Week-End Avec Ma Soeur

BÊTA PUBLIQUE

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-- Oh mon Dieu. »

Je m'étranglai en voyant ce que ma soeur portait sous son vêtement : rien.

Anna était complètement nue et je regardais avec admiration ses gros seins ronds avec leurs beaux tétons roses. Ils étaient durs et je devais faire un effort surhumain pour ne pas me lécher les lèvres à l'idée de les prendre en bouche. Anna fit glisser le peignoir de ses épaules et, le jetant par terre, se leva à côté du lit.

Mes yeux passèrent de ses seins incroyables à son ventre plat et au renflement de ses hanches. Ils s'arrêtèrent à la petite touffe bien taillée de poils noirs entre ses cuisses lisses et pâles et mon cœur râta un battement en regardant la fente rose de sa chatte.

-- C'est encore mieux que dans tes rêves? » demanda-t-elle et en se retournant, me laissant l'observer par derrière.

Ses longs cheveux châtains ressortaient tellement bien sur la peau lisse de son dos et mes yeux contemplèrent la courbe de ses reins avant de s'attarder sur son cul bien arrondi. Anna avait des fesses fermes et athlétiques et je serrai les poings pour m'empêcher de tendre la main et de prendre son derrière en coupe. Elle écarta légèrement ses jambes et je relâchai un long soupir en voyant sa chatte me faire de l'œil par derrière. Anna se retourna pour me faire face.

-- Est-ce que tu aimes ça petit frère?

-- Est-ce que j'aime ça... » répètai-je bêtement alors qu'elle posait son genou sur le lit et se penchait vers moi. « Je... Anna...

Je ne savais pas quoi dire, tout ce que je savais, c'était que ma soeur était nue sur mon lit et m'offrait tout ce dont j'avais toujours rêvé. J'avais l'impression que mes yeux allaient me sortir de la tête alors que je parcourais son corps, et que je m'émerveillais de chaque courbe de son physique luxuriant. Mais il n'y avait pas que mes yeux qui prenaient des proportions folles; ma bite était en pleine érection en présence du corps incroyable de ma soeur.

-- Chéri? » m'interrompit Anna.

Chéri? Oh! Ça sonne tellement bien!

-- Anna?

-- Tu me veux depuis des mois et me voilà, ici même, sur ton lit. » Elle prit ses seins en coupe et les tendit vers moi. « Qu'est-ce que tu attends?

Anna releva son autre jambe et s'agenouilla nue devant moi. Elle relâcha ses seins et saisit le bord de mon t-shirt pour le relever. J'avais l'impression d'être dans un rêve. Je levai les bras et je la laissai le retirer. Anna posa ses mains sur mon visage et l'amena vers le sien en murmurant :

-- Avant d'en venir à toutes ces choses sales auxquelles tu penses depuis des mois, j'aimerais un baiser, juste un baiser. Est-ce que ça te dit?

-- Tout ce que tu veux.

-- Non mon chéri. » Anna se pencha plus près et me murmura à l'oreille. « Ce soir on fait tout ce que toi tu veux. Je te l'ai dit, Maxence, une grande soeur digne de ce nom est toujours là pour son petit frère...

Elle m'embrassa dans le cou juste en dessous de mon oreille, me faisant frissonner. Anna recula un peu et passa ses bras autour de mes épaules.

-- Allez, bébé, donne à ta vilaine sœur le baiser que tu mourais d'envie de lui donner »murmura-t-elle.

Anna ferma les yeux et écarta ses lèvres rouges et sensuelles, attendant que je l'embrasse. Mes yeux descendirent sur ses seins, se posèrent sur ses mamelons durs et je les regardai monter et descendre au rythme de sa respiration. Elle avait raison, qu'est-ce que j'attendais? Je posai mes mains sur ses hanches nues et Anna ronronna :

-- Et voilà », gardant toujours les yeux fermés, elle a ajouta. « Laisse tes mains explorer le corps de ta soeur, elle est toute à toi désormais...

Je glissai mes mains sur ses flancs, m'émerveillant de la douceur et de la chaleur de sa peau sous mes doigts. Quand j'arrivais au niveau de ses seins, mes paumes sur les côtés de sa poitrine couleur crème, je les serrai timidement. Anna ouvrit les yeux et prit mes poignets, guidant mes mains autour de sa taille.

-- Un baiser d'abord » dit-elle. « C'est tout ce que je demande, un doux baiser affectueux de la part de mon petit frère, et ensuite on fait tout ce que tu veux.

