Violée en Turquie: Deuxième Partie

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Le viol de Sarah se poursuit
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Le regard du vieux médecin était fuyant. Des gouttes de sueur perlaient sur son front.

Il me raccompagna vers la porte d'entrée qu'il ouvrit tout en me répétant: "Revenez... deux heures. Allez... restaurant... manger..." et il referma la porte derrière moi.

Me souvenant de la configuration des lieux, je tournai à gauche, fis quelques pas dans le jardin privé de la résidence du médecin et me retrouvai devant cette fenêtre s'ouvrant sur la salle d'examen.

Comme je m'y attendais, le vieux médecin avait fermé le store mais comme les lattes de bois étaient abîmées et tordues, il me fut facile de m'approcher pour voir à l'intérieur de la pièce.

Ma bite se durcit aussitôt à la vue du spectacle qui s'offrit à moi.

Le vieux médecin était debout à côté de la table d'examen, à la hauteur du visage de Sarah.

Hummm... comme ma femme était belle avec ses cheveux blonds, bouclés, sa peau lisse et satinée. Elle avait l'air tellement sexy dans son short court. Si vulnérable et si innocente avec son chemisier à manches courtes partiellement déboutonné laissant entrevoir son soutien-gorge blanc en dentelle sous lequel ses mamelons d'un brun rosé se dessinaient à travers le délicat tissu.

Parlant Turc, le vieil homme dit tout en regardant la photo de sa petite-fille accrochée au mur: "Ma petite Azra, comme tu as manqué à ton Dede (grand-père en turc)", tout en caressant les cheveux de Sarah de sa main gauche et en lui palpant les seins, par dessus son chemisier, de son autre main.

J'avais sorti mon pénis et je me masturbais en regardant ce vieux vicelard violer ma femme.

Le vieux cochon commença à se dévêtir posant méticuleusement ses vêtements usés sur une petite chaise en bois.

Il était d'une maigreur cadavérique. Son pénis d'où s'échappait déjà quelques gouttes baveuses de liquide pré-séminal était à l'image de son corps squelettique, long et fin comme un poignard effilé.

Puis de ses mains décharnées aux doigts temblants, crochus et osseux, il entreprit de dénuder Sarah.

Écartant les pans de son chemisier, il put se régaler à la vue de ses mamelons pointant à travers le tissu en dentelle de son soutien-gorge.

Son soutien-gorge se dégraphant à l'avant, le vieux salaud laissa échapper un râlement de plaisir lorsque la poitrine nue de ma femme s'offrit à ses yeux.

Malaxant les seins de Sarah, il dit: "Ah... Azra... Il y avait si longtemps!", avant de se pencher pour les embrasser, les lécher et les sucer mordillant, au passage, les mamelons rosés de ma femme violée par ce vieux cochon.

Comment allais-je pouvoir tenir sans éjaculer alors que je reluquais Sarah se faire violer ainsi?!

Délaissant les seins de ma femme, le vieux médecin délaça et retira ses espadrilles blanches.

Il déboutonna ensuite le short de Sarah et le fit descendre le long de ses cuisses.

Seul son slip cachait maintenant l'endroit le plus secret et le plus intime de son corps.

Baissant la tête, le vieil abuseur se pencha pour embrasser le tissu de coton moulant la vulve de ma femme.

Puis, de ses doigts osseux, pincant les deux côtés du slip, il le fit descendre le long de ses cuisses.

Sarah était complètement nue... Elle était entièrement épilée, sauf pour une étroite bande de poils pubiens blonds recouvrant son Mont de Vénus bombé.

"Ahhh... ma belle Azra, il y a si longtemps que Dede ne t'as pas caressée", dit -il en enfilant un doigt dans la chatte de Sarah... Humm... comme tu es étroite, Azra... Hummm... et tu es encore vierge pour ton Dede."

Le vieux s'imaginait en train de déflorer sa propre petite-fille à travers Sarah!

Mais, avant de poursuivre ses attouchements incestueux, il tourna deux clefs de bois placées de chaque côté de la table d'examen.

La table étant assemblée en deux parties, il détacha et poussa sur le côté de la pièce celle supportant les jambes de Sarah qui pendaient maintenant dans le vide.

Se dirigeant ensuite vers une grosse armoire de bois, il en sortit deux étriers gynécologiques qu'il fixa au pied la table où Sarah était étendue. Soulevant une après l'autre les jambes de ma femme, il les placa dans les deux étriers.

Puis, il se dirigea vers un téléphone posé sur une petite table, souleva le combiné et appela: "Elle est prête".

