Voyage de Noces en Afrique

BÊTA PUBLIQUE

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Elle est revenue délivrer son mari, puis s'est dirigée vers la salle de bain pour se nettoyer. Son mari lui a crié:

"Tu ne peux pas faire ta toilette. La police aura besoin de preuves."

Elle savait de quelle "preuve" il parlait. Le sperme de ces deux hommes noirs qui l'avaient baisée. Qui avaient éjaculé au plus profond de sa petite chatte blanche. Le sperme qui pouvait la mettre enceinte. Aucun doute possible, avec le mari qui utilise des préservatifs, si elle tombait enceinte, c'était pour avoir un bébé métis.

Est-ce que son mari voulait qu'elle soit enceinte? Elle a chassé cette idée pernicieuse et elle a crié au mari:

"Alors, appelle la police!"

Elle ne voulait pas que quiconque sache, elle ne voulait pas avoir à raconter, à subir les regards, elle regrettait la perte des bijoux et de l'argent, c'est tout. Elle voulait qu'on la laisse tranquille. Mais le mari lui, peut-être à cause des bijoux et de l'argent, a appelé la police. Il ne se souciait pas de la dignité ou de la honte de sa jeune femme.

Elle ne savait pas quoi faire de tout ce que les violeurs avaient laissé en elle. Son mari ne voulait pas qu'elle se vidange dans une coupelle et prenne un bain. Elle se sentait sale, alors elle est allée s'étendre à plat dos sur le lit. S'ils voulaient un échantillon de sperme, qu'ils se servent!

Heureusement, le mari ayant parlé de viol au téléphone, une policière est arrivée avec un kit de protection pour le viol.

Elle est entrée dans la chambre escortée d'un jeune gars qui a écarquillé les yeux quand il l'a vue allongée nue et les jambes écartées.

Bien qu'elle soit jeune, la policière savait exactement quoi faire. D'abord parler. Posant sa mallette au sol, elle s'assit au bord du lit. Elle se tourna vers le jeune policier, qui matait la jeune anglaise nue.

"Vous pouvez aider les autres policiers à dresser l'inventaire avec le mari de tous les objets volés. Je peux gérer ici."

Lorsque le policier est sorti, elle a saisit la main de la jeune anglaise:

"Bonjour. Je suis l'officier Patricia Jonques. Ce corps en sueur et cette chatte trempée et collante m'indique que vous revenez de l'enfer!"

La jeune anglaise était soulagée d'avoir affaire à une femme compréhensive:

"Je vais bien, je n'en suis pas morte. Je m'en remettrais, je suis solide, vous savez."

"Combien y avait-il d'hommes? Combien d'entre eux sont venus sur vous?"

"Deux."

"Seulement deux? Votre mari a dit qu'il y avait quatre hommes?"

"Oui, mais deux seulement m'ont réellement baisé. Les deux plus âgés nous ont volé, les deux plus jeunes m'ont violée."

"Des indigènes, je suppose?"

"Oui"

"L'un ou l'autre étaient-ils gros, entre les jambes?"

"Très. Les deux."

"OK, cela ne me surprend pas."

La policière, bien que mariée, était autant attirée par les femmes que par les hommes, et cette jeune et jolie ingénue abandonnée devant elle était très attirante. L'idée d'utiliser son kit de viol sur cette femme lui faisait mouiller sa culotte.

Elle tendit la main et palpa les seins l'un après l'autre:

"Vos seins sont très rouges. Est-ce douloureux ici? Parfois ils écrasent ou mordent trop fort."

"Non, ça va. Ils n'ont pas été sauvages avec mes seins."

Elle continuait de l'examiner en promenant ses mains sur son corps:

"Écartez un peu plus les jambes."

La policière utilisa deux doigts pour ouvrir la chatte de la mariée et regarder à l'intérieur:

"C'est très rouge ici, et vous avez beaucoup de sperme qui s'écoule."

"Oui, des deux hommes."

La policière regarda la mariée dans les yeux:

"Nous avons presque le même âge et vous êtes très franche. Est-ce que nous pouvons nous tutoyer, cela facilitera nos conversations?"

"OK!"

