Week-End Avec Ma Soeur

BÊTA PUBLIQUE

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Alors que je me tenais là, bouche bée et ma bite palpitant dans mon point, je remarquai qu'il n'y avait pas de lignes de bronzage sur sa poitrine. Donc elle faisait sûrement ça chaque fois qu'elle pensait être seule à la maison, la petite coquine! Enfin non, techniquement, elle ne pouvait être une coquine que si quelqu'un la regardait. Mais, si elle ne voulait pas de lignes de bronzage sur ses incroyables seins c'était bien qu'elle avait l'intention de les montrer à quelqu'un, non? Qui pouvait donc être le petit chanceux en question? À ce moment-là, en tout cas, c'était sûr que c'était moi, son petit frère!

Le spectacle s'améliora encore d'un cran lorsqu'elle reprit la bouteille d'huile et aspergea un peu de produit sur chacun de ses seins. Elle posa ses mains sur ses seins et y massa l'huile. Un frisson me traversa quand ma main passa sous mon frein et mon esprit enflammé imaginait Anna, cambrant son dos et gémissant de plaisir pendant que je lui suçais un téton, puis l'autre.

-- Ooooh Anna...» gémis-je, alors que la sensation fluide et spongieuse venant de ma bite lubrifiée fusionnait avec l'image mentale.

Elle caressait ses seins, ouai, c'était le bon mot. Il y avait plus qu'un soupçon de sensualité dans sa manière de les toucher, Anna ne les frottait pas rapidement, elle prenait son temps, massant et cajolant ses seins, et la façon dont elle glissait ses mains sous sa poitrine et la poussait plus haut me donnait l'impression qu'elle faisait comme si elle exhibait ses seins à une audience. Mais à ce stade, avec mon poing bougeant frénétiquement sur ma bite douloureuse, peut-être que je me faisait un peu des films. Je réussis à détacher mon regard de ses seins pour voir que ses yeux étaient fermés et ses lèvres entrouvertes, comme si elle poussait des soupirs. Trop, c'était trop.

Ses lèvres, ces lèvres de suceuse absolument parfaites, bougeaient maintenant comme si elle gémissait et sous ses mains, ses seins luisants montaient plus haut à mesure que sa respiration devenait plus lourde. Elle avait l'air super sexy comme ça, et j'imaginais facilement cette expression sur son visage quand quelqu'un lui faisait l'amour, ou quand elle se lécher sa chatte.

Mes yeux retournèrent vers sa poitrine, et avec ses mains maintenant de part et d'autre de ses seins, j'avais une vue imprenable sur ses mamelons, ou je l'aurais eu si je n'avais pas été si loin.

J'attrapai alors prestement mon téléphone avec ma main gauche, la droite caressant toujours ma bite dans l'écrin de sa culotte et allumai l'appareil photo. Je le pointai vers le bas, puis je zoomai tant bien que mal d'une main afin de pouvoir regarder de plus près. Les mamelons d'Anna étaient minuscules par rapport à la taille de ses seins et d'un rose tout mignon qui allait merveilleusement bien avec la chair légèrement bronzée de sa poitrine. Même l'aréole autour de ses mamelons avait une teinte rosée que je trouvais absolument succulente. Ses doigts fins glissèrent le long de ses mamelons, les serrant. Mon doigt trembla, prenant une photo, puis une autre lorsqu'elle pinça ses mamelons entre ses pouces et ses index.

Elle les fit rouler, puis tira dessus et je poussai un léger gémissement en me caressant. Le téléphone trembla dans ma main gauche, mais je continuai à regarder l'écran pour mieux la voir.

Une main d'Anna glissa de sa poitrine jusqu'à son ventre. Ma main bougea plus vite sur ma bite lorsque ses doigts atteignirent le bord de son bikini. Un autre gémissement m'échappa lorsque sa main passa entre ses jambes écartées, frottant sa chatte à travers le tissu du maillot de bain. Ses hanches se balançaient maintenant, et elle laissa tomber ses jambes de la chaise longue, posant ses pieds sur le sol et écartant ses cuisses plus largement. Lorsque l'autre main d'Anna entra dans l'écran et tira le bikini sur le côté, mon portable faillit m'échapper. Les doigts d'Anna glissèrent entre ses jambes, frottant d'un côté à l'autre, et j'appuyai rapidement sur le bouton rouge en bas de mon écran, pour filmer ma sœur en train de se caresser.

