Une Soumission Bourgeoise 03

Informations sur Récit
Un couple moins ordinaire qu'il n'y parait.
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Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 10/29/2020
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J'avais perdu la notion du temps. Seule dans le noir, complètement nue sur ce panier pour chien. J'avais froid. Mes mains, entravées dans mon dos, rendaient n'importe quelle position inconfortable. Je n'en revenais pas, Stan m'avais laissée au fond d'un sous-sol humide, nue et vulnérable, complètement souillée de sperme et de nourriture, seule dans la maison. Je commençai à regretter cette nouvelle dynamique qui s'était installée entre nous. Pour le coup, je n'étais plus excitée du tout. Je voulais simplement retrouver la chaleur de notre foyer, de notre lit, de notre chambre.

Le bruit de la voiture de Stan dans l'allée, qui devait revenir de notre dîner mondain, me sortit de mes divagations. J'étais presque énervée, allais-je crier contre lui? Allais-je l'affronter? Au risque que tout s'effondre? Je n'eus pas à me poser la question bien longtemps, quand il descendit, il me bâillonna la bouche avec du gros scotch. Mes yeux devaient protester, mais Stan ne dit rien. Il me détacha de la chaine soudée au tuyau et me mis sur mes deux jambes. Sans ménagement, il m'attrapa très fermement par le bras et me fit monter les escaliers pour revenir au rez-de-chaussée de la maison. Il me dirigea vers le jardin. Je découvris un piquet planté dans la terre, pas loin de la terrasse, au bout duquel était également soudé une chaine. À son extrémité : un gros collier pour chien. Quand avait-il installé ça? Avant de partir au dîner?

- Nous n'avons pas encore officiellement de chien, dit Stan en souriant. Toutefois, en attendant d'en adopter un, il me semble que cette petite installation sera utile à la chienne que tu es.

C'était de pire en pire, allais-je devoir dormir nue dehors? J'en vins à regretter le sous-sol. La nuit était très fraiche, il devait faire moins de 10 degrés. J'étais déjà en train de grelotter dans le sous-sol, j'allais faire une hypothermie si je restais dehors. Tout ça ne me plaisait plus du tout. Stan, qui me tenait toujours très fort par le bras, me conduisit vers le piquet et m'attacha le collier autour du cou. Quelle humiliation! Je ne pouvais même pas me réchauffer avec mes mains car elles étaient encore menottées dans mon dos. Je vis Stan s'éloigner, j'essayai de crier pour qu'il revienne, pour qu'il ne me laisse pas dehors par ce froid, mais mes sons étaient étouffés par le gros scotch. Il se dirigea vers le côté de la maison et j'entendis un bruit familier. Il déroulait le tuyau d'arrosage. Soudain, je perçus le bruit d'un puissant jet d'eau. Je le vis revenir avec l'embout du tuyau entre les mains, qu'il dirigea vers moi.

L'eau glacée, le jet puissant, me pétrifièrent sur place. J'essayai de me retourner, de me protéger, mais c'était impossible, mes déplacements étant très limités par la chaine à laquelle j'étais attachée par le cou.

- Mon sperme avait bien séché sur toi, espèce de souillon, tu devrais me remercier de te nettoyer, lança mon mari.

Je renonçai à me débattre et attendit qu'il ait fini. Le froid m'avait conduit dans une sorte d'état de choc. Je n'arrivais plus à réfléchir, plus à bouger. Mon corps entier était crispé je ne sentais que de la douleur partout, le froid me brûlait en fait la peau. Stan détacha le collier pour chien et me prit dans ses bras. Je dégoulinais d'eau glacée, mes cheveux aussi étaient trempés. Complètement inerte je le laissai faire. J'avais le regard perdu dans le vague. Il me redescendit au sous-sol, dans ses bras, et me déposa allongée sur le panier pour chien. Il rattacha mes menottes à la chaine soudée au tuyau, et il remonta, me laissant à nouveau seule dans le noir.

Pétrifiée par le froid et ce qui venait de m'arriver, je restai comme cela, dans le noir, des heures. Propre certes, mais sous le choc. Les larmes coulaient toutes seules le long de mes joues. Stan était en haut, bien au chaud dans notre lit. Aux aurores, il vint me chercher. Il arracha brutalement le scotch. Toujours en état de stupéfaction, le corps parcouru de frissons, je ne réagis même pas. Il me reprit dans ses bras et m'amena dans notre lit, sous la couette. J'étais encore glacée mais je sentis que peu à peu, sous notre couette épaisse, la chaleur pourrait me regagner progressivement.

