Milf&Monster: Elle a Les Crocs!

BÊTA PUBLIQUE

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-- D'accord Madame Acula.

Je bus le verre en essayant le mieux possible de garder contenance, et dus me contorsionner pour masquer mon entrejambe bombée alors que je passai à côté d'elle et me dirigeai vers le jardin.

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Putain je n'en aurai jamais fini !

J'attrapai la bouteille d'eau dans ma poche et pris plusieurs longues gorgées. Appuyé sur la tondeuse, je poussai un soupir de fatigue, mais en regardant la pelouse nettement tondue de Victoria, je ressentis un immense sentiment de satisfaction. Quoique laisser Victoria se débrouiller avec sa pelouse aurait sans doute été loin d'être désagréable. Je souris en imaginant ses jolies fesses qui se tortillaient alors qu'elle poussait le lourd engin le long de la pelouse. 

Je remis la bouteille dans ma poche et attrapai le bas du débardeur que je portais, pour essuyer mon visage avec.  Il ne faisait pas si chaud que ça, mais je travaillais depuis plus d'une heure et j'avais pas mal sué. Passant mes doigts dans mes cheveux, j'étirai mes bras au-dessus de ma tête et je me penchai sur le côté, faisant craquer mon dos.

Après avoir passé la tondeuse je m'étais occupé de la haie, et il me restait donc quelques buis à tailler. J'estimais qu'il me faudrait encore une bonne demi-heure pour en venir à bout. C'était à la fois éreintant et gratifiant. Mais au-delà de la satisfaction du travail bien fait, il y avait aussi la vue sur Victoria.

Je pris la sécateur et me remis à mon ouvrage. Je pouvais sentir son regard posé sur moi depuis que j'avais commencé. Ça ne me dérangeait pas du tout, et parfois, je lui lançai aussi des petits coups d'œils discrets. Je dois dire que son bikini ne laissait pas beaucoup de place à l'imagination. Pas plus que d'habitude en tout cas...

-- Lééééo!

-- Oui, madame Acula? » demandai-je en me retournant.

-- Tu as oublié un coin par là! » Elle désigna une zone vers la droite.

-- Ah oui c'est vrai! Je m'en occupe tout de suite!

-- Essaye d'être un peu plus soigné quand même!

-- Je n'ai pas l'habitude de tailler les buis Madame Acula.

-- Je sais et tu as déjà fait de beaux progrès... Mais ce n'est pas une excuse pour te relâcher!

Ouai, parfois j'avais quand même bien envie de l'étrangler... C'était probablement juste le fait de la voir comme ça qui m'arrêtait : Victoria Acula, allongée dans un transat et qui appliquait de la lotion sur chaque centimètre carré de son corps voluptueux et athlétique. Un corps de tueuse, littéralement.

Franchement, je ne sais pas qui a dit que les vampires détestent le soleil, mais putain il n'a pas du voir ma voisine !

Je pris position derrière un buis pour mieux l'observer. Elle n'aimait peut-être pas travaillé sous le soleil, mais se dorer la pilule, par contre... Elle avait déjà un sacré bronzage et sa peau luisait alors que ses doigts fins caressaient sa jambe, ce qui faisait gonfler ma bite. Victoria se pencha en arrière sur le transat et, en pliant sa jambe, commença à masser l'huile sur l'intérieur de sa cuisse. Ma bite était déjà tendue contre mon jean et je le réarrangeai discrètement derrière le buis pour me soulager.

Victoria était maintenant en train d'appliquer l'huile sur son autre jambe et je déglutis difficilement, imaginant mes mains passant sur ses cuisses fermes et toniques. Puis Victoria étira ses deux longues jambes, inclinant ses orteils vers l'avant et provoquant un gonflement des muscles de ses mollets. Mes yeux parcouraient ces jambes incroyables tandis que je taillais distraitement quelques branches. Mon ex était une pom-pom girl et n'avait même pas un dixième de l'âge de ma voisine, et pourtant, même ses jambes ne pouvaient pas rivaliser avec celles que je regardais en ce moment. En même temps, en tant que vampire, Victoria était tout le temps au pic de sa condition physique

Là encore, j'avais d'assez bonnes chances que les filles de mon âge me laissent caresser leurs jambes et même finir entre elles elles, mais avec Madame Acula, il ne se passerait jamais rien. Et puis, non seulement je m'auto-allumais, mais en plus je n'avais vraiment pas le droit de regarder ma voisine comme ça. Mais bon sang, elle était super chaude! Victoria s'allongea sur la chaise et ma bite sursauta lorsqu'elle versa de la lotion dans sa main et la passa sur sa poitrine. Sa main glissa sur ses gros seins puis entre eux, laissant une traînée brillante d'huile.

