Un EVG Qui Dérape Ch. 05

- Ma chère, puis-je ?

- Mais bien sûr Maître, comme convenu, présentez-là, dit Amélie en tendant la laisse.

Maître Eric tira l'esclave docile vers la pièce principale où une dizaine de personnes s'amusaient dans des positions variées et non équivoques, principalement des hommes, mais il y avait deux femmes aussi.

Il saisit un micro et s'adressa à la petite assemblée :

- Bonjour à tous, vous me connaissez tous, je suis Maître Eric, et je suis votre hôte pour cette nouvelle soirée spéciale du club, plus intime qu'à l'accoutumée, réservée à mes plus fidèles clients, amis et proches.

L'assemblée l'applaudit chaudement, et on entendit même quelques cris d'admiration. Maître Eric adorait ce petite cérémonial qui flattait tant son égo.

- Voici Maîtresse Milie, qui nous fait l'honneur de partager Sissy Jordie avec vous.

Nouveaux applaudissements.

Jordan se crispa et se tourna inquiet vers Amélie, qui était toujours rayonnante. Elle lui envoya un discret « chut » de loin, tandis que Maître Eric poursuivit :

- Sissy Jordie est une pucelle, au sens où elle n'a jamais participé à un temps libertin, mais elle a cumulé un peu d'expérience ce soir : vous pourrez consulter l'ensemble de son œuvre sur l'écran géant de notre la salle de projection.

Quelques discussions se lançaient entre les VIP du club. Eric expliqua :

- Si cette soirée est spéciale, je n'ai pas souhaité priver les nombreux autres membres du club des exploits réalisés par notre petite Jordie...

Jordan lança un regard noir à Amélie, qui lui fit une moue faussement surprise. Elle s'amusa : « Et oui mon coco, j'ai tout documenté et donné à Eric ! ». Celui-ci continua :

- Cela vous permettra de vous rendre compte par vous-même de ses aptitudes anales et buccales, que vous pourrez tester au demeurant, avant de passer éventuellement à sa vente ce soir.

Il marqua une pause pour réussir son petit effet d'annonce.

Des rires et sourires approbateurs accompagnaient de nouveaux applaudissement.

Eric remarqua que la sissy semblait mi surprise, mi apeurée, mais détecta qu'elle était aussi profondément troublée... ce trouble de l'excitation qu'il ne connaissait que trop bien lorsqu'il avait dressé d'autres sissy avant elle. Il poursuivit :

- Mais tout dépendra de sa Maîtresse : elle souhaite vérifier ce soir ses aptitudes avant tout auprès de vous. Elle se réserve donc le droit de ne pas lever l'option de vente si elle estime que son soumis n'est pas prêt.

Quelques gémissements de déception se firent entendre : plusieurs personnes étaient spécialement là pour acheter des esclaves, et la sissy était encore bien neuve, ce qui pouvait mettre en joie les plus sadiques d'entre eux, avides de dressages sévères, de chosification ou de BDSM.

Jordie commença à sérieusement s'inquiéter, et repensa à l'histoire de Roxy, la sissy prête à tout pour sa maîtresse, devenue pute en Colombie ! Il était d'autant plus confus qu'il voyait qu'Amélie arborait un sourire béat, comme celui d'un enfant devant un bonbon qu'on va lui donner sous peu.

S'il avait envie d'explorer sa sexualité, ce n'était pas au point de couloir finir comme pute à l'étranger comme Roxy, ou comme une transsexuelle à gros seins ! Et il avait un mariage bon sang !

Mais il avait aussi une furieuse envie de gagner le défi et de la baiser, plus que jamais... il n'était pas question qu'après tous ces outrages, il cède au dernier moment... elle devait s'amuser à le mettre en situation, à repousser ses craintes et ses limites, mais il n'était pas dupe de cette supercherie bien orchestrée. Il décida de continuer à jour le jeu, malgré ses craintes.