"Je dois te dire que tu as eu beaucoup de chance. Vous avez eu tous les deux beaucoup de chance. Laisse-moi te raconter. Il y a deux mois de çà, une automobiliste européenne s'est égarée dans une banlieue, je devrais dire un bidonville pas très loin d'ici. Dans un terrain vague, une bande de jeunes désœuvrés jouaient au ballon. Elle est descendue de voiture pour demander son chemin. Ils l'ont encerclée pour la tripoter et ils commençaient à la dénuder lorsqu'un automobiliste s'est arrêté pour essayer de l'aider. Ils l'ont tué à coups de barres de fer, puis ils ont violé la femme. Ils l'ont entraînée dans une de leur planque et elle a été violée toute la nuit à maintes reprises. Ces types sans foi ni loi sont extrêmement dangereux. Maintenant, passons à l'examen!"

"As-tu laissé couler beaucoup de sperme avant que j'arrive ici?"

"Non. Mon mari a refusé que je me lave, alors je me suis allongée sur le lit."

"Bien. Il en reste encore beaucoup à l'intérieur, et ça coule aussi dans la raie des fesses. Dis-moi, est-ce qu'ils t'ont prise par l'arrière?"

"Non, je n'aurais pas pu gérer cela. Je suis vierge de ce côté."

"Je vois. C'est probablement une bonne chose, si les deux hommes étaient gros."

Elle tenait la jeune mariée ouverte avec deux doigts.

"Tes petites lèvres, à l'intérieur, elles sont si rouges, et gonflées, comme si elles avaient été maltraitées. Tu es en voyage de noces. Alors dis-moi. As-tu perdu ta virginité récemment?"

"Pour ma nuit de noces. Il y a juste deux nuits."

"Et ton mari, est-il aussi gros que ces deux hommes?"

Rougissante, elle ne voulait pas l'admettre au début, puis:

"Mon mari est beaucoup plus petit."

"Ouais. Je suis désolée que tu aies dû faire cet ajustement aussi tôt dans ton mariage. As-tu pu les pratiquer confortablement, ces deux hommes noirs avec leur grand pénis?"

"Pas au début. Le premier gars, c'était comme si je perdais ma virginité à nouveau. Le deuxième homme était plus facile à absorber, même s'il était plus épais. C'était plus facile. Et il est resté en moi beaucoup plus longtemps. Tu vois?"

Elle baissa les yeux, rougissante et honteuse, refusant de lui révéler d'autres confidences.

La policière la maintenait ouverte.

"Est-ce que je suis vraiment si rouge?"

"Ouais, pas mal. Ton corps a reçu un choc."

La mariée acquiesça: "C'est peut-être pour ça que je suis rouge, ça a duré si longtemps et ils étaient si forts. Ils étaient tous deux beaucoup plus virils que mon mari. Mais je me suis adaptée."

"Tu prends la pilule?"

"Non. Pas encore. Mon mari utilise un préservatif en attendant."

La policière opina: "C'est une bonne chose, si ton mari utilise des préservatifs. Seuls ces deux types t'ont prise à cru et t'ont imprégnée de leur semence."

La jeune mariée l'interrompit: "Je les sentais jouir en moi, me remplir de leur semence, ils étaient tellement plus forts et j'étais très consciente de toutes ces sensations."

"Le préservatif réduit les émotions. Comme ils t'ont baisée à cru, si tu tombes enceinte, tu sauras que c'est l'un d'eux et tu pourras décider si tu veux avorter ou pas."

Elle a regardé la jeune mariée dans les yeux: "Attends-toi à ce que ton mari ne veuille plus te toucher pendant un moment. C'est fréquent dans les cas de viol, surtout si le mari est blanc et le violeur noir. Quand ton mari voudra avoir des relations sexuelles, si tes règles ne sont pas arrivées, continue d'utiliser un préservatif avec lui jusqu'à ce que tu sois certaine."

"Je comprends. Pauvre homme, mon mari m'a respectée et voilà. On se retenait jusqu'à notre retour en Angleterre pour me faire prescrire la pilule."

La policière écarta de nouveau les lèvres de la mariée pour regarder à l'intérieur:

"Est-ce douloureux? À l'intérieur puisqu'ils étaient si gros?"

