Un EVG Qui Dérape Ch. 06

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Jordan ou Jordie, le destin se scelle maintenant...
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Partie 6 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 04/16/2021
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RoxyJJ80
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Amélie suivit son hôte vers une autre salle, plus discrète, sorte de vieille bibliothèque dans laquelle un doux feu de bois crépitait, sans pour autant éclairer l'ensemble de la pièce. Elle y entraina son soumis, le cul rempli de sperme, marchant docilement à ses pieds comme le gentil clebs qu'il était devenu. Voilà un fantasme, qu'elle avait réussi à réaliser avec lui, un de plus, de ceux qu'il lui avait avoué et qu'elle partageait.

Maître Eric annonça :

- Voici une salle de repos dans laquelle je me prélasse après mes activités. Installez-vous sur ce canapé, et laissez votre soumis se reposer sur le tapis, à vos pieds : il a de la chance, c'est un vieil héritage familial où des générations de « chien » se sont couchés.

Maître Eric fit sonner une cloche : quelques instants plus tard, une sissy en tenue de soubrette vint. L'hôte lui glissa quelques mots à l'oreille, et la sissy alla récupérer quelques objets dans une armoire, avant de revenir près de Jordan : elle appliqua alors avec attention de la crème sur les fesses endolories, avant d'entreprendre d'éponger le cul rempli de litres de sperme, ce qui prit un certain temps. La sissy appliqua également délicatement la crème sur l'anus éclaté, lui apportant aussitôt un réconfort inattendu.

Jordan ne disait rien, mais profitait d'un moment de calme et d'attention particulièrement apaisant après toute cette orgie, bien qu'humiliant devant son amie, cette humiliation qui l'excitait tant et qui lui coûtait plus encore...

Amélie regardait Jordie avec une certaine sympathie, satisfaite de toutes ces avancées ensemble, de tous ces moments imaginés, envisagés et enfin réalisés. Toutefois, concentrée sur la suite de son plan, elle reprit la parole pour creuser encore un peu plus la tombe de son ancienne vie:

- Il a répondu au-delà de mes attentes, et je ne sais pas si son mariage pourra encore avoir lieu, vu son état...

- Vous avez raison, répondit Maître Eric : il est non seulement marqué à jamais physiquement mais aussi psychologiquement, et l'ami tel que vous l'avez connu n'est presque plus. Il aspire certainement à autre chose, maintenant qu'il y a gouté. D'ailleurs, vous savez que votre soumis me plaît, et que nous avons envisagé une vente aux enchère...

- Oui, continuez?

- Et bien, je me disais... que diriez-vous de me la vendre pour quelques jours, avant le mariage?

Amélie n'avait pas prévu cette possibilité, mais pourquoi se priver de poursuivre ce petit jeu dont elle ne devinait plus tout à fait l'issue. Mais son instinct la guidait :

- A quel prix vous la voyez?

- Et bien je me disais que vu qu'elle est nouvelle et qu'elle a de bonnes dispositions... mais vu aussi qu'elle a été particulièrement utilisée, j'estimerai sa valeur à... que diriez-vous de 3 000 euros?

A la surprise de Jordan, Amélie réfléchit et pondéra ses options :

- Et bien j'apprécie vraiment cet offre généreuse, et j'ai déjà vécu à peu près tout ce que je voulais de ma sissy. En conséquence...

Alors que Jordan redressa la tête, Amélie acheva ses espoirs :

- ... et bien, ce serait stupide de ma part de refuser, alors j'accepte l'offre, d'autant que je souhaitais m'offrir un petit voyage en Crête avec des amis!

- Et vous le ferez aux frais de la princesse!

- Plutôt aux frais de la « pute », vous voulez dire?

Les deux complices rirent de bon cœur. Amélie reprit un air plus sérieux et regarda Jordan, qui était bouche bée, prêt à se rebiffer malgré une fatigue qui montrait qu'il arrivait au point de rupture.

Elle reprit alors, assez solennellement :

- Pour autant, Maître, vous connaissez mes règles : j'ai fait un deal avec ma sissy, donc, je ne vais pas trahir mon engagement. Ainsi, soit elle est d'accord pour que je vous la vende, et dans ce cas, le contrat est parfait et vous pourrez en faire ce que vous voulez, ça m'est égal.

Elle regardait son ami, penaud, puis poursuivit :

- Soit elle dit le safe word et abandonne, et vous pouvez l'avoir aussi...

