Une voix trop désagréable

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Mes amies ne supportent plus ma voix quand je bois trop !
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- Mais parle moins fort, ou alors tais toi!

- La prochaine fois que tu parles sans y avoir été autorisée par moi ou Virginie, nous te bâillonnons!

Les deux filles me regardent à la fois énervées et rigolardes. A postériori je suis certaine qu'elles avaient préparé leur coup. La tête que je fais leur donne le fou rire. Ce n'est pas tant la violence de l'attaque qui me défigure, que le coup de poing que je ressens au ventre et le jet de mouille qui me prend au dépourvu. Je suis complètement décontenancée.

- Mais vous n'avez pas le droit! (avec l'acool je parle encore plus fort et je sais bien que ma voix est désagréable, mais quand même, ce sont mes amies de toujours!)

- Nous t'avions prévenue!

Je regarde sans comprendre Camille qui baisse son collant pour l'enlever, sa petite culotte suit. Virginie fait de même et me bloque par les bras. J'ai rapidement la bouche remplie des deux culottes, un collant serré autour de la machoir pour bien les enfoncer, et les bras attachés derrière mon dos. J'ai bu trop d'alcool et mes résistances sont bien faibles. J'ai honte de ce qu'elles me font, mais aussi de ce que cela me fait. Elles me regardent satisfaites et sentent inconsciemment comme l'air s'est chargé d'une soudaine tension sexuelle qui n'était pas au programme. Pour elles c'était un simple jeu, une humiliation rigolote dont nous parlerions des heures durant. Mais voilà, quelque chose vient de s'immiscer entre nous. Il serait encore temps de tout arrêter, mais je crois que personne n'en a l'envie. Surtout pas moi pourtant en fâcheuse posture.

Nous sommes arrivées quelques heures plus tôt au chalet du père de Virginie, dans les Alpes du Sud, pour faire une semaine de ski. Ce n'est pas très grand, mais nous adorons y passer du temps là-bas toutes les trois. A force, nous sommes devenue plutôt championnes en ski. Nous nous connaissons depuis toujours ou presque, la maternelle c'est dire. Je leur dois tout. Petite, ma mère est décédée et les deux filles m'ont prise sous leur aile, m'apprenant à être une femme, à m'habiller, à socialiser, même à skier ou à travailler. Je suis d'un milieu modeste, et personne ne croirait à me voir que mon père est paysan et que j'ai grandi à la ferme! Nous nous adorons et jamais nous ne nous sommes fait défaut.

Pour Camille et Virginie je suis leur poupée et nous avons gardé cette habitude qu'elles s'occupent toujours de moi. Et si elles m'appellent poupée, c'est parce que je suis devenue une très belle femme, et que parfois elles sont un peu jalouses de mes formes et du regard des hommes sur moi! Mais j'ai un gros défaut auquel je ne peux rien, j'ai une voix très désagréable, surtout quand je bois un peu trop comme ce soir, où nous avons fini la seconde bouteille de vin pour fêter nos vacances. Et du coup cela a dérapé, je ne sais pas pourquoi. Mais cela fait plusieurs fois qu'elles me demandent de chuchoter quand je bois. Peut être je devrais me faire opérer des cordes vocales? A cet instant j'y songe.

Après près de 20 ans que nous nous connaissons, c'est la première fois qu'il y a une tension sexuelle chez nous, hétéro assumées toutes les trois. Nous allons nous faire épiler ensemble, au Hamman naturiste ensemble, et n'avons jamais été gênée par quoi que ce soit, même si nous ne partageons pas beaucoup nos émois sexuels. Mais là, à cet instant, chacune sent cette tension, sans doute due à mon excitation impromptue. Camille s'approche de moi.

- Tu as vu comme notre poupée est bien offerte comme cela? Tu sais que tu es belle poupée, je crois que j'ai envie de te croquer ce soir!

- Nous pourrions peut-être la déshabiller un peu, je trouve que sa poitrine est un peu à l'étroit. (Virginie a les yeux brillants, je lui trouve le souffle un peu court. Comme moi d'ailleurs). Tu as remarqué comme elle n'a pas mis de soutien gorge après sa douche, avec des seins aussi gros c'est indécent Poupée? Et cela peut donner des idées à des personnes mal intentionnées.

