Un gang-bang qui tourne mal Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
trouchard
trouchard
190 Admirateurs

Me maintenant en place, il déverse son foutre dans ma gorge et je ne peux rien faire pour l'arrêter. Je n'ai jamais avalé le sperme d'un gars auparavant. Bien sûr, quelques gouttes ont pu parfois entrer dans ma bouche, mais je me suis toujours débrouillée pour que le gars se retire. En fait, ça m'a toujours semblé dégoûtant, comme si je devais manger une vieille sauce sortie du frigo. Mais maintenant que je suis obligée d'avaler, ce n'est pas aussi mauvais que je le pensais. En fait, d'être autant humiliée devant tout le monde crée des picotements dans mon âme.

Il arrête d'éjaculer et il retire sa bite de ma bouche. Il me reste un arrière-goût étrange. Une fois qu'il a lâché ma tête, je la tourne sur le côté et je tousse. J'essaie de cracher pour oublier le goût de son foutre. Mais soudainement, une autre paire de mains saisit les côtés de ma tête. Je lève les yeux et je vois que l'un des autres gars s'est approché de moi. C'est un des blacks et il a déjà sorti sa queue de son pantalon.

- Attends! Essayé-je de dire, mais il est trop tard.

Il insère sa bite dans ma bouche alors que je veux parler et instantanément il pousse ma tête sur son membre. Je commence à paniquer, car son engin est plus gros que le premier. En fait c'est la plus grosse bite que j'ai jamais vue. Lorsque qu'il pousse ma tête, son gland est proche de pénétrer ma gorge.

Mais il s'en fout. Utilisant ma tête comme un jouet sexuel, il la pousse et il la tire de haut en bas sur sa bite. Encore une fois, sachant que le seul moyen d'en finir vite est de le faire jouir, je commence à le sucer. Je garde mes lèvres fermées et j'utilise ma langue du mieux que je peux. Mais à chaque fois qu'il s'enfonce en moi, je menace de m'étouffer avec son engin qui entre dans ma gorge.

Le gars pousse alors un cri aigu. C'est fort et assez inattendu. Mais c'est alors que je sens sa semence se vider dans ma bouche. Comme il a retiré légèrement sa bite de ma gorge, son foutre gicle dans ma bouche. Giclée après giclée, son sperme remplit ma bouche, j'ai l'impression qu'il y en a partout. C'est surprenant pour moi, car j'ai l'impression aussi qu'il n'y a que quelques secondes d'écoulées depuis qu'il a commencé.

Après un long moment il se retire, l'air à la fois embarrassé et épuisé. Il sort sa queue de ma bouche et des mains agrippent mon visage. Une main se pose sous mon menton tandis qu'une autre se pose sur le sommet de ma tête. Les deux mains exercent une forte pression qui est douloureuse.

- Avale! Avale, salope! Grogne le chef.

Je comprends que c'est lui qui presse ma tête. Et je comprends qu'il ne veut pas que j'ouvre la bouche pour cracher le foutre de son copain.

- Ne m'oblige pas à te pincer le nez! Menace-t-il.

Je comprends qu'il veut bloquer ma respiration si je ne lui obéis pas en faisant cet acte dégoûtant. N'ayant pas d'autre choix, j'avale le sperme du noir. Cette fois j'ai pleinement conscience de son goût alors qu'il passe ma gorge. C'est salé et épais. Et je garde le goût comme la première fois.

Quand le chef voit que j'avale, il me lâche. Enfin, il ne me lâche pas vraiment, il pousse ma tête loin de lui avec force si bien que je suis presque déséquilibrée. Je vais tomber par terre, mais au lieu de cela, je m'écrase contre un autre homme. Mon visage se presse contre la virilité de ce gars qui a déjà baissé son short.

Cet homme, qui est blanc, me prend la tête et la guide vers sa bite. Je comprends clairement maintenant que je vais devoir faire une fellation à tous les gars présents ici. Je vais devoir sucer cinq mecs comme une pute.