Jordan, concerné, écouta attentivement la suite :

- Soit elle gagne le défi, se marie, et me gagne moi... enfin, pour une nuit, bien sûr.

Maître Eric était très satisfait de ces réponses.

Amélie se tourna vers le soumis :

- Alors esclave, es-tu encore digne de ton épouse? Penses-tu avoir la moindre capacité à la satisfaire vu sa soirée entre de belles mains et de belles... queues? Ou bien veux-tu devenir la petite pute de Maître Eric et vivre chaque soir la même aventure comme tu l'as toujours voulu, et rendre riche ta maîtresse qui sirotera un verre en t'imaginant enchaînée et baisée au fond d'une cave par tout un tas de mâle dominants?

Jordan était physiquement et moralement épuisé. Pourtant, ces mots l'excitaient. Et, dans un dernier éclair de lucidité, il s'adressa à Maître Eric, d'une voix un peu rauque, la bouche bien fatiguée par les kilomètres de queues dégustées et les litres de sperme qui y avaient coulé :

- Merci Maître, pour cette soirée, merci de m'avoir permis de vivre cette expérience inouïe, et merci pour cette offre généreuse que je ne mérite pas, même si je serai ravi que ma Maîtresse obtienne tout ce qu'elle souhaite de moi...mais je pense qu'elle restera unique.

Le visage d'Amélie se ferma, mi surprise, mi admirative. Jordan continua :

- Je suis heureux d'avoir découvert, grâce à ma tendre maîtresse et amie, un univers de lubricité qui m'a amené à découvrir ma bisexualité. Je réalise après une telle soirée qu'elle aurait pu être mon épouse, mon âme sœur, et nous aurions pu vivre des choses incroyables, sans limite. Mais je ne la mérite pas, c'est une déesse, et moi un larbin, une lope, une sissy.

Amélie fut tour à tour surprise, enjouée, et même un peu attendrie par cette déclaration.

- Mais je ne suis pas prêt à renoncer à mon dû : j'ai promis de me faire baiser par tout homme qui le demanderait, et je l'ai fait. A la fin, je pourrais à mon tour « honorer » mon amie, sans aucune limite, et croyez-moi que cette soirée m'a donnée des idées sur ce qui l'attend, et ce que j'aurais subi sera une douce caresse en comparaison de ce qui l'attend! dit-il avec perversité inquiétante, empreint d'une espèce de bestialité sexuelle.

Maître Eric était surpris mais peu décontenancé, il avait l'habitude de ce genre de déclaration.

- Et bien, chère sissy, je note tout ce que tu as dit et je suis heureux de te voir si sincère et honnête. Je vois que tu admets tes prédispositions à servir de pute soumise, à satisfaire des hommes, et à vivre une vie de lopette, en obéissant aux désirs de tes maîtres. Je note que ce cheminement et ce dressage par ta Maîtresse t'a amené là où elle le voulait, exactement à la place à laquelle tu appartiens : à genoux, à sucer des queues, à tendre ta croupe pour la remplir de bites, à l'offrir pour soulager ceux qui en ont besoin, à servir.

Il marqua une pause, évalua le soumis, avant de poursuivre :

- Mais vois-tu, Miss Milie est très organisée, et... Allez, chère amie, je vous laisse lui dire!

Amélie arbora un sourire sadique qui interpella Jordan qui ignorait qu'elle allait abattre une carte maitresse.

- Cher Jordan... chère Jordie... chère sissy... ma très chère soumise... dans l'une des pièces à côté, il y a un invité de marque qui aime le plaisir au calme, dans la discrétion d'une pièce recluse. Il est resté là à passer une soirée apaisée, à siroter son vin, dégustant un délicieux repas offert par Maître Eric, attendant ton éventuelle vente aux enchères.

Devant le trouble apparent de son ami, Amélie précisa :

- Alors, tu vas de nouveau te soumettre, une dernière fois, toujours selon les mêmes règles, telle la petite chienne que tu es, avide d'être accouplée à un mâle.

Amélie tira sur la laisse et obligea Jordan à marcher à quatre pattes, vers la pièce de l'autre côté du couloir. Également peu éclairée par un feu de cheminée, elle semblait la salle miroir de la précédente.

Jordan espérait qu'elle n'utilisait ces symboles comme pour lui annoncer qu'il devrait être sauté par un véritable chien : il savait qu'elle était capable de tout, et sa résistance ne tenait plus à grand-chose, aussi il tenta de percevoir qui se trouvait dans la pièce, dans cette obscurité.