- Tu es une grosse cochonne Virginie, mais oui j'avais remarqué et c'est très tentant.

J'ouvre grand les yeux, je me demande ce qui leur prend. Elles remontent mon pull sur mes bras derrière, passent la tête et au niveau de ma nuque, renforçant ma cambrure, libérant alors ma poitrine que j'avais laissée effectivement libre après ma douche. Sans penser à mal, je ne mets pas de soutien-gorge pour dormir! Ce n'est pas la première fois qu'elles l'admirent, mais cette fois ci avec d'autres yeux. J'ai un bonnet D bien rempli, et si mes seins sont assez mous et tombants, la position les bras derrière le dos les rend bien proéminents.

Mon souffle est court, je ferme les yeux, j'ai envie de hurler et de jouir, quelque chose que je n'ai jamais ressenti. Je ne me touche pas, mais je sens l'orgasme juste au bord d'exploser. C'est tellement impérieux. En même temps les deux culottes dans la bouche m'empêchent tout son! Je réalise alors que j'ai leur goût dans la bouche et un nouveau jet de cyprine vient tacher ma culotte. Virginie prend un de mes seins dans sa main, malaxe l'autre en me regardant fixement. Son regard est étrange, inconnu pour moi, je sens une prédatrice dans cette douce amie. La frustration est horrible. Je suis excitée par la situation, pas tant par les émotion de mes seins qui n'ont jamais été très sensibles. Elle me pince le téton, je gémis, c'est doux, c'est bon, même si c'est un peu fort, je gigote. Je cherche à me frotter pour libérer l'accumulation de désir.

Camille n'en perd pas une miette, elle décide alors de continuer l'effeuillage. Mes chaussettes, mon pantalon sont vite enlevés, Virginie n'a pas quitté mes seins qui semblent la fasciner. C'est un vrai attrape mec, et apparemment les nanas aiment aussi. Mon copain, actuel adore se caresser le sexe entre mes deux mamelles, moi je trouve cela un peu pathétique. C'est vrai que mes seins sont très beaux, mais pourquoi les mecs pensent-ils que c'est si érogène comme zone? Mes rêveries sont interrompues par Camille.

- Non mais regarde sa culotte?

- Mais c'est ce que je pense? (Camille est toute rouge)

- Notre amie Irène mouille comme une folle, elle semble adorer qu'on s'occupe d'elle.

- Tu savais que Poupée était une salope comme cela?

- Je le découvre, et je crois qu'elle n'a pas fini de mouiller notre petit bébé.

Voilà, malgré l'alcool je suis rouge de honte, je voudrais me cacher. Mais que puis je faire? Sans même que je puisse le contrôler, mon bassin ondule tandis que Camille fait glisser ma culotte. Sentir l'air sur mon clitoris me fait presque jouir, je suis à deux doigts. Camille pose un doigt de chaque côté de mon bouton magique, les yeux rivés dans les miens, je la supplie de toutes mes forces, tandis que Virginie me mordille fortement un téton, c'est très douloureux mais si bon en même temps, et l'orgasme éclate sans prévenir, dévastateur. Je hurle dans mes culottes trempées, mon corps se cabre sous les yeux éberlués de mes deux amies. Je suis assez démonstratives en général, mais là cela dépasse tout ce que j'ai pu ressentir.

- Je crois que notre poupée est une belle salope (Virginie se met nue à son tour). J'ai envie de l'utiliser, tu viens on la met dans la chambre avec le grand lit.

- Tu es une vraie vicieuse Virginie!

- Tu n'aimes pas?

- Si j'adore, c'est la première fois que je te vois sortir de ta réserve ainsi.

- Cela te fait quoi?

- J'aime bien rassure toi, occupons nous d'Irène.

J'ai les jambes qui flageolent, je les suis docilement, mon excitation est à peine calmée, j'ai un peu froid.