Lorsqu'elle commença à appliquer l'huile sur le haut et les côtés exposés de sa poitrine, je sus que toute résistance serait futile. J'attrapai ma bite gonflée à travers le pantalon et me donnai une pression rapide pour me calmer tout en regardant Victoria frotter son ventre plat. Ses mains glissaient de haut en bas, ses doigts s'étalaient et je gémissais alors qu'ils descendaient sur le bas du bikini et glissaient sur le vêtements et sur ses cuisses.

Ses mains bougeaient lentement et sensuellement et je remarquai que son dos se cambrait pendant qu'elle se massait. Mes yeux s'écarquillèrent lorsque ses mains revinrent sur ses seins et que cette fois, elle les prit en coupe tout en faisant glisser ses pouces de haut en bas sur la moitié intérieure et exposée.

Mes yeux s'écarquillèrent à la vue de la fine bande de tissu noir qui découvrait de plus en plus ses tétons et.... je sentis la lame du sécateur s'enfoncer dans ma paume !

-- Ahhhhhhh ! » hurlai-je.

-- Léo ! » demanda Victoria en se levant brusquement de son fauteuil. « Qu'est-ce qui t'arrive ?

-- Rien Madame, je me suis juste blessé avec le sécateur. » répondis-je piteusement. «  C'est juste une petite égratignure de rien du tout.

Bon en fait la blessure commençait à saigner et à me piquer sérieusement.

Ça nique sa mère putain !

-- Je retire ce que j'ai dit à propos de tes progrès... Laisse-moi voir. » dit-elle en arrivant à ma hauteur.

Victoria attrapa ma main et inspecta la blessure. Elle demeura étrangement silencieuse.

-- Madame... Tout va bien ?

Elle leva les yeux vers moi, l'air absente.

-- Oh... » Elle cligna des yeux, comme si elle retrouvait ses esprit soudainement. « Oh euh oui, oui, pardon... Tu devrais venir avec moi, il ne faut pas que la blessure s'infecte.

-- Merci mais je ne pense pas que ce soit nécessaire. C'est juste une petite coupure de rien du...

Un élancement irradia de la plaie, et je grognai.

-- Ça à quand même l'air d'être plus qu'une petite coupure. Tu n'imagines pas le nombre de blessures que j'ai vues s'infecter au cours de ma longue existence.

-- Oh, je n'en doute pas mais... »

Elle haussa un sourcil élégant et m'interrompit.

-- Ce n'est quand même pas le désinfectant qui te fait peur ?

-- Non, non non...

-- Bien, alors arrête de te comporter comme un enfant et suis-moi. » dit-elle en se dirigeant vers sa maison. « Je n'ai pas toute la journée Léo... Et puis, tu n'as pas encore fini tout ton travail pour aujourd'hui.

Victoira se retourna et je lui emboitai le pas. Elle me conduisit jusqu'au salon.

Je suis dans la gueule du loup ou plutôt... De la vampire !

-- Là, installe-toi sur se canapé. » dit Victoria. «  Je reviens avec le désinfectant.

Je lui obéis, contemplant ma main ensanglantée.

-- Oh mais vous savez, je pense vraiment que ça n'est pas nécessaire et puis je suis vacciné...

-- Tu oses me mettre en doute ? » m'interrompit sèchement Victoria.

-- Aïe, désolé madame Acula » répondis-je rapidement.

-- Je sais bien que la médecine humaine a fait des progrès depuis le Moyen-Age, mais les petits primates tels que toi demeurent des créatures mortelles et une blessure comme ça peut vite s'aggraver » dit-elle d'un ton sans réplique. « Alors attends moi ici. Comme je disais, je vais revenir avec les médicaments.

J'étais assis sur le canapé du salon de madame Acula. J'appuyai sur la plaie pour éviter d'en mettre partout sur le carrelage. Je jetai un coup d'oeil à la pièce à la fois sobre et luxueuse autour de moi pour me distraire. Il faisait vraiment forte impression cet endroit.

