Une Passion Inattendue Ch. 09

BÊTA PUBLIQUE

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J'écarte les jambes, sans un mot elle comprend parfaitement et se positionne que je puisse me soulager sans sortir du lit. Je contrôle le flot, mais elle boit à toute vitesse sans en perdre une goutte. C'est fort de sentir la remplir ainsi. Je l'embrasse longuement malgré l'odeur nauséabonde de sa bouche. Il est temps de se lever, nous avons une journée chargée.

Nous avons une heure avant le rendez-vous que j'ai réussi à prendre (à forcer je dirais). Nous sommes dans le Marais, et nous déjeunons à une terrasse. Heureusement que c'est le quartier Gay de Paris, car sinon ce serait l'émeute. Si jusqu'à ce jour nous nous prenions pour des jumelles, là ce sont des siamoises. Nous ne nous décollons par d'un centimètre et ne cessons de nous toucher, nous embrasser, nous câliner. Isabelle porte une de mes robes courtes, qui sur elle est indécente! Avec des talons haut, elle est magique, un vrai appel au viol avec ses seins libres sous la dentelle. J'ai fait fort, aussi, enfilant une robe moulante grise, qui serait plus adaptée à la plage, sans sous-vêtement ce que chacun peut constater. Par contre je suis en basket, j'adore ce contraste.

Nos yeux ne se quittent plus, nos mains non plus, c'est juste une fusion absolue. J'ai commandé à manger pour moi seulement, et je nourris Alice comme un petit oiseau affamé. Cela la fait délicieusement mouiller. Je me demande si elle aura une tache en se relevant tout à l'heure. Nous parlons encore et encore, de nos émotions passés, de nos souvenirs, de notre relation qui est arrivée à un tournant vertigineux. Je gronde Alice de m'avoir caché tout ce pan de sa personnalité, mais il est clair que je n'étais pas prête du tout. Et à rien. Finalement je suis sa créature et sa construction! A moi d'échapper à mon créateur, qui n'espère que cela...

Nous sommes allongées toutes les deux côte à côte. Bien entendu, elle ne sait rien de ce que je veux, me fais pleinement confiance et ne cesse de me répéter son engagement absolu et sans fin. Je me noie dans ses yeux en la dévorant. Elle est restée habillée, alors que je suis nue à partir du ventre. Les tatouages sont rapides, sur son bras, elle retrouve émerveillée le même tatouage que celui de Yara. Owned by CK. Impossible à cacher, et disant bien ce qu'il veut dire. J'ai une pointe de sadisme à faire le même, comme si je la mettais au même niveau que Yara. Je lui dis d'ailleurs qu'elle rejoint mon cheptel! Alice est ravie, et prête à faire partie du cheptel de la taille qui me plaira dont elle fait partie! Le tatouage est magnifique sur son bras.

Pour moi celui que j'ai sur le bras convient très bien, même prémonitoire puisque je dis les clés au pluriel, donc celles d'Alice aussi. Je lui fais découvrir mon tatouage une fois celui-ci terminée. Elle porte la main à sa bouche, et fond en larmes. A la même place que celui qu'elle s'est fait faire en cachette, j'ai demandé le même cœur. Mais au lieu de ses initiales, j'ai fait graver nala, le nom que je lui ai choisi, qui m'est venu instantanément le moment où elle m'a demandé d'être sa maîtresse. Nala lui plaît beaucoup, Alice a disparu maintenant. Elle aussi a switché tout naturellement sur le vouvoiement, cela nous semble si naturel et nous empêche pas de nous toucher tout le temps.

En réglant, j'aperçois un magnifique collier métallique. Il est ridiculement petit en taille, mais je veux que Nala l'essaie. Elle est si gracile, il semble être fait pour elle, à la surprise même de la vendeuse. Le collier est moins ostensible que celui de Yara, mais tout de même ne laisse pas à interprétation. J'hésite, je la regarde longuement. J'ai vraiment envie de lui poser la question, mais ce n'est pas ce que notre relation implique. Aussi je prends la décision folle de prendre le collier, et de le lui imposer en permanence, y compris au travail. Nala me regarde interloquée, hésitante. Suis-je allée trop loin? Je peux toujours revenir dessus si cela lui est trop compliqué. Je suis même un peu déstabilisée, peut être vais-je trop vite. Enfin si c'est sur que je vais trop vite.

Sans un mot Elle se met à pattes, m'embrasse les baskets, me serre contre elle, me remercie pour ce collier dont elle est si fière et qu'elle veut revendiquer partout, même au boulot. J'en ai les larmes aux yeux. Nous nous embrassons fougueusement, j'ai tellement, tellement envie d'elle. Avec ce collier et cette robe blanche, elle est tout simplement sublime. L'effet dans la rue est incroyable, même si nous sommes très concentrées l'une sur l'autre. Je trouve nala sublime dans son abandon.

