Une Soumission Bourgeoise 03

J'étouffais des cris en me pinçant les lèvres, afin de ne pas ouvrir la bouche. Évidemment, Stan devait remarquer mais il continuait sa progression à sec. Sa bite s'enfonçait de plus en plus profond et je dus couper ma respiration afin de ne pas crier de douleur. Soudain, il fut en entier en moi. Je sentis ses couilles chatouiller ma peau. Je ne pus plus retenir ma respiration et je en expirant, je laissai échapper un cri de douleur.

Stan resta quelques instants comme cela, la bite enfoncée dans mon cul, sans bouger. Soudain, il commença un mouvement de va et vient très rapide, mécanique. Le frottement était affreusement douloureux, je me faisais violemment enculer à sec par sa grosse verge. Il avait posé chaque main sur mes fesses et accompagnait ses mouvements afin qu'ils soient amplifiés. Il me détruisit le cul pendant de longues minutes. Je n'avais pas l'occasion de me concentrer sur mon plaisir étant donné que l'effet de la douleur ne s'était pas encore dissipé. Je me surpris à espérer que Stan y prenait beaucoup de plaisir. À l'occasion, je ne pouvais retenir des cris de douleur étouffés mais j'essayais du mieux que je pouvais de ne pas me manifester, de disparaître, de vraiment devenir cet objet que Stan voulait que je sois.

Sa bite continuait de ramoner mon cul, désormais dilaté sous sa présence. J'espérais que cela finirait bientôt, n'étant plus sûre de pouvoir retenir mes larmes. Mais Stan continuait à m'enculer sauvagement. Je ne pouvais pas voir son visage mais j'étais persuadée que ses yeux devaient être fous, vu l'allure à laquelle il me fourrait. Dans un effort final, il accéléra et il éjacula dans mes sphincters. Je l'entendis pousser un râle de contentement. Ainsi, c'est ce qu'il aimait. Jamais je ne l'avais entendu émettre un son de la sorte en jouissant.

Il m'ordonna de ne pas bouger. Il retira sa bite, j'étais soulagée que mon anus soit laissé en paix. Il ouvrit un tiroir de son bureau et sortit un objet que j'avais vu auparavant, il y a quelques années, chez mon oncle. C'était un plug anal. Noir.

- Tu vas garder mon foutre en toi jusqu'à ce que je décide autrement. Tu n'as pas le droit d'enlever le plug, je contrôlerai tous tes faits et gestes de toute façon, comme d'habitude. Tu chieras seulement quand je t'enlèverai le plug.

Il m'enfonça l'objet dans l'anus, encore largement dilaté par le traitement qu'il venait de subir. Ainsi, l'insertion n'était pas trop douloureuse, et facilitée par le sperme de Stan qui était venu tapisser les parois internes de mon cul. Doucement, je sentis les parois de mes sphincters se refermer sur le plug.

- Tu étais née pour porter ça, dit-il.

Il me fit me mettre à genoux et je me retrouvai, estomaquée, devant sa bite, pleine de merde, de sperme et de sang.

- Et oui Lorraine, enculée à sec comme tu l'as été, c'est normal que ça saigne. Maintenant, nettoie goulument. Je veux que mon membre soit impeccable.

Je réprimai un haut le coeur et donna un coup de langue timide à son gland. Le goût était immonde, je me sentis si proche de vomir que je détournai le tête.

- Lorraine... Je préférerais que tu fasses ça volontairement, mais s'il le faut j'emploierai les grands moyens.

Motivée par ses paroles, je repris son gland entre mes lèvres et entrepris de le lécher et de le sucer doucement. Il bandait encore de la pénétration de tout à l'heure. Je n'avais jamais goûté de la merde mais c'était pire que le sperme, mélangé au goût ferreux du sang, je ne pus à nouveau m'empêcher d'avoir un haut le coeur. Avant que je n'ai le temps de retirer ma bite de sa bouche, Stan m'attrapa violemment les cheveux du sommet du crâne et accompagna ma tête dans des mouvement de va-et-vient profonds. Je n'avais jamais eu une bite aussi loin au fond de la gorge, encore moins une bite dégueulasse couverte partiellement par ma propre merde et mon sang. J'avais des réflexes nauséeux mais mon mari continuait à violemment orienter ma tête d'avant en arrière pour enfoncer sa bite dans ma bouche. J'avais l'impression de m'étouffer, je me sentais toute rouge, j'avais un afflux de sang dans le visage, ma vue était brouillée par des larmes.

Quand il en eut assez, Stan me poussa sans ménagement par terre.

- Bon. Comme prévu tu as été trop bruyante. J'ai anticipé une solution durable et efficace à ce problème. Tu auras l'occasion d'en prendre connaissance demain.

Je me demandai ce que Stan avait bien pu concocter. Vidée de toute énergie, je le remerciai et baissai la tête en signe de servitude.