Puis mon attention fut attirée par le fameux fauteuil en cuir noir que je distinguai dans sa chambre. Ahlala, j'avais encore des souvenirs très vifs de ce fauteuil. Madame Acula en sous-vêtements était tout simplement irrésistible, même si j'imaginais que cela devait faire partie du charme légendaire des vampires. Il était difficile de ne pas laisser mes pensées dériver vers ses jambes interminables, ses seins sensationnels, ses lèvres pulpeuses, et à la manière dont elle semblait toujours un peu flirter avec moi quand elle me parlait.

-- Plus qu'un peu même...

-- Plus qu'un peu quoi ? » demanda Victoria.

Je sursauta en la voyant brusquement de l'autre côté de la pièce, une petite trousse à pharmacie à la main.

-- Oh euh pardon... Je divaguai.

-- Ah oui ? Moi tu me semblais pourtant concentré sur quelque chose de bien précis. » dit-elle en s'approchant, roulant ces hanches de manière presque féline, carnassière.

-- Euh... Je pensais... au jardin ! Et je me disais que... Qu'à cause de ma blessure il me restait encore un peu de trucs à faire, plus qu'un peu même !

Espèrons qu'elle gobe cet énorme bobard !

Elle posa la petite trousse blanche sur la table basse et s'assit près de moi,

croisant ses longues jambes interminables.

-- Je ne doute pas que tu aurais pu terminer le travail aujourd'hui, mais ne t'en fais pas, tu pourras finir demain, tu as déjà bien avancé. Comme on dit chez les vampires, dans la non-vie il n'y a que deux certitudes : l'imprévu, et les battements de coeur. Ils ne mentent jamais, contrairement à leur propriétaire...

Glups !

-- Hé bien, je...

-- Occupons nous de cette vilaine blessure avant qu'elle ne devienne un vrai problème, d'accord ? » m'interrompit-elle à nouveau en prenant ma main blessée entre les siennes. «  Désolée pour le délai, je ne savais plus où j'avais mis ma trousse » poursuivit-elle en observant la plaie. « Comme tu peux l'imaginer, j'ai rarement besoin de médicaments.

-- Merci encore Madame Acula.

-- Pas de souci Léo. » Elle reposa ma main sur mon genoux et commença à farfouiller dans sa trousse. « Ça me donne aussi l'occasion de pratiquer un peu les premiers soins.

-- Content de vous être utile !

-- Par contre je vais te demander d'enlever ton t-shirt. » continua-t-elle sans me regarder. «  Il y a du sang dessus et je ne voudrais pas que tu salisses le canapé.

-- Oh pardon, je n'y avais pas pensé ! » dis-je en m'exécutant.

-- Ce n'est pas grave. J'aurais dû te le demander plus tôt. » Elle injecta un peu de produit sur une compresse et se tourna vers moi. «  Je tiens à ce que ma maison reste parfaitement propre. Aseptisée, pourrait-on dire.

-- Oui, vous avez vraiment une chouette maison madame Acula !

-- C'est bon Léo on est entre nous maintenant, tu m'appeler Victoria.

-- Hé bien vous avez vraiment une chouette maison Victoria !

-- Merci, par contre que les choses soient claires. » Son expression se durcit d'un coup et son regard sembla me transpercer. «  C'est seulement quand on est tous les deux que tu peux m'appeler comme ça, et seulement si je te juge digne de cet honneur.

Glups !

-- C'est noté !

-- Bien ! Maintenant voyons un peu cette vilaine blessure... » dit-elle en prenant à nouveau ma main dans la sienne.

-- Faites vite s'il vous plait !

-- Pas besoin de me supplier. Enfin, pas encore...

Hein ? Pas encore ?

Mon cerveau tournait à plein régime. Pas encore ? Mais qu'est-ce que ça voulait dire ? Je pris alors conscience de ma situation : seul, avec une vampire et ma main qui pissait le sang. Les discours de ma mère me revinrent en tête. Je ne savais pas si je pouvais lui faire confiance. Nerveux, je bougeai un peu sur le canapé.

-- Reste tranquille s'il te plaît.

-- Excusez-moi Victoria.

-- Tu peux aussi arrêter de t'excuser tout le temps. Surtout que tu n'as transgressé aucune règle, pour l'instant...

Elle m'envoyait des signaux, c'était évident. J'avais l'impression d'être une pauvre petite mouche bien juteuse prisonnière d'une toile d'araignée.

-- D'accord Madame euh... Victoria ! Excusez-moi. Euhhh. Bon ok, je me tais.

-- C'est sans doute mieux comme ça, oui.