Je suis vaincue et je me sens pathétique, alors je laisse l'homme utiliser ma bouche comme il le souhaite. Sa bite est plus petite, donc elle n'atteint pas ma gorge, mais il est plus agressif que les autres.

C'est là que je sens quelque chose d'alarmant. Je me raidis et je veux m'éloigner, mais des mains saisissent l'arrière de ma tête ainsi que de mes épaules pour m'empêcher.

Des doigts se sont posés sur mon sexe. Je les sens se faufiler, passer entre mes jambes et explorer la zone. Ils approchent de plus en plus de mon clitoris. J'ai l'impression d'être dans un film d'horreur où le meurtrier poursuit sa victime. Alors je me tortille encore et encore.

- Non, ne faites pas ça!

Je voudrais protester, mais avec une bite dans ma bouche, les mots ne sont pas intelligibles. De me voir me débattre fait que les gars se moquent de moi alors qu'ils sont en demi-cercle tout autour. Je peux voir maintenant que le chef du groupe est accroupi à côté de moi, ce qui veut dire que c'est sa main qui se trouve entre mes jambes.

- Qu'est-ce qu'on a là? Dit-il alors que ses doigts trouvent mon clito.

J'essaie de bouger, mais des mains me maintiennent en place. Le chef pose deux doigts sur mon clitoris et il commence à frotter en petits cercles alors que je ne peux plus bouger. Comme je suis déjà bien excitée, je pense qu'il peut sentir à quel point ma chatte est devenue humide.

- Allez, suce cette bite, salope! Dit-il en frottant plus vite.

Je me retrouve instantanément dans un monde que je n'ai jamais connu auparavant, un monde où se mêlent la colère, l'extase, la douleur, l'humiliation et le plaisir. Toutes ces émotions tourbillonnent en moi alors qu'il se passe beaucoup de choses : Mon visage est baisé violemment par un homme qui fait bouger ma tête de haut en bas sur sa bite, je suis ligotée les bras dans le dos, un trou du cul s'amuse avec mon clito et tout cela quasiment en public.

Le temps semble à la fois s'arrêter et passer plus vite que la normale alors qu'ils m'utilisent ainsi. Les doigts sur mon clitoris me donnent du plaisir qui me fait gémir, contre ma volonté, sur la bite dans ma bouche. Le pire c'est que j'avale sans réfléchir quand l'homme jouit. C'est comme si je suis programmée pour ça maintenant.

Un instant plus tard, il y a une autre bite dans ma bouche. Le chef continue à frotter mon clitoris tout en me fixant pour me voir réagir.

- Regardez les gars comment ses seins se balancent! Dit l'un d'eux en riant.

C'est alors que je remarque que ma poitrine bouge à chaque fois que l'homme tire ma tête vers le bas sur sa bite. Mais en fin de compte, ce n'est pas seulement lui qui force son engin dans ma bouche, je l'accompagne. Je peux sentir la fatigue s'installer dans mon cou alors que je m'applique à le sucer.

- Et regarde la façon dont elle bouge son cul! Dit un autre.

Effectivement je vois que je le fais sans m'en rendre compte. Je fais rouler mes hanches sur les doigts qui caressent mon clitoris. J'ai tellement envie qu'ils appuient plus et qu'ils bougent plus vite.

Les gars commencent à faire des commentaires humiliants. Ils plaisantent sur le fait que je me nourrisse de leur sperme, que mes seins rebondissent si fort qu'ils vont frapper mon visage, que je vais jouir comme une pute dans le jardin devant la maison.

Un peu plus de foutre descend dans ma gorge et c'est au tour du gars suivant. En fait je le remarque à peine, car je lutte contre mon horrible envie de jouir. Je sens l'orgasme monter dans mon corps et j'essaie tant que je peux de le repousser, mais je n'y arrive pas. C'est comme si mon propre corps se rebellait contre mon esprit agité.

Puis ça arrive. l'impensable. Je jouis. J'ai un orgasme alors que des doigts se contentent de frotter mon clitoris. J'ai un orgasme alors que des inconnus me forcent à leur tailler une pipe. Je jouis alors que je suis baisée en public comme une pute.

