Milf&Monster: Elle a Les Crocs!

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

-- Aaaah ouais!... Oui, doigte-moi... Lèche-moi... Oooooh, c'est trop bon... Aaaaahh!.

Ma bouche dévorait toujours son clitoris et j'avais deux doigts qui pompaient régulièrement dans sa chatte lorsque Victoria attrapa mes cheveux avec force et commença à enfoncer ses hanches contre mon visage alors que je léchais et grignotais. Sachant que son orgasme approchait, j'aspirai son clitoris en y mettant tout ce que j'avais, augmentant aussi le rythme de mes mouvements de doigts.

-- Aaaaah... »

Victoria cria si fort que je crus qu'elle allait alerter tout le quartier et que ma mère allait débouler. Heureusement, elle étouffa rapidement son cri de plaisir en mordant dans l'oreiller. Son corps était déchiré par le plaisir, ses yeux étaient fermés, son joli visage déformé dans une expression d'extase indescriptible. Je sentis ses parois humides et chaudes convulser autour de mes doigts. Ma bouche fut récompensée par un flot de jus alors que la chatte de ma voisine spasmait dans l'orgasme.

Il y eut comme une lueur de surprise dans les yeux de Victoria lorsqu'elle les rouvrit finalement.  Pour moi, c'était le meilleur sentiment au monde de savoir qu'elle avait éprouvé un tel plaisir grâce à moi. Maintenant, accroupi entre ses cuisses écartées, buvant son jus, ma bouche, ma langue et mes doigts toujours occupés mais plus doux alors que je la laissais se remettre de ses émotions, je me sentais le plus heureux des primates en admirant le plaisir peint sur le doux visage de Victoria.

-- Eh bien! Petit primate, je crois bien que c'était le meilleur orgasme que j'ai jamais eu! Je ne me suis jamais fait lécher la chatte comme ça auparavant, c'était incroyable. Maintenant, allonge-toi !

Quittant à regrets sa chatte, j'obéis. Victoria balança sa jambe sur mes hanches et, s'assit sur moi. Elle me chevauchait maintenant, les mains sur mon torse.

-- Bien, passons à la suite maintenant !

-- Je... Je ne sais pas.

-- Ce n'était pas une question, petit primate. » Elle passa la main derrière elle et attrapa ma bite, toujours rigide, et la tint à quelques centimètres de sa chatte. « Ah, tu es encore en pleine forme à ce que je vois ! Je ne t'ai pas trop pris de sang ? Si tu savais combien sont tout flasques à ce stade... Ça te laisse sans voix, hein ?  Au fait, tu sais ce que j'aime chez les loup-garous ?

Ça question me prit par surprise. Comme je ne répondais rien, elle me gifla.

-- Aïe !

-- J'ai dit : tu sais ce que j'aime chez les loup-garous ?

-- Euh non.

-- Allez devine !

-- Je... je ne sais pas !

-- J'aime la façon... » Elle mit mon juste à l'entrée de son sexe... « Dont ils hurlent à la lune quand ils jouissent ! »... Et s'empala sur ma queue.

-- Aaaaah ! »

Mais je suis pas un loup-garou moi !

Elle haleta avec moi lorsque ses plis s'ouvrirent pour moi, ses lèvres intérieures s'étirant et se serrant autour de mon membre alors que je la pénétrais.

Je gémis alors que les premiers centimètres de ma bite s'enfouissaient dans ma voisine. Elle était si serrée. La douceur et la chaleur de sa chatte étaient plus qu'incroyables, tandis que son jus coulant confirmait son profond plaisir. Je gardai les yeux rivés sur le visage de Victoria pendant qu'elle poussait lentement. Nous gémissions tous les deux alors que ses parois vaginales enveloppaient ma dureté dans une caresse veloutée et humide. Victoria se mordait la lèvre inférieure et battait des cils. 

Ses yeux s'ouvrirent et elle haleta quand je fus à mi-chemin et je commençai à pénétrer plus profondément, me frayant un chemin dans ses crevasses les plus délicates. Elle s'arrêta pour s'adapter à mon intrusion, mais elle hocha de nouveau la tête presque immédiatement, m'indiquant qu'elle voulait continuer. Son étroitesse était incroyable, mais elle était si trempée et volontaire que la friction entre ma circonférence envahissante et son trou était réduite à un glissement agréable et fluide.

