Un gang-bang qui tourne mal Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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- Envoie! Me dit l'un des gars en tendant les mains.

Je suis confuse. Pourquoi veut-il mon jean? Je pourrais comprendre qu'il veuille ma culotte ou mon soutien-gorge, car certains hommes aiment bien sentir les sous-vêtements féminins. Mais pourquoi mon jean? Que veut-il en faire? Il ne peut pas le porter, car il est trop petit pour lui.

Nerveuse, je lui jette et il l'attrape facilement. Je m'attends à ce qu'il fasse quelque chose avec, qu'il le sente ou qu'il le fasse tourner au-dessus de sa tête, mais il se contente de le poser sur ses genoux et il se remet à me regarder. Ce serait presque comique dans une autre situation.

Je commence à me sentir inquiète maintenant, comme s'il se passait autre chose ici. J'ai l'impression d'être tombée dans un piège ou quelque chose comme ça. Mais je me persuade que je suis juste stupide, qu'ils font ce dont on a parlé, rien de plus. Qu'il garde mon pantalon pour me mettre dans l'embarras.

Maintenant j'attrape le bas de mon tee-shirt. En le soulevant on voit mieux ma culotte, car mon ventre est entièrement exposé. En le soulevant davantage, les bonnets de mon soutien-gorge noir deviennent visibles. Et bizarrement je sens mes seins se trémousser dans leur prison avec mes mouvements. Je continue à tirer le tee-shirt jusqu'à ce qu'il passe au-dessus de ma tête. Sentir l'air sur ma peau exposée est si étrange. Je ressens quelque chose de bizarre, comme un souffle léger.

- Donne! Dit un autre gars.

Il veut mon tee-shirt. Je me mords la lèvre et je le lui lance. Il le saisit et le pose lui aussi sur ses genoux. Une sonnette d'alarme vibre dans ma tête, j'ai l'impression qu'ils ont déjà planifié tout ce qui concerne mes vêtements. Que vont-ils faire?

J'ai toujours été à l'aise avec mon corps. Aucun garçon ne s'est jamais plaint de ma plastique dans l'intimité. Mais cette histoire me rend anxieuse. J'ai l'impression de ne pas être assez bien, qu'ils attendent plus de moi, que mon corps pourrait être mieux. En même temps je me sens sexy et j'ai l'impression d'être un objet exposé. C'est alors que l'un d'entre eux commente :

- Putain, quels gros nichons!

Ils sont tous d'accord. Je ressens un peu de colère et d'embarras à ce sujet, car ses propos sont grossiers et vulgaires. Je commence à ouvrir la bouche pour lui crier dessus, mais je me rappelle où je suis et ce qui se passe. J'ai voulu ça, qu'il s'agisse de sexe et que l'on m'humilie. Mais jamais un homme ne s'est permis de faire de pareils commentaires sur ma poitrine.

- Ouais, mais il faut attendre que cette salope ait enlevé son soutien-gorge. Les gonzesses adorent porter des soutifs qui font paraître leurs seins plus gros. Dit le gars qui a ouvert la porte.

Les autres acquiescent. J'ouvre la bouche à nouveau la bouche pour crier, mais je m'arrête avant de le faire. Jamais auparavant je n'avais ressenti le besoin d'argumenter sur le fait que j'ai de gros seins. J'ai l'impression qu'ils veulent me faire sentir pathétique.

- J'ai une taille de bonnet H, je vous ferais savoir! Lui dis-je avec colère.

Mais dès que j'ai parlé, je le regrette. Parce qu'au moment où je le dis, le groupe se met à rire et se moque de ma colère. Le simple fait que je sois prête à me disputer sur la taille de mes seins me fait me sentir bien petite.

- Oh, excuse-moi! Dit-il ironiquement.

Il met ensuite ses mains sur son visage pour faire croire qu'il est gêné. Il regarde ensuite ses mains qui rigolent encore plus. Ils commencent à faire des commentaires moqueurs pour se faire rire les uns les autres alors que je reste immobile en culotte et soutien-gorge, me sentant plus nue que jamais.

- Allez, montre-nous tes nichons et ta chatte. J'ai parié 50 dollars que tu te rases la chatte comme une bonne salope! Dit-il.

