit:

-- Et si j'en prenais un petit peu ?

-- AAAAAAH ! Putain ! Attends, attends !

-- Hmmmm, désolée, j'aime bien t'embêter. » ricana-t-elle. « Evidemment que je ne vais pas m'en prendre à ta bite, ce serait du gâchis. Par contre ton comportement n'est vraiment pas correct. » Elle se mit debout et poussa mon torse. Dès que j'atterris à plat sur le lit, elle grimpa sur moi, rampant sur mon corps. «  Qu'est-ce que je t'ai dit  déjà? Tu ne parles pas sans mon autorisation, et pourtant tu l'as fait à plusieurs reprises. Voilà qui mérite châtiment, petit primate ! » Je pouvais sentir ses seins lourds contre ma peau, et ma bite qui revenait lentement à la vie, malgré le traitement qu'elle lui avait infligé. « Bien, maintenant, reste tranquille, et tais-toi pendant que je bois un cou...

-- Un coup tu veux di...

Et elle plongea ses crocs dans ma gorge.

Je rugis de douleur en sentant sa morsure et essayai d'éloigner ma tête par réflexe, mais elle tint bon, ses crocs enfoncés dans ma peau. Je poussai un petit cri discret alors que Victoria commençait à boire de mon sang.  Elle me marquait comme étant à elle désormais, et j'étais sûr que me sentir me tordre et me débattre l'excitait d'avantage. La sensation était indescriptible. La douleur initiale de ses crocs perçant ma peau fut remplacée par une chaleur et une euphorie qui se propagèrent dans mon corps comme une traînée de poudre.

Victoria continua à sucer mon cou, gémissant doucement à chaque bouchée de mon sang. Elle doit avoir du goût ! Finalement, je n'étais pas trop mécontent de me prélasser sur le lit. La sensation était agréable. Mais Il ne me fallut pas longtemps pour que ma vision devienne légèrement floue et bientôt, je frôlai l'inconscience. Trop. Elle en prenait trop. Je passai doucement ma main sur sa tête. 

-- Aaaah ! Putain. Victoria.. » murmurai-je. Elle ne s'arrêta pas, sa soif de sang semblait inextinguible. Même si je prenais du plaisir, je sentais ma force m'abandonner petit à petit. Si je la laissais faire, allait-elle me tuer ? J'essayai de nous faire rouler sur le côté pour me dégager mais rien à faire. «  Victoria... » murmurai-je à nouveau, avec plus de force. Je pouvais sentir mes paupières commencer à tomber. « Victoria ! » répétai-je bruyamment. 

Elle relâcha ma gorge et, comme elle l'avait fait avec ma main, commença à sucer et à lécher doucement, émettant de petits sons humides et les ponctuant de soupirs d'aise, comme si elle suçait réellement mon sang et se délectait de sa saveur. Ses hanches commencèrent à bouger, frottant sa chatte trempée contre mon érection lancinante qui redevenait dure comme de la pierre. Je restais immobile sous elle, la respiration rauque. 

Elle arrêta le mouvement de son corps et suça doucement mon cou avant de retirer ses lèvres de ma chair avec un claquement audible. 

-- Aaaaaah ! » Victoira se releva, rassasiée, une large trainée de sang dégoulinant dans le coin de sa bouche. Elle l'essuya d'un revers de la main avant de passer à nouveau sa langue dessus « Hmmmm, brave petit primate, c'était délicieux ! Je n'avais pas connu ça depuis de nombreuses années. Trop nombreuses. En fait, je ne me souviens même pas de la dernière fois que j'ai ressenti ça !

Puis elle soupira, revint se blottir dans le creux de mon cou là où elle m'avait mordu, et ronronna à mon oreille :

-- Pauvre petit primate! Pourtant, maman t'avait prévenu ! Les humains sont des proies  tellement  faciles : un petit décolleté, un petit battement de cils, et hop ! » Elle passa le bout de sa langue sur ma gorge meurtrie. « Le dîner est servi ! » Elle eut un petit rire cruel. « Au fait, tu es délicieux. Un parfait mélange de sucré-salé. Honnêtement, j'ai à moitié envie... mmmhh... de t'arracher la gorge et... Tu peux prendre ça comme un compliment ! »  Elle rigola à nouveau, puis, très délibérément, appuya une fois sa chatte contre ma queue palpitante. Des points dansaient devant mes yeux alors que je serrai les dents, essayant de ne pas perdre conscience.

-- Hmmmm. Je vois que tu es vraiment un petit primate bien obéissant et bien courageux.... Et je t'aime comme ça. Car, maintenant tu es prêt pour la suite!

Victoria se dégagea et vint s'appuyer contre la tête de lit, ses longues jambes galbées largement écartées. Comme mu par un espèce d'instinct, je m'allongeai entre elles. Je pouvais sentir un mélange enivrant de parfum, de chatte,de savon et de sueur. Je savais comment ça fonctionnait : elle m'avait mordu, et maintenant je devais à répondre à toutes ses commandes, à peine mieux qu'un esclave. Et honnêtement, ça m'allait parfaitement. Je levai les yeux vers les yeux froids de ma maîtresse, attendant son ordre, prêt à satisfaire ses moindres caprices. 