Après quelques instants, son regard s'habitua à la pénombre ambiante et il distinguait vaguement des silhouettes, certaines debout, certaines assises, mais aucun chien en vue, ce qui le soulagea un instant.

IL nota un homme de dos, assis dans un fauteuil près du feu, tenant un verre en main. Lorsque celui-ci se tourna, Jordan fut immédiatement horrifié : c'était Julio, le petit ami de son frère, Guy!

Amélie fut ravie du petit effet. Elle avait toujours voulu le voir soumis à « sa famille », lui qui avait un frère ouvertement gay, également un cousin et plusieurs de ses collègues. Julio prit la parole :

- Maître Eric, et chère amie qui avez organisé cela, voici donc l'esclave que l'on m'a promis et que je n'espérais plus!

Amélie espérait que grâce à sa tenue, Julio ne la reconnaîtra pas, même s'ils ne s'étaient rencontrés de loin qu'une fois à un anniversaire de Jordan :

- Le voici, Maître Julio, il est à vous, vous pouvez en disposer librement, c'est un cadeau du futur marié.

- Ah, Jordan! Il est vraiment attentionné! Remerciez-le chaleureusement de ma part!

- Ce sera fait, et je suis sûre qu'il l'imagine parfaitement en ce moment-même! D'ailleurs, il a dit que ce soumis avait été payé pour être bien obéissant et répondre absolument à toutes vos attentes, que vous n'hésitiez pas à assouvir toutes vos envies car ce qui se passera ici, restera ici.

- Comme c'est touchant!

Julio s'approcha de Jordan, qui baissa la tête par réflexe de ne pas être reconnu, alors qu'il portait un masque intégral dissimulant son identité. Julio interpréta ce geste :

- Et il baisse la tête quand son maître passe, n'est-il pas bien éduqué! Bravo pour ce travail, mes amis.

Julio passa la main sur la tête du soumis, lui caressa le dos et caressa son cul nu, avant de le tapoter comme un brave chien.

Jordan frémit. Il ne savait pas comment réagir : il ne pouvait décemment pas aller aussi loin! La baise avec ses amis, soit, mais il l'ignorait quand il était dans le glory hole! Et là, c'est presque sa famille, et Julio était invité à son mariage à la fois en tant que garçon d'honneur mais aussi en tant que chanteur!

Jordan jeta un regard de détresse vers une Amélie, mais ne trouva ni réconfort, ni compassion, son amie étant entièrement dédiée à son rôle de maîtresse sadique : il savait qu'il avait voulu jouer et qu'il devrait assumer jusqu'au bout! En plus, elle y prenait un pied incroyable : ce fut un hasard et un peu d'organisation pour amener Julio à venir ce soir, sans qu'il sache qui elle était, en prétextant que Jordan voulait lui offrir aussi un EVG, mais en version gay.

Julio était ravi : il fréquentait parfois les soirées libertines, et il trouvait l'attention de Jordan louable pour tout le respect de sa sexualité, et pour le cadeau original.

- Comme c'est un cadeau de Jordan, je me sens obligé de vraiment l'honorer, expliqua-t-il à Eric et Amélie, laquelle s'amusa en pensant que pour l'honorer, il allait l'honorer... sauf si Jordan refusait, comme elle en était encore convaincue. Ou peut-être plus autant que ça...

Mais quelle que fut l'issue, elle serait gagnante.

Jordan se raidit lorsque Julio le caressa de plus en plus ostensiblement, s'approchant dangereusement de son petit trou bien élargi. Il savait qu'il ne fallait pas craquer, mais la pression était immense : que se passerait-il si Julio découvrait la supercherie? Comment Guy prendrait le fait que son petit copain s'était amusé avec son frère? Et si tout ça n'était finalement qu'un ultime test, une ultime manœuvre d'Amélie?

Au même moment, levant tout doute sur ses intentions, Julio défit sa braguette et tira sur la laisse que venait de lui donner Amélie :

- Allez, approche, elle ne va pas te manger.

Julio sortit son sexe épais et dur du pantalon, l'approcha du visage défait de Jordan :

- N... non... je ne peux pas... dit Jordan, visage baissé.

Amélie exultait :

- Que ne peux-tu pas? Tu... abandonnes?

Jordan relevait le visage, fixa longuement Amélie, qui expliqua à Julio :

- Si la pute prononce son safe word, tout s'arrêtera.