L'un d'entre eux dit qu'il me reste juste un ticket de métro alors qu'un autre dit que je suis restée naturelle avec un énorme buisson touffu. Je me tais et j'ai honte, il parie sur ma toison pubienne. Un groupe d'hommes parie sur les poils de ma chatte. Je n'aurais jamais pensé que cela se passe comme ça.

Je prends une profonde inspiration alors que ma colère s'en va comme l'air d'un ballon. En ressentant toujours un sentiment d'insécurité, je glisse mes mains dans mon dos. Mes doigts saisissent l'agrafe du soutien-gorge et je fais attention de ne pas plier les crochets en les défaisant. Au moment où je détache mon soutien-gorge, je sens mes seins se libérer de leur prison dans laquelle ils étaient enfermés.

- Tu connais la suite! Envoie! Dit un gars qui me fait un signe de la main pour que je lui envoie mon sous-vêtement.

En regardant par terre, je prends une autre grande inspiration, puis je laisse mon soutien-gorge glisser complètement le long de mes bras. Mes seins sont totalement exposés. Je peux sentir leurs yeux se poser dessus. Je sens qu'ils les regardent se trémousser et se balancer tandis que mon soutif glisse dans ma main et que je le jette au gars.

Ils sont tous étrangement silencieux quand je fais ça. Je m'attendais à ce qu'ils crient ou fassent des commentaires salaces, mais non. Ils se contentent de fixer ma poitrine, comme s'ils étaient gelés sur place. Alors, vraiment gênée, je lève mon bras droit pour essayer de cacher mes seins. Je suis vraiment mal à l'aise, comme si une bande de détenus vicieux regardait ma poitrine.

Sachant ce que je dois faire ensuite, je glisse le pouce de ma main gauche sous l'élastique de ma culotte. Pour en finir le plus vite possible, je tire sur ma culotte pour la faire descendre rapidement. Ma féminité est exposée et ils peuvent voir que le premier trou du cul avait raison. Je suis complètement rasée. Alors que ma culotte glisse sur mes chevilles, je me dis que j'aurais aimé que le premier gars perde son pari. J'enjambe ma culotte, je suis complètement nue.

- Envoyez la monnaie! Dit le gars qui a ouvert la porte en voyant qu'il a gagné son pari.

Pendant qu'ils rient et remettent l'argent du pari au gars, je ramasse ma culotte et la lance à un des gars qui n'a aucun de mes vêtements. Je sais qu'ils me l'auraient demandé de toute façon. Le type l'attrape et la pose sur ses genoux. J'utilise alors ma main libre pour cacher mon sexe.

Je me tiens droite devant eux tout en essayant de cacher le plus possible de ma nudité. Je sais que c'est complètement stupide étant donné ce que nous sommes sur le point de faire, mais c'est un réflexe. J'ai l'impression d'être une victime en face de ses agresseurs. Mais c'est ce que je voulais, je dois bien l'admettre. Je voulais être humiliée, je l'avais demandé.

- Hé! Est-ce que l'un d'entre vous a demandé à cette salope de retirer ses mains de dessus sa tête? Demande le connard qui semble bien être le chef.

Les autres rigolent et répondent non. Le gars me regarde alors d'un air entendu, comme s'il attendait que je me comporte bien et que je fasse ce que l'on me dit.

- Bâtard! Dis-je dans un souffle.

Je sais qu'ils m'ont entendu. Mais je relâche mes bras et je remets mes mains sur ma tête. De la sorte ils ont une vue complète de mon corps. Dans cette position, je peux honnêtement dire que je ne me suis jamais sentie aussi effrayée et aussi excitée. j'ai vraiment l'impression d'être un objet exposé, presque comme une esclave.

- Tiens-toi droite! Oh attends, tu ne sais probablement pas comment te tenir droite. Écarte bien les jambes et bombe le torse! Dit le chef en me faisant sentir stupide.

Je ressens à nouveau de la colère qui se mélange à de la honte, mais je me retiens de dire quoi que ce soit. J'écarte les jambes jusqu'à la largeur de mes épaules et je sens ma chatte s'ouvrir légèrement. Puis j'arque mon dos, ce qui pousse mes seins en avant. Debout comme ça je n'arrive pas à comprendre à quel point je me sens stupide, ce qui est clairement le but recherché.

- J'ai l'idée d'un truc qui pourrait être amusant. Pourquoi ne pas secouer ces gros trucs en nous disant à nouveau quelle taille de bonnet ils font! Suggère l'un des noirs.

