Une Famille Sous Influence

BÊTA PUBLIQUE

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Pour Tom, nous avons toujours tous su qu'il était suiveur et pas farouche et finalement ce n'était pas une surprise. Ainsi le dressage a pu être largement facilité. Cependant mon père a dû quitter son travail, Tom ses études, pour que tous les trois se consacrent pleinement à leur Déesse et à sa perversité sans nom. Toute une famille sous sa coupe perverse.

- Et pourquoi je ne les vois pas? Ils ne sont pas à la maison? - Si, mais ils sont enfermés dans leur niche au bout du jardin - Leur niche? - Oui ce sont les deux chiens de Maîtresse - Je vois. Tu peux aller les chercher alors? - Dans une heure seulement, la serrure sera ouverte à distance. - Et d'ici là? - Maîtresse m'a donné l'ordre d'être à ton entière disposition, répondre à toutes tes questions, et faire tout ce que tu voudras. - Intéressant. (Je me reprends d'une voix dure) Tu sais que tu as perdu le droit d'être ma mère? - Oh ma chérie ... - Tu le sais n'est-ce pas? Tu es indigne, tu as mené ta famille à l'esclavage et cela par simple lubricité. - Isabelle, s'il te plaît... (Evelyne, c'est son prénom, se tord les mains) - Non à partir de maintenant je ne t'appellerai plus que par ton prénom, à moins que tu n'en ai un de chienne. - Oui, je suis Lili - Très bien Lili alors, puisque tu es une esclave, et rien que cela, je suppose que tu as du apprendre plein de choses. Vient me montrer tes talents oraux. Nous avons une heure, je suis curieuse de savoir combien de fois tu me fais jouir.

Lili semble choquée par la demande, mais elle comprend qu'elle m'a perdue comme étant sa fille. Elle obéit aussitôt, et j'écarte les jambes, je suis follement excitée encore, et non, cela n'a rien d'un inceste, puisque ce n'est pas / plus ma mère.

Après un premier orgasme divin, Lili a subi un dressage parfait de ce côté-là, je lui demande en fait de se retirer. Elle reste à genoux entre mes cuisses, le regard rivé sur mon sexe entrouvert, fascinée par les lèvres dessinées, et la peau immanquablement lisse. Je connais bien cette sensation l'ayant éprouvée par le passé, d'un côté comme de l'autre. J'ai en effet besoin de réfléchir, tout ceci est encore plus fou pour moi qui me suis enfuie de mon foyer, car je me perdais dans des relations très perverses, que je n'osais assumer devant mes parents. Et je reviens pour les trouver dans les pires délires que j'ai pu imaginer ou rédiger.

Car mon cahier renferme bien des récits, et même des dessins, allant dans le sens de ce que Lili endure aujourd'hui, racontant mes expériences, mes émotions, mes sentiments. Est-ce que ce cahier, qui semble ne pas avoir bougé, a pu générer cette situation? Ou plus probablement que c'est dans le sang de notre famille une telle perversion. Ce qui me trouble c'est le tatouage avec les chiens qui ressemble à un des dessins que j'avais fait au feutre. Pure coïncidence sans doute, mais je n'ai jamais vu un tel dessin.

En Australie j'ai eu de nombreuses aventures, tellement décevantes, même avec les femmes. Les hommes y sont encore plus stupides qu'en Europe, sans imagination ni sensualité, les femmes ce n'est guère mieux. Et je reviens pour retrouver une telle luxure à la maison. Je n'ai rien vu de mon père et mon frère, mais je crains que cela ne soit pas tellement mieux, s'ils sont enfermés dans une niche. J'ai fui pour en fait revenir dans mon cauchemar, à moins que ce ne soit mon rêve, je n'arrive pas à l'accepter.

J'avais rencontré un homme soumis et masochiste qui était prêt à des expériences et une vie extrême, et je me suis faite peur de la violence et du sadisme qu'il pouvait générer en moi. Sadisme en écho à mon propre masochisme, peut-être est-ce ainsi pour tous les dominants. Il a été à deux doigts de se castrer pour moi quand j'ai réalisé qu'il ne le faisait pas pour moi, mais pour lui, que je n'étais qu'une figure de projection, cela m'a fait horreur. Comment savoir qu'un soumis ou un esclave se donne à vous vraiment et non pas à son propre fantasme?

J'ai eu le temps d'y réfléchir, et cela passe déjà par une connaissance très profonde de soi-même, savoir précisément ce que je veux ou ne veux pas, ne tenir aucun compte de ce qu'il exprime, qu'il y prenne ou non du plaisir, cela n'a pas d'importance. L'autre point c'est de se laisser inspirer par la personne qu'on utilise, en fonction de ses réactions, de son histoire. Lorsque je domine je n'ai pas du tout les mêmes pratiques en fonction de la personne.