Stan détacha mes menottes et contre toute attente, il passa son bras par dessus ma tête pour m'enlacer. J'enfouis mon visage sur son torse, en pleurs. Stan me caressa doucement le bras et me fit un baiser sur la tête. Que je chérissais ce moment! Stan m'aimait, comme un mari doit aimer sa femme. Je n'étais peut-être pas faite pour être une soumise. Peut être que je voulais simplement être à la merci de Stanislas pour qu'il m'accorde enfin de l'attention. Ses mains continuèrent à me caresser doucement et sensuellement. Il effleura mes seins, puis mon ventre, ce qui me chatouilla légèrement. J'avais de nouveau quelques frissons, mais de plaisir cette fois. Nue, collée à Stan, je me réchauffai rapidement. Ses doigts se dirigèrent vers mon pubis, qu'il effleura. Nos bouches se rencontrèrent et nous nous échangeâmes un long baiser pendant lequel les doigts de Stan continuaient de me caressèrent lentement le pubis. Je me collais à lui le plus possible. Je sentis mon corps, réchauffé, s'exciter doucement et sûrement de la situation. Je commençai à mouiller, et émettre de tout petits gémissements. Je bougeais doucement mon bassin, comme pour inviter Stan à me doigter au lieu de simplement effleurer mon pubis.

Stan écarta mes grosses lèvres et passa un doigt à l'entrée de mon vagin. Je le vis ramener le doigt à son visage. Soudain, il s'écarta de moi, cessant toutes caresses.

- Si c'est ça qui t'excite Lorraine, je ne vois pas l'intérêt de continuer ton éducation. Tu es bien trop focalisée sur ton propre plaisir. Et tu n'es pas de taille pour que je sois ton maître.

- Si, protestai-je d'une voix étouffée.

- Regarde l'état dans lequel tu étais ce soir. En pleurs, sous le choc. Alors que tu devrais être excitée par les sévices que je prends la peine de t'infliger, pour ton éducation. Tu n'es plus une gamine. Je ne vois pas à quoi tu t'attendais.

Je ne répondis rien. Il est vrai que j'avais peut-être fantasmé le fait d'être sa soumise. Je m'imaginais des douces tortures, avoir orgasmes sur orgasmes sous le coup de ses caresses incessantes. Être un peu malmenée certes, car cela m'excitait. Mais je n'avais pas joui depuis des semaines et Stan m'utilisait en fait simplement comme un réceptacle à sperme.

En fait, je m'attendais à reproduire mes premières fois, la découverte de ma vie sexuelle, quand mes parents m'avaient envoyée à Paris, pour mes études supérieures, chez un vieil oncle. Bien qu'il avait plus de 65 ans à l'époque, et était intimidant, comme le haut fonctionnaire de l'État qu'il était, nous avions vécu des mois de passion dans son immense appartement haussmannien, j'avais tout découvert avec lui. C'est lui qui m'avait prise par le cul pour la toute première fois qu'une bite me pénétrait, car il voulait préserver ma chatte serrée le plus longtemps possible, afin de savourer au mieux ma défloration. Peut-être que je raconterai cette longue série d'aventures une autre fois.

- Pour le moment, tu n'as même pas vu 10 % de ce que j'ai prévu de t'infliger Lorraine. Alors si tu craques déjà, autant partir, continua Stan.

Je me mordis la lèvre. Je ne voulais pas perdre Stan. J'étais prête à tout.

- Non, je veux continuer, je veux être à toi, affirmai-je.

- Que veux-tu être? Me demanda Stan.

Je savais très bien les mots qu'il attendait.

- Je veux être une chienne. Je veux être ta chienne.

- Bien. Alors comporte toi comme tel, ordonna-t-il. Sois contente de me voir, peu importe ce que je t'ai fait avant, peu importe le froid, peu importe si tu as dormi dehors, peu importe si je t'ai frappée, ou punie.

Il marque une pause.

- Voudrais-tu que l'on fasse l'amour, sensuellement, dans la chaleur de notre lit, est-ce ça que tu attends?

En fait, oui, je n'attendais que ça, mais je savais qu'il ne voulait surtout pas l'entendre.

- Non, répondis-je. Je veux continuer à prendre tes coups de verge et ton sperme, comme la chienne que je suis.

