Une Soumission Bourgeoise 02

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Un couple moins ordinaire qu'il n'y parait.
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Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 10/29/2020
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C'était une journée ordinaire. Tout du moins ordinaire depuis que notre petit jeu s'était mis en place. Stanislas était chef de son entreprise, il était donc maitre de son emploi du temps. Il passait une grande partie de ses journées avec moi, à travailler depuis la maison, mais quittait notre domicile au moins une fois par jour pour aller sur le site de son entreprise.

La règle était formelle, dès que j'étais à la maison et que les enfants n'étaient pas là, je devais être entièrement nue. Ce matin, après être allés déposer les enfants à l'école, nous étions revenus. Dès l'entrée, j'avais enlevé ma robe. Nous habitions une grande demeure bourgeoise avec un vaste terrain. Aucun vis-à-vis.

Stanislas s'installa sur la table de la salle manger avec son ordinateur et quelques dossiers. Je m'affairai à diverses tâches ménagères, toujours entièrement nue. Vers midi, Stanislas me signala qu'il était temps de manger. À son bon vouloir j'avais tantôt le droit de manger à table, avec lui, tantôt il me menottait les mains dans le dos et posait une assiette sur le sol de la cuisine. Il prenait un malin plaisir à me regarder lécher l'assiette à même le sol avec un dédain mêlé d'amusement. Parfois, il venait me caresser les cheveux pendant que je mangeais. Quand j'avais terminé, il me disait en me nettoyant à l'aide d'un torchon humide, que j'étais sale, que même les porcs mangeaient plus proprement. Puis, il me fouettait les fesses, le ventre, les cuisses ou les seins avec le torchon.

Aujourd'hui, il choisit de poser mon assiette sur la table. Je vins donc m'assoir à côté de lui. Nous discutâmes de tout et de rien. La nouvelle règle était que je n'avais pas le droit de le contredire. Je devais le traiter avec déférence, de la même manière qu'un enfant bien élevé s'adresserait à un parent autoritaire, ou qu'un domestique traiterait son employeur.

L'après-midi, je le rejoignis à la salle à manger, où je devais moi aussi travailler derrière mon ordinateur, passer des coups de fil et répondre à mes e-mails. Certes, j'avais démissionné, mais Stanislas ne voulait pas que je disparaisse de la surface de la terre. Ainsi, il tenait à ce que j'écrive des travaux académiques et que je garde le contact avec proches et connaissances. La version officielle était que je prenais du temps pour moi, pour des projets personnels.

Nous passâmes la journée assis côte à côte. À aucun moment il ne me toucha, ou ne m'ordonna de me toucher, ni même de le toucher. Pourtant, j'étais toujours excitée du fait d'être complètement nue, et lui habillé.

En fin de journée, Stan m'ordonna de remettre ma robe de ce matin. J'allais aller chercher les enfants seule, pendant que lui prendrait notre deuxième voiture pour se rendre à son entreprise. Le soleil avait baissé et une légère brise s'était levée. Ma robe était courte, cela nécessiterait une attention particulière de ma part, n'ayant toujours pas de sous-vêtements. Le vent me donna quelques frissons et mes tétons pointèrent instantanément à travers le tissu fin de ma robe légère, alors que j'attendais que mon fils aîné sorte de l'école. D'autres parents étaient là mais personne ne semblait prêter attention, j'étais un peu soulagée. Dès qu'Henri me vit, il courut m'enlacer, ce qui fit remonter ma robe. Toute rouge, je le repoussai gentiment et remis mon habit. Personne ne semblait avoir vu. Nous passâmes récupérer Jules à la crèche et rentrâmes. N'ayant aucune instruction spécifique de Stan, je dinai avec les enfants, jouai un peu avec eux, leur donnai leur bain et montai les coucher. Rapidement ils s'endormirent.