Et quand je me soumets? Mes attentes sont sans doute inatteignables, je m'ennuie profondément, la personne dominante semblant avoir peur sans cesse, et finalement ce n'est plus qu'un jeux de rôle. J'ai besoin de trembler, de ne pas pouvoir contrôler ou influencer les évènements, et surtout ne pas recevoir cette phrase répétitive : De quoi as-tu envie?

J'ai, ou plutôt j'avais le sentiment de revenir en étant plus mure et mature, et puis tout a volé en éclats en quelques heures. Quelle folie.

Et Lili qui reste fascinée par mon sexe rose vif. Le jour décline, plusieurs heures se sont écoulées, mais les mâles ne sont pas là!

- Lili, tu vas chercher les chiens maintenant? - Oui bien entendu Isabelle, je te les amène. Ne soit pas choquée, ils n'ont pas le droit de parler ni de montrer la moindre émotion, mais je suis certaine qu'ils vont défaillir et être profondément humiliés devant toi. - J'ai hâte de voir cela.

Lili se dirige vers un cabanon au fond du pré, et ouvre deux portes très basses, je vois deux personnes sortir à 4 pattes? L'une se redresse, l'autre reste à quatre pattes. Elle me les amène en tirant leur laisse, tandis qu'ils gardent la tête basse. J'ai le temps de les découvrir, même si je m'y attendais, je suis sidérée de ce que je vois. Leur traitement semble bien pire que celui de Lili.

Comme pour me le confirmer elle m'annonce :

- Voici riri à 4 pattes, tu auras reconnu ton ancien paternel, et fifi debout. C'est moi qui en aie la charges. Pour Maîtresse, un esclave mâle est bien moins qu'une esclave femelle, elle s'occupe peu d'eux, mais veille à ce qu'ils soient durement dressés par moi, et ils ont ce qu'ils méritent à chaque instant. - Je vois cela en effet

Par lequel commencé? Le plus facile, fifi, mon ancien frère. Il a les bras retournés dans le dos et enfermés dans une gaine en cuir. Ses épaules sont tordues et son torse jeté en avant. Ce qui permet de voir la magnifique poitrine qu'il porte, qui n'a rien à envier, au moins en volume, à la mienne. Lili m'explique que les hormones permettent un début, achevé par la chirurgie. Ses hanches sont élargies, tandis que sa taille est étranglée dans un corset de cuir rose, que je trouve incroyablement serré. Comment peut-il sortir ainsi de sa niche?

Il porte le même collier que Lili et riri, sauf que les deux mâles ont un système qui déclenche des décharges au moindre cri. Ainsi ils sont muets complètement depuis des mois, et Victoire pense que d'ici un an ou deux ils n'auront pas besoin de ce sytème. Les deux mâles ont également un large anneau dans le nez, la tête rasée avec tatoué leur nom, et un dessin obscène : Pour riri, une femme faisant caca dans sa bouche, pour fifi, un âne l'enculant. Quelle violence! D'autant que s'ils ont les mêmes marques profondes sur les fesses avec les initiales CE, celles-ci sont également gravées sur leurs joues, et très profondes. Ils ne ressemblent plus à rien! Même si fifi est très sexy avec une peau douce, de jolies hanches et une poitrine somptueuse.

Entre ses jambes un long tuyau métallique renfermant son sexe étiré de façon extrême et permanente, le prépuce, gonflé, émergeant dans une cage pour éviter qu'il se touche. Lili m'explique qu'ils sont bourrés d'hormones, féminines et masculines, et que ce sont des bêtes qui ne pensent qu'au sexe. Je veux bien le croire. Ses couilles sont étirées par des poids qui les allongent énormément, elles sont presque à son genou, les couilles étant noires, je ne suis pas certaine qu'elles soient très productives. Tout respire la souffrance, comme le pieu en acier qui émerge entre ses fesses, comme un gouvernail, scellé au corset et qui le pourfend. Je pense que je pourrais renter mes deux mains dans son cul élargi, comme dans celui de son paternel. Ce dernier a les couilles enfermées dans un système en bois, les bloquant derrière ses genoux, il ne peut absolument pas se relever.

C'est vrai qu'ils réveillent en moi le désir de castration, qui n'a comme seul inconvénient, que le plaisir est vite passé et peu reproductible. Je coule à nouveau, je suis en chaleur, je demande à nouveau à Lili de me satisfaire. J'ai hâte de découvrir Victoire et le pourquoi de ces initiales. Mille questions trottent dans ma tête, moi qui aime la tension, je suis servie.