Cet orgasme est intense, il est différent de tout ce que j'ai pu ressentir auparavant. Il n'est pas seulement physique, il est mental aussi. Il est rempli des picotements que j'ai ressentis quand j'ai répondu à l'annonce. L'impact est tel, que pour la première fois, mes yeux roulent dans leur orbite et que tout devient blanc quand la première vague de plaisir traverse mon corps. Tous mes muscles se relâchent, ce qui permet à celui qui baise mon visage, de m'utiliser plus facilement.

Je gémis bruyamment, me comportant comme la pute qu'ils ne cessent de m'appeler. J'essaie d'écarter plus les jambes afin de laisser libre l'accès à ma chatte pour que mon clitoris soit plus exposé. Je sens mes tétons devenir si durs qu'ils pourraient couper des diamants.

Toutes les autres fois où j'ai joui, je me suis toujours inquiétée pour mon partenaire. Je voulais qu'il prenne son pied lui aussi, qu'il prenne du plaisir, qu'il aime ce qu'il me faisait. Mais avec ces bâtards je m'en fous. Je ne pense pas à eux, car je m'en fous. Tout ce qui m'intéresse c'est de bien ressentir toutes les vagues de plaisir qui déferlent alors que je prends mon pied dans une situation que je n'aurais jamais crue possible.

Quand j'arrête enfin de gémir comme une pute et de me tortiller dans tous les sens, je me rends compte qu'ils se sont arrêtés. Je suis toujours à genoux et il n'y a plus de bite dans ma bouche et personne ne me tient. Le chef a retiré ses doigts de mon clito, me laissant pantelante et haletante. Je dois être pathétique. Tous les gars se sont mis derrière moi parce que je suppose qu'ils veulent que les gens dans les maisons d'en face puissent me voir dans cette position. Ils ne veulent pas bloquer la vue.

- C'était amusant! Dit l'un d'eux.

Ils rient tous. Humiliée, honteuse, mais assez fière, je reste comme je suis, telle une pute exhibée. Je baisse la tête alors qu'ils parlent entre eux. Je me concentre sur le goût du sperme dans ma bouche alors que je n'arrive pas à croire ce que je viens de faire. Je viens de sucer un groupe de gars et j'ai laissé l'un d'eux me faire jouir avec ses doigts. Putain je viens de faire ça en public en plus.

Est-ce que je raconterai ça à quelqu'un un jour? Sûrement pas à mes amis. Bon sang, ils ne me croiraient pas de toute façon. Peut-être que je le raconterai anonymement à des gens sur internet, mais je ne suis pas sûre qu'ils me croiront. Quand j'y pense, je viens de le vivre et je ne sais même pas si je le crois. Mon Dieu, est-ce un rêve?

- La pause est terminée! Dit le chef.

Il me sort de ma rêverie. Je le regarde en me demandant ce qu'il veut dire. Après tout, c'est fini non? Ils ont tous joui! C'est bien ce qu'ils voulaient? Et les mecs sont fatigués après avoir joui une fois? Tous les amants que j'ai eu l'étaient.

Des mains m'attrapent sous chaque bras et je suis facilement relevée jusqu'à ce que je sois sur mes pieds. Heureusement ils me tiennent, car j'ai l'impression que les muscles de mes jambes ne réagissent plus. Bien sûr, comme ce sont des connards, ils s'assurent de me mettre face à la rue, comme s'ils ne voulaient pas que quelqu'un puisse manquer de me voir.

- Nous avons parlé du parc, rappelle-toi! Me dit le chef avec son sourire diabolique en se plaçant devant moi.

J'ouvre la bouche pour parler. Non ça doit être une blague. Ils veulent juste m'humilier et en finir. Ils ne peuvent pas me faire marcher dans la rue comme ça.

- Tu sais. Tu te poses peut-être des questions... Dit le chef en faisant semblant de réfléchir.