Cette fois, quand Anna captura mon visage dans ses mains, elle m'amena vers elle et ses lèvres se pressèrent contre les miennes. Je gémis au premier contact de ses lèvres douces et sensuelles et au début je ne lui rendis pas son baiser. A la place, je restai immobile pendant qu'elle faisait aller et venir ses lèvres le long des miennes.

Mes mains étaient sur son dos et je les faisais glisser de haut en bas, passant mes doigts sur sa peau lisse. Anna m'embrassa plus fort et cette fois je répondis en pressant mes lèvres contre les siennes.

Anna soupira doucement et noua étroitement ses bras autour de mon cou, m'attirant contre elle. Je gémis à la sensation de ses mamelons contre mon torse et de ses seins généreux coincés entre nous. Mes mains descendirent jusqu'au bas de son dos et à la courbe de ses fesses puis remontèrent jusqu'à ce qu'à ses longs cheveux, que je caressai tendrement.

-- Hmm » ronronna Anna lors de notre baiser en se balançant un peu contre moi, ses tétons glissant sur mon torse.

Je l'embrassai plus fort puis je haletai lorsque sa langue se glissa entre mes lèvres. J'hésitai, mais quand elle passa sa langue sur mes lèvres avec espièglerie, je les écartai pour elle. Je gémis quand sa langue entra dans ma bouche et dansa sur la mienne et je passai mes mains de haut en bas sur ses bras, savourant à nouveau sa douceur.

Je devins plus audacieux et je glissai ma langue dans sa bouche où elle la captura doucement entre ses dents et la suça. Je n'avais jamais ressenti ça auparavant et je réalisai alors que ma soeur était une amante bien plus expérimentée que moi. Une amante... ce mot résonnait dans mon esprit alors même que ses doigts couraient dans mes cheveux et, prenant l'arrière de ma tête, elle pressait plus fort ses lèvres contre moi.

J'embrassais ma soeur, ma soeur nue. Ses seins étaient pressés contre moi, sa langue était dans ma bouche et ma bite palpitait entre mes jambes. Ce n'était pas un rêve! J'allais vraiment l'avoir et pas seulement l'embrasser comme ça, mais lui faire tout, absolument toutes les choses sales et dépravées que j'avais vues en songes et sur OnlyFam!

Les mains d'Anna trouvèrent mes avant-bras et elle tira dessus. Je la laissai retirer mes bras de son dos et je poussai un soupir lorsqu'elle se recula et mit mes mains sur ses seins. Je gémis à la sensation de ses mamelons qui se pressaient dans la paume de mes mains et du poids de sa poitrine lorsque je la tenais. Je la pressai doucement et Anna soupira et poussa encore plus ses seins dans mes mains.

Je les abaissai pour que le bout de mes doigts soit sur ses mamelons et tandis que je les déplaçai en cercles lents, Anna gémit et retira ses lèvres des miennes en murmurant :

-- Hmm, c'est agréable, chéri!

Ma réponse fut noyée dans un faible petit cri lorsque ses lèvres trouvèrent mon cou et qu'elle commença à embrasser et à lécher ma peau sensible. Ses mains étaient sur mon ventre, bougeant d'avant en arrière, ses ongles me taquinaient et me faisaient sursauter alors qu'elle me chatouillait. Anna rit contre mon oreille et ma bite trembla à ce son si joueur et si sexy.

Anna passa sa langue sur mon oreille et haleta pendant que j'attrapais ses mamelons entre mes doigts et les roulais entre eux en guise de représailles. Les doigts d'Anna trouvèrent le bord de mon pantalon de survêtement et mon souffle se coupa lorsqu'une de ses mains se glissa à l'intérieur. Le bout de ses doigts passa dans mes poils pubiens et je me tendis en attendant qu'elle me touche plus.

Elle se pencha en arrière, mettant plus de distance entre nous et prenant un sein en coupe d'une main, tout en me caressant juste au-dessus de ma bite avec l'autre main, elle demanda :

-- Tu ne veux faire que ça petit frère? Tu veux juste les toucher?

-- Je... » Je m'arrêtai quand elle souleva sa poitrine et baissant la tête, elle lécha son mamelon. « Oh, la vache. » murmurai-je alors qu'elle suivait son aréole gonflée avec sa langue. Aucune fille avec qui j'avais été n'avait jamais fait ça ; bon sang, je doutais même qu'aucune ait des seins assez gros pour pouvoir faire un truc pareil!