Elle attrapa ma paume et je vis ses pupilles se dilater alors qu'elle fixait ma main.

-- Je ne sais pas si on te l'a déjà dit, mais ton sang à un arôme incroyable... »murmura-t-elle, comme absente. « C'est... difficile d'y résister. Je me sens déjà en était d'ébriété avant même de l'avoir goûté... » Une goutte de sang dégoulina de ma paume comme au ralenti et atterrit sur le carrelage. « Une goûte » murmura-t-elle en la regardant tomber. «  Une seule goûte... Juste une seule goûte...

Merde, on dirait vraiment qu'elle...

-- Oh, je perds la tête ! » s'exclama-t-elle. « Une seule goûte et je....» Elle passa un de ses doigts sur ma blessure et le suça dans sa bouche, les yeux fermés. «Mmmhhh...

Elle était super sexy comme ça. J'avais bien entendu dire que le sang humain était comme une drogue pour les vampires mais, est-ce que c'était ça qui l'excitait à ce point ?

-- Ah, mad....

Elle venait d'attraper ma main et la lécha lentement. L'instant d'après, elle était à califourchon sur moi.

Oh mon Dieu ! C'est complètement en train de partir en sucette !

Elle me regarda, un grand sourire presque carnassier sur le visage. Ses crocs étaient de sortie.

-- Mmmmmh... » Elle prit ma main et la lêcha nouveau. Au même moment, elle enfonça ses ongles dans mon torse et traça trois sillons profonds qui commencèrent à saigner.

-- Victoriaaaaaah ! Dou... Doucement !

La situation devenait totalement incontrôlable ! Qu'est-ce que je devais faire ? M'enfuir ou me laisser aller complètement ? Elle passa sa langue sur ma blessure, continuant à la lêcher en poussant des petits bruits si sexy !

Mon Dieu ! Je n'aurais jamais cru que sa langue aurait pu me procurer autant de plaisir.

-- Oh mon Dieu! » haletai-je, puis je me sentis rougir.

-- Hmm » ronronna-t-elle dans mon oreille. « J'aime cette réaction, mais je pense que ça sonnera encore mieux quand tu le diras pendant qu'on baisera. 

-- Madame...

-- Victoria » me corrigea-t-elle.  Se penchant juste assez en arrière pour me regarder dans les yeux, elle posa ses mains sur mes bras. « Qu'est-ce que je t'ai dit tout à l'heure ? On est entre nous maintenant, tu peux m'appeler par mon prénom. » 

Oh mon Dieu! Mon esprit tournait à toute allure, ma voisine sexy voulait me baiser!

Elle me fit un clin d'œil puis fit mine de faire courir sa langue rose sur ses lèvres rouges et sur ses crocs. Ses seins se pressaient contre moi et j'étais parfaitement conscient de ses mamelons qui poussaient contre mon torse à travers son bikini. Ne sachant pas quoi faire, je gardai mes bras à mes côtés. Une partie de moi voulait la toucher, mais un reste de conscience me restait et me disait que ce serait mal.

Oh, et puis merde! Je veux la baiser depuis tellement longtemps!

-- C'est tout ce que tu trouves à dire  ? Tu donnes ta langue au chat? Ou peut-être que tu préférerais la donner à ma chatte?

-- Ah ! Oui !

-- Oui quoi, Léo ?

-- Je veux faire tout ça, s'il vous plaît...

-- Mais on va faire tout ça, et plus encore! Cependant... » Elle se leva brusquement et me tourna le dos, se dirigeant vers sa chambre.

-- Quoi ?

-- Je tiens à te rappeler que ce n'est pas toi qui décide ici ! Rappelle-toi toujours qui tu es... » Elle ôta son soutien-gorge. « Où tu es... » Elle le laissa tomber à ses pieds. « Et à qui tu as à affaire, petit primate ! Et si tu allais te rafraîchir et que tu me rejoignais ? » me demanda-t-elle dans l'embrasure de la porte. « La salle de bain est à gauche. Hors de question qu'une créature supérieure comme moi couche avec un petit primate aussi crasseux.

-- O-oui madame...

Je n'arrivais pas à croire que ça soit vraiment en train de se produire. Tout était tellement incroyablement chaud ! C'était surréaliste.

Allez, pas de temps à perdre!

Je ne voulais pas faire attendre Madame Acula. Je passai rapidement dans la salle de bain pour me mettre un peu d'eau et chasser la sueur de mon corps, puis me présentai devant la porte de sa chambre.