Il me regarde ensuite avec un sourire encore plus grand.

- Pourquoi nous le ferions? Tu te dis qu'à un moment donné, quelqu'un va sûrement appeler la police? Que les voisins vont se plaindre du bruit et du spectacle que nous donnons devant la maison. Que quelqu'un risque de nous faire chanter en disant qu'il a fait des vidéos de ce qui s'est passé.

Il dit à haute voix ce que à quoi je suis en train de penser. Il se penche alors vers moi comme un gamin qui est sur le point de partager un secret.

- Je vais te confier un secret...

Il joue la comédie en regardant à droite et à gauche comme pour vérifier que personne ne l'écoute. Puis il fait un pas sur le côté et de la main, il me montre le sol près de la barrière en bordure de propriété. Il me montre quelque chose du doigt et il se met à rigoler. Confuse, je regarde ce qu'il me montre.

- N... Non... Vous plaisantez... Balbutié-je.

La peur m'envahit, ce qui bien sûr, les fait rire à nouveau. Couché sur le sol, caché par un buisson, se trouve un panneau « A VENDRE ». Cette maison n'est pas la leur Ils ont dû entrer par effraction et arracher le panneau. Ils m'ont piégée.

- Non. Nous trouvons que c'est une bonne précaution pour nous, sinon, si la victime, je veux dire « la femme », ne s'amuse pas et s'énerve elle pourrait appeler la police pour nous dénoncer. Et nous ne pouvons laisser faire ça, tu comprends? Dit le chef.

Ce bâtard me montre qu'il est vraiment vicieux. Et puis il aime partager ça avec moi, il aime me voir avoir peur.

- Mais rien n'a vraiment changé. Enfin je suppose que pour toi beaucoup de choses ont changé. Mais si tu es une bonne fille et que tu fais ce que l'on te dit, on ne te fera pas de mal... Du moins pas tant que ça... Nous respecterons même tes limites. Mais nous pourrions peut-être augmenter un peu ce que tu voulais que l'on fasse.

Après une pause il continue :

- Mais si tu préfères, nous pouvons arrêter. Je te le promets. Si tu ne veux plus de ce jeu, nous arrêterons et nous ne te ferons plus rien. Mais dans ce cas, pour notre sécurité, nous devrons t'attacher à ce lampadaire.

Il me montre alors un lampadaire qui se trouve au bord de la rue plus bas à côté d'un arrêt de bus. Et il continue à m'expliquer.

- Nous devrons bien t'attacher avec des menottes et des grosses chaînes à ce poteau. C'est la seule façon pour nous de s'assurer d'avoir tout rangé et être parti avant que tu appelles les flics ou revienne ici avec une arme pour récupérer les enregistrements que nous avons faits. Avec des grosses chaînes, personne ne pourra te délivrer. Ce qui signifie qu'il faudra appeler la police et les pompiers. Puis peut-être un soudeur pour couper les chaînes. Ce qui signifie que tu resteras des heures attachée toute nue devant le public. Et pense à la foule du voisinage qui va vouloir savoir ce qui se passe, sans parler de la presse qui voudra peut-être faire un reportage. Tu risques de te retrouver sur internet sans le vouloir. Ça serait un gâchis non?

L'envie de lui donner un coup de tête me vient à l'esprit. Je suis furieuse. Mais je sais que si je bouge, l'un de ses amis va me retenir avant que je puisse faire quoi que ce soit. J'envisage alors de lui cracher dessus, mais je suis vraiment sans défense. Je ne peux pas bouger mes bars et je suis complètement nue. S'ils le voulaient, ils pourraient se relayer pour me gifler ou me frapper.

- Alors, tu veux arrêter, ou tu veux continuer à jouer? Me demande-t-il comme s'il pensait que j'ai vraiment le choix.

Je sais qu'il fait ça pour me montrer qu'il contrôle tout, que je ne suis qu'une stupide salope sans défense. De colère, les larmes me montent aux yeux. En fin de compte c'est de ma faute si je suis dans cette situation. Toutefois, bien que j'aie très peur, une partie de moi est toujours incroyablement excitée, car je n'ai jamais ressenti d'émotions aussi intenses.