Cela me rappelle une rare personne qui m'ai fait de l'effet. C'était un blog d'une esclave, esclavect, qui était allée aussi au bout de sa dévotion et de son abandon, bien loin des niaiseries habituelles. Elle s'était gravé les initiales de son Maître à la lame de rasoir sur le pubis, avant de les faire tatouer en très gros, comme sur son épaule. La sensation d'appartenance était totale. Son Maître avait fait faire sur mesure une coque en acier qui recouvrait tout son sexe, percée pour l'hygiène, l'empêchant même de se caresser. La coque était maintenue par de nombreux piercings traversant son sexe de part en part. Il y avait un côté magique et très fort. A la coque pendait une plaque avec les coordonnées de son Maître!

Cela m'avait interrogé sur la chasteté féminine. Pas plus que cela, car je ne me sentais pas concernée, mais aujourd'hui d'un coup, je le suis. Et franchement je crois que je suis contre. Evidemment la soumission féminine et masculine n'ont rien à voir, et la chasteté pour une femme n'est pas une telle contrainte, sauf dans les torrents de récits décrivant une femme prête à tout pour jouir! Des récits écrits sans doute par des frustrés car cela ne fonctionne pas du tout comme cela. Moins une femme jouit, moins elle en a envie et besoin. Et réciproquement plus elle jouit, plus elle est attachée. Donc non, nala jouira plus que jamais. D'autant qu'elle est assez prude, et que cela va être très excitant de l'humilier ainsi.

Nous allons chez elle, sur la rive gauche aussi. Elle est complètement exaltée, saute dans la rue comme une gamine, nous sommes heureuses. Elle ne veut rien prendre, me dit que je dois tout décider de sa vie. C'est certain que ses costumes pantalon vont rester là. Mais elle a des robes et des ensemble qui sont bien, je verrai pour compléter tout cela, y compris pour les chaussures. Pour les culottes, interdiction d'en porter, je veux qu'elle se sente vulnérable et j'espère excitée en permanence. Pour les soutien-gorge, ce sera sur permission. La petite fille rit et pleure de bonheur. Quelques papiers pour compléter.

Je lui demande d'approcher, tandis que je suis assise sur le lit. La tension est immédiate, le désir embaume la pièce. Je la couche sur mes genoux, sa jolie robe en dentelle relevée sur ses fesses que je caresse et malaxe. Ses jambes à peine écartées laissent entrevoir son abricot luisant et palpitant. J'écarte les globes, je caresse son anus, provoquant frissons et une réaction qu'elle réprime vite. Tout est à moi je lui rappelle! La première claque la fait sursauter. Le bruit résonne, je recommence. Encore et encore. J'ai la main douloureuse mais je me dois de supporter, tandis que ma nala gémit de souffrance. Enfin je crois car son sexe dégouline. Ses fesses sont toutes chaudes, c'est jouissif, rouges vifs, elle marque autrement plus que yara.

Il est temps qu'elle m'offre le cadeau qu'elle a voulu me faire pour fêter cette journée unique. Avant d'aller chez elle, nous sommes allées à Pigalle, et je l'ai attendue dehors tandis qu'elle rentrait dans un sex-shop pour femme! Je ne connaissais pas, mais cela ressemble à un magasin comme un autre. Je me suis assise à une terrasse, vite harcelée dans ce quartier chaud par ma tenue pas très loin de celle des putes qui hantent Pigalle. Mais mon air a quand même dissuadé les propositions directes. Quand elle me rejoint elle porte un sac avec plusieurs objets et ne veux me les offrir qu'en privé. Sortant d'un sex-shop, je peux comprendre. Les sifflets fusent quand nous nous embrassons, tellement en manque pendant ces 15 minutes d'absence!

Nala est à genoux, les mains sur ses fesses meurtries, les yeux brillants tandis que je déballe les deux cadeaux. Un grand au format oblong, l'autre un petit paquet. Je commence par ce dernier. Une culotte, voire un short noir, très épais mais avec de la dentelle. Je l'enfile, ce n'est pas laid du tout mais je comprends que ce n'est pas l'usage habituel sa destination : un gros anneau en caoutchouc trône au niveau de mon pubis. Une culotte Gode, je ne connaissais pas! J'avais déjà regardé les gode ceinture, très peu convaincue par ce que je voyais, mais aussi par l'intérêt Mais il est vrai que je n'avais que Yara en perspective. Nala change un peu cela.

Elle avait choisi un Gode doré pour aller avec, sachant que je pouvais utiliser les miens aussi bien puisque l'anneau s'adaptait facilement.

- Ce n'est pas un Gode ma Maîtresse chérie, mais un Phallus!

- Et? je lui demande

- Un Phallus c'est le symbole de votre puissance et de votre domination, dans le couple, ou plutôt dans notre trouple, c'est vous qui portez le phallus doré! L'or pour le côté divin. Vous êtes ma déesse toute puissante.