C'est parti !

-- Madame Acula... ? » demandai-je en l'ouvrant.

-- Ah, Léo, enfin...

Madame Acula était étendue sur son lit, les jambes croisés derrière elle, dans le plus simple appareil. Je demeurai silencieux face à ce spectacle.

-- Hé bien qui a-t-il, tu as perdu toute ton énergie en marchant dans le couloir ?

-- Hé ben...

-- Oh ! Mais, qu'est-ce que tu as là, petit primate ? » Elle se leva de son lit et s'avança vers moi. Madame Acula était à quelques centimètres de mon corps, et passa sa main sur mon entre-jambe. « Mmmmh ? Quelque chose d'intéressant ? » Elle se pencha vers mon oreille et murmura. «  Qu'est-ce que tu aimerais faire Léo ?

-- Je... Je veux...

-- Dis-le.

-- Je veux... Te baiser...

-- Je ne t'entends pas. Dis-le plus fort.... Ne sois pas... » Ses doigts se resserèrent sur mon entrejambe. « Timide...

-- Aaaaah mais... Vi... Victoria, on... on ne peut pas!

-- Bien sûr qu'on peut.

-- Et mes parents?

-- Tu as l'intention de leur dire ? Parce que moi non.

-- Non, je veux dire, je... tu es sérieuse?

-- Je ne serais pas à poil en train de tenir ta bite si je ne l'étais pas. » C'était un bon argument. « Souviens-toi de ce que je t'ai dit Léo, il y a pas mal de choses ici qui ont grand besoin d'attention. Mes seins pour commencer. » Elle relâcha ma bite et les prit en coupe.

-- Ils sont... putain » murmurai-je, me sentant hyper idiot, mais je ne trouvais rien d'autre à dire.

-- Et ma pauvre petite chatte, ensuite. » Victoria appuya ses paroles en passant la main sur son ventre plat et sur le devant de sa culotte.

Elle émit un doux gémissement qui fit trembler ma bite maintenant complètement dressée.

-- Hmm, ça fait tellement longtemps que personne n'a caressé ma chatte, des siècles au moins... » Elle passa à nouveau sa main sur sa chatte avant de prendre doucement mon menton dans sa main. « Tu veux la faire ronronner, Léo?

Je commençai à parler, mais elle mit son doigt sur mes lèvres. 

-- N'essaye même pas de me faire croire le contraire. »

En reculant, elle leva les mains au-dessus de sa tête. Ce mouvement souleva ses seins à un angle encore meilleur et je pouvais sentir ma bite monter avec eux.

-- Tu aimes ce que tu vois, petit primate?

-- Eh bien, je....

-- Quoi? » Cette fois, elle posa ses mains sur mon torse et les passa lentement. « Tu vas me dire que tu n'y as jamais pensé?

-- Euh, peut-être. » dis-je doucement alors qu'elle commençait à faire courir ses ongles sur mon ventre.

-- Non, il n'y a pas de peut-être. » Elle secoua la tête. « Je sais que tu y penses tout le temps. Je parie qu'hier encore tu me matais par ta fenêtre, pas vrai Léo? » Je sentis la rougeur revenir sur mon visage. Se penchant vers mon oreille, elle continua. « Tu as bien profité du spectacle petit primate ? Il t'a plut ? Tu as caressé ta belle bite bien dure en pensant à moi ? Tu m'as imaginé en train de te faire des tas de choses sales  ?

 

Je sursautai quand elle sortit sa langue et attrapa le lobe de mon oreille. 

-- Tu pensais à moi en train de sucer ta bite? De me glisser dans ton lit et de te faire une belle pipe, puis de te laisser lécher ma chatte?

-- Merde. » C'était tout ce que je pouvais trouver.

--  Hmm, alors quoi ? » Elle soupira, son souffle chaud caressa mon cou alors que ma bite durcissait entre mes jambes. « Est-ce que je te chevauchai ? Est-ce que j'étais allongée, les jambes en l'air ? » Elle baissa la voix jusqu'à devenir un murmure sensuel. « Ou est-ce que c'est mon cul qui était en l'air et je te laissais me prendre comme une petite chienne?

--  Je... » Ses cheveux étaient sur mon visage et je pouvais sentir son parfum, elle collait sa joue douce contre mon cou et ses hanches me frôlaient. Ses mains remontèrent sur mon torse et je haletai quand elle caressa mes mamelons avec ses ongles