Les autres sont d'accord bien sûr. En l'entendant ma bouche s'ouvre de surprise. Je n'ai jamais entendu quelque chose d'aussi humiliant que ça. Je voudrais demander s'il est sérieux, mais je ne le fais pas, car je sais qu'il l'est. Je commence à me demander s'ils n'ont pas déjà prévu des choses humiliantes à me faire faire.

J'envisage de refuser de le faire, mais la peur de ce qui pourrait arriver ensuite est de plus en plus forte. Après tout je suis seule, nue et dans une situation compromettante. S'ils le veulent ils peuvent me faire ce qu'ils veulent. Rien que le fait qu'ils se moquent de moi est super intimidant, alors s'ils commencent à s'énerver... ça pourrait mal finir. Je sais que c'est pour réaliser l'un de mes fantasmes, mais c'est si réel et ça semble si dangereux.

Je ferme les yeux, car je sais que je dois le faire. Je commence à bouger mes épaules de gauche à droite pour que mes seins se mettent à remuer. Je sens qu'ils commencent à se trémousser doucement puis plus fort. Je sens que leurs poids se déplacent de façon étrange? Je les ai déjà secoués pour m'amuser, mais jamais comme ça. La sensation qu'ils bougent dans tous les sens est tellement gênante.

- Mes seins ont une taille de bonnet H! Dis-je en les secouant.

Je continue pendant quelques instants, détestant et à la fois aimant cette étrange sensation. Après mes paroles j'entends des tonnes de rires. Une vague aiguë de plaisir chaud m'envahit en les entendant. Des picotements naissent entre mes jambes. Le fait de devoir me tenir ainsi, les jambes écartées, les seins en avant, les mains sur la tête est un puissant catalyseur. C'est une manière puissante de me faire sentir comme une moins que rien. Ils ont vraiment pris au sérieux mon envie d'être moquée et humiliée.

- Maintenant, demande-nous de t'attacher les mains dans le dos et de te punir encore et encore d'être une grosse salope! Demande le chef.

Son sourire mauvais et vicieux est de retour. Il aime ça. Il aime voir une femme humiliée. Il aime dominer. Je réalise alors ce qu'il vient de dire. Des sueurs froides m'envahissent alors que ma situation devient de plus en plus réelle. Je savais qu'à un moment donné je serais attachée parce que je l'avais demandé, mais l'entendre est effrayant. Je veux dire que rien ne se passe comme je l'avais vraiment imaginé? Je pensais que ce serait magique et gentillet, mais c'est brutal et effrayant. Au lieu de me sentir sur des nuages comme je l'avais imaginé, je me retrouve avec des frissons de peur.

Est-que je veux vraiment être impuissante devant eux. Si je les laisse m'attacher, je ne pourrais rien faire. Mais eux pourront faire ce qu'ils veulent, que je sois d'accord ou non. Bien sûr, ça pourrait être génial, mais ça pourrait être dangereux. Il pourrait m'étouffer ou me tuer. Mais je pourrais avoir les meilleurs orgasmes de ma vie. Est-ce ce que je veux? Dois-je prendre le risque? Ou les choses sont-elles déjà allées trop loin?

- Dépêche-toi salope! Dit le chef d'un ton impatient et contrarié.

Les autres se joignent à lui, en me criant de me dépêcher. Avec tous ces cris, je suis intimidée, surtout dans ma position. Toutes mes réticences disparaissent alors que je sens que je dois le faire.

- N'oublie pas de secouer tes nichons en le disant! Ajoute le chef qui sait exactement ce qu'il fait.

Me sentant moins que rien et humiliée, je recommence à secouer mes seins. Mais cette fois je suis un peu plus énergique, car je me sens dépassée. Ma poitrine rebondit plus fort, si fort que c'est un peu douloureux.

- Voulez-vous... Voulez-vous m'attacher les mains dans le dos et... Et me punir parce que... parce que je suis une salope! Dis-je en faisant balancer mes seins.

A ce moment je rougis très fort et je me demande si je ne vais pas faire une attaque tellement je suis embarrassée et honteuse. Pourtant alors que j'absorbe tout ce que je ressens, j'ai toujours ce picotement entre mes jambes. Il s'intensifie. J'ai déjà ressenti ce genre de picotements, mais jamais aussi fort.