Je criai alors que toute la longueur de ma bite se retrouvait enfouie dans sa chatte chaude, humide et très serrée. Assise toute droite, Victoria commença à bouger ses hanches d'avant en arrière et je gémissais de plaisir alors qu'elle me chevauchait.

-- Putain tu as une belle bite! »s'exclama-t-elle. « Oh, chéri, je vais bien m'amuser à prendre ta belle bite tout l'été !

Tout l'été...?

Alors même que ses mots résonnaient dans mon esprit abasourdi, Victoria leva ses bras au-dessus de sa tête et pendant que je regardais, commença à m'offrir un spectacle sensuel en se frottant d'avant en arrière sur ma bite.

-- Tu aimes? » gémit-elle en me regardant, ses yeux bleus brillant de plaisir. « Tu aimes me voir chevaucher ta belle bite bien dure?

-- Tu es magnifique » gémis-je alors qu'elle serrait sa chatte autour de ma bite palpitante. « Putain tu es magnifique Victoria.

Elle commença à rebondir sur moi, presque violemment.

En baissant mon regard vers nos sexes, en contemplant l'image époustouflante de mon pénis pénétrant le vagin de Victoria, je fus submergée par une vague d'irréalité qui me frappa durement. C'était vraiment en train de se produire, je baisais ma voisine, une vampire sexy ! Un mélange d'inconfort et d'excitation dansait sur son visage délicat alors que j'étais en elle.

-- Ooohhh putain... Victoria, ta chatte... Tellement incroyable..

-- Ouais... Tellement bon... Ooooh! Maintenant dis-le !

-- Quoi ?

-- J'ai dit : dis-le !

-- Mais dit quoi putain ?

-- Dis que tu aimes ça !

-- J'aime ça !

-- Tu es mon petit primate ; pas vrai ?

-- Oui ! Je suis ton petit primate !

-- J'ai dit petit primate ! »hurla-t-elle.

-- Ton petit primate oui ! » criai-je.

-- Et que fait le bon petit primate pour sa maîtresse ?

Je demeurai silencieux. J'en ai aucune idée putain !

-- Réponds moi ! » rugit-elle en me giflant à nouveau.

-- Aïe! Tout !

-- Tout ?

-- Tout ce que ma maîtresse veut!

-- Alors abois !

-- Hein ?

Nouvelle gifle.

-- Abois comme un bon petit primate !

-- Mais ça aboit pas, les primates !

Nouvelle gifle.

-- Wouf ! Wouf !

-- Bravo petit primate ! Hahahaha. Tu es un brave petit... Maintenant, je veux t'offrir un joli cadeau ! Tu ne jouiras plus jamais aussi fort de toute ta vie...

Sans plus d'avertissement elle commença à s'empaler de haut en bas sur ma bite. Je criai alors qu'elle me chevauchai si fort que je pouvais sentir le lit rebondir sous nous. Les soupirs d'inconfort initiaux de Victoria s'étaient transformés en crix de plaisir au moment où je sentais la base de ma longueur dans la caresse soyeuse de sa chatte, ses lèvres entrant enfin en contact avec mon entrejambe rasé. Ma bite se contracta alors que j'atteignais le fond, la douceur de ma voisine s'ajustant parfaitement autour de moi. C'était magnifique et c'était tout simplement génial. Je grognai tandis que Victoria poussait une série de soupirs brisés, essayant de retenir sa respiration.

-- C'est ça que je veux! » rugit-elle. « Je veux me faire baiser! Baise-moi!

Elle s'allongea sur moi et commença à pomper ses hanches contre moi. La saisissant autour de sa taille, je levai mes jambes et commençai à la baiser aussi fort que possible dans cette position. Victoria commença à crier dans mon oreille et le son m'encouragea à la prendre encore plus fort. Ses tétons se pressaient contre mon torse, et tout ce que je pouvais sentir était l'odeur que sa chatte avait laissée sur mon visage. Victoria se releva et roula loin de moi, étendue sur le dos avec ses jambes pendant hors du lit.

Je bondis presque et dès que je me tins entre ses jambes, elle plaça ses pieds sur mes épaules. Saisissant ses chevilles, je baissai les yeux pendant un bref instant, admirant la vue de sa chatte parfaite, puis je regardai pendant que j'y enfonçai toute la longueur de ma bite.

