Un gang-bang qui tourne mal Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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- Salope, tu vas avoir l'air vraiment idiote quand tu vas repartir! Dit le chef en donnant l'impression qu'il peut lire mes pensées. Les autres jettent les morceaux de mes vêtements en l'air comme si c'était des confettis.

- Tu vas devoir marcher à poil dans la rue? Sinon que vas-tu faire? Je vais te dire. Tu ne feras rien, RIEN.

Tout le monde rit et je me demande si c'est seulement une blague. À ce moment-là je sais que je devrais être en colère, car j'ai été trahie. Mais à la place, je baisse la tête et je regarde le sol, trop honteuse. D'une certaine façon j'aime ça, j'aime ce sentiment d'être pathétique au point qu'ils puissent faire ça sans s'inquiéter du tout. J'aime être impuissante.

- Il faut que tu saches que nous avons pris tout ce que tu voulais très au sérieux. On voulait s'assurer que ce soit spécial pour toi. On a tous réfléchi aux manières de t'humilier correctement. Nous voulions que ce soit spécial, que ce soit un moment que tu n'oublieras jamais. Donc nous avons décidé de ne pas rester dans l'humiliation habituelle. Ce fut difficile de trouver des choses qui n'ont pas déjà été faites. Nous avons pensé à d'autres choses, mais rien de bien grandiose. Et puis nous avons eu l'idée parfaite. Le truc parfait qui nous assure que tu sois et que tu te sentes bien humiliée. Pour être sûr que tu t'en souviendras le reste de ta vie.

Pendant que le chef parle, les autres ricanent et retiennent leurs rires en attendant la chute. La peur que je ressens s'intensifie, car je sais que je ne vais pas aimer ça. Je sais que quoi que ce soit, ça va être horrible. j'espère juste que ce n'est pas dangereux pour moi, comme être pendue ou battue à mort.

Le gars ne dit plus rien, mais il se dirige vers la porte d'entrée. Je le regarde, effrayée par ce qu'il s'apprête à faire. L'air fier de lui, il saisit la poignée de la porte. j'en déduis qu'il est sur le point d'aller chercher quelque chose à l'extérieur, ou dans sa voiture peut-être.

- Hé! Crié-je alors que l'un d'eux me surprend en saisissant l'anneau sur mon collier. J'étais tellement concentré sur leur leader que je n'ai pas remarqué qu'il s'était approché de moi. Je regarde ce qu'il fait et je le vois attacher une laisse au collier. C'est une longue laisse en cuir, comme celle que l'on voit sur les chiens.

Je le regarde fixement alors qu'il sourit. Je ne connais pas le BDSM, donc je n'ai jamais eu de collier et de laisse. Je dois admettre que ça me procure une sensation spéciale, surtout nue avec mes mains attachées dans mon dos. Je me dis qu'ils vont me promener comme un chien dans toute la maison et continuer à se moquer de moi.

- Prêt le toutou? Demande le chef.

Il ouvre complètement la porte d'entrée. Aussitôt je me tourne pour cacher mon corps. Je m'attends à moitié que quelqu'un soit à l'extérieur et regarde à l'intérieur de la maison pour me voir participer à ces actes pervers.

C'est alors que le gars qui tient la laisse commence à se diriger vers la porte ouverte. Encore une fois je suis surprise. Je réalise ce qu'ils veulent faire. Je pâlis et mon estomac se noue. Comme si j'étais un simple spectateur, je regarde l'homme qui tient ma laisse continuer à marcher, faisant en sorte que la laisse commence à être tendue. Je ne bouge pas, mais je le regarde fixement.

Non, ils ne sont pas sérieux. Ils ne vont pas faire ça. C'est beaucoup trop, les gens vont nous voir. Et la police sera appelée. C'est beaucoup trop extrême. Au lieu que ce soit un amusement privé, le monde entier va savoir ce que je fais et me voir comme un monstre. Ils veulent m'emmener dehors, nue et attachée, pour que tout le monde me voit comme ça.

Le gars tire sur la laisse pour me forcer à me mettre en route. Toujours abasourdie, je suis incapable de dire quoi que ce soit, mais je secoue la tête vivement pour dire « NON ». Je ne peux pas faire ça, je ne peux pas sortir de la maison, pas comme ça. Bien sûr je me rassure en me disant que c'est juste pour aller sous le porche et avoir peut d'être vue. Mais non, je ne peux pas, c'est trop.