- Et pourquoi le ferait-elle? J'ai cru comprendre qu'elle en avait avalé toute la soirée... Ma queue pourrait-elle ne pas lui plaire?

Amélie admirait cette queue et regrettait presque ne pas pouvoir y gouter. Enne imagina même s'amuser à transformer Julio, homosexuel assumé, en hétéro, puis baiser avec lui tandis que Jordan serait baisé par des mecs devant eux. Elle quitta ses pensées amusées et expliqua :

- Elle hésite car les enjeux sont... gros, répondit-elle, énigmatique.

Ce fut le déclic pour Jordan : le gage, l'enjeu! Son espoir, son Graal!

A la surprise générale, il saisit la queue dans sa main et ajouta, le regard plein de défi :

- Je ne peux pas refuser une queue aussi merveilleuse, même si je ne la mérite pas... maître.

Et il avala la queue d'un coup, en fixant alors Julio droit dans les yeux, lequel, agréablement surpris, eut l'impression de connaître ce regard. Mais le plaisir l'emporta, il ferma les yeux, et laissa le soumis lui pomper le dard, ce qui lui arracha un soupir :

- Ah! Jordan a su trouver la reine des salopes, elle est bonne!

Amélie était scotchée : il avait accepté! Et il suçait avec un emballement qu'elle ne comprenait pas : était-il devenu fou? Etait-il à ce point emballé par l'envie de la baiser? Etait-il devenu gay? Peu importe, elle avait de nouveau l'entre-cuisse trempé devant ce spectacle improbable, et ne put s'empêcher d'aller sur un canapé tranquillement regarder de loin la fellation quasi impie de Jordan sur son presque beau-frère!

Et le soumis redoublait de vigueur pour en terminer avec ces épreuves : Jordan cherchait à l'exciter au maximum, plus par bravade que par désir, pensait-il. Ou était-ce le contraire? D'ailleurs, il n'avait plus peur de rien et ajouta, provocateur :

- Maître Julio ne souhaiterait pas baiser mon petit cul de salope plutôt?

- Ah non, tais-toi petite chienne, je n'ai aucune envie de te baiser le cul, avec tous ceux qui te sont passés dedans!

Il y plante un doigt pour mieux justifier ces propos :

- Non mais regarde, tu n'arrives même plus à te refermer dessus! Aucune queue ne sentira plus rien dedans! Pathétique! dit-il, en s'essuyant le doigt sur une serviette, avant de continuer :

- Il parait que tu étais diffusée de partout, mais on m'a demandé de rester ici, alors maintenant je profite de toi comme je veux, et de toute façon je baise déjà un cul à la maison, et il est bien plus étroit que le tien : ce n'est pas un garage à bites qui se fait enfiler par tout ce qu'il trouve, il a encore un peu de dignité, lui!

Ces détails sur son frère le gênaient encore plus que les propos humiliants et cassants utilisés pour les décrire, mais Jordan refusa de se laisser aller et continuait de pomper.

Un autre homme qu'il n'entendit pas forcément bien en raison des bruits de succion, annonça, calmement :

- Moi, ça ne me gêne pas en revanche.

Il sentit un homme se positionner derrière lui, puis lui caresser les fesses, avant de saisir les couilles, pour le soupeser, avant de s'approcher du petit trou, ce qui le fit frémir.

Amélie ne disait rien, discrètement assise en retrait, dans la pénombre, mais elle se caressait de plus en plus fort en assistant à la scène digne d'un porno, au point d'attraper un gode qui trainait et de s'enfiler avec, tout en faisant signe à une sissy de venir lui laper le minou.

Jordan sentit Julio atteindre son point de rupture : son souffle court révélait que l'orgasme allait se prononcer, tandis que la bite de l'homme derrière lui caressait ses fesses, remontait vers la raie, et jouait avec le sperme, pour le rapprocher de son petit trou, et l'y pousser dedans du bout du gland.

- Il ne faut pas gâcher... expliqua-t-il, sans que Jordan ne puisse entendre, trop pris par ses propres gémissements, les bruits obscènes de succion, son désir et sa luxure, en pleine fellation experte...

Julio ne put retenir plus longtemps, il eut un orgasme magistral dans la bouche de cette pute qu'il avait envie d'acheter, et gicla d'épais jets de sperme au fond de sa gorge, tenant fermement sa tête pour être sûr que tout irait au fond de son estomac!