-- Putain ouais! » cria Victoria, ses yeux roulant en arrière. « Vas-y petit primate! Donne-la moi! Baise-moi comme tu en as toujours rêvé! Baise ma chatte! C'est ta chatte maintenant petit primate! Elle t'appartient !

Putain, ça sonnait bien! Mais ce qui était encore mieux, c'était d'enfoncer ma bite profondément dans sa petite chatte étroite. Penché en avant, je poussai ses jambes en arrière jusqu'à ce que ses pieds soient au-dessus de sa tête. Cela souleva son cul du lit et je plaçai mes mains sur l'arrière de ses genoux et commençai à la baiser aussi fort que possible. Victoria se déchaînait, poussant un autre de ces hurlements incroyablement forts et le son me fit plonger mes hanches encore plus durement.

-- Putain, putain, putain! » Elle n'arrêtait pas de crier. « Oh, petit primate! Oh regarde-moi pendant que tu me baises!

C'est exactement ce que je fis, en regardant ma bite luisante entrer et sortir de ses lèvres roses et serrées. Les gros seins de Victoria étaient couverts de sueur et rebondissaient sauvagement pendant qu'on s'envoyait en l'air. Ses cheveux étaient collés sur les côtés de son visage et ses yeux étaient écarquillés alors que je la pilonnais. Ma respiration devenait plus rauque et je gémissais à chaque coup de reins alors que je me sentais commencer à m'approcher.

Haletante, Victoria baissa les yeux sur notre jonction, tout comme moi. Sa respiration s'accéléra et ses gémissements s'approfondissaient alors qu'elle observait ma bite complètement enfoncée dans sa chatte. L'image impressionnante de la première union de nos corps sembla la ravir instantanément, déclenchant quelque chose en elle qui donna à ses yeux un éclat sauvage et fiévreux.

-- Oh bon sang, c'est tellement chaud! Tu n'as aucune idée à quel point ça m'a manqué, petit primate...

Grognant, incapable de parler, à peine capable de penser, excité par ses paroles, fou de désir pour cette merveilleuse créature qui était ma voisine et maintenant mon amante, je pouvais sentir chaque crête et chaque crevasse alors que je m'enfonçais profondément en elle, la faisant haleter.

-- Mmmh ouais!... Si gros... Baise-moi!

Je donnai quelques poussées plus lentes pour essayer de faire durer le plaisir. Ses lèvres intérieures trempées et tendres s'accrochaient à mon sexe lorsque je me retirais et je les regardais s'enfoncer lorsque je poussais. Une fois que je sentis l'orgasme refluer, je commençai à baiser ma voisine avec des mouvements longs et profonds. Je ne m'étais jamais senti aussi dur, aussi excité, de toute ma vie. La sensation de son étreinte autour de ma queue était incroyable, rien n'avait jamais été aussi agréable. 

Nous trouvâmes vite un rythme fluide. Victoria commença à repousser ses hanches contre moi pour répondre à mes poussées de plus en plus fortes et rapides. Son clitoris frottait contre moi et mes couilles cognaient contre son anus avec un bruit charnu à chaque fois que je m'enfonçais jusqu'à la racine de mon sexe. Nous nous embrassâmes voracement pendant que nous faisions l'amour, ouvrant nos lèvres seulement pour respirer ou baissant rapidement nos regards incrédules pour voir une fois de plus mon membre disparaître dans son trou avide.

Les miaulements tendus émergeant de la gorge de Victoria étaient délicieux et mes oreilles bourdonnaient alors que je continuais à m'enfoncer en elle.  Je me sentais comme défoncé par le plaisir alors que je continuais à plonger ma bite dans sa gaine serrée. Je ne m'étais jamais saoulé de ma vie, mais pénétrer sans relâche dans ma voisine avait un effet enivrant sur moi. Au lieu de me fatiguer et de me sentir rassasié, j'en voulais plus à chaque fois que j'atteignais le fond. La proximité et l'intimité que je ressentais étaient les sensations les plus chaleureuses, les plus réconfortantes et les plus belles que je n'avais jamais imaginées. Je ne voulais jamais que ça se termine. Au fil des minutes, je ne pouvais que penser que je voulais plus de Victoria, plus de sa chatte, plus de son corps, plus d'elle. Cela semblait insensé, mais je me demandais comment je pourrais continuer à vivre sans faire tout le temps l'amour à Victoria.