Je savais fort bien à qui était destiné cet appel!

Toujours nu et en érection, il vint se positionner entre les cuisses de Sarah. Il avait dans les mains une bouteille d'un liquide visqueux qu'il versa sur son index et son majeur et avec lesquels il fouilla le sexe de ma femme pour lui lubrifier la chatte qu'il s'apprétait à violer.

Il se masturba aussi avec ce même liquide pour bien huiler sa vieille bite bandée.

Approchant son vieux pieu de chair durci, il vint appuyer son gland brunâtre contre les grandes lèvres de Sarah.

Lentement, il s'enfonça en elle.... "Ahhhhhhhhhhhhh... comme ta chatte est chaude et serrée, ma petite Azra. Laisse toi bien faire, ma petite salope. Je sais que tu en as toujours eu envie."

Je regardais la scène en me branlant furieusement. Enfin, je réalisais ce fantasme qui m'habitait depuis si longtemps. Sarah, nue devant mes yeux, était en train de se faire baiser par un autre homme. Un vieux vicelard qu'elle aurait trouvé ignoble et repoussant.

Je pouvais imaginer tout le plaisir qu'éprouvait le vieux cochon à pénétrer Sarah.

Parmi toutes les femmes que j'avais connues au cours de ma vie, Sarah avait la chatte la plus serrée et la plus étroite qu'il m'ait eu la chance de pénétrer.

Et c'est maintenant un autre homme que moi qui savourait l'étroit canal dans lequel ce vieux vicelard s'enfonçait lentement en râlant de plaisir.

Ses vieilles couilles pendaient mollement entre ses cuisses alors que le poil blanc de son pubis se mêlait, à chacun de ses lents va-et-vient, à la mince bande de poils blonds et soyeux recouvrant le Mont de Vénus bombé de Sarah.

À chaque balancement de son bassin, le vieux gland du médecin se retrouvait donc ainsi comprimé entre les contours serrés du vagin de ma femme dont les parois étaient tapissés de replis côtelés, humides et veloutés.

Pour avoir, à maintes reprises, pénétré cet étroit canal de chair brûlante, je savais que le vieux médecin ne pourrait tenir longtemps!

En prenant bien son temps, le vieillard violait une femme sans défense, vulnérable et innocente.

Il savourait lentement tout le plaisir que la chatte chaude et lubrifiée d'une jeune femme de 27 ans pouvait procurer à sa vieille bite en forme de dard dont le gland se frottait sûrement contre l'utérus de Sarah à chacune de ses poussées.

Bien enfoncé en elle, le vieil homme se pencha en avant pour sucer et mordiller ses mamelons tout en malaxant ses jeunes seins fermes.

Hummm... comme j'étais excité de pouvoir regarder un parfait inconnu profiter ainsi de Sarah, d'avoir avec elle cette relation intime, de regarder ce vieux porc copuler avec ma femme.

Le rythme du vieux médecin s'accéléra. Il se tenait maintenant debout entre les jambes de Sarah, l'empoignant par les hanches pour bien l'enfiler jusqu'au fond.

Dans un des miroirs de la pièce, je pouvais voir ses vieilles fesses flasques et osseuses se contracter à chacune de ses poussées, sa vieille bite s'enfonçant aussi loin que possible dans le corps de ma femme.

Ses yeux étaient clos, sa tête rejetée vers l'arrière, sa grosse pomme d'Adam saillait sur son cou décharné.

Il gémissait et râlait de plaisir en utilisant le corps nu de ma femme pour s'accoupler avec sa propre petite-fille.

Envahi par la puissance de ses fantasmes incestueux, le vieux pervers n'entendit pas le mécanicien entrer dans la pièce et commencer à se dévêtir tout en reluquant le corps nu de cette jeune femme blonde qu'il allait bientôt violer.

Petit, crasseux, bedonnant, son corps était couvert de poils noirs lui procurant un aspect simiesque et hideux. Sa bite durcie était plus courte que celle du médecin mais beaucoup plus épaisse.

Pendant que le médecin continuait à violer Sarah, il s'approcha d'elle pour lui palper et lui embrasser les seins. Il prit sa main douce et manicurée pour caresser ses couilles velues, envelopper sa queue durcie avant de s'en servir pour se branler.

Puis, il enleva l'oreiller sur lequel reposait la tête de Sarah et tira un levier situé sur le coté de la table d'examen, près du visage de ma femme.

Un panneau de bois de 30 centimètres carrés s'abaissa le long de la table, lui donnant ainsi libre accès à la bouche de Sarah dont le visage était tourné vers l'entrejambe du gros porc.

