Trois Sœurs

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Un père et sa fille aînée partent en vacances.
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Cette histoire n'est écrite qu'avec des personnages totalement non-consentant. Les scènes qui y sont décrites ne sont que purement imaginaire. Toute ressemblance avec des faits réels ne serait que fortuite. L'histoire est basé sur l'inceste, puis sur le viol, pour les chapitres suivant, si vous n'aimez pas le genre, passez votre chemin, sans être devin, je sais que vous n'aimerez pas cette histoire. Alors autant faire simple, allez dans un autre thème d'histoire plus à votre goût, vous y trouverez des textes fort bien écrit, qui eux vous plairont. Pour les autres, bonne lecture, en espérant que mon texte vous plaise.

- Allez, papa dit oui!

- Mais Romane, je ne peux pas, je ne vais pas laisser la villa à ta sœur et toi pendant trois jours pour que vous fassiez la fête!

Je m'appelle Paul, j'ai quarante ans. Je suis veuf et papa célibataire de trois adorable jeune fille. Anne, vingt ans, la rousse de la famille. Je suis brun, ma femme était blonde, Anne tient de l'arrière grand-mère de ma défunte femme. Anne est une jeune fille très prude, très sage et très timide. Je ne lui connais pas de petit ami, ni d'amis tout court, que ce soit fille ou garçon. Elle passe son temps libre avec ses sœurs, quand elles sont à la maison, et moi. D'ailleurs, même si depuis trois ans, c'est très souvent, Anne ne sort qu'avec ses deux sœurs et Lindsay la meilleure amie de ma seconde fille. Anne est en deuxième années de médecine, elle étudie beaucoup et ne sort donc jamais seule.

Ses deux sœurs sont complètement à l'opposée d'Anne. Romane dix-huit ans, et Roxane dix-sept ans sont exubérantes et fêtardes. Je ne leurs connais pas de petits amis non plus, mais des tas d'amis, filles ou garçons. Elles sortent beaucoup, mais je ne dis rien, elles rentrent à l'heure imposée, seul le fait qu'elles entraînent Anne me gêne. Mais toutes deux suivent les traces de leur sœur aînées au niveau des bonnes notes. Dans deux semaines Roxane et Romane fêteront leurs anniversaires. Elles sont née le même jour, le dix juillet, à un an d'écart. Le sujet de discussion est d'ailleurs en rapport avec ça. Les deux veulent que je leur laissent la maison pour trois jours. Afin qu'elles organisent une méga-fête pour leur dix-huit et dix-neuf ans. J'ai confiance en mes filles, je sais qu'il n'y aura pas de dérapages, mais je ne peux accepter.

Je regarde donc mes deux dernières.

- Et moi, je vais dormir où? Et Anne?

Je pourrais aller à l'hôtel, j'ai pas mal d'argent. A la mort de leurs mère, j'étais soldat. J'ai démissionné pour ouvrir une société de courtage en bourse. J'ai gagné beaucoup, beaucoup d'argent, j'en ai fais gagner trente fois plus à mes clients. Mais surtout j'ai vendu ma société pour énormément d'argent. Je suis à l'abri, ma famille et moi pour plusieurs générations. Non, ce qui me retient ce n'est pas l'argent. C'est simplement qu'ayant tout consacré à mes filles, sans elles je n'ai rien. Je ne suis rien. J'ai peur d'en être séparé, même pour seulement trois jours.

Là, je comprends que Anne, mon aînée, a tout préparée pour aider ses sœurs.

- Ne t'en fais pas papa, tu ne seras pas seul. Il y a un concert des « Frères Jazzy » le vendredi soir. Ensuite j'ai réservée une villa rien que pour nous deux, pour trois jours. Avec des activités connexe près du lieu isolé où elle se trouve. Comme des massages, un spa et pleins d'autres surprises.

- Quoi?

Je n'en reviens pas, Anne est donc dans le plan. Mon aînée ne perd pas le nord.

- Tu as très bien compris papa. Roxane et Romane sont des jeunes filles que tu as très bien élevée. Tu peux leurs faire confiance. Je sais que tu as peur de les laisser seul trois jours, mais pour une fois lâche-toi un peu et profite!

Je n'en reviens pas que ce soit Anne qui me dise cela. Mais c'est exact, depuis la mort de leur mère, je n'ai eus aucune relation amoureuse à part avec ma main. Il y a bien sur eus aussi, pas mal de relations sexuelles, mais sans lendemain. Pas que je n'en ai pas eus l'occasion, mais mes enfants et ma boîte ont pris tout mon temps, je n'ai eus aucune place pour construire quoique ce soit d'autres. Mais Anne à raison, puis je ne serais pas seul, elle sera là.