CLAC!

Quelqu'un vient de me gifler violemment le cul avec sa main ouverte. j'entends le son bien avant de ressentir la douleur. Le son est vicieux et brutal, car il est très fort. Mais ensuite, je sens la douleur provoquée par la main qui frappe ma peau nue avec force. Incapable de m'en empêcher, je crie de douleur et j'avance pour essayer de m'éloigner de la douleur. Bouleversée et effrayée, je me retourne pour regarder derrière moi et je fixe le gars hispanique qui m'a fait ça. Mais ça fait rire tout le monde.

- Bouge salope! Ou sinon ça va être douloureux! Dit-il en me désignant la porte.

Il bouge sa main, car il a dû se faire mal en me giflant si fort. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai incroyablement peur. Je pensais qu'en montrant que je ne voulais pas qu'ils laisseraient tomber? Mais ce n'est pas le cas. J'ai peur que si je ne leur obéis pas, ils me fassent vraiment du mal. Et d'après ce que je vois, ce type aimerait me donner une fessée jusqu'à ce que mon cul soit à vif. Je peux clairement sentir l'empreinte de sa main sur ma fesse endolorie.

On tire à nouveau sur la laisse, mais avec un peu plus de force. Cette fois je commence à marcher. Je marche extrêmement lentement en essayant de réfléchir à ce que je peux faire pour m'en sortir. Je suis sur le point de sortir dehors nue et attachée. Si je fais ça, ma vie est ruinée.

- N'oublie pas de secouer tes nichons! Dit le chef en riant et en tenant la porte ouverte.

Il me regarde avec le même sourire diabolique, me montrant à quel point il aime ça. L'homme à la laisse est déjà à l'extérieur et il continue à tirer sur la laisse pour que je sorte rapidement.

- S'il vous plaît, je n'aime pas ça. Je ne veux pas le faire.

Je suis enfin capable de sortir quelques mots. Je surmonte ma paralysie et je m'exprime. Nous avions convenu que si nous n'aimions pas quelque chose, nous serions honnêtes et nous le dirions. Et je sais que nous avions parlé d'une humiliation publique, mais j'ai considéré que le fait d'être devant un groupe était une humiliation publique. Je ne pensais pas devoir sortir dans la rue.

En parlant, j'arrive à établir un contact visuel avec le chef. Instantanément le sourire mauvais disparaît. Il se transforme en un regard inquiet de personne au grand cœur. Dans son regard, je vois la honte grandir, car il sent qu'il est allé trop loin avec tout ça. Je sais que c'est de ma faute. Pendant une seconde je me sens vraiment mal.

- Dommage! Dit alors le chef en riant, le regarde mauvais revenu sur son visage.

Les autres rient aussi, jusqu'à ce que je n'entende plus que ça. l'homme derrière moi me pousse alors et me fait trébucher en avant.

J'essaie de ne pas tomber. Pendant un moment je pense que je vais tomber le visage en avant à travers la porte, mais l'homme qui tient la laisse me rattrape par les épaules et me redresse.

En regardant autour de moi, je vois que je suis dehors. Je suis sous le porche. Je n'y crois pas. Je suis dehors et je peux voir que le soleil n'est pas encore couché. Je suis dehors, en plein dans la lumière, où le monde entier peut me voir complètement nue. Mes pieds nus sont sur le porche, je sens le bois sous mes plantes de pieds. Je suis dehors, nue, avec mes seins qui remuent et ma chatte rasée. Et je suis plus que nue, je suis les mains attachées dans le dos et un collier de chien au cou., comme une bête de foire.

Tout ce que je veux faire, c'est demi-tour et courir à l'intérieur. Mais au lieu de ça, je suis poussée plus loin tandis que les autres étudiants sortent de la maison et me bloquent le passage. Une fois dehors, ils ferment la porte. À ce moment-là je sais que je suis coincée, car même si la porte n'est pas verrouillée, avec mes mains attachées je ne peux pas ouvrir la porte.

- C'est joli, hein les gars? Dit le chef en s'avançant de quelques pas dans la cour et en regardant la rue.