- C'est bien. Tu ne mérites pas plus, Lorraine. Tu ne mérites pas mon affection. Tu me dégoûtes. Tu mérites seulement que je t'éduque. Je regrette d'ailleurs, de ne pas l'avoir fait dès le début de notre mariage. Pour ton comportement de cette nuit et ton manque de gratitude envers ton maitre, tu seras punie ce soir. Il s'agira d'une punition ironique. Tu pourras jouir, on verra jusqu'à où tu es capable d'aller.

Ses paroles me glacèrent. Il pris les menottes de la table de nuit, et m'attacha au lit, comme d'habitude, me laissant sur ma faim.

***

Les enfants étaient rentrés, nous étions dimanche et ma belle mère les avais raccompagnés chez nous. J'avais dormi quelques heures, attachée, mais dans notre lit, après la discussion que nous avions eu. Je portais un leggings et un t-shirt confortable. Nous avions fait des activités en famille. En fin d'après-midi, nous nous installâmes dans la salon télé avec les enfants. Stan mit des dessins animés, les petits étaient complètement absorbés par l'écran. Nous étions tous les quatre assis sur notre immense canapé. Stan était à côté de moi. Il mit un gros plaid épais par dessus nous, qui nous couvrait tous les deux.

Au début, je ne compris pas pourquoi et pensai simplement qu'il avait froid. Doucement, il vint poser sa main sur ma cuisse. Évidemment je ne protestai pas, n'en ayant pas le droit, et surtout, pour ne pas déranger les enfants ou dévier leur attention de l'écran. Par dessus mon leggings, il vint malaxer mon entre-jambe, prenant mon pubis entier dans sa main. Toujours par dessus le tissus, il vint enfoncer un doigt à l'entrée de mon vagin. Stimulée, mon intimité se réchauffait et je commençai à mouiller. Mon leggings, gris et très fin, devint bientôt mouillé également, n'ayant pas de culotte.

Je restai impassible pour ne pas perturber les enfants. Il glissa sa main sous mon leggings et vint récupérer un peu de mouille à l'entrée de mon vagin, avec son index et son majeur, qu'il remonta jusqu'à mon clitoris. Je fondais, c'était la seule chose qui pouvait me faire jouir. Doucement, il commença des mouvement circulaires sur mon clitoris. Je sentais le plaisir innerver tout mon bas-ventre. J'avais le visage en feu, ma respiration se fit plus haletante. Je me crispai pour ne pas bouger. Ma chatte était gonflée, mes lèvres avaient dû doubler de volume, prête à accueillir toute bite qui voudrait s'y loger. Pendant les 30 minutes de dessins animés qu'il restait, Stan continua à me masser le clitoris, tellement doucement qu'il m'était en fait impossible de jouir.

Mon corps ne répondait qu'en mouillant de plus belle et en se délectant de ces doigts. Je ne fermai surtout pas les yeux, pour ne pas quitter le moment présent et ne pas me trahir auprès des enfants. Parfois, un doigt s'attardait sur mon clitoris, il appuyait un peu plus légèrement, et je le sentais à l'entrée de mon urètre, ce qui décuplait mes sensations.

Peu avant la fin du dessin animé, il retira simplement sa main. Nous éteignîmes la télévision et nous levâmes. J'avais une tâche humide à l'entre-jambe et réalisai avec horreur que toute ma mouille avait bel et bien transpercé mon leggings gris. Je la sentais couler du fait d'être debout.

Mon fil aîné, Henri, le réalisa, avec incompréhension il me regarda puis s'esclaffa : « maman elle s'est fait pipi dessus! ».

Je restai interdite.

- Mais oui chéri, s'étonna Stan. Ça arrive les petits accidents, va vite te changer, chérie.

Il avait parlé fort en regardant notre fils. Puis doucement vers moi il m'ordonna de ne pas m'essuyer, de simplement mettre un leggings noir. Le sentiment d'humiliation était bel et bien là, mais je savais qu'il n'en était pas terminé de la punition de mon mari.

Le reste de la soirée se déroula sans encombres. Au moment d'aller coucher les enfants, Stan émit l'idée surprenante que les enfants dorment avec nous, dans notre grand lit. Je n'eus pas le temps de réagir qu'ils sautèrent de joie, heureux de pouvoir profiter de leurs parents après le week end passé chez leurs grands-parents. Stan me fit passer une nuisette dans la salle de bain, et m'interdit de faire pipi. J'avais déjà envie, ce qui ne faisait qu'augmenter mon excitation, déjà bien présente du fait de la longue stimulation clitoridienne infligée par Stan plus tôt.

