Une Secrétaire Aux Manettes Ch. 02

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La déchéance d'un PDG au profit de sa secrétaire...
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 06/15/2021
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Debout face à la porte close de la grande salle de réunion de sa prolifique entreprise, Antoine sentait les perles de sueur couler sur son front. Il était incapable de bouger d'un millimètre tant ce qu'il s'apprêtait à faire dépassait l'entendement. Pour autant, il n'arrivait plus à résister, il savait depuis quelques jours que c'était la chose à faire...

Une femme arriva doucement derrière lui, et lui attrapa délicatement le bras. Ambre fixa alors intensément son regard dans le sien, et lui dit :

- C'est inutile de lutter, Antoine. Tu te fais du mal en repoussant le moment.

Antoine sentit son enivrant parfum et admira à nouveau le corps de sa sublime secrétaire.

- Qu'est ce que tu mates?

Antoine regarda à nouveau le sol honteux.

- Quand tu leur auras annoncé la nouvelle, tu me laisseras parler. Et quand je commencerai mon petit discours, tu te mettras à genoux à côté de moi.

- Maitresse Ambre! S'il vous plait... Vous ne pouvais pas me faire ça devant eux! S'il vous plait, je vous en prie...

- Cesse de chouiner inutilement. N'est ce pas ce que tu as voulu? Ne vas tu pas accomplir ton plus profond désir en te soumettant à mes ordres? Si tu accèdes à toutes mes demandes, je respecterai ma promesse : tu auras le droit de vivre au quotidien la vie d'esclave à ta maitresse.

- Merci, Maitresse Ambre. J'ai tellement hâte.

- Allez. Entre.

Antoine et sa secrétaire pénétrèrent alors dans la grande salle de réunion, au dernier étage du bâtiment. C'était une salle immense entièrement vitrée, qui offrait une vue sublime sur les Champs-Elysées. Antoine s'éclaircit la gorge et se lança :

- Mes chers collègues, je vous ai réuni aujourd'hui pour vous annoncer une décision importante que j'ai prise pour l'entreprise, et qui va amener un peu de changement dans son fonctionnement.

La salle restait silencieuse, suspendue à ses lèvres en attendant la nouvelle.

- Cette entreprise s'est développée depuis maintenant près d'un siècle, grâce au travail forcené de ma famille, qui depuis maintenant plusieurs générations, a amené cette entreprise au sommet, représentant à elle seule une valeur de 5 milliards d'euros. Bien qu'étant heureux à mon poste, j'ai décidé aujourd'hui de laisser la place. Je pense en effet que cette entreprise a besoin de fraicheur, de nouveauté. J'annonce donc ma démission au sein de la compagnie, et ce à compter d'aujourd'hui.

L'annonce créa tout de même un choc dans l'assistance. Après quelques longues secondes de silence, son vice-président demanda timidement :

- Est-ce sérieux, Antoine?

- Tout à fait, Victor.

- Bien. J'ai peine à y croire... Mais... Qui va te remplacer? Tu cèdes ta part majoritaire dans la compagnie?

Ambre s'avança alors près d'Antoine, face au conseil. Elle le regarda froidement dans les yeux, et il comprit alors. Tremblant de tout son corps, il se mit doucement à genoux à côté d'elle, le regard rivé sur le sol. Les collaborateurs n'en croyaient pas leurs yeux.

- Pour répondre à votre question Victor, c'est à moi qu'Antoine a cédé ses parts. Je dirige donc à présent cette compagnie. N'est ce pas, Antoine?

- Oui, Madame, répondit il d'une timide voix, parfaitement conscient de l'humiliation qu'il était en train de vivre.

- Antoine... Tout cela est une plaisanterie, rassure moi? demanda Victor d'un ton anxieux. Cette entreprise a été construite par ta famille, tu ne peux tout de même pas la céder à une simple secrétaire!

- Victor, soyez respecteux dans vos propos à mon égard, coupa Ambre. Désormais, je suis présidente de cette entreprise et par conséquent votre supérieure directe. Si vous voyez un inconvénient à ce changement, vous pouvez partir, je ne vous retiens pas.

Victor, voyant Antoine toujours à genoux, pris peu à peu conscience de la situation et se tut. Ambre s'installa à la table dans le siège qui était avant dévolu à Antoine, et reprit la parole.

- Bien, ceci étant réglé, passons à la suite. Nous devons voter ensemble le montant de mon salaire. Je propose 20 millions d'euros annuels. Qui est pour?

- C'est une blague? s'écria un conseiller, scandalisé. Même Antoine, qui est un membre de la famille à qui l'on doit cette entreprise, ne gagnait pas autant!