Je dois avouer que l'image renvoyée par le miroir sur pied est vertigineuse. Le Phallus est très imposant, nettement plus gros que feu le sexe de yara. Je souris en imaginant les réactions sur le web à cette vue. Je gifle à toute volée Nala à genoux à mes pieds, elle chancèle. A cet instant je veux la briser comme jamais, la posséder toute entière. Je la prends par les cheveux pour la positionner en levrette sur le lit, je me mets entre ses cuisses, le Phallus bien positionné sur son magnifique sexe entrouvert et complètement trempé! Je lui dis qu'elle est une chienne baveuse, une salope qui s'ignore, que je vais l'offrir à tous les hommes et tous les chiens qui passeront, qu'elle est bonne qu'à se faire remplir. Tout en la pénétrant, un peu maladroitement avec le Gode. Elle se met à gémir et à trembler avant même que je ne l'ai totalement enfoncé. Elle me confirme avoir eu un orgasme!

Je prends mes marques, je m'accroche à ses hanches, comme c'est divin! Je fais pénétrer le sexe factice énorme dans son vagin avide, je cogne au fond, lui arrache des cris, mélange de souffrance et de désir. Je reviens, encore et encore, je sens l'engin qui s'enfonce de plus en plus, ses cris de plus en plus rauques, les orgasmes tandis que je l'insulte se multiplient, je lui promets de la briser, de faire d'elle ma pute personnelle. Mon sentiment de puissance est paroxystique, je vais et je viens en elle de façon désordonnée, folle, violente, tendre parfois. Je ne me lasse pas, encore et encore, j'ai les cuisses qui brûlent, la gorge sèche, je tape ses fesses offertes. Nala tient à peine à genoux. Elle me supplie de continuer, mais aussitôt demande pitié, ce qui ne fait que m'exciter davantage pour la pilonner comme jamais. Cela dure depuis près d'une demi-heure, mais je ne suis pas rassasiée, j'adore son jouet.

Je me retire enfin, elle s'écroule allongée sur le lit, je lui interdis de bouger. Elle sait, et elle tremble. Je suis sans pitié. Je veux qu'elle s'en souvienne. Je positionne le bout du Phallus sur on œillet, sans même l'ouvrir au préalable. Il est tout enduit de mouille, c'est déjà bien. J'appuie doucement, j'écarte les globes pour le faire coulisser, le Gode est trop gros, tant mieux. Son souffle est court, mais je n'en tiens pas compte. Je fais de petits allers et retours, je ne veux pas la blesser pour pouvoir m'en resservir! A chaque mouvement le Gode rentre plus loin, lubrifie tout le canal, arrache à mon esclave des feulements sauvages, mais aussi des mots d'amour et de dévotion. Le monstre coulisse maintenant dans son rectum, il pénètre finalement plus loin que dans son sexe, mes mouvements peuvent reprendre leur brutalité. Je suis fascinée de voir son cul ainsi s'offrir et s'ouvrir comme une fleur. Je sors l'engin pour le replonger, arrachant des cris de souffrances et de désir. Je l'oblige à se caresser et elle jouit dans des râles inouïs!

Mais je n'en ai pas fini avec elle, je ne lui laisse aucun répit, et me met à jouer avec son anus, l'ouvrant et le refermant avec le bout du gode qui la torture l'étirant sans cesse. Je sais que ces jeux sont épuisants, rendent folles, mais aussi qu'elle va s'en souvenir pendant quelques jours. Je lui promets de la défoncer avec de plus gros gode, de l'offrir à un cheval par le cul, qu'elle soit ainsi bien à sa place de salope. Enfin je me laisse jouir en frottant mon clitoris sur le tissu épais de la culotte. Je m'effondre sur ma victime totalement épuisée.

Il est plus de 23h, j'avais laissé un message à ma chienne yara pour qu'elle aille se coucher et vienne nous prendre avec la voiture demain pour emmener les valises. Nala est posée sur ma poitrine, nous sommes collées. Elle ne cesse de gémir et de me supplier, je crois qu'elle est en plein délire. Moi aussi. Un nouvel univers s'ouvre en moi et je découvre que plus j'aime plus j'ai envie d'être cruelle. Je ne pourrais pas l'être sur une personne quelconque. Et comme j'aime nala à l'infini, je lui promets les pires cruautés pour mon plaisir. Elle me remercie en me faisant jouir doucement de sa main libre sur mon sexe.

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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Je rêve d'une suite à cette histoire incroyable

ZachariasvarZachariasvaril y a presque 2 ans

C’est bon de découvrir que c’est avec la soumission d.Alice qu’elle jouit le plus fort. Yara va trouver vraiment sa place d’esclave du couple de femmes amoureuses

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

J'avais déjà senti qu'Alice ce serait bien laissée dominée lors d'un précédent épisode.

Elle vient donc de s'offrir en esclave de son amour de toujours. J'ai hâte de découvrir la réaction de Yala en découvrant qu'une petite chienne va partager sa vie d'esclave et grossir le cheptel de sa Maîtresse qui elle se découvre de plus en plus sadique.

OlivX

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