- Je joue! Dis-je brièvement en essayant de garder un peu de dignité.

Bien sûr, les autres gars rigolent et se congratulent alors que leur chef ne réagit pas.

- Si c'est le cas, alors tu dois le dire de la bonne manière. Et la bonne façon de le dire est de faire rebondir ta paire de nichons et de dire à voix haute : « S'il vous plaît, emmenez-moi au parc comme la pute que je suis pour pouvoir bien abuser de ma chatte! ». C'est la bonne façon de le dire, n'est-ce pas les gars? Dit-il en regardant ses amis.

Bien sûr, ceux-ci sont tout à fait d'accord. Ils rigolent encore et font des commentaires sarcastiques sur ce que je devrais ajouter.

Je soupire et verse des larmes. Je comprends que ce n'est que le début. Avant que tout se termine, je suis sûr que je vais être humiliée d'une manière que je ne croyais pas possible. Et j'ai le sentiment que je vais jouir plus que je ne l'ai fait en un an. J'espère juste que je vais m'en sortir en un seul morceau.

- S'il vous plaît, emmenez-moi au parc comme la pute que je suis... Pour que vous puissiez tous bien abuser de ma chatte! Dis-je clairement à haute voix tout en sautillant de haut en bas pour que mes gros seins rebondissent vraiment.

Je sens les lourds globes voler vers le haut, tapant presque mon menton, puis atterrir durement contre ma poitrine. De nouveau, ils se moquent tous de moi et même le chef. Mais après avoir ri, celui-ci dit :

- Bien! Très Bien! Allons-y!

L'un des gars du groupe, un hispanique, attrape le bout de la laisse. Il commence à marcher vers le trottoir en tenant la laisse tout en me filmant avec un caméscope. Quand la laisse est tendue, il tire dessus pour que je commence à avancer. Entrant dans une sorte de transe, je sens mes pieds nus toucher le béton du trottoir lorsque nous quittons la cour de la maison. J'entends le groupe marcher derrière moi en riant et en m'insultant. Ils disent tout haut ce qu'ils vont me faire et je les écoute, les mains toujours attachées dans le dos.

- Tu oublies encore de faire rebondir tes mamelles de pute. Alors répète encore et encore, jusqu'à ce que l'on arrive au parc, comment tu vas te faire bien baiser par tout le monde. Dit le chef derrière moi.

Je prends une profonde inspiration alors qu'il m'exhibe ainsi. Je sais que ça va être la nuit la plus longue de ma vie.

A suivre...

trouchard
trouchard
190 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
10 Commentaires
TamokinkTamokinkil y a 11 mois

J'ai beaucoup aimé ce texte, je trouve qu'il balance vraiment bien le partage de ses sentiments avec les scènes crues, très intéréssant!

dicordobadicordobail y a 11 mois

Merci pour cette excellente histoire, j'ai adoré. Surtout l'évolution psychologique de l'héroïne entre ses doutes, ses peurs et ses fantasmes. Vivement la suite.

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 11 mois

Un grand plaisir de te retrouver !

J'ai eu un peut de mal avec le début du texte que j'ai trouvé long mais la suite un vrai décile :)

chdecrivainchdecrivainil y a 11 mois

Content de retrouver vos traductions toujours bien choisies. Celle-ci ne fait pas exception. Merci.

APVapvAPVapvil y a 11 mois

Le texte nous plonge dans les atermoiements de la fille. C'est délicieux.

Montre plus
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Nathalie Soumise à son Collègue 01 Mariée Nathalie cède aux caprices sexuels d'un jeune ami.
Recession Les factures.
La Punition J'ai bien mérité ma punition.
Directrice d Agence 01 Histoire d une directrice d agence bien trop sûr d elle.
Gang-bang d'une Femme Riche Une femme riche et mature subit un gang-bang contre son gré.,,
Plus d'histoires