Bien sûr ils se moquent de moi et ils rigolent tous en me demandant de continuer à secouer ma poitrine. l'un d'eux m'encourage même à le faire plus fort. Puis ils commencent à chanter pour que je répète ce que j'ai dit. Ils me regardent tous fixement en attendant que je répète cette déclaration humiliante.

- Voulez-vous m'attacher les mains dans le dos et me punir encore et encore parce que je suis une salope! Dis-je pour leur faire plaisir sur un ton qui paraît plus vrai.

Ils applaudissent et m'acclament en se réjouissant clairement de mon humiliation. Ils aiment cette situation.

- Puisque que c'est ce que tu veux! Me répond le chef comme s'il me faisait une faveur.

Il se dirige vers la table sur laquelle se trouvent les ordinateurs portables, derrière les canapés. C'est là que je vois que sur une partie de cette table sont posé divers objets. Je ne peux pas bien les distinguer, mais je le vois prendre une corde.

- Oh... On ne t'a pas dit, mais ces ordinateurs enregistrent. Dit-il.

En l'entendant, j'ai l'impression que l'on vient de me donner un coup de poing. Je reste bouché bée en regardant les ordinateurs, puis je vois les webcams. Pourquoi ne les ai-je pas vues avant? Pourquoi n'ai-je pas pensé à la raison de ces appareils ici?

Ils m'ont filmée pendant tout ce temps? Oh mon Dieu! Ils m'ont enregistrée en train de me déshabiller, en train de parler de ma poitrine, en train d'admettre que je voulais qu'ils m'attachent et me punissent. Oh mon Dieu, maintenant c'est vraiment dangereux.

Les autres se moquent encore de moi et me demandent de secouer ma poitrine alors que leur chef démêle la corde. Mon cœur se met à battre si fort que je sens ma vision s'embrouiller quand je pense à ces enregistrements. Et est-ce que c'est diffusé en direct sur internet? Et que vont devenir ces enregistrements? Je ne peux rien y faire, car si je me jetais sur les ordinateurs pour effacer les films, ils m'en empêcheraient.

Avec un sourire diabolique, le chef se retourne et me montre la corde en la tenant bien haut. Il est sur le point de m'attacher. Il va le faire. C'est ma dernière chance pour m'échapper. Si je le laisse faire ça, je serais encore plus impuissante.

Je continue à remuer mes seins alors qu'il s'avance vers moi. Le groupe continue de se moquer et de rire. Plus le chef s'approche, plus je remarque des choses sur lui. Je pense qu'il a vingt-deux ans et qu'il est en bonne forme physique. Il porte une eau de toilette qui sent bon, mais qui ne correspond pas à sa personnalité. Je m'attends à ce qu'un mec, vicieux et méchant comme lui, sente mauvais et fort, mais non, il sent bon. Pourquoi diable je pense à ça? Il est sur le point de me ligoter!

- Continue à les secouer! Grogne-t-il alors qu'il passe derrière moi. Je rougis encore plus fort. Ça me fait bizarre qu'il soit derrière moi. j'ai l'impression d'être encerclée maintenant.

Je laisse échapper un soupir lorsqu'il saisit mon poignet droit au sommet de ma tête. Je sais que c'est idiot, mais je réalise que c'est la première fois que l'un d'eux me touche. Cette sensation d'être touchée dans la position où je suis est plus intense que la normale. Bon sang, tout ce qui se passe ici est plus intense que d'habitude. Je laisse échapper un souffle que je sais que tous ont entendu.

Il retire ma main de ma tête d'une manière douce. Je pensais qu'il serait plus cruel et brusque et qu'il me tirerait le bras en arrière comme un lutteur professionnel, mais au lieu de cela il s'assure de ne pas me blesser. Il tire ma main derrière mon dos. Puis il tire mon autre bras en arrière. Je suis obligée de me pencher légèrement en arrière lorsque mes deux bras sont tirés ensemble.

Je crie dans ma tête qu'il faut qu'il arrête. Ou alors qu'il faut que je coure vers la porte, que je ne peux pas le laisser m'attacher. Mais j'ai beau me dire ça, je ne fais rien et je reste silencieuse. Mon corps me dit que c'est ce que je veux. C'est pourquoi je suis venue ici. Alors je dois juste me taire et accepter ce qu'ils me font pour que je puisse vivre ça au moins une fois dans ma vie.