"Petite salope... ça s'habille commme une petite putain et ensuite ça se plaint de se faire violer."

Le mécanicien frottait maintenant son gland luisant de liquide pré-seminal sur la figure et dans les cheveux de Sarah laissant sur sa peau nue de longues traces baveuses et visqueuses.

"Petite chienne, tu vas bien me sucer...", ajouta-t-il tout en enfonçant son gros gland violacé, malodorant et dégoûtant entre les lèvres de ma femme.

"Suce, suce moi, sale putasse...."

Je pouvais voir son gland se frotter contre l'intérieur velouté de la joue de Sarah, déformant celle-ci à chacun de ses coups de butoir.

Pendant ce temps, le vieux médecin avait augmenté la cadence de ses pénétrations.... "Ah... Azra... Azra... tu vas faire jouir ton Dede...", éructa-t-il tout en palpant le sein gauche de Sarah pendant que le mécanicien malaxait celui de droite.

Le mécanicien aussi avait augmenté son rythme. Il allait bientôt, je le sentais, vider son foutre gluant et jaunâtre tout au fond de la gorge de ma femme.

Les deux hommes allaient bientôt juter et je sentais que je ne pourrais pas me retenir non plus!

Le médecin éjacula le premier, faisant gicler son sperme de violeur au fond de la chatte de Sarah, Sarah qui avait cessé tout moyen contraceptif il y a quelques semaines car nous avions planifié avoir un enfant.

Les fesses du vieil homme se tendirent et se contractèrent rapidement. La bouche du vieux médecin était grande ouverte, ses yeux étaient clos et je sus que son vieux foutre commençait à se répandre dans le vagin serré de Sarah.

Ce vieux salopard éjaculait dans le corps de ma femme nue et droguée!

Je pouvais deviner sa prostate, son sphincter et son anus se contracter, poussant des jets de semence gluante dans l'étroit passage vaginal de Sarah.

Un puissant frisson traversa son corps décharné.

Lentement, ses coups de butoir commençairent à diminuer.

Luttant pour reprendre son souffle, il donna quelques dernières poussées rapides et saccadées pour s'assurer que chaque goutte de son foutre pénètre dans le vagin fertile de ma femme.

Puis, redevenu flasque, son pénis glissa hors du vagin de Sarah.

S'adressant à son complice, il lui dit, encore essouflé: "Hummm... Tu vas aimer. Elle est bien serrée, la salope."

Le médecin venait de réaliser un de ses fantasmes les plus intenses: celui d'éjaculer, en utilisant le corps nu de ma femme, dans le sexe de sa propre petite-fille, Azra.

Azra qu'il avait droguée et violée durant plusieurs années avec l'aide de son partenaire Atila (le mécanicien).

Bien sûr, les deux hommes avaient fait en sorte de préserver la virginité de sa chatte et de son anus. Sa bouche, par contre les avaient très souvent accueilli tous les deux.

Même s'ils prenaient un soin méticuleux à nettoyer toute trace de leurs aggressions sur son corps nu, des rougeurs inhabituelles sur ses mamelons, que son grand-père aimait bien mordiller lorsqu'il la violait, avaient mis Azra sur la piste des abus dont elle était victime.

Une caméra cachée placée dans la salle d'examen et reliée à son portable lui avait fait découvrir les aggressions sexuelles que lui faisaient subir les deux hommes.

Ces injections que lui offrait son grand-père pour la soulager de son asthme n'étaient qu'un prétexte pour la violer.

Une ignoble façon pour son grand-père et ce repoussant mécanicien de prendre leur plaisir en éjaculant sur ses seins, son visage et même dans sa bouche.

Ces deux vicelards qu'elle avait regardés, sur cette vidéo enregistrée sur son portable, lécher ses parties intimes, leurs langues épaisses et baveuses fouillant son vagin jusqu'à son hymen avant de redescendre jusqu'à son anus.

Azra avait visionné cette vidéo encore et encore, à la fois dégoûtée mais également troublée et même (elle n'osait se l'avouer) excitée de voir que deux hommes, dont son propre grand-père, avec sa queue fine et dure, puissent tant la désirer.

Tiraillée entre les abus dont elle avait été victime et les envies innommables que ces attouchements non désirés éveillaient en elle, elle avait toutefois choisi de partir, sans jamais revenir.

Établie à Istanboul depuis maintenant deux ans, elle avait perdu sa virginité quelques mois après son arrivée.

Ayant été licenciée et afin de ne pas être explulsée de son appartement et de se retrouver à la rue, elle avait du accepter de s'offrir à son propriétaire qui l'avait même partagée avec son fils déficient.