Je reçus un texto de la part de Stan : « Tu as été une bonne soumise ces derniers jours. Bande toi les yeux avec une de mes cravates. Étends toi, nue sur le lit, couchée sur le ventre. J'arrive dans quelques minutes. Pense à ce que tu veux, mais je t'ordonne d'être mouillée. »

Son SMS me donna des papillons dans le ventre. Les enfants désormais couchés, je retirai ma robe et pris une de ses cravates que je serrai fort derrière ma tête. Comme ordonné, je m'allongeai sur le ventre. Je pensai à ces derniers jours, aux doigts de Stan dans la voiture ce matin, à la sensation d'une bite bien dure ma chatte. Je commençai à mouiller et à être vraiment excitée. Je ne me touchai pas, sachant pertinemment que Stan me l'interdisait. Je ne voulais pas le décevoir, je voulais me prêter entièrement à son jeu. Je fis simplement quelques mouvements de va et vient avec mon bassin contre la couette, ce qui augmenta mon désir.

J'entendis le parquet craquer. Stan. Il prit sont temps, se déshabilla, et je l'entendis se débarbouiller à la salle de bain. Sa présence et son odeur dans la pièce me firent mouiller de plus belle. J'espérai vraiment qu'il s'occuperait de moi ce soir, je n'en pouvais plus d'attendre. Je le sentis s'agenouiller sur le lit, entre mes cuisses qu'il écarta. Il passa un doigt dans ma vulve trempée. Je l'entendis me féliciter. Sans me prévenir, et sans autre forme de préliminaires, il posa ses mains sur mes hanches et je sentis sa bite, dure comme la pierre, s'enfoncer dans ma chatte d'un coup brusque. J'en eus le souffle coupé et émis un petit cri de douleur, n'ayant pas l'habitude d'être pénétrée d'un coup aussi vif. Il s'était enfoncé en moi jusqu'aux couilles mais ne bougeait pas.

- Tu ne dis pas un mot, tu n'émets pas un son, m'ordonna-t-il. Je ne veux pas que tu bouges d'un millimètre. Ce soir je fourre une chatte, un poupée, gonflable. Ton plaisir ne m'importe pas, ta douleur ne m'importe pas, le cas échéant. Je ne veux donc pas t'entendre, tu vas juste me servir de vide-couilles.

Je devais avoir le visage en feu mais je n'émis aucun son. Stan commença son va et vient. Sa bite était grosse et longue, je sentais chaque passage sur ma paroi vaginale. Comme ordonné je ne bougeais pas et n'émettais aucun son, on entendait seulement le claquement de sa pénétration, sa respiration saccadée et mon souffle qui se faisait de plus en plus fort. Stan appuyait ses mains dans le bas de mon dos, ce qui collait mon ventre contre le lit et augmentait mon plaisir. Mon clitoris frottait contre la couette. Je n'allais pas jouir sans qu'on me caresse le clito, quoiqu'il en soit, mais Stan ralentissait tout de même la cadence de sa pénétration dès qu'il devait penser que j'y prenais un peu trop de plaisir. Soudain, je sentis les mouvement de sa bite accélérer, comme un fou il me pénétrait à toute vitesse, ma chatte était en feu, tout mon bas-ventre était secoué par sa bite. D'un coup, il ne bougea plus et éjacula en moi.

- Pas un mouvement Lorraine, dit-il en se retirant de moi.

J'entendis le bruit du papier qu'on déchire et sentit quelque chose de fin et froid inséré dans ma chatte. Je ressentis une légère pression. Ça m'était familier. Il venait de me mettre un tampon.

- Tu vas passer la nuit avec ta mouille et mon foutre en toi, bien scellés par le tampon.

Je ne dis rien, toujours sur le ventre, avec désormais ma chatte fermée par un tampon et sa semence à l'intérieur. Il posa une main sur ma fesse droite, qu'il caressa un peu durement. Puis il mit une autre main sur ma fesse gauche. Il écarta mes deux fesses pour dégager mon anus. Toujours immobile et silencieuse, je le laisser insérer un doigt dans mon cul. Il restait de ma mouille, ce qui facilita un peu l'entrée mais c'était douloureux. Stan n'avait aucune tendresse ce soir là. Il fit des mouvements circulaires avec son doigt. Je n'aimais pas la douleur du début, j'avais toujours l'impression qu'on déchirait mes entrailles, même si j'adorais la sodomie une fois le mal du début passé. D'ailleurs, Stan ne le savait pas, mais mon premier rapport sexuel avait en fait été par le cul, voulant à l'époque rester vierge de la chatte le plus longtemps possible.