"Non. Je n'ai pas mal. Ils étaient tous les deux très forts, mais je me suis dilatée rapidement."

"Et la longueur? Est-ce que l'un d'eux est allé trop loin et peut-être blessée? Veux-tu que j'appelle une ambulance pour vérifier à l'hôpital?"

"Non, pas d'ambulance et pas d'hôpital. Je vais bien. Ils étaient forts, certes, mais j'ai géré et je me suis adaptée."

Depuis le début de l'examen, la policière n'avait pas ôté ses doigts et elle la manipulait sous prétexte d'examen, étirant ses lèvres encore rouges et palpant sa chatte ouverte:

"Tu vas bien ici. OK. Mais ici? Et ici?"

"Oui. Ils m'ont beaucoup élargie, surtout le deuxième homme."

La policière continuait à écarteler la petite blonde en regardant à l'intérieur:

"C'est une bonne chose pour toi que le plus fort soit passé en deuxième position."

Elle plongea son regard dans les yeux de la jeune mariée: "Ça t'a plu?"

Le regard de la jeune mariée s'est troublé:

"Si je dis oui, est-ce que c'est mauvais? Je n'ai pas su empêcher mon corps de réagir."

La policière acquiesça, compréhensive:

"Je connais. C'est agréable d'être prise par une grosse bite. Ton corps a besoin de ça."

Rougissante, la jeune mariée murmura: "Je ne le dirais à personne d'autres qu'à toi. Je ne veux pas que ça se sache."

"Alors tu as joui avec les deux? Si c'est le cas, tu dois te taire car de tels témoignages pourraient être utilisés contre toi au tribunal. Si tu reconnais avoir eu du plaisir, les hommes diront que tu étais consentante."

La jeune mariée respirait fort, consciente des doigts de la policière dans son vagin:

"Je vais garder ça pour moi. Mais c'est seulement le deuxième qui m'a fait ... venir!"

"T'inquiètes, je te comprends!"

La policière, voulant établir des liens plus étroits, a décidé de révéler son secret à la jeune mariée.

"Veux-tu que je te parle de mon expérience personnelle?"

"Oui, s'il te plaît."

Les doigts de la policière se sont agités un peu plus dans son vagin.

"Moi aussi j'ai été violée une fois, enfin, trompée, plutôt. Par un africain. Très viril. Très bel homme et très bien équipé! À une réception, chez des amis communs. J'étais un peu grisée et il était très ... séduisant! Mais une fois qu'il me l'a mise, il était très épais, et je l'ai bien apprécié. Il m'a baisée debout, contre le mur. Même debout, il était suffisamment grand pour pénétrer jusqu'au fond de moi. Il m'a soulevée de terre et j'ai mis mes jambes autour de lui pour m'empaler sur son sexe. Et je suis venue très fort avec lui. Vraiment très fort!"

La jeune mariée la regardait, les yeux écarquillés: "Mais cette alliance? Étais-tu mariée quand ce type t'a prise?"

"Oh! Oui! Je l'étais et je suis toujours mariée! Je ne connaissais pas cet homme, mais il connaissait bien mon mari, ils travaillaient ensemble. Pendant que cet homme noir me baisait, mon mari était juste de l'autre côté de la cloison, dans la pièce voisine, discutant avec ses copains."

La jeune mariée souriait, complice: "Je connais ce sentiment. C'était très excitant pour toi, d'être baisée par un inconnu avec ton mari si proche. As-tu mieux joui qu'avec ton mari?"

La policière acquiesça: "Oui, c'est mon tourment. J'ai joui presque immédiatement tellement c'était fort. Il était très gros et il remplissait ma vulve comme jamais. Il m'a dilatée. Nous nous sommes embrassés et notre rapport est devenu encore plus formidable. Quand il a éjaculé en moi, je l'ai rejoint et nous avons joui ensemble. Un merveilleux moment."

"Sensationnel."

"Sa queue était divine, très longue, et très épaisse, mais j'ai pu la prendre parce que nous étions debout. J'ai surtout apprécié son volume, mais une queue comme ça..." dit-elle en secouant la tête. "Je ne pourrais pas l'assumer de façon régulière, mais de temps en temps, pour connaître le plaisir..."