-- Pour quelqu'un qui me désir maladivement depuis des mois, il te faut quand même beaucoup d'encouragements... » Anna me refit sa petite moue imparable, entre innocence absolue et chaudasse totale. « Qu'est-ce qu'il y a, chéri? Ta grande soeur n'est pas aussi belle que dans tes fantasmes?

Je la regardai lentement de haut en bas.

-- Anna, tu es encore plus sexy que dans mes rêves les plus fous.

-- Alors ne sois pas si timide mon chéri! Viens t'occuper de ta grande sœur.

Anna avança vers moi en tenant un de ses seins et mouillant mes lèvres, je baissai la tête. Anna relâcha sa poitrine et, en attrapant mes cheveux, poussa ma tête vers son sein. Je fus surpris de ce mouvement, mais à la seconde où son mamelon était proche de mon visage, j'ouvris la bouche pour le prendre et le sucer. En même temps, je gémis bruyamment quand ses doigts s'enroulèrent autour de ma bite. Surpris, je m'arrêtai avec sa chair succulente à quelques millimètres de ma bouche pendant qu'Anna caressait ma bite douloureuse dans mon pantalon.

-- Merde, tu es tellement dur... » soupira Anna. « Et bien épais! Hmm, on va vraiment bien s'amuser petit frère. Enfin, je ne peux plus vraiment te qualifier de « petit » devant un truc comme ça...

Elle serra ma bite et je sentis mon prépuce suinter et du liquide descendre le long de ma queue. La fois d'après, Anna me caressa en passa sa paume sur mon gland sensible et je gémis et je bougeai mes hanches instinctivement en réaction. Anna ria puis me caressa à nouveau ; sa main était maintenant glissante avec mon pré-sperme et elle était encore plus agréable alors qu'elle passait le long de ma tige rigide.

-- Oh Anna » gémis-je « C'est si bon...

-- C'est vrai » ronronna-t-elle. « Mais et moi, petit frère? Tu vas t'occuper de mes seins, ou il faut que ta soeur te supplie de le faire?

-- Je...

-- A moins que tu préfères qu'elle t'ordonne de le faire? C'est quoi ton fantasme, Maxence? Dis à ta vilaine soeur ce que tu veux et elle te le donnera! Elle est toute à toi ce soir.

Je soulèvai son sein jusqu'à mon visage, mes lèvres s'entrouvrirent pour sucer ce magnifique mamelon, mais je me figeai. Quelque chose n'allait pas. Quand j'hésitai Anna gémit :

-- S'il te plaît, bébé? S'il te plaît, suce les seins de ta grande sœur, ohhh... Je rêve que tu fasses ça depuis tellement longtemps!

Non, ce n'était pas vrai. Ma soeur n'avait jamais pensé à moi comme ça. Même alors qu'elle me caressait la bite, je sentis mon estomac se tordre alors qu'une horrible pensée me traversait l'esprit : Anna se forçait à faire ça, elle ne voulait pas vraiment de moi, elle essayait juste de m'aider.

Ma soeur allait consentir à ce que j'ai des relations sexuelles avec elle pour essayer de « me guérir ». Elle l'avait admis, mais je n'écoutais pas, j'étais aveuglé par le désir et par le fait que j'avais enfin une chance de coucher avec elle.

-- Ce n'était pas ce que tu voulais? » demanda Anna, une pointe d'inquiétude dans la voix. « D'accord, alors qu'est-ce que tu attends? » Elle attrapa une poignée de cheveux me faisant grimacer de douleur. « Suce les seins de ta soeur! » ordonna-t-elle.

Elle essayait de comprendre ce que j'aimais, de jouer le rôle dont j'avais besoin. Jouer un rôle. C'était la notion cruciale. Il n'y avait aucune envie réelle, elle faisait juste semblant. Ma soeur m'aimait tellement qu'elle franchissait une limite impensable pour m'aider. Même si je la désirais follement, je ne pouvais pas la laisser faire ça. Si on allait jusqu'au bout, demain ma soeur allait se sentir malade, peut-être même coupable, de ce qu'elle avait fait, et ce serait pire encore si sa tentative ne marchait pas et qu'elle me donnait encore plus envie d'elle.

-- Chéri? » Anna cessa de caresser ma bite.

-- Arrête! » m'exclamai-je si fort que je m'étonnai moi-même.