- Ma chère, si vous souhaitez ajouter quelques mots ? demanda Eric.

Maître Eric tendit le micro à Amélie :

- Cher Maître, vous avez tout dit, une vente est une option et dépendra de la suite de la soirée, mais aussi de certaines informations que je suis en train de recevoir. En attendant, si vous pouvez montrer l'état de la chose ?

A la surprise de Jordan, Maître Eric retira le plug anal, et enfonça aisément deux doigts dans le cul duquel du sperme coulait abondamment. Amélie commenta :

- Comme vous le voyez, mon soumis et ami adore offrir son cul, c'est un peu sa raison d'être. Et comme vous pouvez le voir, son cul ne se referme plus depuis ses prestations. Vous pourrez la baiser et déverser votre foutre si vous le souhaitez, ou gicler dedans de loin si la baiser après d'autres n'est pas votre truc. Sachez que vous pouvez également simplement la baiser avec un préservatif, l'ensemble des hommes qui ont passé la soirée à la sauter sont sains, soyez sans crainte !

Ce petit mensonge était sans conséquence : Amélie considérait que seul le SDF pourrait, avec son hygiène douteuse, présenter un risque. Mais au diable les détails, elle était aussi une salope sans scrupule, alors à ce stade de la soirée, ça importait peu que les libertins prennent ce risque !

Malgré ses efforts à relativiser, Jordan était totalement humilié par ce discours surréaliste, au point de ne pas avoir fait attention à l'autre soumis qui vint éponger le sperme qui s'écoulait de son cul.

Amélie poursuivit :

- Son cul est aussi béant que sa queue est petite, donc elle ne sortira pas de son fourreau : vous ne seriez que déçus, comme les rares femmes qu'il a connu dans le passé. Heureusement, un ami l'a mis dans une cage que personne ne peut détruire, et j'en suis la seule à disposer des clés... et peut-être prochainement l'acquéreur de mon esclave, si je le mets en vente !

L'assemblée, attentive, applaudit avec chaleur.

Amélie termina sa tirade :

- J'ai enfin le plaisir de vous annoncer que si ma sissy a passé bien des caps en quelques heures, j'ai appris, à ma grande surprise, qu'elle n'était pas la seule salope à avoir évolué !

Amélie marqua une pause afin de totalement capter l'attention de l'assemblée intriguée.

Alle fit alors un signe à un homme à qui elle remit son portable qui le connecta à un projecteur, et lança une vidéo.

Le sang de Jordan se glaça dès la première image.

Amélie annonça, d'un sourire radieux :

- Voici Milena, la future épouse de sissy !

La salle s'emplit d'un brouhaha et de rires étouffés : Milena, à poil, se faisait sauvagement pistonner à quatre pattes par un étalon métis musclé, tandis qu'elle léchait la chatte d'Alix !

- Comme vous le voyez, elle goute aux plaisirs de la chair, notamment du même sexe, comme Jordie ici l'a fait.

Maître Eric tira sur la laisse afin de faire avancer lentement Jordan au centre de la pièce, comme un chien qui fixait de son regard vide une vidéo qu'il ne comprenait pas, tandis que convives s'agglutinaient autour de lui.

Amélie continua :

- C'est la nuit de mes deux putes préférées, alors, profitez, car il se peut que je vende celle-ci qui manifestement, ne manquera pas à sa future épouse !

Jordan fixait sa future épouse et sa chatte distendue par l'énorme sexe qui la baisait, le visage rougi par l'effort, enivré par le sexe et l'alcool, filmée par les complices d'Amélie. Il nota en arrière-plan ses copines, certaines mortifiées d'assister à ça bien que ne lâchant pas la scène du regard, à la fois gênées et excitées d'assister à la déchéance de la future épouse, tandis que d'autres fouillaient de la langue tantôt des hommes, tantôt des femmes. A sa grande stupeur, il nota qu'Aline, la femme de Gad, qui se plaignait toujours d'une sexualité en berne, était en train de sucer un autre danseur, pendant qu'une femme lui tétait ses énormes seins, les malaxant comme pour les pétrir ou les traire !