Tout le monde acquiesça autour de la table, laissant Ambre minoritaire.

- Vos refus m'attristent vraiment, messieurs. Moi qui avait prévu de vous offrir un bonus exceptionnel d'un million pour fêter mon arrivée... Mais puisque mon arrivée ne semble pas être la bienvenue...

Il y eut un léger malaise au sein des conseillers. Ambre savait qu'elle avait tapé au bon endroit et attendit patiemment.

- Enfin tant pis. Passons au vote tout de même. Qui est pour?

Antoine quitta le sol des yeux et leva la tête en direction de la table. Toutes les mains, sans exception, se levèrent. Ambre sourit.

- Bien, la réunion est close. Je reviendrai vers vous pour la suite des évènements. Vous pouvez disposer. Antoine, mets toi au volant de ta Porsche, nous sortons.

Les collaborateurs, effarés, purent admirer la sublime Ambre, leur nouvelle présidente, quitter la pièce, suivie d'Antoine, qui marchait à quatre pattes derrière elle.

Une heure plus tard, Ambre et Antoine arrivèrent devant le domicile de ce dernier, situé dans une riche banlieue de Paris. Antoine arrêta la Porsche devant le garage. Sa femme était dans le jardin, affolée, en prise avec des huissiers.

- ANTOINE! Enfin, tu es là, mon chéri! Ces huissiers sont en train d'embarquer tous les meubles de la maison et viennent de m'expulser! Ils prétendent que tu es ruiné et que la maison est vendue! Dis leur que c'est un malentend... Qu'est ce qu'elle fait là, celle-là? demanda t-elle en s'apercevant soudain de la présence d'Ambre. Ce n'est pas ta secrétaire?

- Si, ma chérie, je te présente Ambre.

- Bonjour Mademoiselle.

Ambre ne répondit pas. Elle s'adressa à Antoine.

- Antoine, tu lui ferais mieux de lui expliquer maintenant. Ta petite femme s'inquiète.

- Qu'est ce que tu dois m'expliquer? Antoine! Tu me fais peur! Que font ces huissiers chez nous?

- Mathilde, je... je...

Il prit une profonde inspiration et se lança enfin :

- Ce n'est pas un malentendu. Je suis réellement ruiné. J'ai transféré tout l'argent qui était sur nos comptes à Ambre, ici présente. Je lui ai également cédé l'entreprise, il y a quelques heures. Et j'ai signé une reconnaissance de dettes hier chez le notaire de quelques millions d'euros envers elle. C'est pourquoi les huissiers s'emparent de nos affaires. Pour la rembourser. Gentiment, Ambre a racheté notre maison et propose de m'héberger dans la cave. En contrepartie, je devrais la servir au quotidien.

- De... Que... La servir... Je ne comprends rien à ce que tu racontes!

- Tu sais que j'ai toujours désiré de vivre mon fantasme de soumission? Ambre m'a ouvert les yeux et m'a offert la possibilité de vivre ça au grand jour! Elle fera de moi son esclave à temps plein, auprès d'elle... Je n'ai jamais été plus heureux qu'aujourd'hui.

- Et tu as vidé nos comptes pour ça? TU ES MALADE OU QUOI? Tu veux dire que nous n'avons plus rien? Mais pourquoi, Antoine, pourquoi?

- Parce qu'elle est simplement sublime... Et c'était la seule solution pour avoir droit de vivre à ses côtés. Ma vie n'a plus d'importance... Je veux simplement la servir au quotidien, avoir l'honneur de lécher ses pieds, son cul.

Pendant ce temps, terrifiée, Mathilde vérifia sur son application en ligne l'état de ses comptes bancaires. Lorsqu'elle vit le chiffre 0€ à côté de chaque ligne de compte, elle s'effondra.

- Tu es devenu fou... Tu as tout vendu... Qu'est ce qu'on va devenir?

- Son esclave. Si tu le souhaites, Ambre propose aussi de t'héberger dans la cave si tu as besoin.

Folle de rage, la femme d'Antoine se rua sur Ambre.

- SALE GARCE! TU PAIERAS POUR CE QUE TU AS FAIT A MON MARI! SALE PETITE PUTE! SALE...

Alertés par le vacarme provoqué, deux policiers arrivèrent sur place.

- Que se passe t'il ici?

Les huissiers expliquèrent la situation et après quelques minutes de discussion, les policiers se dirigèrent vers la femme d'Antoine.

- Les papiers des huissiers sont clairs, ce n'est plus chez vous ici, cette maison est désormais la propriété de Mademoiselle Ambre Dupont, ici présente. Je vous demanderai de partir d'ici dans le calme.