- Camille va t'enlever ton bâillon, si tu fais le moindre bruit, tu le gardes pendant tout le reste du séjour, tu as compris? (Je hoche de la tête, j'adore son ton, j'adore la situation, jamais je ne suis sentie aussi poupée entre leurs mains)

Elle s'allonge sur le lit, les jambes grandes ouvertes, ouvrant grand sa vulve toute lisse que je découvre d'aussi près pour la première fois, tandis que Camille me libère enfin la bouche, pas les bras hélas. Elle me positionne entre les jambes de notre amie, et sans qu'il soit besoin d'instruction, je m'allonge pour la lécher. Elle prend un coussin pour surélever un peu son abricot. Je n'ai jamais léché une fille, mais je sais ce que j'aime, et puis j'essaie d'écouter ses réactions. Le goût de sa mouille me plaît, je la lèche d'abord sur sa vulve, puis je remonte doucement, avec des mouvements à peine perceptibles. Je sens Virginie onduler de plus en plus, je l'aspire très fort alors comme avec mon engin favori, avant qu'elle parte dans des gémissements incontrôlés. Son orgasme n'est pas moins violent que le mien. Je pose ma joue sur son mont de venus, je suis trop fière de moi, j'ai encore envie de hurler tant mon clitoris est sensible et a besoin de jouir. Si seulement je pouvais me caresser. Je n'ose leur demander de peur d'ête bâillonnée de nouveau!

- Depuis le temps que j'en avais envie! (Virginie a récupéré et attire Camille contre elle. Elles s'embrassent tendrement, cela me fait tout drôle. C'est vraiment bizarre de les voir ainsi. Camille se détache et vient vers moi, me tire par les cheveux, et là elle m'embrasse aussi. Ce n'est pas la première fois, nous nous étions entraînées quand nous commencions nos flirts, mais là c'est tout autre chose. C'est tellement sensuel, tellement doux et profond, s'embrasser ainsi c'est faire l'amour comme jamais. Je la regarde en fondant en larme)

- Tu ne bouges pas Irène. Interdiction de bouger c'est compris? (La voix de Camille est très autoritaire et je n'ai pas envie de bouger, juste que le temps soit suspendu et que jamais cette nuit ne s'arrête).

Je n'ai pas eu mal au premier coup, j'ai été surprise. Je comprends mieux pourquoi je ne dois pas bouger. Camille a pris une ceinture en cuir, et commence maintenant à taper fort sur mes fesses et mes cuisses offertes. Elle veut me marquer, que je sois toute rouge, et alors seulement j'aurais droit de jouir encore. Comment sait-elle que j'en ai envie? Je crie, les coups me font mal. Virginie se caresse à me regarder pleurer et supplier. Mais Camille est inflexible, et j'ai les fesses très marquées quand enfin les coups s'arrêtent. Virginie a joui plusieurs fois, mon envie est un peu calmée. Pas une seconde je n'ai pensé à esquiver les coups, je trouve cela étrange, comme si c'était normal.

- Tes fesses font trop envie Irène, tes seins aussi d'ailleurs. Mets toi assise.

J'obéis à Camille qui s'amuse à prendre mes seins et à les attacher à leur base avec une corde trouvée je ne sais où. C'est assez facile car ils sont assez flasques et gros. Je me retrouve avec deux énormes champignons qui pointent devant moi. Je retrouve mes mamelons d'adolescente, en pointe, avec le téton qui pousse fort en avant. Ils sont durs comme le roc, et la sensation est terriblement excitante. Je me sens impudique, salope, offerte, une poupée dévoyée et perverse. J'ai envie que Camille me les fouette, comme une punition d'avoir de si beaux seins. Quand je lui dis, en chuchotant, je sens son corps s'arquer sous une décharge d'excitation. Je me mets debout, la tête en arrière pour ne pas prendre la ceinture, et elle frappe mes seins ainsi offerts. La plupart ds coups sont dans le vide, mais ceux qui atteignent la cible laissent des marques de folie, et me font pousser des cris et des supplications. J'ai la poitrine en feu et à nouveau le sexe qui coule et hurle à la mort.