- D'accord.

- Voyons papa, tu les connais, tu peux leurs faire confiance... Quoi?

Là, je vois que son laïus est préparé depuis longtemps. Anne ne s'attendait pas à ce que je cède aussi rapidement.

-Tu as bien compris, j'ai dit d'accord. Je vous fais vraiment confiance à toutes les trois...

J'ai regardé à ce moment, Roxane et Romane droit dans les yeux.

- J'espère simplement que vous ne me décevrez pas. Et Lindsay sera autant responsable que vous, je sais pertinemment qu'elle aussi est dans le coup.

En mon fort intérieur, je sais que je le saurais dans moins de deux semaines.

Le temps passe vite. On est déjà le vendredi dix-sept heures. On part avec Anne pour la villa qu'elle a réservée. On a trois heures de routes. J'embrasse mes deux dernières, puis-je leur redonne mes recommandation. Anne me tire par le bras vers la voiture en rigolant. Je suis assez proche de mes filles, aussi l'on discute de tout et de rien pendant tout le voyage. Quand on arrive je me gare dans l'allée de la villa. C'est une grande bâtisse de deux étages, avec piscine. On auras chacun notre chambre. On a mis exactement deux heures trente pour arriver. Sachant qu'il n'y a aucun radar, j'ai dépassé la limitation allègrement. On choisit chacun sa chambre, puis on va se doucher, on a une heure pour se laver et se préparer. On part ensuite au concert, il a lieu dans une salle qui fait aussi bar et boîte de nuit avec plusieurs pistes. On pourra ainsi également boire avant et après le concert, ainsi que danser.

Quand je sors de la douche, je m'habille directement. Je mets un jeans et une chemise blanche, simple mais classe. Anne descend vingt minutes plus tard, je suis époustouflé. Ma fille a coiffée ses longs cheveux roux en queue de cheval. Elle a mis du noir sous les yeux, rendant encore plus magnifique son regard aux yeux verts. Du rouge à lèvre rouge vif détonne avec la blancheur de sa peau, rendant ses lèvres encore plus pulpeuse. Elle a mis une petite robe noire, moulante et décolletée, m'offrant une vue plongeante sur ses seins de belles tailles. Sa robe, très courte moule son cul que je devine ferme, mettant en évidence, ses jambes blanche comme de la porcelaine. La cambrure naturelle de ses reins, augmentant encore la magnificence de son fessier parfait. Je n'ai jamais vue mon enfant habillée aussi sexy. Anne n'aurait pas été ma fille, je l'aurais baisée sur le champs.

- Pourquoi tu me regardes comme cela, papa?

- Tu es magnifique, éblouissante ma puce.

Anne rougit et ne répond rien. Comme d'habitude, elle ne sait pas gérer les compliments. Mon compliment a quand même eut un effet sur Anne. Il l'a rendue joyeuse, elle n'a pas arrêtée de parler durant tout le trajet. A peine arriver, c'est Anne qui a insister pour que l'on prenne d'abord un verre au bar, elle m'a dit que ce soir c'est elle qui invite. Mes filles on de l'argent, je donne mille euros à chacune des plus jeunes chaque mois, et deux mille à Anne. Cette disproportion s'explique par les études que suit Anne. A son âge les deux autres auront pareil. Cela peut vous paraître beaucoup, mais je pourrais donner dix fois plus chaque mois à chacune d'elle, sans que cela n'entame mon gros pécule. On a une demi-heure devant nous. J'ai accepté, ma fille m'a poussé pour que je boive autre chose qu'un coca. J'ai donc pris un whisky-coca, tandis que Anne à pris un cocktail en demandant au barman d'être généreux sur l'alcool, joli pourboire à l'appui. Tandis que je ne suis qu'à la moitié de ma boisson, Anne en a déjà repris un autre. Je lui souris.

- Je ne savais pas que tu buvais autant!

- Ne t'en fais pas papa, je ne bois presque jamais, mais c'est tellement rare que l'on soit de sortie que tout les deux. La dernière fois je devais avoir dix ans. Alors il faut bien fêter cela!

- Fête ma fille, ce soir c'est ta soirée, tu es la capitaine.

- J'ai ta parole papa?

- Tu l'as.