Ses hanches bougèrent plus vite et ses seins se soulevèrent. Anna laissa sa tête retomber et ses lèvres bougèrent comme si elle se parlait à elle-même pendant un orgasme, ou peut-être simplement qu'elle gémissait. De mon côté, j'augmentai la vitesse de mes mouvements en regardant ma sœur se masturber!

Non, elle n'était pas simplement en train de se masturber, elle était en train de masturber... en plein air au milieu de notre jardin! Je jurais que je n'avais pas été aussi dur depuis des mois. Je pouvais sentir ma bite palpiter à travers le tissu pendant que je continuais à la détruire frénétiquement.

En dessous de moi, Anna n'avait jamais été aussi belle : son jeune corps athlétique luisait à cause de l'huile, ses magnifiques seins étaient à découverts et ses doigts étaient occupés entre ses jambes. Sa bouche s'ouvrit, formant un large O, et ses hanches se soulevèrent, s'élevant de la chaise à la rencontre de ses doigts. Son corps tout entier se tordait, se tortillant d'un côté à l'autre alors que ses pieds quittaient le sol, ses jambes se redressant, les pieds pointés vers l'avant. Je pouvais à peine distinguer ses gémissements aigus et ses sons de plaisir alors qu'elle jouissait juste sous ma fenêtre.

-- Aaah Anna, t'es tellement sexy putain...

Je me branlai furieusement maintenant, imaginant que le tissu doux et soyeux était la chair encore plus douce et soyeuse de ma sœur. Je l'imaginais assise sur moi ; me chevauchant sensuellement, sa queue de cheval se balançant derrière elle, mes mains sur sa belle poitrine, caressant ses tétons roses. Je gémissais alors que mon imagination se déchaînait ; je la voyais se retourner pour me permettre de regarder ma bite glisser dans et hors de sa chatte pendant que je jouais avec son cul incroyable.

-- Oh ouais » chuchotai-je dans la pièce vide. « C'est ça grande sœur, chevauche ma bite. Montre-moi la grosse salope que tu caches au grand jour!

Je l'avais prise tellement de fois maintenant dans mes séances de masturbation que je me demandais parfois si je devais changer le scénario de mes petits rêves pornographiques, mais je ne pouvais pas. Je voulais recréer le fantasme d'être son amant encore et encore, je me voyais rentrer et étirer sa chatte serrée, douce et soyeuse, tout en imaginant les cris de plaisir d'Anna.

J'imaginai son joli visage déformé par la luxure puis illuminé par un orgasme surpuissant alors que je la pompais avec ma viande jusqu'à ce qu'on jouisse tous les deux et que je vide mes couilles dans la chatte de ma sœur.

-- Si tu n'oses pas te comporter comme une star du porno avec les mecs parce que tu as peur des représailles, tu peux l'être avec moi. Ton petit frère te laissera être aussi sale que tu veux.

Quelque part dans mon esprit, j'étais conscient que c'était pathétique. Je ne valais pas mieux que ces « frères » idiots dans ces pornos frères-soeurs sur OnlyFam, mais c'était un des scénarios qui m'avaient le plus fait fantasmé ces deux derniers mois : ma sœur frustrée et affamée de sexe en avait tellement marre qu'elle venait voir son petit frère pour satisfaire ses besoins charnels. Je lui donnerais exactement ce qu'elle voudrait, je serais un bon frère qui laisserait sa grande sœur être une grosse coquine.

Je m'imaginais alors prendre ma sœur en levrette. Rien d'extraordinaire ; juste moi qui la martelais fort et vite par derrière pendant qu'elle couinait et jappait. Je pensais à donner une fessée à ces belles fesses rondes et à les regarder trembler avec une belle empreinte de main rouge dessus. Je gémissais et enfonçais mes hanches dans la culotte alors que dans mon fantasme je pilonnais ma sœur comme une pute à prix cassé ramassée dans un bar. Je sortais ensuite ma bite et elle se retournait sur le dos, soulevant ses seins et me les donnant en offrande pour que je leur laisse une grosse décharge bien chaude, la première giclée tombait sur son visage, juste sur sa bouche de salope et elle la léchait de ses lèvres pendant que son propre frère jouissait sur elle...