Attrapant son poignet, je retirai sa main de ma bite et alors qu'elle était assise là, abasourdie, je me rassis et, me penchant, j'attrapai son peignoir par terre.

-- Mets ça, s'il te plaît. » lui dis-je en mettant le peignoir dans ses mains.

Anna regarda le peignoir, puis leva les yeux vers moi, totalement déboussolée.

-- Qu'est-ce qui ne va pas, chéri, je pensais que tu avais envie de moi?

-- Je... oui, mais je, je... Pas comme ça, je... » Je secouai la tête. « Anna, je ne sais pas ce que je veux.

-- Tu me veux moi. » Elle ne fit aucun effort pour enfiler le peignoir. « Tu penses à moi depuis des mois, tu te masturbes en pensant à moi, et tu le fais même dans mes sous-vêtements, tu l'as avoué tout à l'heure. Et c'est pas grave, Maxence, je suis là pour te donner tout ça. » Elle me fit un sourire séduisant. « Pas la peine d'être nerveux, ta grande soeur va bien s'occuper de toi.

--Non. » Je tins bon. « Anna, s'il te plaît, remets tes vêtements.

Anna me regarda à nouveau et je jurai qu'elle avait l'air blessée. Soulevant le peignoir, je le remis sur ses épaules mais je ne le nouai pas. Le vêtement couvrait toujours la majeure partie de son corps et même comme ça, avec le tissu rose pâle sur elle et l'intérieur de ses seins et son ventre sexy exposés, elle était absolument sublime. Mais comme elle était assise sur les genoux, je ne pouvais pas bien distinguer sa chatte (et heureusement! ) même si je pouvais deviner la touffe de poils noirs au-dessus. Bon sang, j'avais vraiment un problème, j'étais excité alors même que j'essayais de la repousser.

Anna poussa un soupir. Elle avait toujours l'air blessée.

-- Je suppose que tu me trouves laide...

-- Anna, ce n'est pas ça. » lui dis-je. « Tu es magnifique et... » Je laissai échapper un long soupir. « Anna, tu es la femme la plus sexy que j'ai jamais vue.

-- Alors pourquoi tu ne veux pas de moi? » Elle fronça les sourcils et, à ma grande surprise, ses lèvres tremblaient, et sa voix se brisa. « Je suis désolée petit frère...

-- Pourquoi?

-- Parce que j'ai l'impression de t'avoir laissé tomber...

-- Hein? Mais non! » Je pris ses mains dans les miennes. « Anna, c'est de ma faute, la plupart des mecs, s'ils avaient surpris leur sœur en train de coucher avec quelqu'un, ils ne seraient pas restés écouter. Ce n'est absolument pas de ta faute! Tu es une soeur formidable, mais tu n'as pas à faire ça pour moi. Je ne veux pas que tu joues un rôle pour moi. C'est moi qui suis malade.

-- Et quand un garçon est malade, qui est mieux placé que sa grande soeur pour s'occuper de lui? » Elle me serra les mains. « Tu as envie de moi Maxence, et ça me va.

-- Mais toi tu ne veux pas de moi. » fis-je remarquer. « Tu le ferais juste pour moi et tu te sentirais mal à cause de ça et je t'aime Anna. Je t'ai déjà fait assez de mal comme ça, je ne veux pas te blesser d'avantage.

-- Petit frère, c'est... » Anna se pencha et m'embrassa sur la joue, j'étais conscient que le peignoir était grand ouvert, mais je gardais mes yeux sur son visage. « Tu es tellement gentil, petit frère et je ne pourrais jamais être en colère contre toi. Et je veux que tu aies ce que tu désires.

-- Anna, j'ai envie de toi, mais je t'aime plus que je ne te désire. » déclarai-je alors même qu'une petite voix malade dans mon esprit me criait que j'étais fou de la rejeter. Mon Dieu, elle était tellement belle et elle était tellement bien, là, à demi-nue sur mon lit!

-- Papa et maman ont vraiment élevé un mec bien. » dit doucement Anna. « Et la façon dont tu dis ça... » Elle déglutit et je fus surpris de voir qu'elle avait l'air nerveuse. « Maxence, ça me donne encore plus envie de faire ça.

-- Quoi? Non, tu ne veux pas... » protestai-je, mais elle me fit taire en posant un doigt sur mes lèvres.

-- Max, tu refuses parce que tu ne veux pas que je me force mais... si je te disais que c'était pour moi autant que pour toi?

-- Comment ça? » demandai-je, luttant toujours pour garder mes yeux sur son visage.

