Une Nouvelle Belle-Fille (Suite 01)

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Une Nouvelle Belle-Fille (suite 01)

Ce texte est la suite d' "Une Nouvelle Belle-Fille Presque Neuve", au titre trop long pour être enregistré avec la mention ( suite 01)

Tous les personnages sont d'âge adulte.

Il me fallut quelques instants pour reprendre mon souffle. Elle continuait à ahaner, comme en transes, toujours collée retroussée jusqu'au con contre la cloison, le visage cramoisi trahissant à la fois sa jouissance et sa honte d'avoir joui. Quand enfin je pus quant à moi reprendre mes esprits, ce fut tout de suite pour prendre conscience du temps qui passait. En bas, ils allaient finir par se demander ce que nous pouvions bien faire. Je l'attirai brusquement à moi et lui claquai une dernière fois les fesses avant d'ordonner :

« Tu remontes ta culotte, salope, et tu rajustes ta jupe! Ton petit homme et sa mère doivent nous attendre!»

Elle obéit, les lèvres tremblantes et le regard fuyant, sans oser dire un mot. Il était temps de regagner le salon. En redescendant, je ne résistai pas, non pas à la tentation mais à ce qui était devenu mon passe-droit : ma main continua à palper avec rudesse les fesses charnues ondulant devant moi, qui s'abandonnaient sans résister à mon emprise et qui s'écartaient sous mes doigts à travers le tissu. La première volée de l'escalier passée et alors que nous passions devant la salle de bains située à l'entresol et dont la porte était demeurée entrouverte, elle me demanda en bégayant, d'un air timide et gêné qui suffit à me faire à nouveau bander comme un cerf :

« Est-ce que... est-ce que... je peux je peux... aller...?

-Aller où? Au bidet te dégorger la chatte de mon foutre? Tu rêves. Pas question, petite pute, tu vas la garder engluée toute la soirée, ta chagatte, comme une bonne femelle bien remplie.! Tu vas voir, ça va être excitant, avec eux deux qui ne se douteront de rien...»

Je trouvai véritablement adorable la façon dont elle baissa la tête sans discuter, écarlate et résignée d'avance. Ma future belle-fille était une soumise née, celle dont rêve tout mâle ayant de la testostérone à revendre, une soumise née incapable de se rebeller contre une autorité patriarcale un tant soit peu fermement exprimée et qui accepterait toujours toutes mes exigences, j'en étais à présent persuadé...

Dès notre entrée au salon ma femme s'empressa bien entendu de lui demander comment elle avait trouvé ce qu'elle appela « ces horreurs ». En gentille petite invitée soucieuse de ne pas froisser son futur beau-père sans indisposer sa future belle-mère, elle répondit les yeux toujours modestement baissés et en rosissant :

« Je... c'est... c'est une belle collection... »

Je sautai sur l'occasion pour placer et marquer un point décisif :

« Mélanie a adoré! Si vous aviez vu son enthousiasme! C'est au point qu'elle m'a proposé de m'aider de passer à la maison dès lundi pour m'aider à trier et à classer mes pièces! »

A ma grande délectation, le regard qu'elle me jeta avait tout de celui d'une biche traquée. Je crus voir ses yeux s'humecter de larmes rentrées. Heureusement, la mère et le fils ne remarquèrent rien, déjà revenus, après tout juste un vague étonnement poli à la proposition d'aide qu'elle était censée m'avoir faite, à leurs passionnants échanges. Des échanges qui nous excluaient manifestement elle et moi, à ma grande satisfaction. Je profitai de leur tête à tête apparemment captivant pour poser discrètement ma main sur la cuisse de la petite oie, sous la table, et commençai à m'introduire sous sa jupe. Lorsque, au bout d'une minute, je parvins à la fourche, il me suffit d'exercer une pression impérieuse pour qu'elle écarte docilement les cuissesJ Je me mis alors à creuser résolument sa fente encore toute fondante de sa mouille et de mon foutre mêlés. De bien beaux jours se profilaient pour moi dans un très proche avenir...

Dès le lendemain matin, je téléphonai au dénommé Kévin, le très cher, très dévoué et très fidèle ami de mon beau-fils, et, sans que le benêt s'en doute le moins du monde, l'un des deux pervers dépuceleurs de sa belle. Sans prendre de précautions oratoires superflues, je lui fis part de mon entrée dans la danse. Mon intention était avant tout de leur faire savoir, à son ami Léo et à lui, qu'ils n'étaient désormais plus seuls sur le morceau et je m'attendais à un accueil plus que mitigé devant ma concurrence affichée. A mon grand étonnement il n'en fut rien. Il éclata d'un rire sonore :

« On en était sûr Léo et moi, ça ne pouvait pas être autrement! Vous avez la réputation de tirer sur tout ce qui bouge, alors avec une jolie petite caille bien obéissante qui ne bouge que lorsqu'il faut et d'où il faut (ah! ah!), vous n'alliez pas laisser passer l'occasion! D'autant qu'elle est à peine d'occase, le petite salope. Presque neuve et bonne de chez bonne, hein, votre future bru? Mouilleuse au quart de tour et honteuse de mouiller malgré elle? C'est ça, l'avantage de l'éducation des curés, et c'est ce qui fait tout le prix de la chose, hein? Bon, c'est pas le tout, mais on se la fait quand et où à nous trois? Le mieux serait chez eux sitôt le petit cocu parti au boulot? Je peux vous garantir que ça la fait flipper à mort, quand on la saute dans leur lit en lui faisant regarder sa photo sur la table de nuit : elle chiale à moitié sans pouvoir s'empêcher de jouir, la salope! Mais d'abord on pourrait se tutoyer, non? »

Comment aurais-je pu refuser? Il est des occasions où les relations intergénérationnelles s'avèrent très fructueuses. Ce fut le cas entre nous. Dès le lundi suivant, nous étions tous trois sur les huit heures du matin à attendre le départ au bureau de mon beau-fils. En jeune homme qui avait déjà acquis les habitudes d'exactitude et de ponctualité qui font les bons cocus, il franchit la porte de leur immeuble à huit heures pétantes. Trois minutes après, le temps de voir sa voiture disparaître au coin de la rue, nous frappions à la porte de leur appartement... Elle ouvrit vêtue de sa seule nuisette, comme nous ne lui avions spécifié la veille au téléphone, les yeux brillants de larmes... Son passage à la maison pour m'aider à trier ma collection attendrait...

(à suivre)

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3 Commentaires
Sangohan2Sangohan2il y a moins d’une minute

Où est la suite de cette super histoire ?

Sangohan2Sangohan2il y a environ 1 mois

Isabelle s'appelle maintenant Mélanie ? Dommage ce genre d'erreur

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