-- Petit primate » dit-elle d'une voix qui puait le sexe, « tu as eu la gentillesse de venir ici pour me rendre service, et je n'ai rien fait d'autre que boire ton sang et ton sperme. Et tu étais délicieux... Du sang chaud, doux et collant, et du sperme chaud, épais et salé... quel régal! » Elle rigola. Mon sexe, encore à moitié dressé même après la pipe qu'elle m'avait fait, se contracta à son discours. « Il n'empêche que si je suis exigeante, je ne suis pas cruelle et que je t'ai promis un supplément en nature ! Or tout esclave bien obéissant mérite une récompense, et puisque j'ai tant goûté à tes fluides, il semble juste que tu aies une chance de...goûter aux miens. » Sa main descendit entre ses cuisses et elle commença à se doigter paresseusement. Je regardais, hypnotisé.  « Est-ce que tu aimes ce que tu vois, petit primate?

-- Tu es... tellement belle. Et ta chatte est tellement... Mon Dieu, je veux juste plonger dedans!

-- Et moi je pense que je veux juste jouir sur ta langue, et ensuite sur ta bite » ronronna la vampire, « Si tu y arrives, dans ma grande mansuétude, je pourrais même décider de te laisser la vie sauve... Pour cette fois. Sinon... » Sa langue caressa le bout de ses crocs.

Ça va, pas trop de pression!

-- Maintenant... » Elle tapota légèrement sa fente avec deux doigts et haussa les sourcils : « Es-tu prêt? » Son sourire devint carnassier.

Ça ne dura que quelques secondes, un long moment d'adoration émerveillée. Puis mon excitation prit le dessus et je plongeai mon visage entre ses cuisses.

-- Vos désirs sont des ordres Madame Acula. » Et sur ce, je me penchai en avant et enfouis lentement le bout de ma langue du fond de son vagin jusqu'entre les lèvres de sa chatte et souris de l'entendre gémir.

Victoria haleta et se tordit lorsque ma bouche entra en contact avec ses lèvres. Je gémis d'appréciation lorsque je goûtai pour la première fois aux jus sucrés de ma voisine. Ils étaient délicieux. Ma langue commença immédiatement à parcourir sa fente pour récupérer davantage de son nectar enivrant. Je suçai et léchai avidement son entrée, buvant tout le liquide clair de Victoria tandis qu'un filet constant de ses sécrétions coulait de son trou lisse. Lorsque ma bouche fut recouverte de son jus, je m'arrêtai pour bien regarder.

La chatte de Victoria était complètement lisse et brillante de jus dégoulinants. Ses lèvres roses étaient gonflées et son clitoris était un nœud engorgé et palpitant implorant d'être sucé, léché et embrassé. Son vagin glabre était si délicat et si joli que j'avais l'impression d'être l'homme le plus chanceux du monde d'avoir le droit de le regarder, de le toucher et de l'adorer avec ma bouche.

La simple vue de sa fente lisse me fit haleter de désir sauvage. Je resserrai mes lèvres sur la fleur charnue de Victoria et commençai à l'embrasser, suçant ses lèvres inférieures comme si c'était sa bouche moelleuse et en enfonçant ma langue dans son trou comme si c'était sa gorge. Pendant que j'embrassais la douce chatte de ma petite voisine, mes doigts se dirigèrent vers son clitoris, le caressant doucement.

-- Ooooh ouiiiiiiiii!... Ooooh, petit primate, c'est tellement bon!

Je passai ma langue sur son clitoris et incapable de résister, je la glissai dans son cul. Victoria cria et rit. 

-- Oh ! Très vilain petit primate!

Je souris alors même que je laissais ma langue parcourir son petit bouton rose. Je n'avais jamais léché le cul d'une femme auparavant, mais c'était normal : Victoria n'était pas une fille, c'était une vraie femme bien plus âgée et bien plus sexy! Victoria commença à se tortiller contre mon visage, faisant glisser son cul d'avant en arrière sur ma langue avant de gémir.

-- Mon clito bébé! Je veux encore jouir!

Je laissai son anus tranquille et trouvant à nouveau son clitoris, cette fois je le pris entre mes lèvres et le suçai. Victoria commença à se balancer lentement d'avant en arrière au rythme de ma douce succion. Posant ma main sur son cul, je glissai un doigt en elle pendant que je suçais son clitoris et elle cria son approbation.

Elle se pencha plus en arrière et je pris conscience que ses cuisses douces commençaient à trembler contre ma joue. L'odeur et le goût de sa chatte me rendaient fou et je pouvais sentir ma bite gonfler entre mes cuisses, malgré tout le sang que j'avais perdu.

-- Lèche-le! » gémit-elle. « Lèche-le bien fort!

Pendant un moment, je bouffai juste sa chatte avec voracité, étanchant ma soif de son délicieux nectar, me prélassant dans ses halètements de plaisir. Lorsque je détachai mes lèvres de siennes et commençai à caresser son clitoris avec ma langue, en suçant régulièrement son bouton brûlant, ma voisine commença à vraiment perdre les pédales.

-- Ooohhh! Léo!... C'est... Oooooooooh bon sang!

Alors que je léchais son clitoris avec un mélange de coups légers et rapides et de cercles longs et profonds, j'insérai un doigt dans la chatte dégoulinante de Victoria. Une sorte de soupir étouffé s'échappa de sa gorge et je sentis ses mains sur ma tête, ses doigts parcourant mes cheveux. Ses gémissements devinrent encore plus profonds et urgents lorsque je commençai à la doigter. Elle était incroyablement serrée, mais tellement de son fluide sucré jaillissait qu'au bout d'un moment, je réussis à glisser un deuxième doigt dans ses doux plis, la faisant trembler.