Il prend un ton de professeur d'université qui parle de la beauté du coucher de soleil. Lentement, je me déplace pour essayer d'être au plus près de la porte. Mais des mains me saisissent et me poussent de façon à ce que je me tienne devant tout le monde et pour être sûr que ma nudité soit vue.

- Un bel après-midi frais qui nous apporte une belle nuit. Une soirée entre amis. De la bière fraîche. Et une pute stupide à poil que tout le monde peut voir. Dit-il

Ils rient tous, alors je gémis et je ferme les yeux, car je sais que leurs rires vont attirer l'attention. Les voisins vont regarder par la fenêtre pour voir ce qui se passe.

- Je ne vois pas tes nichons bouger! Dit le chef sur un ton d'avertissement.

Jamais de ma vie je ne me suis sentie comme ça. Jamais je n'ai été aussi humiliée et embarrassée. Jamais je ne me suis sentie aussi pathétique. Et je l'ai voulu pourtant.

Je me sens faible et pâle, et je commence à remuer ma poitrine. Je me sens tellement accablée et humiliée que j'ai peur de m'évanouir à cause de tout cela, que ce soit trop pour moi. Mais je fais remuer mes seins, ce à quoi ils répondent en faisant encore plus de bruit pour attirer l'attention.

Maintenant je sens des mains qui se posent sur mon cul nu. Elles prennent mes fesses et les serrent. D'autres mains s'ajoutent aux premières et mon cul est rudement malmené et tripoté pendant que je ne bouge pas au milieu de la pelouse devant la maison. Ils tâtent mon cul sans vergogne et je ne dis rien.

- Cette nuit va être très amusante pour nous tous! Dit le chef.

Maintenant des mains agrippent mes seins. Ma poitrine est tripotée sans douceur. Des doigts trouvent mes mamelons et les font rouler. Les gars soulèvent, pressent, pincent et tirent même sur mes seins. Ces hommes sont comme des prédateurs. Ils tripotent mon corps nu sans respect pour moi. Ils sont tout autour de moi et passent leurs mains sur tous les recoins de ma peau. Et ce faisant, ils font des commentaires salaces comme « Regarde ces fesses qui remuent » ou « quelle pute ». Mon corps devient meurtri et chaud par tous ces hommes qui s'en prennent furieusement à lui.

- Tu vois, nous avons une longue nuit devant nous. Pour commencer, dans un instant tu vas avoir le plaisir d'avoir ma bite dans la bouche, ainsi que celles de tous mes amis. Et ensuite... Nous irons au parc au bout de la rue, où la fête en ton honneur commencera officiellement. Dit le chef.

Je l'entends à peine alors que les autres deviennent plus brutaux avec mon corps. Pourtant, bizarrement, ils ne touchent pas ma chatte. Ils s'en approchent, ils la regardent et ils en parlent, mais aucun ne la touche, ce qui est assez étrange.

Soudain mon cul est giflé. Le claquement est bruyant et je glapis de douleur. Les rires suivent tandis que des mains me tiennent en place comme si j'allais m'enfuir en courant. Puis un des gars me claque encore les fesses, mais beaucoup plus fort. Un autre dit qu'il veut essayer lui aussi et il claque mon cul lui aussi.

Chaque claque me fait mal et laisse une empreinte de main. Chacune d'elle fait un claquement qui me semble résonner dans la rue. Et à chaque fois je pousse un cri. C'est d'ailleurs pour cela qu'ils rient tant.

Maintenant ils se relaient pour me claquer le cul. Ils en font un jeu. Ils giflent une fesse pour voir le cri que je vais pousser, puis ils rigolent tous. C'est de loin la chose la plus humiliante que j'ai vécue jusqu'à présent. Le chef se contente de regarder et je me demande si des gens m'épient de leurs maisons.

- Hé salope, dis « Je mérite ça pour avoir montré mes nichons et ma chatte en public »! Demande l'un d'eux en se plaçant derrière moi. Puis il me claque le cul. Mais il ne s'arrête pas, il continue de claquer mes fesses encore et encore. Il ne frappe pas très fort, mais ça me brûle quand même. Et j'ai honte, car j'ai l'impression qu'il me donne une fessée comme à une petite fille. Et en plus c'est en public.

- Veux-tu que je gifle ta chatte à la place? Prévient-il.