Absolument tous ses repères explosaient, et les convives autour de lui profitaient du spectacle pour se lancer progressivement également dans une orgie libératrice. Même Amélie, qui n'avait pas pensé que ça dérape autant du côté des filles, semblait se laisser prendre au jeu lorsqu'une jeune femme commença à l'enlacer, et l'embrasser, sans qu'elle ne résiste aucunement.

Jordan voulut croire qu'il était encore sous l'effet de la drogue, mais tel n'était pas le cas, et il revint vite à la réalité lorsque Maître Eric, qui s'était positionné à quatre pattes derrière lui, le pénétra sans semonce, le faisant crier, mais d'un cri bestial, sexuel !

Maître Eric le fessa sur le champ, et lui ordonna de se taire et d'accepter sa punition.

Jordan ne dit plus un mot et se fit baiser vivement par le maître des lieux : lui aussi présentait une queue impressionnante bien que loin du niveau du gorille de l'entrée. Il se fit la réflexion que s'être fait baiser avant n'était finalement pas une mauvaise chose pour mieux accepter les engins successifs, tout cela commençait à devenir naturel et simple pour lui.

Alors que Jordan se faisait chevaucher sauvagement, il vit s'allumer des écrans géants accrochés sur chaque mur : sa baise était diffusée en intégralité pour donner une vue parfaite de sa soumission à l'ensemble des convives ici présents, mais aussi dans l'autre salle au loin dont émanait des cris de stupeur et des applaudissements !

Entre deux respirations, Maître Eric annonça au micro :

- Mes amis... sachez que cette baise... est diffusée comme il est d'usage... sur notre réseau social privé... tous les fonds obtenus... seront reversés à la fondation de lutte contre les discriminations...

En plein french kiss avec une jeune soumise de 25 ans, la chatte trempée, Amélie se dit que Jordan était devenu sa petite pute, qu'elle commençait à rapporter, et qu'elle regrettait ne pas avoir profité de ses charmes plus tôt. Ou plus précisément, d'avoir fait profiter de ses charmes ! Elle était ravie de la tournure des évènements.

Elle était surprise par l'absence de révolte de Jordan, et comprit que le dernier cap se passait sous ses yeux : il était brisé, soumis, et ferait tout, sans sourciller. Elle était en train de faire de lui un homo, une petite pédale soumise à des gays ! Elle se demandait s'il resterait encore quelque chose de viril en lui, et si son hétérosexualité allait survivre à ce déferlement de passion sexuelle !

Certes, elle ne voulait pas briser son couple, mais elle en prenait tellement de plaisir qu'elle n'avait guère de sentiment de culpabilité. Après tout, ces deux-là décidaient librement de leur destin : elle n'avait fait qu'organiser la soirée, et si Milena voulait se faire défoncer le minou par des dieux du sexe, et que Jordie voulait se soumettre à tous les hommes du coin, du cadre dynamique au clodo, alors c'était leur choix, et elle en profiterait au maximum!

Et si leur couple était vraiment solide, cela n'empêcherait pas le mariage !

Elle n'y croyait bien évidemment pas vraiment, mais elle s'en fichait : la fille avait commencé à lui lécher le sexe, et elle perdait la raison, se sentant défaillir de plaisir.

Ravi de voir Amélie prendre son pied, Maître Eric finit par pousser un rugissement de rage et de plaisir, claquant les fesses avec encore plus d'autorité, jouissant de toute sa colère, et réalisa que ce soumis répondait très bien à ses critères. Il se retira sans cérémonie du cul offert, laissant son sperme épais couler du cul béant, puis s'épongea le front avant de redonner la laisse à Amélie, perdue entre deux orgasmes.

