Une fille et son père

BÊTA PUBLIQUE

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Il m'a prise par la main et m'a entraînée dans la salle de bains pour me doucher rapidement. C'est lui qui m'a lavé l'anus, entrant ses doigts profondément pour nettoyer le foutre qui était au fond du rectum. Il m'embrassa fougueusement et nous ressortîmes pour rejoindre ma mère, qui était rentrée entre temps et qui se trouvait dans la cuisine.

Le soir après le dîner, maman est allée lire dans sa chambre. Mon père et moi sommes restés dans le salon pour regarder la télé. Pendant toute la durée du programme, mon père avait sa main sous ma robe et moi, je tenais sa bite. De temps en temps, il me faisait signe, ce qui signifiait que je devais le prendre en bouche. J'adorais cela parce que comme il était très excité, son urètre était gorgée de sève qui nappait régulièrement son gland. Lui aussi sortait sa main de ma chatte de temps à autre et se nettoyait les doigts avec sa langue. Il me regardait avec un air très vicieux et cela m'excitait.

Puis, comme à notre habitude désormais, nous n'avons pas pu résister et il m'a prise en levrette sur le canapé après pas mal d'hésitations, de peur de se faire prendre la main dans le sac ou plutôt la bite dans le cul. Il me bourrait le derrière et en même temps me broyait les seins. Nous faisions autant de bruit que la télé, avec le canapé qui bougeait et nous qui râlions au rythme des coups de queue. Je ne savais pas ce que ma mère pouvait entendre depuis la chambre mais elle ne s'inquiéta pas de ce qui se passait. Mon père cria toujours aussi fort au moment de son orgasme et moi j'eus toujours autant de plaisir à le recevoir en moi.

Nous remîmes un peu d'ordre, en particulier en nettoyant les gouttes de sperme qui sortaient de mes fesses et souillaient le canapé. Malgré nos efforts, il restait des tâches de foutre sur le tissu. Mon père fit tomber exprès un peu de vin pour détourner les soupçons éventuels de ma mère.

Il m'expliqua qu'il allait prendre rendez-vous pour moi chez un gynécologue pour qu'on me prescrive la pilule. Il me demanda si j'étais d'accord. Je confirmais et il vit dans mes yeux à quel point j'étais heureuse de cette proposition. Après les règles, la pilule est un second pas vers la féminité pour toutes les jeunes filles.

En attendant qu'il me déflore, mon père me prenait par derrière deux ou trois fois par jour. Le lendemain, dimanche, c'était notre dernier jour à attendre avant de reprendre ce qui pour moi s'apparentait à une vie de couple. Faire l'amour à toute heure du jour ou de la nuit, quand l'envie nous en venait, dans n'importe quel endroit de la maison sans avoir peur d'être surpris, coucher dans le même lit, s'embrasser à tout instant, se toucher partout. Nous n'avons pas pu baiser de toute la journée et le soir, cela nous manquait atrocement. Je ne sais pas si mon père s'est soulagé avec ma mère mais moi, je me suis branlée furieusement dans mon lit. Je faisais exprès de faire du bruit, avec le sommier qui grinçait de façon caractéristique, ma main qui s'agitait dans un marécage et moi qui bramais sans retenue jusqu'à l'orgasme. Mes parents devaient se demander ce qui se passait, mon père ayant plus d'éléments que ma mère pour comprendre, mais ils n'osèrent pas venir s'informer.

Ma mère repartit en tournée pour la semaine très tôt le lundi matin. Il ne faisait pas encore jour. Il devait être quatre heures environ. Dès qu'elle a refermé la porte de la maison, mon père est venu me chercher pour m'amener dans son lit et enfin nous avons pu faire l'amour.

Le mercredi après-midi, après les cours, j'avais mon ordonnance pour la pilule. Je mercredi soir, je la prenais pour la première fois et je perdais ma virginité. Souvent, les jeunes filles vivent mal leur défloration parce que c'est douloureux. Mais mon père le fit de façon si délicate et j'étais si préparée que j'eus immensément plus de plaisir que de souffrance. Mon père éjacula très peu de temps après la rupture de l'hymen, si bien qu'il n'aggrava pas l'irritation par des frottements. Quant à moi, j'attendais sa semence depuis si longtemps déjà que je fus submergée de bonheur quand il se vida pour la première fois dans mon vagin.

Je grandis ainsi, entre l'école, ma mère et mon amant ou mon père. Quand j'entrais au lycée, je fis la connaissance de quelques garçons, qui me tournaient autour. Plus tard je suis sorti avec l'un d'eux, qui devint mon petit ami. Puisque je prenais la pilule, nous avons couché ensemble assez vite. Je mis mes parents au courant de ma relation mais c'est seulement à mon père que j'avouais que j'avais des relations sexuelles. Je sentis qu'il était jaloux et à cause de cela, il tenait plus que jamais à ce que nous continuions à dormir dans le même lit pour que je reste sa petite femme comme il disait.

Un jour, le garçon me demanda en mariage et j'acceptais. Ma mère était aux anges et mon père faisait semblant.

Le jour de la noce, pendant la fête qui a suivi, je suis allée aux toilettes et j'ai croisé mon père. Il profita de notre isolement pour m'embrasser. Il regarda autour de lui pour voir si personne ne nous voyait et il me fit entrer dans les toilettes des hommes puis dans une cabine. C'était le jour de mon mariage, j'étais en robe blanche, on me cherchait peut-être, mais je me laissais faire. Mon père s'agenouilla, me baissa ma culotte et enfouit son visage tout entier dans ma chatte. Les quelques instants qui s'étaient passé depuis notre baiser avaient suffi à me liquéfier. Il se releva avec de la cyprine plein la face. Il se déboutonna, me retourna et me prit debout. Je m'appuyais au mur tellement ses coups de reins étaient puissants. Ce fut très rapide mais nous avons jouis tous les deux tellement nous étions excités. Il s'est rajusté, a remonté ma culotte, s'est assuré que personne ne pouvait nous surprendre et m'a fait sortir avec lui en me tenant par la main.

Tout de suite, nous fûmes happé par les invités, moi par mon tout nouvel époux et mon père par sa femme. C'était mon mariage, la nuit de noce n'était pas encore consommée mais j'avais déjà du sperme plein la culotte et ce n'était pas celui de mon mari. Un peu plus tard, nous sommes allés dans la chambre nuptiale et mon mari m'a littéralement jetée sur le lit, a ouvert sa braguette, écarté mon slip et m'a prise sans même me déshabiller. Il a trouvé que j'étais très mouillée et en fut flatté.

Cela fait maintenant vingt ans que je suis mariée. Cela fait vingt sept ans que je suis aussi la maîtresse de mon père. Je suis toujours aussi excitée par ce plaisir pervers de me faire prendre par mon père à deux pas de ma mère et de son gendre. Je ne pourrais pas dire que ma mère ne s'est jamais doutée de rien. Après tout, peut-être a-t-elle des amants elle-même et cela l'arrange-t-elle. Mais mon mari et ma belle famille n'ont jamais rien soupçonné, heureusement.

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Anonymous
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12 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 4 mois

fiction ou pas?

AnonymousAnonymeil y a 6 mois

pas mal dans notre vie terrestre, mais dans l'audelà éternellement dans le profond goufre de l'enfer

AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Tres belle histoire, une femme bien éduquée, son mari a de la chance.

AnonymousAnonymeil y a 8 mois

Excellent.les relations sexuelles incestes sont toujours attirantes.

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Adorable et excitant

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