Les mouvements de Stan ralentirent et je sentis un objet dur faire pression à l'entrée de mon cul. Il enfonçait quelque chose dans mon anus, d'un peu plus fin que sa bite. Sans aucun lubrifiant, j'avais l'impression qu'on m'écartelait de l'intérieur. J'étouffais un petit gémissement de douleur en enfouissant ma bouche dans la couette. Stan continua d'enfoncer l'objet que je ne voyais pas, doucement mais sûrement mais mon anus. Il arrêta et je sentis quelque de doux et soyeux caresser mes fesses, à l'extrémité de l'objet, comme des poils d'animaux.

- J'ai vu ton gros pinceau à maquillage dans la salle de bain, je me suis dit qu'il irait bien dans ton cul.

Il me retourna sur le dos. C'était désagréable car le pinceau à maquillage était rigide et il s'avérait douloureux de bouger avec cet objet enfoncé dans mon anus.

- Recule pour mettre ta tête sur l'oreiller.

Doucement je reculai, essayant d'éviter des mouvements brusques qui pourraient causer davantage de douleur. Allait-il me laisser longtemps comme ça? Je le vis attraper les menottes, comme tous les soirs dans le tiroir de sa table de nuit. Il m'attacha et me dit que je pouvais dormir. Il vint se coucher à mes côtés et éteignit la lumière.

Cette nuit là, je ne dormis pas bien. Petit à petit, mon cul s'habitua à la présence du gros pinceau rigide, mais j'avais peur qu'il s'enfonce plus profondément dans mes entrailles et que Stan ne le retrouve pas demain matin. Je restai donc sur le qui-vive et réussis à m'assoupir quelques heures. Je fus réveillée par le bruit de la branlette matinale de Stan. On était samedi et il était plus tard que d'habitude, la lumière naturelle passait à travers les rideaux épais de notre chambre. Il me redressa et je sentis le pinceau rigide douloureusement faire pression sur ma paroi anale quand je m'assis. Il me fit lécher son sperme qu'il avait préalablement éjaculé dans la gamelle. Je devais désormais le remercier pour sa semence. Puis, il défit mes menottes et m'enfila un t-shirt. Le bas de mon corps était couvert par la couette. Il m'ordonna de ne pas me lever du lit. Intriguée, je le vis sortir de la chambre. Il revint avec Henri et Jules, nos deux fils, sur-excités, qui sautèrent directement sur le lit et m'enlacèrent.

J'étais heureuse de ce moment privilégié avec les enfants mais j'avais également peur qu'un de mes deux garçons soulève la couette par mégarde. N'ayant aucune culotte ou aucun bas de pyjama, à plus forte raison, avec un tampon dans la chatte et un pinceau à maquillage dans le cul, je ne voulais pas que les enfants voient cette scène.

Je restai un peu de marbre et dis gentiment aux enfants d'aller m'attendre en bas. Stan sourit et accompagna les enfants en bas pour leur faire prendre le petit-déjeuner. Je restai au lit, n'ayant pas encore obtenu l'autorisation d'en sortir. J'entendis la porte d'entrée sonner. C'était la mère de Stan qui venait récupérer les enfants pour s'en occuper tout le week end. Elle faisait ça très fréquemment.

- Lorraine n'est pas là? L'entendis-je demander à Stan.

- Elle est un peu souffrante, elle est restée au lit.

- Je peux passer la saluer, si elle n'y voit pas d'inconvénient? Demanda gentiment ma belle-mère.

- Bon bien sûr, répondit Stan.

Je pouvais imaginer le sourire sur ses lèvres. J'entendis un léger frappement à la porte qui était restée entrouverte.

- Oui, dis-je d'une vois mal assurée.

- Bonjour Lorraine, je ne veux surtout pas vous déranger, je vois que vous êtes indisposée.

- Bonjour belle-maman, répondis-je. Effectivement je ne suis pas au meilleur de ma forme.