Camille n'en peut plus, elle m'allonge sur le dos sur le lit, malgré mes bras douloureusement retournés, et vient s'asseoir sur mon visage sans même enlever sa robe. Elle s'accroche à mes seins douloureux pour se frotter contre moi, tandis que Virginie se glisse entre mes jambes pour me lécher et me faire jouir, enfin, en continu. Quand Camille a joui, elle assoit son cul sur ma bouche et docilement je la lèche. C'est une sensation étrange, et j'essaie de mettre ma langue au plus profond d'elle. Je ne me reconnais pas. J'ai envie de la gouter dans sa partie la plus cachée.

Nous sommes épuisées par ces émotions étranges. Virginie et Camille prennent le grand lit, tandis que la première m'installe entre ses jambes sous les couvertures pour la lécher pendant son sommeil. Virginie est insatiable, c'est fou, alors que Camille n'a finalement joui qu'une seule fois. J'ai du mal à respirer, les bras et épaules douloureux, quand à mes seins je repose dessus, et pour la première fois, ils me provoquent une vraie excitation. Une excitation née de la douleur, mais une vraie excitation. Je ne cherche en rien à alléger mon poids dessus.

Camille et Virginie s'embrassent et se câlinent. J'entends Virginie avouer qu'elle nous a toujours désirées toutes les deux, qu'elle n'a jamais voulu d'autres personnes. Que les mecs qu'elles voyaient étaient des fakes pour que nous ne nous doutions pas qu'elle était lesbienne et qu'elle avait envie de nous. A l'écouter, je me suis encore plus appliqué à la lécher, qu'elle sente que j'étais heureuse d'être là. Camille ne semblait pas en reste pour la rassurer. Elle l'embrasse, la caresse, puis Virginie la fait jouir doucement. Et apparemment, au moins cette nuit-là, notre hétérosexualité n'était pas si évidente.

Pendant la nuit, Virginie me libère de mes liens et j'émerge de la couette pour m'installer entre elles deux. Je n'ai pas encore pu dormir!

Le jour est déjà levé depuis longtemps et la journée de ski bien entamée. Nous nous retrouvons toutes les trois devant notre petit-déjeuner, ne sachant pas trop comment nous comporter. Je sens Virginie gênée de ses confidences, et Camille un peu inquiète de ma réaction. Et moi? Epuisée, heureuse et je regarde mes deux amies la tête dans leur bol de café. Je me lève et je viens d'abord vers Camille. Virginie nous regarde curieuse de ce qui va se passer. Je lui prends la tête, elle se laisse faire, et nous renouvelons un baiser d'abord réservé, mais qui finalement s'ouvre comme celui d'hier provoquant une excitation chez nous deux. Je lui chuchote juste un merci et lui dit que j'ai adoré hier soir. Je la sens se détendre, ses mains prendre possession de mon corps, presser mes fesses, toucher mon sexe mouillé au travers de mon shorty. Elle me dit que c'est sa plus belle soirée et qu'elle n'a jamais été aussi heureuse.

Je vais alors vers Virginie, et son baiser est tout de suite accueillant et envahissant, je reprends mon souffle, la regarde dans les yeux, réitère mon remerciement, et sans que je ne l'ai ni prémédité, ni même pensé avant de le dire, je lui avoue mon amour. Ses pupilles se dilatent, ses yeux se remplissent de larmes et nous nous serrons dans un câlin sans fin dans lequel Camille vient prendre sa part.

Inutile de dire que nous n'avons pas du tout skié cette semaine-là, passant notre temps dans le lit à faire l'amour, à découvrir l'ampleur de mon masochisme et de mon désir de soumission, à nous livrer aussi. C'est fou que parlant de tout, tout le temps depuis 20 ans, nous en soyons à complètement nous découvrir. De façon évidente Camille est la leader du groupe, elle l'a toujours été, et si Virginie est plus réservée, c'est aussi la plus intelligente et je crois la plus perverse! Miam! Nous décidons que dorénavant je ne serais plus que Poupée, à leur service et pour leur plaisir, et Virginie les yeux brillants, me promet que je vais découvrir chaque jour de nouvelles sensations, et que je vais passer ma vie à les supplier! Moi je signe.

En rentrant, nous décidons de prendre un grand loft au cœur de la ville, avec une seule chambre, nous n'avons pas besoin de plus.

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AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

J'adore cette bascule de la vie ordinaire à la perversité. C'est ce qu'il y a de plus excitant dans ces histoires. Merci

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