"Tu as recommencé avec lui, après ça?"

"Non. J'étais trop gênée après ... Je me suis très mal conduite... Pendant qu'il me baisait, je l'ai supplier de me baiser plus fort avec sa grosse queue ... Parce que j'avais besoin ... Tellement fascinée."

Elle regardait la jeune mariée dans les yeux: "J'essayais d'être gentille, d'exprimer ma gratitude, je me suis emportée et je suis allée trop loin, mais c'était tellement bon ..."

"Rien à foutre" répondit la jeune mariée. "J'aurais essayé de baiser encore avec lui."

"Non, non, je ne peux pas. Quand il m'a baisée, je ne savais pas qui il était, mais lui savait qui j'étais. Plus tard, j'étais avec mon mari et cet homme, le salaud, était là. Mon mari m'a présenté à lui, et le type a dit qu'il nous avait vu ensemble plus tôt dans la soirée."

"À ce moment-là, j'ai compris qu'il savait qui j'étais quand il baisait la femme d'un de ses collaborateurs. Je me suis donc fait un devoir d'ignorer ce salaud après ça. Même s'il a essayé de me revoir, j'ai décidé de l'ignorer."

"Je peux comprendre ça. C'est embarrassant, surtout après que tu aies avoué à ce type que sa grosse queue te faisait un bien fou, comparée à celle de ton mari."

"Mon mari mourrait s'il découvrait un jour combien je l'ai humilié."

La policière regardait la jeune mariée: "Et toi? As-tu jouis avec le deuxième devant ton mari?"

La mariée rougit. Elle était embarrassée avec la vérité, alors elle a dit: "Ouais, c'était mieux, avec le deuxième homme. Je n'ai pas eu le temps de jouir avec le premier. Trop rapide."

La policière approuva: "Maintenant, c'est notre secret. Je comprends ce que tu as ressentit, ta culpabilité."

"Je me sens coupable parce c'était évident que j'appréciais, car après avoir atteint l'orgasme avec le deuxième, il était sur le point de sortir et je l'ai gardé entre mes jambes pour continuer de baiser avec lui."

"Vraiment? Waouh! Tu t'es masturbée contre lui? Dis m'en plus."

La policière encourageait la jeune femme en faisant jouer deux doigts dans la chatte exposée.

"Il a semblé surpris mais il est resté en moi le temps que je finisse. J'ai frotté ma chatte contre son pubis. Quand il a éjaculé en moi, j'étais très proche de finir, je n'ai donc pas été longue à venir. Mon mari a compris ce que je faisais."

La policière hocha la tête avec compréhension: "Au tribunal, si le violeur dit que tu jouais avec lui pour jouir encore, ce pourrait être mauvais. N'avoue jamais cela, et fait en sorte que ton mari se taise."

La mariée acquiesça: "Tout le temps, mon mari était ligoté à côté de moi. Il gémissait et il pleurait. Je pense qu'il savait ce que je faisais. Dis-moi, Patricia, as-tu jamais affronté la culpabilité?"

"Pour moi, c'est compliqué. Quand cet homme noir me prenait debout contre le mur, je savais que c'était mal ce que je faisais. Mais depuis le début, je lui avais donné ma bouche, et je lui avais murmuré des mots d'amour. C'était tellement bon, si doux et si fort. Même après qu'il eut finit, je l'embrassais encore à pleine bouche en le suppliant de me baiser encore."

La jeune mariée acquiesça à son tour: "Quand il m'a fait jouir, je l'ai embrassé. Sur la bouche. Je ne connais même pas son nom, mais il m'a fait jouir si fort."

Patricia rigola: "Je suppose que nous sommes deux salopes. Nous avons eu toutes les deux un amant noir et nous avons pris notre pied. Bien mieux qu'avec nos maris respectifs."

Et puis, surprenante et lubrique, Patricia se pencha sur la jeune mariée et l'embrassa à pleine bouche. Un tendre baiser. Un baiser langoureux avec un jeu de langue érotique. Un baiser plein de promesses, qui sait, plus tard?