- Je ne vous dérange pas plus longtemps Lorraine, me dit-elle avec un sourire affable.

- À bientôt, la saluai-je, soulagée qu'elle n'ait pas passé le pas de la porte.

Une fois ma belle-mère et les enfants partis, Stan remonta dans la chambre. Il baissa la couette, découvrant mon pubis et mes jambes nues. Il fit relever mes jambes contre moi, tel un bébé à qui l'on change une couche. Il retira le pinceau à maquillage de mon cul, pour mon plus grand soulagement, et également le tampon, qui puait la mouille et le sperme. Heureusement, Stan alla le mettre à la poubelle. J'eus le droit de me lever, et seulement le droit de faire pipi.

Nous allâmes petit-déjeuner en bas. Sans les enfants à la maison ce week end, je savais que j'allais passer deux jours entièrement nue, mais surtout deux jours à la merci de Stan, qui ne connaitrait pas d'obstacles. Rapidement après le petit-déjeuner, j'eus envie de déféquer. Je n'avais pas le droit d'aller aux toilettes sans l'autorisation de Stan. En fait, je n'avais même pas le droit de demander l'autorisation. Stan voulait m'éduquer comme une petite chienne, que je fasse mes besoins sur commande, à son bon vouloir, quand il jugeait qu'il était temps de m'accompagner aux toilettes. Stan dut voir que j'avais besoin de chier car il s'approcha de moi et sans prévenir, il m'enfonça son index dans l'anus. Il me serrait fort contre lui et continua de doigter mon cul.

- C'est l'heure d'une sortie, annonça-t-il.

Il enleva son doigt de mon cul et se dirigea vers la porte vitrée donnant sur le jardin arrière de la maison et m'ordonna de le suivre. Horrifiée, je commençai à comprendre où il voulait en venir.

- Je veux te voir chier dehors Lorraine, en tant que chienne, je ne veux pas que tu t'habitues trop souvent au luxe de l'intérieur.

Je le suivis et me dirigea vers l'herbe, un peu mouillée par la rosée matinale. J'étais gênée. Heureusement, notre jardin était en fait un parc relativement grand, clôturé de vieux murs en pierre, et aucune autre maison ne donnait directement dessus.

Stan m'ordonna de m'accroupir dans l'herbe. Ne pouvant pas me retenir plus longtemps, je déféquai sur la pelouse de notre jardin, sous le regard perçant de mon mari. Il avait pris avec lui la petite pelle qui servait à enlever les crottes de la litière du chat, et m'ordonna d'aller jeter ma merde aux toilettes, ce que je fis. J'étais honteuse, je n'avais même pas pu m'essuyer. Stan me fit me doucher.

Plus tard dans la journée, Stan s'installa sur le canapé d'un salon où se trouvait notre télé. Il m'ordonna de me coucher à ses pieds. Je m'exécutai. Il lança un film porno assez banal où une fille aux gros seins se faisait prendre en double pénétration par deux mecs. Je mouillais beaucoup, comme à chaque très rare fois que je regardais un porno. Je vis Stan défaire sa braguette et il m'ordonna de le sucer, doucement, il ne voulait pas jouir. Il bandait à peine. Je me mis à genoux, dos à la télévision, toujours entièrement nue, entre les cuisses de Stan et je commençai à le sucer, à lécher sa bite, et ses couilles, à un rythme lent. Stan ne voulait pas que j'utilise mes mains.

- Tu continues de me sucer tant que je ne te dis pas d'arrêter. Je t'interdis de regarder la télévision, tu ne détournes pas le regard de ma bite.

Je le suçai pendant des heures. Les films porno défilaient, je ne pouvais pas voir ce qu'il mettait mais j'entendais des cris de douleurs, des pleurs, des bruits de fouets, des paroles dégradantes. La bite de Stan était dure comme du bois, mes coups de langue réguliers maintenaient son érection, de même que les images qu'il était en train de regarder. J'imaginais les vidéos et je mouillais comme jamais.