Incapable de m'en empêcher, je gémis lorsque je sens la corde s'enrouler autour de mes poignets. J'entends alors glousser derrière moi, comme s'il savait ce que je ressens. Il enroule plusieurs fois la corde autour de mes poignets en tirant dessus pour la serrer. Il est évident qu'il fait un nœud spécial.

La corde se resserre, pressant mes poignets l'un contre l'autre. Puis je le sens me lâcher. Mes mains tombent vers le bas. Instantanément je tire sur les liens pour essayer de les tester, mais je reste attachée. Je tire encore plus fort, encore et encore, mas rien n'y fait. Mes mains sont bien attachées derrière mon dos. c'est officiel, je suis sans défense.

J'ai du mal à respirer, car je n'arrive pas à croire que ça se passe. Je n'arrive pas à croire que je suis vraiment en train de faire ça. Je suis nue, nue devant des inconnus, nue devant une bande d'étudiants, nue et attachée, nue, attachée et filmée! Oh mon Dieu, ça ne ressemble pas du tout à ce que j'imaginais. Et ça ne me ressemble pas. Je vais à l'église toutes les semaines, je suis une fille bien. Quand suis-je donc devenue bizarre et perverse?

- Et voilà! Dit-il en repassant devant moi.

Nonchalamment il retourne à la table tandis que ses amis me regardent tous avec le même genre de sourire vicieux. Au moins, ils se sont arrêtés de rire.

- Je ne vois pas ces nichons bouger! Dit le chef qui me tourne le dos en cherchant quelque chose sur la table.

Aussitôt je recommence à secouer ma poitrine, la sensation humiliante de leur balancement revenant. Je me demande pourquoi il tient tant à me faire faire ça. Il a l'air obnubilé par ça, est-il fétichiste? Mais après tout, quel homme n'aime pas voir une paire de seins remuer?

Il revient vers moi lentement. Ses mais attendent quelque chose. Je sais qu'ils attendent que l'amusement commence, mais ils ont l'air d'être sur le bord de leur chaise en attendant un signal. Ils regardent tous leur chef maintenant qui s'approche de moi. Il va se passer quelque chose.

- Tu vas être plus jolie! Dit le gars en riant et en approchant quelque chose de mon visage.

Je recule un peu, j'ai peur de ce qu'il peut approcher de ma figure.

- Oh non! Protesté-je en le sentant enrouler quelque chose autour de mon cou.

C'est un foutu collier de chien. Un collier en cuir noir avec un anneau sur le devant. Il ricane sur ma protestation et serre le collier autour de mon cou. Je sais que je ne peux rien y faire. Il le serre, mais pas au point de bloquer ma respiration.

- Maintenant tu es jolie! Dit-il sur le ton d'un homme qui complimente son animal de compagnie.

Pour accentuer mon humiliation, il va même jusqu'à me tapoter le dessus de la tête. Je sens mon visage brûler de honte. J'envisage même d'essayer de le mordre.

- Et devine quoi? Nous avons une surprise pour toi, salope! Dit-il en reculant de quelques pas.

En l'entendant j'ai une boule qui se forme dans mon estomac. Je n'aime pas ça. Je sais qu'il va se passer quelque chose.

Il se tourne alors vers ses amis. C'est clairement le signal qu'ils attendaient. Tous ceux qui ont un de mes vêtements... commencent à le déchirer.

- Hé, arrêtez ça! Crié-je sous le choc en voyant mon tee-shirt se déchirer au niveau du col.

Stupéfaite je le regarde tirer et déchirer jusqu'à ce qu'il se partage en deux morceaux. Je vois que les bretelles de mon soutien-gorge sont arrachées ainsi que les bonnets. Je suis obligée de regarder comment il détruise mes vêtements. Ils ont même pris des ciseaux pour couper mon jean en morceaux.

La peur m'envahit alors que je me tiens là, impuissante pendant qu'il détruise mes vêtements. Et je me sens encore plus stupide et impuissante quand je découvre que je continue à faire rebondir mes seins pendant ce temps. Me sentant plus qu'humiliée, je les regarde complètement effarée. Abasourdie et effrayée, je me demande comment je vais rentrer chez moi. Je ne peux pas aller jusqu'à ma voiture complètement nue. Ou rentrer chez moi en marchant nue. Je me demande alors si je vais même rentrer chez moi.