Amélie regarda de plus près l'état de son ami, qui respirait rapidement.

Elle remarqua quelque chose d'étrange et n'en croyait pas ses yeux : du sperme coulait de la cage !

Elle l'annonça au micro :

- Mes amis ! Sachez que la salope vient d'avoir officiellement son premier orgasme anal !

Jordan était inerte, complètement humilié et abattu devant son exposition et les applaudissements reçus.

- Alors ma belle, on y est ? Plus de minou pour toi, tu ne voudras plus que de la baise anale ? Le plan à trois ne t'intéresse plus, tu préfères le gangbang de ce soir pendant que ta femme se fait démonter par tout un tas de mecs? enfonça Amélie.

En effet, le vidéo direct montrait que Milena passait entre plusieurs queues expertes, avec doubles et triples pénétrations, avec orgasmes sur orgasmes. Amélie se dit qu'il y aurait dûrementd es trucs à faire avec Milena dorénavant, mais chaque plan en son temps.

Jordan reprit peu à peu ses esprits, et dans un ultime acte de bravoure, répliqua froidement à Amélie avec assurance retrouvée :

- Jamais, « Maîtresse » Milie, dit-il, en insistant sur le « Maîtresse », comme pour marquer un certain mépris... je te promets qu'après tout ce que tu m'as fait vivre, je vais te baiser comme la chienne que tu es... tu es loin d'avoir brisé mon couple, de m'avoir brisé.

Amélie était surprise de ce regain de courage : à moins d'une ultime bravade, il n'était manifestement pas encore assez brisé, et il restait attiré par les filles. Elle allait en tirer avantage d'une façon ou d'une autre, mais en attendant, il était temps de le faire taire.

Elle l'amena en laisse sur un cheval d'arçon, spécialement aménagé pour sangler les esclaves, et se retrouva à plat ventre, jambes écartées et bras attachés.

Maître Eric annonça d'un claquement sur le cul du soumis que la marchandise était à disposition pour être testée.

S'ensuivit une soirée orgiaque ou Sissy Jordie fut baisée par chacun des hommes présents, ce qui en fait presque une dizaine, plus ou moins jeunes, plus ou moins beaux, des gras, des musclés...

Amélie assistait à chacune des pénétrations anales, queues après queues, notant que Jordan n'arrivait pas à résister au plaisir des enculades, au point que certains convives, gênés de ce trop-plein de plaisir pris par un simple esclave, décidèrent d'étouffer ses cris en baisant sa bouche pendant qu'un autre le baisait.

A la fin du passage de chaque homme (certains étaient revenus y jouir deux fois), une jeune femme connue dans les soirées sous le nom de Lorie, arborant un petit gabarit mince de 1 mètre 55, la trentaine, sexy en diable avec son sourire ravageur, tatouée avec des motifs symboliques, demanda à Amélie si elle pouvait le torturer un peu.

- Fais lui ce que tu veux, tant qu'il ne baise pas avec toi, tu es libre !

- Ne t'inquiète pas, je ne suis pas attiré par sa misérable queue : c'est qu'il me rappelle quelqu'un et j'ai une furieuse envie de lui claquer les couilles.

Elle s'y entreprit immédiatement et avec zèle : Jordan, incapable de se défendre, poussa des cris de douleur... A sa surprise, il était de nouveau excité : « Mais qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez moi ? », se demanda-t-il, avant de se laisser aller à d'autres coups, d'autres plaisirs, la jeune fille ayant saisi une cravache pour lui frapper le dos, le cul, les couilles.

Lorie qui aimait aussi se soumettre parfois, déchargea la colère qu'elle avait cumulée contre son ex. Mais face aux réactions de plaisir de ce pseudo mec, elle était un brin frustrée. Elle se positionna alors derrière lui et enfonça lentement trois doigts d'un coup, dans le cul huilé de sperme. Puis une quatrième, qui entra sans aucune difficulté dans le trou distendu. Elle voulut y ajouter le pouce...