Un picotement me parcourt l'entrejambe. J'ai peur, je ne doute pas qu'il adorerait faire ça. Surtout qu'ils ont l'air de prendre leur pied avec les brefs cris de douleur que je pousse quand je suis claquée.

- Je... Je... Je... Commencé-je, accablée, alors qu'il continue à me fesser et que ses amis écoutent et rigolent.

Mes pauvres fesses sont déjà en feu avec cette fessée. Je sens qu'elles doivent être complètement rouges.

- Je... J'ai mérité cette fessée pour avoir montré mes seins et ma chatte à tout le monde comme ça! Dis-je alors, les mots s'écoulant rapidement.

Après ces mots je les entends dire « putain de salope » ou « tu vas avoir pire ».

- Je n'en peux plus, viens ici! Dit alors le chef.

Je vois le vice s'afficher sur son visage. Je ne sais pas pourquoi je ne l'ai pas fait auparavant, mais maintenant je regarde son jean qui est déformé par une bosse. Il est évident qu'il bande dans son pantalon et, pour une raison étrange, je suis encore plus excitée. En regardant les autres gars, je vois qu'ils sont tous pareils. Celui qui en short est comique avec le tissu soulevé par sa bite. Il y a tellement de queues autour de moi.

J'avance de quelques pas vers le chef et je m'éloigne du groupe. Plus je marche, plus j'avance dans la cour avant de la maison, et plus les gens peuvent me voir. Est-ce quelqu'un regarde derrière sa fenêtre? Est-ce qu'ils me voient complètement nue? Se demandent-ils pourquoi mes mains sont attachées? Se demandent-ils pourquoi j'ai un collier et une laisse?

Soudain, le chef saisit l'extrémité de la laisse et tire fortement dessus pour me forcer à avancer. Il tire en même temps qu'il marche dans la cour. J'essaie bien de résister, mais il est trop fort. Je suis forcée de le suivre jusqu'à ce que nous soyons vraiment au milieu de la cour. Je tourne la tête dans tous les sens pour regarder autour de moi. Nous sommes bien en vue de la rue maintenant. Il y a tellement de maisons, tant de voitures dans les allées. Il y a sûrement beaucoup de voisins chez eux.

Mon cœur bat la chamade, et mon estomac forme une boule lorsque je vois qu'une personne qui arrosait son jardin quand je suis arrivée est toujours là. Je crois qu'il s'agit d'une femme, mais je n'en suis pas vraiment sûre. Pour être honnête, mon cœur bat si fort que ma vision est trouble, ce qui me rend difficile de distinguer les détails au loin. Mais le fait est que cette personne peut me voir. Elle peut me voir nue et attachée.

- Que tout le monde te voit te mettre à genoux! Dit le chef d'un ton moqueur.

Je me tourne alors et je le regarde droit dans les yeux. Pendant un moment, je ne bouge pas et je ne dis rien. Je me sens tellement bizarre. Je me sens stupide et je suis pâle. J'ai peur, mais dans le fond sombre de mon esprit, je suis excitée. Je ne me sens plus moi-même.

Je me demande ce qui se passerait si je disais non, mais comme ils sont cinq et que je suis seule, je sais qu'ils arriveraient physiquement à me mettre à genoux. Alors, après avoir pris une profonde inspiration, je me baisse lentement. Mais tout en le faisant je garde le contact visuel avec mon tourmenteur. Je continue à regarder vers le haut pendant que je m'agenouille honteusement avec des gens qui me regardent peut-être dans le voisinage. En y pensant, je mouille encore en reconnaissant que c'est ma place.

Le chef ne perd pas de temps pour déboutonner son jean et le baisser. En un éclair, sa bite jaillit à quelques centimètres de mon visage. Je le regarde, étonné de ce que je vois. Bien sûr, j'ai déjà vu beaucoup de bites, mais là il s'agit de celle d'un étranger, d'un inconnu, de quelqu'un que je ne connaissais pas il y a quelques heures. Et ce gars-là me tient attachée, nue et agenouillée dans une cour, avec sa bite près de mon visage. Bien sûr cette queue est d'apparence normale et pas super énorme, mais une bite est une bite.

- Montre à tout le monde quelle pute tu es! Mets ma bite dans ta bouche et continue de me regarder! Ordonne-t-il.