Défaite, elle partit raccompagnée des policiers sous le regard goguenard d'Ambre, ravie de ce moment.

- Fais moi la visite de mes nouveaux appartements, esclave, fit Ambre en regardant d'un air impérieux Antoine.

Proportionnelle aux riches moyens d'Antoine, la maison était tout à fait luxueuse. Bien qu'elle fut en ville, elle était dotée d'un immense parc, avec une piscine et une gigantesque terrasse. L'intérieur de la maison, qui disposait d'un étage, avait été conçu par un architecte, et était décoré avec beaucoup de goût. A la fin de la visite, elle pénétra dans la cave voutée au sous-sol et aussitôt imagina comment l'investir en cachot pour Antoine.

- C'est ici que tu vivras à présent. Sous terre. Sous mes pieds.

- Merci Mademoiselle. J'en rêve...

- Embrasse mes pieds et remercie moi de t'avoir tout pris. Tu as intérêt à y mettre les formes, si tu veux entrevoir l'espoir d'une libération de ta bite sous peu.

- Merci Maitresse Ambre. Merci de m'avoir ruiné et de m'avoir tout pris. J'ai perdu ma femme, ma maison, mon boulot pour que vous puissiez vous enrichir et profiter d'une vie de princesse. Je suis heureux de perdre mon confort pour avoir la chance de vous servir au quotidien. Merci mille fois Maitresse. Je suis à vous, à présent.

- Bien. Passons à la salle de bains. Suis-moi à quatre pattes.

Docilement, Antoine suivit sa Maitresse, et traversa la maison qui était encore la sienne il y a peu de temps. Arrivé dans la salle de bains, Ambre lui rasa entièrement le corps et les cheveux. Plus un poil n'était présent sur lui. Elle l'affubla d'une perruque, d'une fausse poitrine et de rouge à lèvres. Il enfila également des bas, des escarpins et une tenue de soubrette. Il ne s'attendait pas à être féminisé, mais cela semblait amuser Ambre et c'est tout ce qui lui importait à ce moment précis. Il se regarda dans la glace et se vit tel qu'il était désormais : une pute.

Pour finir, Ambre lui passa des bracelets aux poignets et aux chevilles, et relia le tout par une chaine. Elle lui fit mettre également un baillon assez spécial, avec une brosse au bout, et également un collier électrique qu'elle plaça autour des couilles d'Antoine.

- Bien. Va nettoyer le salon, petite pute. Les déménageurs ont mis de la poussière partout, et j'aimerais que tout soit propre pour y mettre mes affaires.

- Mmmmmpph.

Antoine fit donc le ménage. Il ne pouvait pas vraiment marcher, les bracelets aux chevilles l'en empêchaient, il trottinait de manière tout à fait ridicule, et progressait très lentement dans la tâche. Pour tenter de le faire accélérer, elle lui lançait des chocs électriques à l'aide d'une télécommande.

- MMMMMMMMMPPPPPHH!

Bien sûr tout cela était inutile, et Ambre le savait, il était au maximum de son efficacité. Lorsqu'il se baissait pour nettoyer le sol, la jupe de sa tenue de soubrette se relevait et son cul était à l'air. Ambre observait la scène et lançait de temps à autre de grands éclats de rire. Quand il eut fini, il vint se placer à genoux au centre du salon, attendant la fin de l'inspection d'Ambre.

Bien évidemment, avec seulement une brosse pour nettoyer, le résultat était loin d'être impeccable.

- C'est minable. Il va falloir que tu progresses petite salope. Si tu fais mal ton boulot de bonniche, à quoi vas tu me servir?

Antoine regarda le sol, honteux.

- A présent, tu n'as plus rien, à part moi. Je te jette quand je veux. C'est un honneur que je te fais d'être ici. Tâche donc de m'en remercier à chaque instant. Sinon tu finiras à la décharge publique. Tu n'es plus rien. Tu as compris cela?

Antoine fit oui de la tête.

- Mets toi face au mur. Je vais t'aider à faire rentrer le message.

Ambre enleva le baillon, prit un fouet et commença à le punir.

- AAAAAAAIIIIIIEEE!!! S'il vous plait, Maitresse...

- Compte les coups au lieu de pleurer.

Ambre le fouetta à nouveau.

- Un...

- CLAC

- Deux...

- CLAC

- Trois...

Au trentième coup, il s'écroula par terre. Son dos était tailladé et la douleur était intenable. Il releva la tête vers sa tortionnaire, et croisa un regard qui le fit frémir. Il était plein de déception, mais aussi de dégout.