Les enfants ne tardèrent pas à s'endormir dans notre lit. Stan avait laissé une veilleuse dans notre chambre. Il se leva, sortit, et revint avec un objet que je reconnus immédiatement. C'était le hochet de Jules, notre plus jeune fils. Le hochet était en caoutchouc, avec une partie longue et droite pour que l'enfant le saisisse, et au bout une partie circulaire, qu'il était supposé mordre pour faire ses dents.

- On va voir si tu es vraiment une petite salope contrôlée par ta propre chatte, susurra-t-il.

Sans un bruit, il passa sa main sous ma nuisette. Évidemment, je n'avais pas de culotte et j'avais des restes de mouille de tout à l'heure, il reprit les caresses de mon clitoris, mais à un rythme légèrement plus soutenu. Parfois, il venait titiller l'entrée de ma chatte avec son index. J'essayai de faire quelques mouvement de bassins pour accentuer mon plaisir, mais je me limitais, pour ne pas réveiller mes enfants, qui dormaient dans le même lit que nous, à quelques centimètres. Je pouvais entendre leur respiration régulière. Aussi, je savais que Stan n'appréciait pas.

Je ne sais pas combien de temps ses caresses durèrent. Mon mari prenait le soin de ralentir le rythme dès qu'il soupçonnait qu'un orgasme n'était plus très loin. Il appuyait sa main libre sur le bas de mon ventre, faisant pression sur ma vessie bien pleine. Je fermai les yeux, me délectai de ce moment et des doigts de Stan. Ma chatte était gorgée de plaisir et ne demandait qu'à être pénétrée, au rythme des caresses clitoridiennes. Toutefois, Stan prenait un malin plaisir à négliger mon vagin. J'avais chaud, mon corps entier demandait à être pris. Je fermai les yeux, je n'oubliais pas la présence des enfants. Je réalisai honteusement que ça augmentait même mon plaisir, ne pas devoir faire de bruit, le risque ultime de se faire découvrir par ses propres enfants.

Stan ralentit ses caresses et me tendit le hochet de mon fils. Il n'eut pas besoin de parler. Je savais que c'était ça ou rien pour moi ce soir.

Honteuse, dans un état second, enivrée par le plaisir, je saisis le hochet et en enfonçai le manche dans ma chatte. Cette dernière était tellement gonflée et mouillée que le jouet pour enfant restait à peine en place. C'était si bon de sentir l'objet en caoutchouc le long de ma paroi vaginale. C'était un vrai soulagement. Je fis des mouvements de va-et-vient avec le hochet dans ma chatte. Sans m'en rendre compte, Stan avait cessé ses caresses. C'est moi qui, les yeux mi-clos, avait repris les massages circulaires de mon clitoris, avec la main qui ne s'occupait pas du hochet. Presque en transe, j'oubliai complètement que les enfants étaient à côté et que je me masturbais avec le jouet que mon fils mettrait à la bouche demain. Je ne pensais qu'à mon plaisir.

J'accélérai la cadence, ma chatte gonflée de désir, ne demandant qu'à jouir après des semaines de déni d'orgasme. Soudain, je jouis. Mon corps fut parcouru de spasmes silencieux. Mon visage se crispa, mes yeux se fermèrent, j'avais la bouche semi ouverte. Je restai comme cela quelques secondes, ressentant chaque pulsation de ma chatte contre le hochet de mon fils, toujours logé dans mon vagin.

Peu à peu, je revins à moi. J'étais interdite. Stan me regardait avec un air indescriptible. Doucement, pour ne pas réveiller les enfants, il me fit me lever. Nous sortîmes de la chambre. Il avait récupéré le hochet, trempé de mes sécrétions.

- Suis moi, ordonna-t-il à voix basse.

Nous allâmes reposer le hochet dans la chambre des petits.

- Tu as été capable de te masturber jusqu'à l'orgasme dans le même lit que tes enfants. Qui plus est avec le hochet de ton fils. Ça prouve ma théorie, tu es bien la pire petite salope que j'ai jamais rencontré. Tu seras tout à fait capable de subir mon éducation. Je te laisse vivre avec la honte de savoir que le hochet ne sera pas lavé et que ton fils sucera donc ta mouille dès demain matin. C'était ta punition.