Elle baissa la tête, puis ria :

-- Merde, j'étais à poil, avec ma main dans ton pantalon et tu jouais avec mes seins et pourtant j'ai du mal à dire ça. » Elle leva les yeux vers les miens et continua : « Tu te souviens quand maman m'a engueulée parce qu'elle m'a attrapée avec une culotte pleine de sperme? » admit-elle. « Hé bien en fait... je l'enfilais.

-- Quoi?

-- Je la mettais. Je suis rentrée de la fac en début d'après-midi et comme je savais que tu étais à la maison, dès que je suis entrée dans ma chambre, j'ai vérifié mon panier de linge. Bien sûr, j'y ai trouvé la culotte que j'avais mise la veille dégoulinante de ton sperme » chuchota-t-elle. « Honnêtement Max, on aurait dit que tu t'étais retenu depuis une semaine, elle était complètement remplie. Je pense que je n'ai pas été loin de t'attraper parce que c'était encore tout chaud, tu venais sous doute juste de le faire.

-- Mais... pourquoi tu l'as enfilée?

-- Honnêtement, je ne sais pas, mais c'était plus fort que moi. Tout ce que je savais à ce moment-là, c'était que je devais la mettre, tout de suite. J'ai relevé ma jupe et enlevé ma culotte, puis j'ai enfilé celle qui était pleine de ton sperme. Tu n'imagines pas à quel point je me sentais sale et dépravée, mais je ne pouvais pas m'arrêter. J'étais comme...possédée » déclara-t-elle.

-- Ouah.. Je n'aurai jamais cru! » Je ris.

Elle rit aussi.

-- C'était incroyable Maxence. J'étais complètement obsédée par la sensation de ton sperme encore chaud qui frottait contre ma chatte et je savais que je devais faire quelque chose »roucoula-t-elle en se souvenant de la sensation.

-- Tu t'es masturbée?

-- J'étais sur le point de le faire. Je frottais le tissu de haut en bas sur ma chatte et je n'arrêtais pas de tirer la culotte vers le bas et vers le haut pour voir le bordel que ça faisait. C'est là que j'ai réalisé que ma porte était entrouverte et que maman était là, le visage blême...

-- Ouah » murmurai-je, ma bite me faisant à nouveau mal à force de l'écouter parler.

-- Merde, je sais que c'est mal, mais c'était tellement excitant.

-- Vraiment? » demandai-je.

Elle est sérieuse?

Anna posa sa main sur ma joue et je frissonnai à son contact.

-- Maxence, ce que j'essaye de te dire, c'est que si tu es un gros pervers hé bien... Tu es en bonne compagnie. Donc... ça nous ferait beaucoup de bien à tous les deux. Tu auras ce que tu veux et moi aussi. Est-ce que c'est bien? Non, mais on a déjà dépassé le point de non-retour depuis longtemps. Je te propose d'aller au bout pour vraiment surmonter ça ensemble. Est-ce que c'est correct vis-à-vis des parents? Non, mais ils ne le sauront jamais, Maxence. Ça restera entre nous, un sale petit secret entre un frère et sa sœur.

Elle se pencha et ses lèvres effleurèrent doucement les miennes, son autre main tombant entre mes cuisses, pressant ma bite à travers mon pantalon.

-- Tu as envie de moi, et j'ai vraiment besoin de ça, Maxence. Tous les deux, on peut vraiment s'amuser. Laisse moi t'aimer petit frère. »La langue d'Anna passa sur mon oreille et elle continua dans un murmure sensuel. « Quand tu pensais à moi, tu pensais à cette femme sexy qui se faisait baiser dans sa chambre, hein? Tu ne veux pas d'une gentille grande soeur, hein petit frère? Non, toi tu rêves de cette salope que tu as entendue l'autre jour. Tu veux que ta soeur soit ta mauvaise fille et je ferai tout ça pour toi. Et toi Maxence? Tu es prêt à être un mauvais garçon avec ta grande sœur?

-- Je... oh, putain. » Je gémis quand elle enleva de nouveau le peignoir d'une main tout en glissant sa main dans mon pantalon pour serrer ma bite gonflée. « Tu le veux vraiment?

La réponse d'Anna fut de me pousser contre la tête de lit, d'attraper mon pantalon de survêtement et de le tirer sur mes hanches. Ma bite se libéra et je gémis quand elle l' attrapa et la serra assez fort pour faire jaillir le pré sperme de la pointe.

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