À la fin du baiser, elles tentèrent toutes deux de faire comme si l'acte n'avait pas eu lieu:

"Patricia, ces hommes, penses-tu avoir une chance de les coffrer?"

"J'en doute. Dans cette période troublée, des bandes de jeunes hommes parcourent le pays en tous sens. Ici, c'est la zone. Et puis, ils parlent tellement de dialectes différents qu'il est très difficile de demander des renseignements aux gens. En plus la police est majoritairement blanche, les délinquants majoritairement noirs, c'est compliqué de les faire parler. Mieux vaut oublier, plus vite tu passeras à autre chose, mieux tu te porteras."

La policière a cessé de jouer avec la chatte de la jeune mariée, elle a plongé un doigt dans la flaque de sperme qui s'écoulait hors d'elle et, d'un geste leste mais doux, elle a inséré son doigt dans l'anus de la jeune anglaise.

"Oh! Qu'est-ce que tu fais? Hum! Ça fait ... du bien!"

Tout en massant l'anus de la jeune mariée, Patricia se pencha pour l'embrasser.

"Merde, Patricia, mon corps reprend vie!"

"C'est ce que je pensais. Tu es faite pour l'anal. Aussi salope que moi. Voici mon idée: pour rétablir le lien dans ton couple, offre-lui ton cul!"

"Mon mari? Dans mon cul? "

"Oui. Dis-lui que ces hommes ont eu ta chatte à cru en premier, que tu ne pourras jamais revenir en arrière et lui rendre ce qu'ils lui ont volé, pour qu'il soit le premier quelque part, offre-lui ta virginité anale."

La policière travaillait son anus étroit avec son doigt en aguichant la jeune femme.

"Waouh, Patricia. C'est une très bonne idée pour me faire baiser par mon mari ... Oh c'est vraiment bon, ton doigt! As-tu fait cela avec ton mari, pour te faire pardonner?"

"Ce n'était pas nécessaire, il n'a pas su que je baisais avec ce grand homme noir, mais de temps en temps, je lui accorde ce privilège, et là, au moins, il est toujours assez grand!"

"Merci pour la suggestion. Quand mon mari voudra baiser, je lui ferai l'offre. À coup sûr, il sera bien assez grand!"

"Quand tu seras propre, j'aimerais beaucoup passer un tendre moment avec toi."

Patricia utilisait ses doigts pour pénétrer la petite chatte rougie en même temps que son anus à présent dilaté.

"Oh, putain, Patricia, ça fait un peu mal au début, mais après, ça fait tellement du bien!"

Elle regardait dans les yeux la policière qui lui souriait.

"Je ne sais pas combien de temps nous resterons ici maintenant, mais tu as mon numéro et tu sais où je vis ... S'il te plaît, je suis vraiment attirée par toi, jamais je n'avais pensé qu'avec une femme ... mais toi, tu me fais ... Oh!"

"Oui. Il faudra que je consacre un peu plus de temps à cette enquête."

La policière retira son doigt et, après l'avoir essuyé, saisit son kit pour viol:

"On se reverra bientôt pour les besoins de l'enquête, mais maintenant il faut recueillir les preuves. Les hommes nous attendent dehors."

La jeune anglaise a pu lui fournir beaucoup de "preuves".

Plus tard, rhabillée, elle a pu déposer son témoignage auprès des policiers, en leur expliquant tout ce qui lui était arrivé, en omettant juste un détail: la façon dont elle avait beaucoup apprécié et aussi, le mari, en partie ...

Alors peut-être, après avoir eu l'occasion de baiser avec Patricia, elle repartira en Grande-Bretagne comme le veut son mari. Mais il ne faut pas s'inquiéter pour elle, beaucoup d'africains vivent en Grande-Bretagne, et elle trouvera sûrement chaussure à son pied ... pour son bonheur et peut-être celui de son mari.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Une histoire très intéressante et... très excitante. J'ai pris beaucoup de plaisir à la lire.

Aurailiens

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

J'ai retrouvé beaucoup de tes textes publiés sur un autre site (HDS) sous le pseudonyme Tamalou. Est-ce toi ou est-ce du simple plagiat ?

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