-- Oooh putain... Oh Anna!... Je t'aime Anna... Ooooh Annaaaaaah...

Mon orgasme était proche, je pouvais sentir mes couilles commencer à se se serrer alors que j'agitai mon poing de plus en plus vite, prêt à cracher sur l'image mentale du visage de ma sœur baignant dans mon jus, son beau visage me souriant, ma bite explosant partout sur elle, tandis que dehors elle continuait de se masturber.

Je serrai ma bite plus fort et glissai la culotte sur mon gland avec mon pouce tout en continuant à me réciter mon dernier fantasme incestueux. Mon cœur battait d'une satisfaction éphémère alors que je me perdais un instant dans cette image impossible pour bientôt me dissoudre dans l'amère frustration de la réalité. Dehors, le corps d'Anna se relâcha et ses pieds retombèrent sur le sol. Ses beaux seins tremblaient à cause de sa respiration lourde et ses yeux s'ouvrirent, fixant le soleil. Elle retira ses doigts d'entre ses jambes et, sans hésitation, les mis dans sa bouche.

-- Oh putain! »

Je gémis lorsque ma bite éclata, remplissant la culotte de ma sœur de la charge que j'imaginais actuellement couler sur son menton, ses joues et son front. Vas-y bébé. l'imaginais-je en train de m'encourager. Donne un soin du visage à ta grande sœur!

Elle prenait ensuite le relais, saisissant ma grosse bite dans sa main gracieuse et me branlant, poussant mon gland plus près d'elle et faisant sortir les dernières gouttes qui, en réalité, dégoulinaient maintenant dans sa culotte désormais saturée et collante.

Et ma bite explosa à nouveau, envoyant un long jet de sperme s'écraser sans grâce contre le mur en face de moi. Je pompais ma bite furieusement, l'imaginant plonger entre les cuisses de ma soeur alors qu'elle bougeait ses hanches pour me répondre. Je reculai d'un pas, mais continuai à me branler, aspergeant maintenant de sperme le mur sous ma fenêtre alors même que je me réprimandais intérieurement d'être aussi pathétique.

Une fois rassasié, je relâchai ma bite puis je jetais à nouveau un coup d'oeil dehors. Les jambes d'Anna étaient de retour sur la chaise longue alors qu'elle était immobile, ses seins montaient et descendaient au rythme régulier de sa respiration alors qu'elle était allongée, détendue et somnolente à cause de ses orgasmes. Je pris deux autres photos d'elle seins nus.

J'essuyai mon visage maintenant en nage et il me fallut un moment pour que ma propre respiration ralentisse. Je contemplai le téléphone dans ma main. Juste au moment où je pensais que je ne pouvais pas tomber plus bas, je venais de prendre des photos de ma sœur seins nus et de faire une vidéo d'elle en train de se masturber! Et le pire, c'était que je savais que non seulement je ne les supprimerais jamais, mais aussi que je regarderais probablement la vidéo à plusieurs reprises! Je jetai un dernier regard à Anna et je secouai la tête alors qu'elle parvenait à me donner un frisson supplémentaire.

Elle s'assit et leva les bras, attacha ses cheveux en chignon, me donnant une autre superbe vue de ses seins et du fait que la gravité avait peu ou pas d'effet sur eux. Anna se leva de la chaise pour s'allonger, cette fois à plat ventre. J'admirai son dos lisse et pâle, l'arrière ferme de ses longues jambes et la courbe alléchante de ce cul totalement divin.

Bon sang, pourquoi pas?

Je pris deux autres photos, puis je remis le téléphone dans ma poche.

Je m'éloignai de la fenêtre et je sentis une vague d'épuisement m'envahir. J'avais joui fort et toute l'expérience m'avait laissé un sentiment surréaliste mais étrangement satisfaisant. Ce frisson voyeuriste était la seule expérience sexuelle que j'aurais avec ma sœur et c'était bien plus fou que ce que j'avais imaginé. Et le mieux, c'est qu'elle ne le saurait jamais!

Me sentant comme un gamin qui venait de s'en tirer après une grosse bêtise, je ne pus retenir un sourire triomphal. Dire que la journée avait été bonne eut été un euphémisme. Las, j'avais eu envie d'un petit frisson en matant ma soeur en bikini et j'avais pu la filmer entrain de se masturber! Mon sourire s'effondra lorsque je remarquai le carnage sur le mur.