Amélie le vit et voulut l'arrêter mais se retint : elle ne voulait pas le voir abimé malgré tout ce qu'il avait subi, mais quand elle vit Jordan gémir à mesure que la main entière était avalée par son cul, elle décida de laisser la jeune femme aller au bout de ses envies.

- J'ai pratiqué le fisting avec mon ex-copain, et je pense que je sais m'y prendre pour la transformer en pute soumise à son désir de pénétration anale... rassura-t-elle Amélie.

Lorie enfonçait sa main puis son fin poignet, avançant toujours plus loin, ce qui donnait un spectacle grotesque : elle contorsionnait son avant-bras comme dans une marionnette gémissante ! Elle jouait savamment des doigts, formait un poing pour bien l'écarter. Puis elle focalisa où elle précisa ses assauts.

Amélie étudiait les gestes avec une attention religieuse, observant toute l'expertise de Lorie : son va-et-vient, de plus en plus rapide, défonça littéralement le cul de Jordan qui eut très rapidement un nouvel orgasme, à la grande satisfaction de Lorie.

- Et voilà, une pute de plus qui ne jouira qu'avec un bras dans le cul! dit-elle en s'adressant à Amélie.

Elle se retira d'un coup sec, laissant l'anus grand ouvert, tandis que Jordan s'affaissa sur le torse, les fesses en l'air comme prêtes à s'offrir aux prochains assauts. Elle le quitta non sans lancer une dernière pique au sissy :

- Tu vois petite chienne, je viens de te marquer à jamais, et dorénavant tu voudras des queues toujours plus grosses au point que même un poney ne pourra pas te satisfaire ! Et ton clito ne servira qu'à faire couler ta semence inutile, et crever ton sperme au sol. D'ailleurs, lèche-le !

Elle le détacha, lui claqua son cul obscènement offert à ses yeux, et il obéit machinalement, sentant sa raison vaciller, même si une faible lumière brillait encore en lui pour ne passe noyer dans ce tourbillon des sens.

Amélie avait assisté à ce qu'elle n'aurait jamais cru voir de son ami, ce beau cadre BCBG, si drôle, sympa, joueur, accepter d'être autant dégradé, par des hommes, une femme, son cul claqué, fouetté, baisé comme une vulgaire poupée, le marquant dans sa chair et dans son âme.

Maître Eric constatait la vaillance du soumis, qui refusait d'être brisé et fit part à Amélie de ses pensées : 

- Vraiment, votre ami est un garçon épatant : il fait preuve de courage, d'abnégation, d'amour propre, et pourtant il aime se faire sauvagement humilier et baiser ! Dur comme un roc, fragile comme une petite poupée qu'on a envie de bercer, il me plait beaucoup...

- Oh, c'est touchant, et je partage votre avis.

- Vous savez, si vous souhaitez le vendre, je peux le garder quelques jours, et le dresser comme il faut. J'ai un ami, Master Ahmed, très doué avec ça, capable de faire de l'hétéro le plus résistant une petite trave castrée obéissante, avide de servir son Maître.

- Hum, l'idée me plaît beaucoup, mais vous savez qu'il ne lâchera rien tant qu'il n'aura pas utilisé le safe word...

- Je le sais. Ce qui signifie qu'il faut mettre un terme à cela.

Amélie avait envisagé bien des choses, mais la prochaine étape était certainement la plus délicate : mettre dans une situation telle que Jordan ne pourrait plus continuer. Elle avait compris que la question n'était plus vraiment de le briser - car il aimait être brisé -- mais plutôt de l'amener à une limite moralement infranchissable.

Aussi, elle opina du chef, confirmant à Maître Eric que la chose pouvait être tentée.

C'était la dernière ligne droite. Du moins croyait-elle.