- T'es vraiment qu'une sous-merde... Regarde toi... Incapable de tenir la douleur, incapable de te tenir debout face à moi. Mais je vais te prendre en main. Bientôt, tu seras une lopette, incapable de réfléchir, avec pour seul et unique but de me rendre la vie meilleure. Et tu aimeras ça.

- Merci Maitresse Ambre.

Dans les jours qui suivirent, quelques travaux eurent lieu dans la maison. Tout d'abord, Ambre prit la décision d'installer une cellule de prison dans la cave. Elle était munie dune porte à barreaux. A l'intérieur, il n'y avait rien, mis à part un simple anneau au sol, pour y attacher Antoine pour la nuit. Au salon, elle fit également installer une trappe vitrée, si bien qu'Antoine pouvait y être enfermé et observer depuis cet endroit la vie se dérouler au dessus de lui, dans le salon.

Une routine fut rapidement installée. Antoine dormait en cellule pour la nuit, puis Ambre venait le libérer avant qu'elle parte travailler sur les Champs-Elysées. En attendant son retour, il s'occupait des travaux de la maison. Ménage, jardinage... Tout cela en tenue de soubrette. Tous ses biens avaient été emportés, c'était là les seuls vêtements dont il disposait.

Le soir, quand elle rentrait, Ambre se mettait en nuisette et demandait à Antoine de lui servir systématiquement un verre de Pomerol. Il accourait alors pour lui apporter la boisson et s'installait à quatre pattes devant elle afin qu'elle puisse étendre ses pieds sur lui.

- Nous avons conclu le contrat avec les Américains, Antoine. En une semaine, je suis parvenue à convaincre les investisseurs, là où tu as lamentablement échoué pendant des mois. Ton ancienne entreprise est plus riche que jamais, à présent. Et tes anciens collaborateurs m'en sont très reconnaissants. Ils sont très dévoués à leur patronne. Tu es déjà aux oubliettes, haha! Tiens regarde!

Elle jeta le magazine Challenges par terre, et Antoine put admirer sa maîtresse sur la couverture, titrée ainsi : "Ambre Dupont, femme la plus riche de France".

Soudain, on frappa à la porte.

- Va ouvrir, esclave. Je vais aller m'habiller.

Antoine s'exécuta immédiatement. En ouvrant la porte, il eut un petit choc.

Il dut mettre quelques secondes avant de reconnaître la femme qui se tenait devant lui. C'était son ancienne femme, Mathilde, qui se tenait devant lui, dans un terrible état. Elle était très sale, et la robe qu'elle portait était déchirée à plusieurs endroits. Elle dégageait également une forte odeur. Elle n'avait pas de chaussures aux pieds, elle qui ne se déplaçait qu'en talons depuis des années.

- Mathilde? Que t'es t'il arrivé?

Mathilde leva la tête vers son mari, aujourd'hui feminisé, en tenue de soubrette. Elle murmura :

- Antoine... J'ai besoin d'aide... J'ai besoin d'être hébergée ici... Je dors dehors depuis plusieurs jours...

- Mathilde, je ne sais pas si je peux, je ne sais pas si Maitresse Ambre acceptera!

- Je t'en supplie Antoine... Je t'en supplie... Demande lui...

Antoine, ému par la vision de sa femme déchue, partit chercher Ambre. Il revint accompagné de sa Maitresse, qui portait désormais une longue robe rouge et des cuissardes.

- Que se passe t'il, esclave? Tu me fais venir pour une clocharde? Tu n'as pas honte?

- C'est ma femme, Maitresse Ambre. Elle est à la rue, elle ne sait pas où dormir. Elle aimerait pouvoir retourner dans cette maison.

Ambre regarda Mathilde d'un air hautain.

- Et pourquoi accepterais-je?

- Je vous en supplie, Mademoiselle... Je vis dans la décharge publique depuis une semaine. Je n'ai jamais travaillé et je n'ai pas réussi à trouver un emploi... J'ai besoin de revenir dans ma maison...

- Ce n'est plus ta maison. De plus, la dernière fois que l'on s'est vus, tu m'as insulté de garce, tu crois que je l'ai oublié?

- Je sais, c'est... C'est la vôtre désormais... Et je vous demande pardon pour mes mots durs...

- Je suis prête à user de ma générosité et de t'offrir un toit, Mathilde. Mais en échange de services à mon égard. Malheureusement le rôle de bonniche est déjà pris par ton mari ici présent.

- S'il vous plait, je ferai ce que vous voulez...