Avec un soupir dégoûté, j'attrapai un t-shirt sale et j'essuyai le sperme qui dégoulinait tout du long. J'avais l'impression d'être en train de maquiller une scène de crime. Toutes les traces de mon méfait effacées, je poussai un long soupir et éloignai délicatement la culotte trempée de ma bite. Je la roulai soigneusement en boule, m'allongeait sur le lit, posant l'objet du délit sur le lit à côté de moi. Je restai là, reprenant mon souffle.

Je n'essaierais pas de la remettre dans le panier de ma sœur immédiatement, parce que la dernière fois, j'avais failli me faire griller. Je n'avais pas tout entendu mais je savais que maman avait surpris Anna avec une culotte pleine de sperme et l'avait monstrueusement sermonnée, lui hurlant qu'elle avait le droit d'être sexuellement active mais qu'il fallait qu'elle fasse attention à se protéger. J'avais eu très très chaud ce jour-là, mais comme elle était en couple avec Steve à l'époque, c'était lui qui avait porté le chapeau. C'était bien la première fois que ce connard servait à quelque chose.

Bref, au lieu de la déposer toute souillée dans son panier et de susciter des interrogations, je la laverai avec mon propre linge, la sécherai, puis la jetterai dans son panier quand elle ne serait pas à la maison. Ni vu ni connu! Je souris en repensant au commentaire de maman la semaine dernière, comme quoi j'avais l'air de faire ma lessive tous les deux jours, alors qu'habituellement elle devait me crier dessus pour que je me bouge. Elle m'avait même dit qu'elle était fière de moi. Ah, si seulement elle savait!

Je fermais les yeux et commençais à sombrer dans une espèce de torpeur satisfaite lorsque j'entendis la poignée de la porte cliqueter. Mes yeux s'écarquillèrent lorsque cette tentative fut suivie de deux coups forts sur le bois de la porte.

-- Ouvre Maxence!

Merde, comment elle sait que je suis là?

-- Une minute, grande sœur!

Je rentrai ma bite encore dégoulinante dans mon jean, je sautai de mon lit, et fermai ma fermeture éclair. Je regardai la culotte sale et après quelques secondes de panique, je la planquai sous mon oreiller.

J'ouvris la porte à ma sœur qui se tenait là, vêtue de son bikini bleu pâle, ses longs cheveux noirs un peu assombris à cause de l'eau. Je fus aussitôt assailli par son parfum et je réalisai à nouveau qu'il s'agissait d'une odeur parfaitement innocente mais désormais irrémédiable entaché de mon désir déplacé.

-- Tout va bien? » demandai-je.

-- Pourquoi ta porte était fermée?

Pendant qu'elle parlait, je ne pus m'empêcher de laisser mes yeux tomber et de reluquer la moitié intérieure de ses seins. Je notais également, comme à de nombreuses reprises depuis que je voyais ma sœur d'une toute nouvelle manière, que même sans maquillage et avec les cheveux en désordre, elle était vraiment une superbe femme. Ses grands yeux bleu ciel étaient les plus beaux joyaux d'un visage magnifique qui me rappelait parfois Angelina Jolie. Même sans rouge à lèvres pour les accentuer, les lèvres d'Anna étaient toujours pleines et sensuelles, ce qui donnait à son sourire une allure que mes parents trouvaient adorable mais qui me faisait toujours songer que ces lèvres seraient bien mieux employées à sucer ma...

-- Alors?

-- Désolé. » J'allais devoir faire un peu plus gaffe avec mes petits fantasmes éveillés moi. Jamais ma sœur n'irait imaginer un jour que je la regardais de cette façon, mais elle n'était pas non plus stupide, et si je me faisais surprendre à la reluquer trop souvent, elle pourrait en venir à se poser des questions. « Je suis rentré un peu tôt et je faisais juste une petite sieste.

-- Et tu devais verrouiller la porte. »

Elle avait les mains sur les hanches et ressemblait un peu à maman quand elle était énervée. Je sentis une boule se former dans mon ventre. Quelque chose de grave était en train de se produire.

-- Je pensais juste, euh...