- Et cela te plaît ainsi d'être en permanence contrainte, suppliciée, utilisée? - Oh oui, j'adore cela - Mais tu dois avoir des périodes où tu es moins excitée sexuellement quand même? - Pas vraiment, tu as vu les chiens sont bourrés de testostérone, et moi d'un cocktail qui correspond à l'ovulation, en permanence, donc non j'ai toujours l'envie, le besoin de sexe de toutes les façons. - Mmmhhh c'est très excitant. Tu es une vraie salope, un sex toy - Oui (Les yeux de Lili brillent, l'humiliation semble lui plaire) - Et les chiens sont comme toi? Heureux? - Oh personne ne leur demande leur avis, ils ont été d'accord au départ, et savaient qu'après ils ne contrôleraient plus rien, ils y ont été préparés et je crois que oui, ils sont bien là où ils sont. - Et les initiales CE, c'est quoi, j'aurais cru les initiales de Victoire - Oh c'est tout comme, en fait ce sont les initiales de son concept, Camp Extrême - Hein? Qu'est-ce que tu me racontes? - Elle a créé avec nous ce concept d'un camp de l'extrême que nous vivons ainsi en permanence, dans les perversions et les souffrances extrêmes. - Et comment faites-vous pour vivre et avoir de l'argent? - Ah cela (Je la sens hésiter), je dois répondre à toutes tes questions - Oui - Alors voilà, Victoire gagne beaucoup d'argent avec nous et le camp de l'extrême. - Elle vous prostitue? - Pas exactement, elle nous exhibe, que ce soit ici dans le camp, la propriété est complètement fermée, ou quand nous sortons. - Mais je ne comprends pas comment cela rapporte de l'argent? - Eh bien disons que notre vie, nos tourments, nos plaisirs sont filmés 24h sur 24. - Comment cela? - Eh bien la maison et le parc sont truffés de caméras avec des opérateurs qui se relaient et tout ce que nous vivons est à disposition de voyeurs, qui parfois vont plus loin que juste voir, et qui paient un abonnement pour cela. - Tout? (Je n'arrive pas trop à comprendre) - Oui - Tu veux dire que là ils écoutent et voient notre conversation. - Oui - Oh mon Dieu!

Je sursaute réalisant tout ce que j'ai fait depuis que je suis arrivée et d'imaginer des centaines de voyeurs en train de se rincer l'œil. C'est abominable. Je remets mon maillot de bain, ce qui est un peu inutile, ils ont dû voir tout ce qu'il y avait à voir.

- Et elle gagne de l'argent ainsi - Beaucoup oui. Elle nous sort aussi en soirée, nous sommes des sortes d'objets célèbres, évidemment toujours pour de nouvelles souffrances ou humiliations. C'est devenu très chic dans ce milieu d'avoir riri comme toilette humain par exemple, d'où le dessin sur son crâne. - Quelle dépravation! Et il y a beaucoup de gens qui suivent cela? - Environ 50 000 - Quoi? Mais il doit y avoir des gens que tu connais ou que je connais. - Oui bien entendu, une partie de nos connaissances s'est éloignée, mais une autre partie a pris beaucoup de plaisir à nous utiliser et avilir. Tu découvres que l'âme humaine est profondément perverse. - Et il va se passer quoi dans dix ou vingt ans quand tu seras trop vieille? - Nous verrons bien, mais je ne vais pas vivre aujourd'hui en fonction de ce que cela risque d'être dans vingt ans. - Pas faux mais quand même. Cependant il y a beaucoup de choses qui interdisent un retour en arrière. - Oui, comme la castration de fifi, il y a eu un grand vote, et les trois quarts étaient pour. Le plus excitant c'est qu'il n'a jamais pu se servir de sa queue, il est vierge. - Mmmhhh c'est très pervers en effet, mais un vagin lui ira mieux je trouve en effet. Toutes ces émotions m'épuisent, il y a trop d'informations à la fois. Remets les chiens dans leur niche, va me faire à manger, j'irai me coucher ensuite. Sais-tu quand je vais voir Victoire? - Elle sera là demain matin pour toi. - Et tous les voyeurs vont me regarder dormir? - Oui tu peux en être certaine. - Amusant. Ah une dernière question, est-ce que vous avez trouvé mon carnet secret? - Celui qui était caché? Oui bien entendu. J'ai toujours su où tu le cachais mais j'ai été surprise que tu ne l'emportes pas, alors je l'ai lu pour la première fois. Et le ciel m'est tombé sur la tête. - Je comprends mieux du coup - Oui car je l'ai amené pour ma première visite chez Victoire, et c'est là qu'elle m'a convaincue que c'était ma vie, ma voie et que notre famille était totalement dysfonctionnelle. - Et du coup, qu'est-ce qu'elle pense de moi? - Elle ne sait pas, que tu es une fille passionnante, mais qu'elle ne sait pas, avant de te voir, ce que tu es faite pour vivre? - C'est-à-dire? - Nous rejoindre dans l'esclavage ou prendre les rênes du centre extrême. - Oh ou alors partir en courant - C'est possible aussi.