Je n'aurais pas dut lui dire cela, surtout qu'elle sait que je ne reviens jamais sur ma parole. Elle est repartie chercher deux verres, un pour elle et un pour moi. Cette fois, le whisky-coca est plus alcoolisé. Je ne dis rien. On prend nos verres et on monte au balcon pour voir la première partie. C'est un quartet sympa sans être extraordinaire. Anne en profite pour aller chercher deux nouveaux verres. On est redescendu pour le concert des « Frères Jazzy ». C'est moi qui ai fais aimer le jazz à ma fille. Ce fut vraiment excellent, un concert de haute volée.

Une fois finis, retour au bar pour une nouvelle tournée. Anne me prévient qu'ensuite on va danser. La boîte compte plusieurs pistes : Disco, Rock, Slow, Zouk et techno. Pour commencer Anne me guide par la main vers la piste Disco. Cela fais longtemps que je n'ai pas danser, mais je constate avec plaisir que je n'ai pas trop perdu. Je constate avec surprise que ma fille à vraiment le rythme et le mouvement dans la peau. On fait souvent des pauses pour boire un verre. Je dois avoir au moins deux grammes et Anne un gramme de plus. Sans aucun gestes salaces, je fais tourner et danser Anne dans mes bras. Mes mains parcourant chaque endroits accessible de son corps. J'apprécie la douceur et la fermeté de ses muscles, de sa peau. Son petit ami aura vraiment de la chance, je ne dis pas cela parce que c'est ma fille, mais Anne est vraiment la femme parfaite. Canon, superbement bien foutue, sympa, souriante, gentille et droite. Sans oublier prude et timide comme je vous l'ais dis plus tôt. Ma fille danse en faisant glisser ses mains sur mon cul, mon dos, se frottant contre moi. Comme une fille voulant une relation sexuelle. Mais je sais que c'est les danses que nous pratiquons qui veulent ça.

Je réponds à sa façon de danser, comme si je répondais aux avances d'une femme qui me veut. En profitant pour peloter son corps parfait, faisant rire ma fille. Tout les autres danseurs pensent que je suis l'amant de Anne. Ils doivent tout m'envier pour être avec cette fille angélique au corps atomique. Après un énième verre, Anne et moi avons changé de pistes, pour aller danser du zouk. A la deuxième chanson, ma fille colle son bassin contre le mien. C'est à dire ses fesses contre mon sexe. Anne fait onduler son bassin, me faisant bander en frottant son cul contre moi. Je change donc de moi-même de position. Je ne sais pas comment elle fait, mais je me retrouve à danser avec ma fille, une jambe entre ses cuisses. L'alcool aidant, une de mes mains à empalmer le sein gros et ferme de ma fille. Elle ne porte pas de soutiff, et mon geste n'entraîne aucune réaction de rejet de sa part, au contraire, elle se frotte encore plus à ma cuisse. C'est moi qui enlève ma main, après lui avoir peloté le sein de longues secondes, en reprenant mes esprits. Je ne sais pas ce qui me gêne le plus, d'avoir attouché ma fille, ou que cela lui ai vraiment plut. Je me dis qu'il est temps que l'on s'en aille.

Je colle ma bouche à l'oreille de ma fille.

- Il faut que l'on partent!

- De la piste ou de la boîte de nuit?

- Des deux!

- Non, pas encore, viens on danse encore un peu ici. Tu m'as donné ta parole!

Je suis coincé, elle le sait. On retourne boire un verre, puis on reviens sur la piste. Je lui parle de nouveau à l'oreille.

- Va te trouver un jeune garçon de ton âge!

- Non, je veux danser avec toi.

- Comme tu veux.

Je me mets à danser, seul, les bras en l'air. Anne danse un peu seule, puis elle revient se coller à moi. De dos, se trémoussant, frottant ses fesses fermes contre mon sexe, ne se privant pas d'imiter des mouvements à connotations sexuelle. Anne ne peut pas ne pas sentir mon sexe dur contre ses fesses. Elle se retourna vivement, cette fois c'est elle qui me chuchota à l'oreille.

- Tu as raison, rentrons, on continuera de danser à la maison.

- OK. C'est toi la capitaine ce soir.

J'étais content, ce sera différent à la villa. Anne me prit par la taille, elle attrape une de mes mains qu'elle plaque d'elle même contre ses fesses.

- Je tiendrais mieux l'équilibre comme cela!