Après avoir trouvé un nouvel emploi, elle avait pu déménager et se libérer du joug de ce gros porc.

Depuis son arrivée à Istanboul, elle avait eu quelques amants mais elle était maintenant seule depuis six mois.

Honteusement, il lui arrivait encore de se doigter en regardant cette vidéo qu'elle avait conservée, cette vidéo où Atila et son grand-père la violaient.

Pour se satisfaire, elle s'était même procuré deux godes: un long et mince comme le pénis de son grand-père, l'autre court et épais comme la queue d'Atila.

Lorsqu'elle se masturbait, elle enfilait le gode de son grand-père dans sa chatte et celui d'Atila dans son anus, fantasmant que les deux hommes la violaient ainsi, à travers cette double pénétration, jusqu'à ce qu'elle jouisse intensément sur leurs bites d'abuseurs.

D'un autre côté, même si Azra les avait quittés, la guerre en Syrie avait mis sur le chemin du médecin et de son acolyte nombres de jeunes femmes fuyant les combats.

Le vieux médecin arrivait facilement à gagner leur confiance en leur offrant soins, vêtements et nourriture.

Puis, il les droguait en leur faisant ingurgiter une faible dose de somnifères souvant dissoute dans une tasse de thé.

Ces jeunes femmes se réveillaient attachées par les poignets à l'anneau fixé au mur et par les jambes aux étriers gynécologiques.

Ces femmes qu'aucun homme n'avait jamais vu nues... et encore moins touchées.

Ces femmes n'ayant, non plus, jamais vu le pénis en érection d'un homme.

Ces femmes forcées d'accueillir ces glands violacés entre leurs lèvres, avant de goûter et d'avaler cette substance gluante qui remplissait leur bouche et coulait au fond de leur gorge.

Ces femmes, contraintes à subir, à leur corps défendant et malgré toute la répulsion qu'elles éprouvaient à l'endroit des deux hommes, le premier cunni de leurs jeunes vies.

Cet immonde cunni générant un intense plaisir non consenti qu'elles ne pouvaient empêcher de laisser exploser sur la langue et la bouche de leurs violeurs.

Comme il était excitant pour les deux hommes de les violer ainsi, alors qu'elles se débattaient et criaient, contractant leurs vagins souvent encore vierges pour repousser ces pénis cherchant à les pénétrer, ne réalisant pas que, ce faisant, elles procuraient encore plus de plaisir à leurs répugnants abuseurs.

Car en comprimant et en resserrant ainsi leurs sphincters pour repousser ces pénis de violeurs, leurs cavités anales et vaginales ne faisaient que se rétrécir encore davantage!

Impunément, les deux hommes abusaient donc sexuellement de ces jeunes réfugiées.

Impunément, il est vrai... car, à qui auraient-elles pu porter plainte? Qui aurait cru leur témoignage?

Le souvenir de ces nombreux viols, de ces salopes qui avaient joui malgré elles, jumelé à l'orgasme du vieux médecin dont il venait d'être témoin, amena le mécanicien à jouir aussi.

Tout en retenant Sarah par les cheveux, ce gros porc se servit de la bouche de ma femme comme d'un grossier vide-couilles, comme d'un vulgaire sac à foutre.

En poussant un grognement animal, il se mit à juter faisant jaillir son foutre épais et gluant au fond la gorge de Sarah tout en la traitant de sale pute, de salope et de petite chienne.

Témoin du viol de la bouche et de la chatte de ma femme, je ne pus me retenir plus longtemps et j'éjaculai à mon tour, répandant sur le gazon du jardin de puissants jets de foutre chaud et crémeux.

À suivre...

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5 Commentaires
innbayinnbayil y a presque 2 ansAuteur

N'hésitez pas à me contacter en privé pour échanger sur ces fantasmes pervers et tabous!

bloisbloisil y a presque 2 ans

Chaud, chaud, chaud...

AurailiensAurailiensil y a presque 2 ans

Et bien moi je prends beaucoup de plaisir dans cette atmosphère moite et vicieuse, d'abus et de voyeurisme, de jeunesse et de vieux pervers... n'hésite pas à pousser plus loin l'ambiance s'y prête !

innbayinnbayil y a presque 2 ansAuteur

Merci de ton commentaire. C'est, de loin, le texte le plus "hard" que j'ai écrit et je suis bien conscient que ça ne plaira pas à tous et à toutes.

chdecrivainchdecrivainil y a presque 2 ans

Brutal mais excitant quand même.

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