Je suis sous la douche, histoire de repenser à tout cela. Effectivement il y a des glaces partout dans la maison, masquant des caméras si j'en crois Lili. Quelle folie. Imaginer des dizaines voire bien plus de voyeurs me regarder sous la douche, nue, eh bien, cela m'excite. Je sais que je rends les hommes dingues avec ma poitrine opulente, je la savonne longuement, je joue avec, la faisant rebondir. Ces centaines d'yeux qui me regardent m'excitent, je me savonne le sexe qui est tout lisse, je déteste les poils, je rentre quelques doigts, je gémis, autant pour le plaisir que pour stimuler mes voyeurs, le plaisir monte, mais je ne veux pas jouir tout de suite.

Je me rappelle comme jeune j'aimais faire durer cette montée du plaisir, allant parfois jusqu'à me priver d'orgasme pour garder cette fièvre. Je prends le pommeau de douche, je le dirige sur mon sexe, je baisse la pression, j'augmente la chaleur, cela me brûle, je gémis de douleur, je veux résister, j'augmente encore la chaleur, la vapeur est intense, je halète, mon sexe est rouge vif, mon clitoris est tout dur et érigé, je me demande s'ils peuvent faire une zoom dessus, cela me stimule, j'augment encore, maintenant je crie, je compte une minute, je veux tenir une minute. Alors je bascule sur de l'eau glacé, qui me fait tout autant crier, j'ai le cœur qui bat la chamade.

A peine séchée, je m'écroule sur mon lit, j'ai vérifié, ma boîte à jouets est toujours en dessous, avec son cadenas inutile. Les godes sont bien rangés, je prends le plus gros, je le lèche, impossible de le rentrer dans ma bouche, mais j'en ai déjà pris des bien plus gros. Celui-ci est court et très large, je mets de la crème pour le visage dessus, je m'acroupis, je regarde droit dans la glace en face du lit, je pointe le bout sur mon cul que j'ai ouvert sous la douche, et je me laisse doucement glisser dessus, la bouche ouverte par la sensation.

Tous ces jeux que j'adorais me reviennent en mémoire. Je sais que je n'ai pas le droit de me retirer tant que le gode n'est pas complètement enfoncé, juste de faire des pauses. Je résiste à l'envie de me soulager, je tire sur mes fesses pour m'ouvrir, et je m'enfonce un peu plus à chaque seconde. L'image sur le miroir est torride, je fais voler la couette pour qu'elle ne gêne pas les voyeurs, et avec un cri de souffrance, j'assoie mes fesses sur le lit, le gros gode est complètement en moi, je le sens qui appuie sur tout mon ventre, j'hésite, mais non il n'est pas encore temps de jouir.

Je me relève et redescends doucement, faisant coulisser les quinze centimètres du gode, jusqu'à ce qu'il sorte presque, pour à nouveau me replonger dessus. J'ai des frissons partout, c'est délicieux, comme cela m'a manqué! Voir Lili et les garçons comme cela m'a tourné la tête, replongée dans ma drogue de façon encore plus intense que jamais. Cette fois-ci je n'ai aucune envie de lutter contre, au contraire, mais de me laisser porter.

Je compte cent allers et retours, lents et profonds, mon cul est divinement ouvert, j'aime follement cette sensation, j'aimerais que Lili vienne me lécher pour me faire jouir, mais je ne peux pas bouger. Je vais m'en passer, et je me fais jouir dans des cris stridents avant de m'affaler sur le lit. Je m'endors ainsi, sans couette, le gode encore à moitié en moi, remarquant le miroir au-dessus de mon lit. Décidément, ils ne perdent rien.  

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Anonymous
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9 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 16 jours

Récit bien prenant et hâte de connaître la suite

AnonymousAnonymeil y a 20 jours

Très bon texte qui mérite une suite, et une autre, et une autre...

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 20 jours

Histoire tres surprenante mais excitante

ANDRERP95ANDRERP95il y a 25 jours

Super.

Hâte de lire la suite.

Bravo

AnonymousAnonymeil y a 25 jours

Superbe recit. Comme chacun de vos recit, j'ai hâte de lire la suite!!!!

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