Mon esprit est encore plus embrumer par l'alcool, je laisse ma main sur son magnifique cul. Avec ce que j'ai bu, je ne me sens pas de conduire. On prends un taxi, j'en prendrais un autre le lendemain pour retourner chercher ma voiture.

Une fois à la maison, Anne se précipite vers le bar, elle sert deux whisky-coca. Je prends le mien que je déguste, tandis que ma fille vide le sien d'un trait. Puis elle s'en ressert aussitôt un autre. Elle titube un peu, mais je constate qu'elle tient bien l'alcool. Beaucoup mieux que moi. Je ne le saurais que plus tard, mais si elle est bien saoul, Anne à pris un médoc qui diminue les effets alcooliques d'un verre. Ma fille se dirige alors vers la chaîne hi-fi du salon. Elle farfouille dans les cd, avant d'en choisir un. Anne à mis de nouveau du Zouk. De nouveau l'on danse, tandis que ma fille se frotte à moi. Je la repousse un peu quand c'est trop hot, mais sans grande conviction. Après tout, ingénue comme ma fille l'est, elle ne doit même pas se rendre compte de ce qu'elle fait.

Puis au bout d'un moment, elle va resservir deux verres. Elle me tend une pilule.

- Tiens, avale papa, c'est pour contrer les effets de l'alcool, tu ne seras pas malade demain.

- Ça marche?

- Oui, je pense.

J'avale son truc. Anne s'approche de la chaîne hi-fi, elle change de musique. Cette fois c'est beaucoup plus langoureux, un genre de Barry White. Anne se colle à moi, quand un slow résonne. Comme je ne sais pas comment mettre mes mains, c'est ma fille qui le fait pour moi. Elle plaque mes deux mains sur ses fesses, tandis que remontant sa robe, elle glisse une de mes jambes entre ses cuisses, venant plaquer son bassin contre ma cuisse. Je ne la vois pas, mais je sens le satiné de sa culotte contre ma peau. De la façon dont elle m'a placée, ma main gauche la maintient bien plaquée contre moi, ma fille l'a mise bien plaquée entre ses fesses. Par réflexe, je lui masse la raie. Ma fille ondule en rythme, complètement abandonnée, je fais de même, fermant les yeux, complètement abandonné à Anne. Elle défait sa queue de cheval, détachant ses longs cheveux roux. Ma fille attrape ma main droite, et le pose sur son sein, que j'enferme doucement dans ma main. Il est si ferme, si gros. Je m'enhardis, lui caressant son téton à travers le fin tissu de sa robe. J'ai rouvert les yeux, je vois son visage magnifique, souriant, heureux. Je sens son téton poindre sous ma caresse. Anne me laisse faire, ma main gauche monte et descend sur son cul, s'insinuant de plus en plus dans le sillon de ses fesses. Je lui saisit alors la taille de mes deux main, descendant le longs de ses hanches, puis de ses cuisses, jusque au dessous de la robe, tandis que mon enfant danse de plus en plus lascivement, les bras au-dessus de la tête. Je danse comme ça, mais Anne descend ses mains, les posent sur les miennes, les faisant remonter, mais cette fois sous sa robe. Me faisant lui attraper une fesse nue dans chacune de mes mains. Je ne sais pas comment elle fait, mais ma fille se met à califourchon sur ma cuisse, les pieds pratiquement décollés du sol. Puis elle décolle ses pieds de terre, en prenant appui sur mes épaules. Sollicitant sa chatte encore recouverte du tissu de sa culotte, qui devint son seul point d'appui. Anne se frotte en gémissant, je ne suis plus conscient de rien, je prends comme excuse que je ne dirige rien.

Anne se redresse, elle pose doucement ses mains sur mon torse, puis me fait reculer. Jusque à ce que je me retrouve assis sur le canapé. Elle s'agenouille entre mes cuisses. Elle commence à défaire ma braguette.

- Anne, ce n'est pas bien, je suis ton père, tu es ma fille.

- Pas ce soir.

Mon esprit est embrumé par l'alcool, mon sexe bande dur. Anne me répond.

- Pas ce soir papa, ce soir je ne suis pas ta fille, je suis ta pute!

Tout en me parlant, elle entreprend de défaire les boutons de ma braguette. Je pourrais retenir ses mains, mais je n'en fais rien.

- Arrête, ce n'est pas bien!

Mon pantalon est au sol, Anne baisse mon caleçon, faisant sortir mon sexe, une belle bête de vingt centimètres pour six de diamètre.

- Papa, ta bouche dit que ce n'est pas bien, mais ton sexe dis le contraire!