-- C'est bon Maxence, arrêtes tes conneries. » Anna me désigna d'un index accusateur. « Tu l'as mise où?

-- Quoi? » La boule se mua en coup de poing. « Euh, de quoi tu parles?

-- Ne fais pas l'imbécile Maxence! » Anna força le passage et entra dans ma chambre, regarda mon bureau, puis, à mon grand désarroi, se dirigea vers mon lit. « Ma culotte, où est-ce qu'elle est?

-- Ta... » Je déglutis nerveusement en la suivant jusqu'au lit, puis, faussement indigné, j'ajoutai : « Pourquoi est-ce que j'aurais tes sous-vêtements?

Anna se tourna vers moi, ses mains posées sur ses hanches et son pied nu tapotant sur le sol. Ses yeux bleus, habituellement grands et doux, lançaient des éclairs et elle avait l'air de fulminer. J'avais visiblement atteint un point de non-retour car j'avais beau être effrayé, je me retins à la dernière minute de lui dire « tu sais, t'es super sexy quand tu es en colère ».

-- Max, soit tu me la donnes, soit tu restes assis là pendant que je fous en l'air ta chambre comme papa quand tu planquais de l'alcool.

-- Anna!

-- Avant que tu te décides, je te rappelle que maman et papa seront bientôt là. Tu veux qu'ils viennent ici et demandent ce que je fabrique?

Nos regards se croisèrent et sentant mon visage rougir de honte, je détournai les yeux et murmurai :

-- Sous l'oreiller...

Anna hocha la tête et, retournant mon oreiller, ramassa la culotte en boule. Elle fronça les sourcils lorsqu'elle l'attrapa puis, alors que je me tenais là à me sentir comme un gamin stupide sur le point d'avoir les pires ennuis de sa vie, elle la déplia. Je grimaçai devant les brins blancs et collants de sperme qui se révélèrent alors qu'elle l'ouvrait. Aucun doute possible. Le visage d'Anna se plissa de dégoût et secouant la tête, elle se tourna vers moi.

-- Mais c'est quoi ce bordel?

-- Anna, je...

-- Et depuis combien de temps est-ce que tu fais ça? » demanda-t-elle, puis ses yeux s'écarquillèrent et elle rit, sans aucune trace d'humour. « Ah! Maintenant je comprends pourquoi maman a fait ce commentaire à propos de toutes tes lessives la semaine dernière!

Sans prévenir, elle me jeta la culotte. Je l'attrapai par réflexe et grimaçai en prenant une poignée de mon propre sperme mêlée au lubrifiant.

-- Ah ouai, tu trouves que c'est dégoûtant? » demanda-t-elle. « Mais tu ne trouvais pas que c'était dégueulasse de faire ça?

-- Anna, je suis vraiment désolé » dis-je doucement.

-- Tu dis ça juste parce que tu t'es fait prendre! » Anna croisa les bras sur sa poitrine, mais sous ses seins, les faisant ressortir d'avantage. Malgré tous les ennuis qui me pendaient au nez, mes yeux se tournèrent alors vers le haut de ses orbes succulents et... droit dans son piège!

-- C'est à ça que tu penses là Maxence? A mes seins?

-- Anna, je...

-- Arrête de parler! » cria ma sœur. « Non mais tu te rends compte de ce que tu as fais Maxence? Tu réalises à quel point c'est immonde?

Je lui obéis et restai là, penaud, la tête baissée, pendant qu'elle me criait dessus.

-- Tu imagines un peu ce que papa et maman vont dire? Leur propre fils se branle dans les sous-vêtements de leur fille comme un putain de pervers! Et en plus, il le fait en pensant à elle!

Sa voix s'éleva tandis qu'elle parlait et je m'essuyai les yeux alors qu'ils commençaient à s'embuer. Mon Dieu, quelle humiliation!

-- Parce que tu penses à moi quand tu fais ça, pas vrai?

-- Non. » Je fis une dernière tentative piteuse. « Je...

-- Menteur! » cria Anna, me faisant tressaillir. Elle m'arracha la culotte des mains. « Admets-le et on pourra discuter!

-- Ouai... » Je m'éloignais d'elle et forçais les mots à sortir de ma gorge désormais serrée. « Je... je pensais à toi.

-- Mais c'est dégueulasse! » Elle s'emporta de plus belle.

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