- Néanmoins, j'ai toujours voulu avoir un animal de compagnie à la maison. Je te propose ce rôle. Tu seras ma chienne. Tu vivras nue, à quatre pattes en permanence. Tu mangeras dans une gamelle, dormiras dans une niche dans la cave et amuseras les invités en allant chercher la balle qu'ils te lanceront. Accepte tu ma proposition?

- Oui, répondit Mathilde en un souffle.

- Alors, suis moi. En entrant ici, tu n'as plus le droit à la parole, tu peux juste aboyer... comme les chiennes de ton espèce.

Mathilde rentra et s'installa au milieu du salon. Elle regarda avec envie ce qui avait été sa maison. Toute la décoration avait été changé selon les goûts d'Ambre. Celle ci la fit mettre à poil. Elle lui attacha les bras et les jambes de telle sorte à ce qu'elle soit contrainte de marcher constamment à quatre pattes. Pour parfaire la transformation en chienne domestique, Ambre l'affubla d'un masque en forme de tête de chien et inséra sans ménagement un plug en forme de queue de chien dans son cul.

- Tu es parfaite comme ça. Tu ne trouves pas?

- Ouaf, ouaf!

- Hahahaha, pathétique!

Ambre s'installa y nouveau dans le fauteuil et reprit son verre de vin.

- Esclave, lèche moi la chatte, fais moi du bien. Pendant ce temps là, ma chienne, tu me masseras les pieds.

Sans broncher, Antoine s'engouffra entre les jambes de sa Maitresse et sortit sa langue pour accomplir sa tâche. Il bandait fort dans sa cage, excité d'avoir l'immense honneur de lécher le sexe de sa Maitresse. Pendant ce temps, Mathilde vint aux pieds d'Ambre, lui enleva délicatement les cuissardes et lui massa les pieds.

- Mmmmm, c'est si bon... Mmmmm...

Le tableau était beau : le riche couple désormais ruiné et aux pieds d'une simple secrétaire. En l'espace d'un petit mois, Ambre était parvenue à ses fins. Elle même était surprise de cet accomplissement.

Après avoir joui, elle emmena ses deux esclaves à la cave. Elle relia la cage de chasteté d'Antoine à l'anneau fixé au sol de sa cellule par une courte chaîne. Il ne pouvait ainsi quasiment pas bouger, et cette position rendait ses nuits inconfortables. Ambre referma la porte de sa prison sur lui et verrouilla un gros cadenas. Puis elle passa au cas de Mathilde. Elle avait récupéré la niche de leur ancien chien et l'avait placé dans la cave près de la cellule d'Antoine. Mathilde s'installa à l'intérieur et Ambre entreprit de relier le collier de chien de Mathilde à un anneau au sol de la cave. Ainsi Mathilde ne pouvait pas s'éloigner de plus d'un mètre de sa niche.

Ambre regarda ses esclaves et dit :

- Reposez vous, mes larbins. Soyez en forme pour me servir.

- Oui Maitresse. Merci Maitresse.

- Ouaf, ouaf!

- Ne me décevez pas. N'oubliez pas que vous pouvez retrouver la décharge publique à tout moment...

Et elle partit à l'étage, laissant ses esclaves seuls, dans le froid et l'obscurité de la cave.

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5 Commentaires
NuhNuhNuhNuhil y a presque 3 ans

Le personnel de la société serait sûrement content d’avoir une mascotte. Et quoi de mieux qu’une chienne. Vu le personnage, Mme n’a jamais du être tendre avec le personnel, notamment les chauffeurs, les livreurs, les autres secrétaires, etc… . Il serait de juste retour que le personnel s’occupe d’elle.

Les anciens adversaires économiques aussi d’ailleurs quoi de mieux que d’humilier leur ex-meilleur ennemi et baiser sa femme (qui n’est plus qu’un animal sexuel) en même temps pour que la nouvelle patronne s’assure d’une OPA.

Par contre les modifications physiques, je ne trouve jamais ça nécessaire.

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Excellent.

Je pense qu'après la soubrette et le chien, Ambre aurait besoin d'un WC humain pour lui torcher le cul. Introduire une belle-mère où un(e) fils/fille serait une bonne chose pour ce rôle. Plus de détails trash serait bien aussi.

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Encorrreeee

Vincent

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Je meurs d'envie d'en savoir plus, c'est bien écrit, très exitant. J'espère que l'histoire va durer!!!!!

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Super vraiment super !

On peut imaginer des transformations physique de ces deux esclaves.

Des humiliations publiques devant le personnel de l'entreprise de Ambre

Etc etc etc

Rudy

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