Amélie était elle-même au bord de l'explosion en voyant jouir le « beau-frère » de Jordan dans son cul, que la déclaration de l'autre homme, qui avait placé son gland à l'entrée du petit trou, déclencha :

- Quant à tes propos, Julio... je suis heureux de savoir que tu aimes mon petit cul étroit à la maison!

A cet instant, lorsqu'elle vit l'acte tabou, Amélie eut l'orgasme le plus puissant de sa vie, etouffant presque la sissy entre ses cuisses, alors que Jordan, toujours en train d'avaler le sperme épais, prit conscience que son frère était derrière lui, et hurla :

- ROXY! ROXY! ROXY!

L'orgasme d'Amélie se poursuivit encore quand elle réalisa avoir gagné son pari, que tout un avenir se préparait pour Jordie, et que la Crête serait un magnifique voyage!

-- Epilogue --

Amélie adorait Jordan : pendant des années, ils avaient créé cette complicité perverse unique, à partager des fantasmes et des envies extrêmes, qui allait bien au-delà d'une amitié homme-femme, aussi sincère et forte soit-elle, au travers de soirées entre amis, au cinéma, au resto....

Mais, à la différence de Jordan, Amélie était très concrète et souhaitait réaliser toutes ces choses évoquées, tandis que son ami avançait à pas feutrés, encore plus freiné par son désir de mariage.

Et ce que détestait au plus haut point Amélie était la frustration, du moins, la sienne : pour parvenir à satisfaire sa lubricité, rien ne serait un obstacle pour y parvenir, même son ami pouvait être sacrifié, et elle le lui avait dit à mille reprises!

Et oui, Amélie était une vraie salope dotée d'un sadisme refoulé, qui n'appelait qu'à se révéler à la bonne occasion. Elle l'avait toujours dit et répété à Jordan, et Jordan adorait ce trait de personnalité : même s'il se demandait toujours à quel point elle était sérieuse, elle avait montré de temps en temps des signaux clairs, lui faisant franchir des caps : sa petite bite diffusée sur des sites internet, sa photo de lui à poil, mais au visage floutée, affichée au travail, les histoires racontées sur internet où Jordan finissait entre les pires mains (et parfois « pattes »), sans aucun tabou, ni aucune limite... il en demandait toujours plus, alors pourquoi se priverait-elle de vivre ses désirs et de réaliser certains des fantasmes, surtout s'ils étaient partagés avec son ami?

Elle savait que pour l'EVG, elle organiserait une soirée de folie, et elle savait que les deux complices n'oublieraient jamais toutes les étapes franchies, ce qui renforcerait encore plus fort leur lien.

Mais ce qu'elle ignorait alors, lors de la préparation de son plan, était le degré de réponse qu'elle recevrait de sa part : que fut-elle agréablement surprise!

Elle ne pensait même pas qu'il franchirait le premier cap au sex shop, et pourtant... elle avait vu cette lueur d'excitation révélatrice dans les yeux de Jordan, certes par moments hésitant, mais toujours en quête profonde de découverte.

Jamais elle n'avait imaginé qu'elle irait au bout de son plan : elle ne l'avait qu'incité, se contentant de favoriser les situations... Jordan était un homme libre, qui pouvait dire stop à tout moment. Mais son autre facette, Jordie, le rendait esclave de ses désirs, de ses vraies aspirations, et c'est son autre personnalité qui avait décidé de son destin.

A mesure que Jordie la sissy soumise acceptait son rôle, Amélie la salope s'assurait de l'emmener toujours plus loin.

Ainsi, comme convenu, Jordie fut remise par Amélie à Maître Eric, non sans avoir eu auparavant un rapport unique avec lui : par vice, et à la grande surprise de son ami, elle avait décidé de s'offrir à lui! Sauf qu'Amélie voulait savourer sa victoire jusqu'au bout : elle lui avait demandé un cunilingus qu'il s'était empressé de réaliser avec toute la testostérone qui bouillait en lui. Lorsqu'elle fut arrivée au point de non-retour, elle s'empala sur la petite bite dressée de 12 centimètres, toutefois suffisante pour la faire jouir comme jamais vu son état d'excitation. Elle convulsa quasiment instantanément sur son ami qui, bien que totalement prêt à jouir aussi, n'eut pas le temps d'avoir un orgasme : elle se retirera de la bite-objet comme d'un sextoy devenu inutile, abandonnant Jordan à la frustration sexuelle la plus terrible qu'il ait ressenti, avant de le remettre quelques instants en cage, après que la queue eut débandé.

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