 

Je frissonnai lorsque je sentis les parois vaginales de Victoria se contracter de manière erratique autour de moi. Sa bouche lâcha mes lèvres alors qu'elle gémissait, un chœur de plaisir brisé à travers l'orgasme qui la traversait. Les contractions de sa chatte me serraient délicieusement lors de sa libération, me baignant dans son précieux jus. Un élan de joie pure me frappa lorsque je réalisai que ma voisine jouissait grâce à ma bite. Je n'arrêtais pas de bouger en elle, voulant plus de Victoria, voulant lui donner plus de plaisir.

Je me perdis en l'embrassant, en la baisant, en lui frottant le nez, en lui mordillant le cou et en sentant ses cheveux. Ma bite s'enfonçait sans relâche dans ma voisine, caressée par ses parois veloutées. Mes mains couraient sans cesse sur le corps lisse de Victoria, affamées d'elle. Mes doigts semblaient électrisés par le contact avec sa peau délicieusement bronzée, mes paumes errantes ne se reposant que brièvement lorsqu'elles rencontraient ses seins doux et fermes. Mes doigts se précipitaient instinctivement vers ses tétons gonflés, les pinçant, provoquant des cris de la part de ma nouvelle idole.

En fin de compte, ce furent la voix douce et claire de Victoria et ses gémissements sincères et lubriques qui me poussèrent à bout.

Je pensais que mon coeur allait éclater à ce moment-là. C'était si sale, si sexy et pourtant si doux. Je plongeai mon regard dans les yeux vitreux de Victoria. Je vis sa lubricité, son désir pour moi, son sourire magique avec ses petits crocs m'aveuglant et surchargeant mon cerveau. Ma bite palpitait follement alors que mes hanches accéléraient à une vitesse folle. Au-dessus des battements insensés de mon cœur dans mes oreilles, je n'entendais que les sons spongieux de mes impacts contre le trou trempé de Victoria et ses gémissements tendus et prolongés de libération imminente, ses appels et encouragements pour que je la prenne plus fort.

Je martelai la chatte de ma vampire avec tout ce que j'avais, la sueur coulant sur mon visage, mes coups de rein enfonçant sa silhouette élégante dans le matelas lit. J'arrêtai de respirer quand j'entendis Victoria crier son orgasme dans ma bouche grognante. Ses parois soyeuses se resserrèrent autour de moi, m'enveloppant dans une série de pressions qui me semblaient tout simplement trop dures à supporter. 

-- Aaaaaah ! Je vais jouir !

-- Bien ! Viens à l'intérieur! » dit-elle en plongeant ses yeux dans les miens. «  Allez, à l'intérieur, qu'est-ce que tu attends ? Je veux que tu hurles pendant que tu jouis, petit primate! » rugit-elle.

Puis elle abattit brutalement ses hanches contre les miennes, empalant sa chatte sur ma pauvre bite malemenée et me faisant basculer. J'explosai en beuglant.

-- Ahhhhhhhhouuuuuuuuuuuuuu ! » hurlai-je, comme elle me l'avait demandé.

Je pulvérisai mon sperme au plus profond de sa chatte soyeuse et millénaire de vampire, jets après jets de sperme épais jaillirent de ma bite palpitante, éclaboussant le trou accueillant de Victoria. C'était l'expérience la plus intense que j'avais jamais vécue. J'hurlai de plaisir pendant que mon sexe palpitait follement en elle, me vidant en elle et recouvrant son doux tunnel de puissants jets de sperme chaud. 

Je n'avais jamais autant joui et, je me sentais tout étourdi en me lâchant dans cette incroyable créature qu'était ma voisine. Ses contractions semblèrent s'intensifier tandis que je la remplissais de ma semence, sa gaine étroite me serrant encore plus fort. Son orgasme puissant essayait de me traire, asséchant mes couilles, un grognement guttural mêlé d'extase sortit de ma gorge jusqu'à ce que ma libération torrentielle se termine finalement en un lent goutte-à-goutte.

-- Oh, ça fait du bien ! » ronronna-t-elle. « Jusqu'à la dernière goutte bébé, jusqu'à la dernière goutte, comme on dit chez les vampires!

Je gémis doucement alors que mes poussées ralentissaient et je pouvais sentir le reste de mon sperme se répandre dans la chatte dégoulinante de ma voisine si sexy, et si dangereuse.

-- Oh putain ! » gémis-je alors que je m'effondrais contre elle tandis que ma bite ramolissait dans ses plis, complètement épuisée.