Me sentant tellement humiliée, je regarde son sexe pendant un moment, puis je lève mes yeux sur lui. Bien sûr, j'ai déjà fait des fellations, mais pas dans cette situation. Jamais comme une pute. Le groupe de gars continuent à m'appeler ainsi, comme si je devais vraiment intégrer ce qu'ils pensent de moi.

Craignant qu'ils me forcent à le faire, j'avance ma tête en le regardant. Je mets sa bite dans ma bouche, car je n'ai pas d'autres choix. Je l'engloutis et mes lèvres se referment autour de son engin. Je fais bien attention de garder mes dents écartées. En faisant cela, je regarde le gars qui sourit encore plus fort.

J'ai sa bite dans ma bouche. La bite d'un étranger. Je sens sa chaleur alors qu'elle reste là sans bouger. Je la sens même vibrer, et je sens son goût.

- Maintenant dis : « J'ai une bite dans la bouche parce que je suis une pute stupide! », dis-le! Demande-t-il.

Au même moment, il met ses mains sur les côtés de ma tête. Je sais qu'il fait ça pour maintenir ma tête en place, pour que je ne puisse pas reculer et retirer la bite de ma bouche. Puis il agrippe mes cheveux.

Je tire sur mes mains dans une nouvelle tentative de les libérer. Ma liberté dépend du fait que j'arrive à libérer mes mains. Une fois qu'elles le seront, tout ira bien, je pourrais me défendre. Mais je m'en rends compte une nouvelle fois, mes mains sont bien attachées et ne bougeront pas. Pour gagner du temps, j'écarte un peu les jambes et mes genoux s'enfoncent un peu plus. Je ne veux pas dire ce qu'il veut, c'est trop humiliant comme ça.

- ...ai... u...it...an...a...ouch...ar... e... ui... u... ut...! Dis-je finalement alors que mon esprit me crie de ne pas le faire.

Avec le membre palpitant dans ma bouche, les mots ne sortent pas correctement. C'est un mélange de sons confus qui sort avec de la bave. Pourtant, quand je dis cela, le groupe se met à rire. Même le chef rigole en me regardant de haut, comme si j'étais une créature inférieure.

- Bonne petite salope! Dit-il avec un sourire moqueur en enfonçant sa bite plus profondément dans ma bouche.

Puis, tout en tenant fermement ma tête, il se retire, en faisant glisser mes lèvres sur sa queue. Il donne ensuite un coup de rein pour enfoncer son sexe encore plus profondément dans ma bouche. Et il se retire à nouveau.

Il baise mon visage, dans son jardin, à la vue de tous. Je sens le goût de sa bite et de son liquide pré-éjaculatoire au fond de ma gorge pendant qu'il la fait entrer et sortir de ma bouche. À chaque fois, je ressens quelque chose de bizarre quand sa bite glisse entre mes lèvres. Et plus il continue, plus il va vite.

Sachant que la seule façon de l'arrêter c'est qu'il prenne son pied et qu'il jouisse, je commence à utiliser ma langue. Quand sa queue entre, je la passe sur son gland, puis la fais lécher sa tige. Et je le suce doucement alors qu'il pousse. Dès que je commence, il gémit de satisfaction pour me faire comprendre que je fais bien.

Mais ensuite, il commence à me baiser très vite, trop vite. Et ses mains qui tiennent ma tête l'enserre trop fort, ce qui est vraiment inconfortable. Ce rythme plus rapide et brutal fait balancer violemment mes pauvres seins. Pour aggraver ma situation, à chaque coup de rein, il commence à tirer ma tête vers lui pour s'enfoncer encore plus profondément dans ma gorge.

Je commence à émettre des bruits sourds à chaque fois, car il va au plus profond de ma bouche. Mais ces bruits sont noyés par les rires et les applaudissements de tous ses amis qui le regardent me dégrader. Les commentaires fusent. Ils crient « Baise cette pute », « Vas-y, baise lui la bouche! ».

- Putain oui! Dit le chef en tirant ma tête jusqu'à ce que mon nez soit pressé contre son ventre, ses couilles sur mon menton.

Il me tient comme ça, sa bite dans ma gorge. Pendant un instant, j'ai l'impression qu'il veut me tuer en m'étouffant, mais quand je sens un liquide chaud et salé dans ma bouche, je comprends ce qui se passe. Il jouit... Et manifestement il veut que j'avale.