Je n'ai pas le temps de répondre, que sa bouche se pose sur mon sexe, en avalant le gland. Je pourrais repousser sa tête, mais je n'en fais rien, j'ai trop envie de sexe pour cela. Après avoir pris en bouche le tiers de mon engin, Anne referme doucement ses lèvres pulpeuse autour. Je sens aussitôt sa langue titiller mon gland. J'en gémis de plaisir. Elle fixe son regard dans le mien et commence sa fellation. Je sais que c'est ma fille, je sais que c'est de l'inceste, je sais que c'est mal, mais je ne peux résister. Puis bien que bourré, nous sommes tout deux des adultes consentants. A part la dimension morale choquante, nous ne faisons rien de mal.

Je comprends que ma petite Anne est une experte en fellation. Elle ne serait pas en train de me sucer d'une si belle manière, je serais tombé des nues. Cette petite pute m'a bien cachée sa vie. Je l'imaginais solitaire, sans amis, sans petit ami. Je la croyais prude, sage, trop sage, et je découvre qu'elle suce les bites divinement bien. Puis quand elle fait monter et descendre sa bouche le long de mon chibre, tout cela me sort de la tête. Sans effort, elle fait rentrer mon engin conséquent dans sa gorge. Me faisant la meilleure gorge profonde de ma vie. Depuis tant d'années, j'avais oublié combien le sexe est bon quand la partenaire compte. Serait-ce avec son propre enfant. Je la laisse mener la danse, nos regards ne se quitte pas. Sa langue va vite autour de mon pieu, sa nez heurte à grande vitesse mon ventre. A chaque fois qu'elle me fais rentrer dans sa gorge. Cela ne fais pas cinq minutes que la fellation à commencer, que je sens le plaisir monter de mes reins.

- Je vais jouir!

Sans que j'ai besoin de la maintenir, elle fait rentrer mon pieu encore une fois dans sa gorge. Mon premier jet jaillit, elle remonte lentement sa tête, ses yeux ne me regardent plus, Anne fixe mon ventre. Chacune de mes éjaculation surgit un peu plus haut que la précédente, tant et si bien que mon cinquième jet, s'écrase sur sa langue. De nouveau elle me fixe dans les yeux. Anne avale tout, tout en me gardant en bouche. Puis de nouveau elle caresse mon pieu encore dur de sa langue, en enlevant toute trace de sperme.

Quand elle sort mon sexe de sa bouche, elle me regarde en souriant.

- Tu es encore dur, attends!

Elle se lève d'un bond, va chercher un truc dans son sac. Je n'ai pas eus le temps de dire quoique ce soit. De toutes les façons je n'ai pas envie de parler, je ne veux pas briser ce moment magique. Anne revient vers moi, elle me tend une gélule.

- C'est quoi?

- Un truc qui va nous permettre de nous amuser toute la nuit.

Je ne répond pas, j'ouvre la bouche, elle y met le médoc que j'avale. Anne saisit alors le bas de sa robe, qu'elle fait passer par dessus sa tête, avant de la faire tomber au sol. Ma fille n'a pas de soutien-gorge. Elle à une paire de gros seins en poire, tout blanc, avec de larges aréoles roses claires, et de long tétons. Ils défient toutes les lois de l'apesanteur en tenant droit tout seul. Ma fille se retourne, son cul, bien bombé, mince, aux fesses fermes, et aux reins cambrés est tout simplement parfait. Je vois des marques sur son corps, beaucoup, mais dans mon excitation je n'y prête pas attention. Elle a un petit string rose. Anne me refait face.

- Alors?

- Alors quoi?

- Comment tu trouves mon corps?

- Tu es parfaites!

De nouveau Anne rougit. Elle fait descendre son string. Dévoilant un bas-ventre pratiquement glabre, simplement orné d'un mince fil de poils roux. Anne s'approche de moi, elle appuie ses mains sur mes cuisses. Ma fille colle ses lèvres au miennes. Je sens sa langue contre ma bouche, je l'ouvre, sa langue rentre dans ma cavité buccale, elle me roule la plus parfaite des pelles. Puis son baiser cesse aussi rapidement qu'il est venu. Anne s'agenouille de nouveau, je bande toujours. Elle retire de mes pieds chaussures et chaussettes. Puis elle enlève de mes chevilles mon pantalon, mon caleçon. Je me laisse faire, c'est plus facile pour moi, je suis innocent, c'est Anne qui fait tout.

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