Stan coupa la télévision, et se releva sans prévenir. Je le vis remettre son caleçon et fermer son pantalon, où sa bite encore raide faisait une bosse.

Il attacha mes mains dans mon dos à l'aide de menottes et me servit une assiette par terre. Je m'agenouillai et approchai mon visage à terre, afin de gober et lécher le contenu de l'assiette. Stan resta à côté de moi. Une fois l'assiette finie il ne détacha pas mes mains et m'allongea sur le dos, sur la table de la cuisine. Il bandait encore et me pénétra. J'étais toujours trempée de tout à l'heure, je sentis son gland à l'entrée de ma chatte puis sa verge toute entière ramoner mon intimité. J'essayai de rester impassible mais mon visage ne pouvait que trahir le plaisir qui parcourait tout mon corps, notamment mon bas ventre brulant.

- Je ne veux pas voir ton plaisir Lorraine, contrôle-toi, ordonna Stan, fermement.

J'essayai tant bien que mal de garder un visage neutre mais c'était impossible. Tout en continuant de me pénétrer sans ménagement, Stan vint m'étrangler de sa main gauche et sans prévenir, il me gifla de toutes ses forces avec sa main droite. La douleur et la surprise me figèrent. Il avait desserré sa main gauche autour de ma gorge mais continuait de me tenir fermement le cou. La gifle m'avait tellement surprise que mon corps était devenu impassible, simplement secoué par les coups de bites de Stan. Pourtant, je continuai de bruler de plaisir et ma chatte était gonflée de désir pour la verge de mon mari. Il cessa son va-et-vient, retira sa bite de mon vagin et éjacula sur mes seins et mon ventre. Il me remit à genoux, toujours les mains menottées dans le dos.

- Lèche ma bite jusqu'à ce qu'elle soit propre.

Je m'exécutai. J'étais dégueulasse, ayant encore les restes de nourriture sur le visage, après avoir mangé par terre telle une chienne, et étant désormais recouverte du foutre de Stanislas. Il était seulement 18h30. Stan me fit descendre au sous-sol. Je vis un panier pour chien recouvert d'une serviette éponge et un pipi-pad à côté, ainsi qu'un gamelle d'eau. Une chaine en métal était soudée à un tuyau, lui-même soudé au mur.

Stan me fit me coucher sur le lit pour chien. Un peu recroquevillée sur moi-même, je rentrai parfaitement dessus. J'avais toujours les mains attachées dans le dos. Il prit le bout de la chaine en métal, qu'il menotta à mes menottes déjà en place derrière mon dos.

- Je viendrai te chercher demain matin, m'annonça-t-il. Nous avons un dîner ce soir, chez des amis. J'irai seul je dirai que tu es souffrante. Tu n'es pas encore assez éduquée pour sortir à mes côtés et te contrôler dans des dîners mondains. N'hésite pas à soulager ta vessie sur le pipi-pad, c'est fait pour ça.

Je le vis s'éloigner de moi, il remonta les escaliers et éteignit la lumière du sous-sol. Je me retrouvai seule, dans le noir, ma vulve encore mouillée de tout à l'heure. J'entendis la tuyauterie faire du bruit, c'était typique dans les vieilles maisons. Stan devait prendre une douche avant d'aller dîner chez nos amis. J'aurais tué pour être avec lui. Peut-être une heure plus tard, j'entendis sa voiture démarrer dans l'allée.

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2 Commentaires
HortenseDLVHortenseDLVil y a plus de 3 ansAuteur

Bonjour, merci mille fois pour ce commentaire super encourageant ! C'est la toute première fois que j'écris, ça me pousse à continuer ! :)

À tous mes lecteurs, n'hésitez pas à me donner un retour, autant positif que négatif !

ps : une auteure en l'occurence

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Bravo

J'adore ! super excitant, progression graduelle de sa soumission, et histoire très bien construite et écrite.

Je suis fan de ce second chapitre axé sur l'avilissement graduel de sa femme adultère et son animalisation.

J'espère que l'auteur va se lâcher et continuer dans cette voie qui sent le stupre !!!

Un (une ,) auteur (e) qui promet beaucoup pour la suite.

Bravo !

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