-- Ouai comme tu dis. » soupira Victoria. «  Mmmmmmhhh ! Ça fait une éternité que je n'ai pas été remplie comme ça par un humain, petit primate. » chuchota-t-elle en déposant des petits baiser sur mon cou. « Tu sais, avec mes amies à l'époque, on avait un jeu... Après avoir épuisé nos proies de toutes leurs forces et avoir vidé leurs couilles... On les achevai en leur arrachant la jugulaire ! » dit elle en ouvrant largement sa bouche et en prenant ma gorge entre ses crocs.

Pas ça, noooon !

-- J'éprouvais vraiment un immense plaisir à les voir expirer sous mes yeux... » murmura-t-elle. Elle poussa un soupir. «  C'est bien dommage que ce soit illégal de nos jours. » Elle déposa un petit baiser sur ma gorge et éloigna son visage de mon cou.

Oh mon Dieu, elle est complètement barjot !

-- Enfin bon » Son sourire, d'habitude carnassier c'était radoucit. «  Même à l'époque, je pense que je t'aurais laissé partir.

Elle déposa un baiser sur mes lèvres et tapota mon torse. Comprenant le message, je roulai à côté d'elle.

Je ressentis un immense sentiment de satisfaction en la regardant. La poitrine de Victoria se soulevait, ses énormes seins rebondissaient magnifiquement alors qu'elle luttait pour reprendre son souffle. Son visage était rouge betterave et en sueur, mais surtout, elle avait un énorme sourire sur ses lèvres. Elle étendit ses bras au-dessus de sa tête et émit un ronronnement satisfait tout en étirant ses longues jambes. Incapable de résister, je me penchai et embrassai son mamelon. Victoria gloussa.

-- Tu aimes mes seins, pas vrai? Typique d'un primate...

-- Je les adore ! »lui dis-je alors que je regardais tout son corps fantastique. « Bon sang, tu es tellement canon.

-- Et tu es un sacré bon coup, pour un humain » ria-t-elle. 

Je la pris alors dans mes bras.

-- Hé, qu'est-ce qui te prend ? » dit-elle d'une voix dure.

-- Hein ?

-- Pourquoi tu veux qu'on câline ? Tu as des carences émotionnelles ou quoi ?

-- Ben euh, c'est-à-dire que...

-- Je plaisante, je plaisante. » Elle partit d'un grand rire. «  Alors, ça t'a plût comme complément de salaire?

-- Euh, ouais. » ris-je. « Etre payé en nature, c'est vraiment top !

-- Et ce n'est pas fini! » dit-elle en m'embrassant dans le cou. « Après tout, tu as tant fait pour moi, je sens que je t'en dois encore.

-- Vraiment?

-- Vraiment. » posant sa tête sur mon torse, elle attrapa ma bite épuisée et commença à la caresser. « Tu vas me laisser faire, hein Léo?

-- Bon sang. »gémis-je alors qu'elle continuait à me caresser. « Tu n'es pas fatiguée?

Elle secoua la tête.

-- Léo, je n'ai pas fait aussi bien l'amour depuis des siècles, alors tu as encore du pain sur la planche. » 

Elle se pencha et prit ma bite épuisée dans sa bouche. Malgré ma fatigue, la sensation de sa bouche chaude et de sa langue douce fit que ma bite commença à grandir. En la retirant, elle me fit un sourire sexy.

-- Mais pas ici, dans mon cercueil!

-- Je... euh...Ton cercueil ? »

-- Oui. » Son visage sembla presque timide tout d'un coup. « Un cercueil pour un vampire c'est... Le cocon qui nous protège du monde extérieur. Y inviter quelqu'un c'est une sorte de marque d'intimité, une manière de faire comprendre à la personne qu'on lui fait confiance et qu'on sait qu'elle ne nous fera aucun mal. Une fois qu'on referme le couvercle, on est un peu seuls au monde. Alors... Ça te dit de venir ?

-- Ouai, j'adorerai ça !

Aussitôt, elle se leva, me prit par la main et m'entraîna à sa suite.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Enslaved by Lesbian Vampire Cougars Ch. 01 Five mature lesbian vampires kidnap a young girl.
Decisions A high school senior makes his decision.
Interview with the LVCs A series of interviews giving insights into our cast
Monster Girl World Ch. 01 A series of stories telling of humans and monster girls.
Monster Girl Adventure Female monsters pursue a man to satiate their appetites.
Plus d'histoires