***

Le lendemain, impuissante, je vis Stan tendre le hochet à notre fils. Je me sentis encore plus dégradée que lors de n'importe quels sévices de Stan. J'étais une salope, c'est vrai. Je ne pensais qu'à ma chatte. Je me revis, en train de me masturber les matins après les départs de Stan, bien avant que mon éducation ne commence, ou apprécier les coups de bite de mon vulgaire collaborateur de bureau. Bien avant ça, je me revis, encore vierge, me frotter nue à mon oncle, ignorant tout du sexe ou de mon propre corps, mais ne rêvant qu'une chose, de me faire prendre par sa bite colossale sous son air sévère de ministre. Qu'avait-il dû penser de moi.

La leçon de Stan avait fonctionné. J'allais désormais faire mon possible pour devenir une meilleure soumise et être à la complète merci de mon mari. Je voulais devenir son objet.

Les enfants déposés à l'école, Stan m'attacha nue dehors. Il m'y laissa quelques heures. N'ayant eu aucunement le droit d'utiliser les toilettes, je dus me résigner à me soulager dehors, tant la vessie que les sphincters. J'étais en quelques sortes fière désormais, je le faisais pour Stan. Il vint me détacher et me rentra.

L'après-midi, il alla travailler dans son bureau, une belle pièce de la maison. Il m'ordonna de me coucher nue à ses pieds, pendant qu'il passerait des appels en vidéo-conférence. Je n'avais pas le droit de le toucher, ou de bouger. Quand il eut fini, il me releva et me fit me pencher sur son bureau. Mon cul était à sa merci.

- Es-tu une grosse chienne de salope? Demanda-t-il autoritairement en me menottant les mains dans le dos.

- Oui je suis une grosse chienne de salope. Je m'offre complètement à votre bite, prenez moi comme bon vous semble.

Je ne savais pas pourquoi je l'avais vouvoyé, mais cela m'avait excité sur le coup. Je mouillais. Toujours avec son pantalon, Stan vint se frotter l'entrejambe contre mon cul. Je sentis une bosse se distinguer, qui faisait une légère pression contre moi. Je l'entendis défaire sa braguette et baisser ses vêtements. Il posa son gland sur le haut de mes fesses et vint bouger sa bite du bas vers le haut, le long de ma raie. Jamais il ne passa vers ma chatte. Je sentis que cette dernière allait complètement être délaissée au profit de mon cul. Pourtant je mouillais généreusement, mais Stan faisait très attention à ne pas toucher ma mouille, laissant sa bite parfaitement sèche ainsi que mon cul.

Soudain, il arrêta ses caresses de bite le long de ma raie et vint positionner son gland à l'entrée de mon anus. Pour le moment, il n'exerçait aucune pression mais je savait très bien où ça allait mener. J'appréhendais et ma respiration accélérait. Stan prenait vraiment son temps, l'anticipation de la douleur était aussi présente qu'allait l'être la douleur en elle-même. J'espérai au moins qu'il allait me doigter le cul afin de dilater un peu mon anus. Sinon, aussi sec, le passage de sa bite allait être un vrai calvaire.

- Ton défi, aujourd'hui, est de ne pas faire le moindre bruit, annonça Stan, sa verge posée à l'entrée de mon cul. Je ne pense pas que tu y arriveras. Mais sache que les conséquences seront grandes si tu es trop bruyante. Les putes crient, les chiennes elles, doivent être plus silencieuses.

Il écarta mes fesses pour dégager le plus possible le trou de mon cul. Sa bite vint commencer à faire pression à l'entrée de mon anus. Je fermai les yeux pour essayer d'oublier la douleur à venir et me concentrer sur le silence que je devais maintenir. Il continua de faire pression à l'entrée de mon anus. Sa bite était très raide et son gland commença à se dégager une entrée dans mon cul. Il s'aidait de ses mains afin d'écarter mes fesses et d'élargir un peu mon anus. Il devait pousser comme un forcené car je sentais petit à petit mes entrailles s'ouvrir pour laisser place à la grosse verge verge de mon mari. La douleur était assez atroce, cette sensation de déchirement. Il ne faisait aucun mouvement progressif, il continuait d'enfoncer sa bite, doucement mais sûrement. De ce fait, mon cul n'avait pas le temps de s'habituer à cette dilatation hors normes et chaque millimètre de gagné venait ajouter une douleur fulgurante aux centimètre précédents.

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